[RP à plusieurs] La route pourpre

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Après l'agitation de la dernière heure et l'étrange sentiment qu'avais fais surgir en moi le détective, l'envie de m'isoler pour vider mon esprit se fit sentir. Je me mis un peu à l'écart du groupe et commença à laisser vagabonder mes pensées pour pouvoir méditer en paix et trouver la cause de mes tourments.
Tout a coup, des pas lourds se firent entendre dans mon dos. Je chercha mon arc du regard, voyant qu'il n'était pas à coté de moi, je tire ma lame du fourreau et me retourna près à fondre sur la personne venant par derrière. C'est alors que je vis l'Ours avec un de ces compagnons. Une fois dans mes pensées, mes réflexe étaient revenus de façon spontanée. Je m'excusa auprès de l'Ours et de son compagnon d'avoir eu ce geste envers eu.
L'Ours m'apprit qu'il venait pour s entretenir avec moi. Rien qu'a l'expression qu'il abordait, je compris qu'il s'agissait de quelque chose d'important, pensant même à mon renvoi du groupe. Mais il ne venait pas pour ça, il voulait me parler de son ami le détective, son instinct lui faisant pré-sentir un malheur sur son ami. Ainsi, je n'étais pas le seul à avoir eu une inquiétude. Je lui faire part de mes impression à mon tour, lui racontant ce que j'avais ressenti à son retour parmi nous. Si le détective était bel et bien habité par une ombre, je comprenais maintenant pourquoi je n'avais rien vu tout à l'heure.
 

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[HRP]Dark, t'as pas géré ! Je crois que Déca attendait que tu pousses ton RP dans une autre direction afin de recadrer et corriger le RP. J'ai essayé de le rattraper pour recommencer dans de nouvelles aventures :)[/HRP]

Je demeurais impassible et silencieux. Je savais que le Mage ours allait le retirer ce don qui aurait pu le rendre si puissant. Je savais aussi qu'il allait le faire pour mon bien. Luminor me demanda ce que j'avais. Je ne répondit pas. L'ours le prit à parti et lui expliqua ce qu'il de passait en lui demandant des conseils. Luminor, lui même à moitié semi-démon, lui affirma qu'il restait en vie grave a sa partie humaine. L'ours baissa la tête, comme déçu de la réponse qu'il venait d'entendre. Le mage s'approcha de moi, et m'explique ce qu'il allait faire. Je ne fis aucun signe extèrieur. Je ne pensais à rien à part à cette puissance que j'allais perdre me faisant retomber au rang du plus faible. L'exorciste commença et je ne tarda pas à m'endormir. À mon réveil, je vis mes quatre compères autours de moi. L'incantation avait réussi. L'ours me tapota fraternellement l'épaule et tous me demandèrent la chose suivante :

Pourquoi as-tu fait ça ? Tu aurais pu mourir !
Je voulais pouvoir vous être utile, vous aider.

Ils me regardèrent, d'un air amical et nous nous mirent sur les traces d'autres ours, en silence.
 
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{hrp} Ben si, mais je ne voulais pas faire tout de suite on est sur de ce que tu as et on te le dégage tout de suite ^^ Je voulais un petit entretient entre nous pour savoir comment procéder avant de tenter de te retirer ton ombre{/hrp}

Après notre entretien avec l'Ours et son camarade mage procéda à son rituel pour dégager l'ombre du corps de l'humain avant qu'il ne meurt. Je restais un peu en retrait, me préparant à intervenir au cas ou le rituel se soldait sur un échec. Pendant le travail du mage, je vis l'ombre se débattre plusieurs fois pour rester dans son corps. Après un moment qui me parut long, l'ombre disparut, détruite par le le rituel du mage.
C'est à ce moment que le détective rouvrit les yeux. Le voyant de nouveau lui même, la tension retomba. très vite l'Ours voulu connaitre les raison d'un geste aussi dangereux. La réponse surpris ces anciens compagnons. Venant tout juste d'arriver dans le groupe, je n'avais encore jamais vu le détective à l'action.
L'Ours eut aussitôt des mots réconfortant pour son ami, lui rappelant que les trois Ours n'aurait pas forcément pu être libérés sans son idée de diversion. l'intelligence du détective fut reconnue par l'ensemble des compagnons comme un point fort pouvant être l'arme la plus utile en cas de danger
 

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Luminor avait noué de grands liens avec le détective, il l'aimait à présent, un de ses grands amis. Luminor ralentit la marche pour être au niveau de Sherlock, il l'aborda.

" Tu sais, ton parchemin marche toujours, dès que ton esclave meurt, le parchemin redevient vierge et est de nouveau réutilisable.. "

" Mais cette fois, prends un compagnon non maléfique. Haha ! "

Luminor repartit donc en tête du groupe.
 

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Cela faisait bientôt deux heures que l'on marchait sur les terres D'Anasfère et je m'étais écarté, pensif, du groupe qui m'avait sauvé la vie. Luminor vint me parler et me dit que mon parchemin pouvait encore marcher, une fois ma créature exorcisée. Je lui répondit à quelque mots prêts ceci :

C'est gentil Luminor, mais j'ai tiré profit de cette expérience. Rien de tel que l'entraînement pour se faire une réputation. Ma lame est déjà exceptionelle. À moi de me montrer à la hauteur de cette arme si puissante.

Les deux compères se regardèrent et discutèrent longtemps. L'ours, quand à lui, s'était lié d'amitié avec les personnes de son peuple. L'assassin, à son habitude, faisait les poches des divers sacs à dos.
 
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Je n'aimais vraiment pas ce qui venait de se passer. Trop d'obstacles imprévus, il fallait donc improviser. Au petit matin, je décidai avant tout, de sonner le cor. Ca les réveillerait bien. Le son tonitruant fit sursauter les maladifs autant que les durs à cuirs. Certains me regardèrent avec hargne.
- Les amis, levez vous. J'ai pris une décision sur notre prochain objectif. Habillez vous et armez vous. Pas besoin de préparer les pacquages, néanmoins.
Ils se regroupèrent rapidement autour de moi. Je commença directement ma tirade:
- L'Anasfère est de l'autre côté de cette mer, après l'Ile, à quelques milles. Mais nous n'irons pas. En Anasfère, il y a déjà beaucoup d'Ours qui se sont d'eux même regroupé. Notre problème n'est pas là. Notre problème est dans cette jungle. Cette jungle est bourré de Missraïs, je me demande d'ailleurs comment nous n'avons pas pus leur tomber dessus depuis. Ces Missraïs ont des goûts particuliers à leur cuisine. Ils mangent exclusivement... de l'Ours...
Les trois autres Ours présents firent part de leur dégout en silence, par clignements d'œil et gueules entrouvertes.
- Et le plus grand grenier missraïs se situent à trois kilomètres de notre position. Je vous propose de retourner au château pour les préparatifs. Nous aurons besoin de l'artillerie légère qui s'y trouve, peut être même de la lourde, qui sait... Et préparez vos armes. Maintenant, tous à la barque.

A midi, ils furent dans l'ile. A préparer ce qu'il fallait préparer. Triste de voir que personne n'avait de contre argument, j'aurais aimé distribuer quelques coups de pattes. Les autres s'armaient, je descendis dans les geôles. Besoin de savoir ce qui si passait. Par mesure de sécurité, je dégainai Sans Quartier, mon couperet. La hache dans la sacoche, je ne pouvais pas la manier correctement dans ces petits escaliers qui menaient aux cachots. Je me retrouvai alors, à la fin de cette saloperie d'escalier en colimaçon, dans un couloir. Des cages un peu partout.
Plus loin, celles ouvertes des Ours. Hum. Encore plus loin, une autre. Presque ouverte. Mais de l'intérieur. Quelqu'un fournissait un effort considérable pour la pousser. Je voyais des bras et de mains, farouchement cramponner au barreau, et qui poussaient, poussaient!.. Je m'approchais.
Oh non. Ces cons d'elfes avaient enfermés un cyclope. Ouah! Quelle puissance. Il ne fallait surtout pas que ce monstre puisse sortir. Mais par quels moyens avait il pus capturer et garder aussi longtemps cette puissance presque divine?! Je me devais de tuer cette chose. Dans le couloir, j'avais la place de manier mes deux armes en même temps. D'ailleurs, à cet endroit ci, le couloir était plus large, sûrement les elfes noirs avaient dû l'élargir après l'arrivée de la chose. Dans l'espoir, étroit lui, de se battre contre le cyclope si jamais il parvenait à sortir. J'étais enfin devant la cage. Impressionnant.
Je croisais mes deux armes. Malheureusement, je devais le libérer pour le tuer, les barreaux m'empêchaient gravement de le tuer de là où je me trouvais. Coup latéral. Les barreaux finirent de se plier. Il fallait faire à présent vite. Le cyclope, fou de rage, se jeta sur moi. Trop tard. Retour de hache. Revers de Sans Quartier. Plus de tête. Quoi? Le corps bougeait encore! Les bras m'attrapèrent, me plaquant férocement au mur. Je me sentis alors comme une andouille sur une assiette.. vulnérable. Peut être est ce qu'avait ressenti Sherlock pour en arriver là où il en était arriver. Je ne pouvais résister à cette force, aussi je ne tenta pas de le repousser. Un coup de patte arrière dans les couilles, plutôt. Il tomba, recroquevillé sur lui même. J'attrapai une potion, c'est qu'il m'avait fait mal aux bras, ce dégénéré! Toujours un goût déplorable de fiente d'oiseau, mmh. Je levais la hache, l'abattais. Puis Sans Quartier. Puis la Hache. Et enfin Sans Quartier. Pour de bon, il était mort. Je soulevai la tête. C'est une genre de tête de cyclope qui fera peur aux guerriers missraïs avant une quelconque bataille. Je l'entreposai dans ma sacoche. Théoriquement, elle ne devrait plus bouger, sinon adieu le stock de potions.
Je remontais en haut, sans faire part de ce que j'avais vu, fais et tué. Mais ils virent très nettement tout le sang qui me maculait les poils.



 
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Je m'étais isolé sur les créneaux de la muraille du château et je vais l'ours revenir, ensanglanté par un combat qu'il venait de mener. Il avait réussi à tuer un cyclope ce salaud ! La force de cet ours m'étonnera toujours. j'arrivai donc à sa hauteur et lui banda les plaies, peu profondes. E[/bEtant chargé du packtage médicinal, c'était la moindre des choses. Je repartis ensuite m'isoler à nouveau sur ces fameux créneaux, beaux par leurs anciennetés et leur silence, quand je vis l'instrument de notre mort. Une centaine de guerrier s'étaient rassemblés prêt de la forêt. Si seulement j'avais eu l'ombre. Au lieu de ça, je fis un signe de tête à Luminor et les autres, qui me comprit instantanément puis je descendis en trombe, encore et toujours ma lame à la main. une flèche fut tiré sur moi. Esquivée. Pas de doutes, ils voulaient en découdre. Nous étions 5 contre 500, et nous allions encore une fois risquer notre vie pour notre survie.
 

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- Olah. Amis. Restez sur les créneaux, voulez vous? Un avantage du terrain appréciable. Luminor, ramène l'artillerie lourde, du genre un beau canon et la poudre, voir les boulets si tu arrives à transporter tout çà en même temps. Sherlock et Zarox, partez fermer la grande portes. Les Ours, aidez Luminor a installé le canon sur le rempart. Non. Euh... Le Mage, prépare tes sorts. Et toi, démon, oui... bah... va aider Zarox et Sherlock, tant qu'à faire.

Je vis, au bout du rempart, une catapulte. Abandonnée. Je me précipitai donc à sa rencontre. Je la câlinai. Je posai la tête du cyclope dans la poche de la balançoire. J'armai. Et feu! En plein milieu, tiens! J'étais donc prédisposé à cette machine. Un vent de panique fut visible sur le visage des missraïs, mais ils avançaient toujours. Je me mis en quête de pierraille, pour la catapulte.
 

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Je m'éxecuta sur les ordres de l'ours Décapitor. Je savais pertinemment que c'était une mauvaise idée. Ils étaient trop nombreux pour que les boulets de canon les diminuent assez. Les livres que j'avais rapporté m'avaient un peu renseigné sur ce peuple. Mais, ne connaissant pas ce peuple personnellement, je ne voulu pas contester verbalement la parole de l'ours. Sur mon livre était écrit qu'il attaquaient toujours à l'arme blanche, et qu'ils faisaient s'écrouler les architectures sur elles mêmes en préparant le terrain à l'avance. Alors, tout s'éclaira. Les elfes encore présents, le cyclope que nous n'avions pas vu lors de notre prochaine visite. Il fallait prévenir l'ours de tout urgence. Malheureusement, je n'étais pas assez rapide. Je demanda donc au semi-démon, d'aller expliquer ma théorie à l'ours, le plus vite possible. Le temps était compté. Déjà je localisais les toches, portés par cinq missraïs. Il fallait que quelqu'un les éteignent. Je demandais à l'assassin de continuer à fermer la porte sans moi, et d'aller ensuite directement rejoindre le groupe.Il fallait faire vite : Les missraïs n'étaient plus qu'à quelques dizaines de mètres. c'est donc pris d'une folie semblable à celle de l'ours que je m'élançais seul. Ma lame à la main, je dépeça le premier rang. J'esquivais les estocades des lances rouillées et rejoignaient progressivement les torches. Arrivée à leur niveau, je les tua sans aucunes difficultés. Désormais, mes amis allaient vivre. Malheureusement, j'étais encerclé de 500 guerriers tueurs d'ours. J'étais fini. Les quelques guerriers voulant me tuer seul se firent tuer sur le champ. Individuellement, ils étaient plus faibles que moi, une chance. Ensemble, je n'avais pas la moindre de chance de survie. Mon sort ne dépendait plus que du destin.
 

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Luminor arrivait dans les sous-sols, il trotinnait, faisant un peu d'exercice. Ses muscles en manquaient grandement, l'énergie produite fut aspiré par son corps, sa force revenu, il attrapa le canon, et le mit à son épaules, attrapa le sac de poudre en le mettant entre ses crocs et coinca une caisse de boulets sous son bras gauche. Les ours le regardèrent avec surprise, lui le semi-démon redressa ses oreilles.

" Vous inchiétez pas.. Vous chavez che fais du chport achez quotidiennement... "

Les ours ne comprirent rien, le sac de poudre entre ses crocs l'empêchait de parler normalement. Il arriva au triple galop vers la muraille. A une position stratégie, il lâcha le canon. Il demanda aux ours de s'occuper des canons.
Il prit Hitsuhaya qui reposait dans son fourreau en fer pourri.
En prononçant quelques formules, une poudre sortit de la lame. Luminor pointa la lame vers l'armée Missraïs. La magie prit la direction qu'indiquait son porteur et se répandit sur le corps des guerriers adverses. Le semi-démon était fier de lui, il avait réussi à produire Paradoxe, le sort qui inverse les idées du sens commun. A présent les Missraïs ne pouvaient plus penser correctement.
 

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- Ahhhhh mais le p'tit con d'écervelé!
D'un bon, aussi inconscient que les actions précédentes, je me jetai du rempart. J'atterit lourdement sur le cul, des dizaines de pieds plus bas. Une douleur, certes, mais surmontable. Dégainant en même temps mes deux armes, et en poussant mon cri de guerre, je captais l'attention tout en chargeant à une vitesse fénoménale pour ma masse. J'arrivais vers les premiers missrais. Un lancier. Coup de biais. Paré. Je contre attaquai de taille. Eventré. Le suivant coupé en deux par le couperet. Je m'avançais vers Sherlock. La colère plus grande que jamais et mon chemin, que je me frayais par la force et le sang, n'était plus que bouilli et pourpre. Un chemin pourpre. Qui deviendra plus tard une route. :)))
Arrivé à la hauteur du détective, je lui mis d'abord une baigne, il le méritait. Puis je commençai, avec lui, une danse de la mort qui n'allait pas s'arrêter tout de suite.
 

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Tout en combattant aux cotés de mon ami, je criais à Luminor de ne pas tirer, s'il voulait nous garder en vie !! Moi même j'avais été recouvert de poudre et je ne souhaitais en aucun cas mourir d'implosion; Je venais de leur sauver la vie, et j'avais récolté une baigne acérée. je suppose que cela devait être sa manière de me remercier. Ma lame coupait les corps en deux. j'avais bien fait de l'aiguiser autant ! L'ours et moi récoltions nombre de blessures mais l'heure d'abdiquer n'était pas encore venu. Leurs rangs diminuaient mais bien moins vite que nos forces.
 
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Remontant les marches en vitesse les marches, je cherchais l'Ours pour lui transmettre le message qu'on m'avait confié.
Une fois sur les remparts, je ne vis pas l'Ours. Le cherchant du regard, je ne le vit pas trainer dans les environs. C'est alors que j'entendis un cri provenant du bas des remparts. Je me pencha par dessus les créneaux pour tenter d'apercevoir l'Ours.
je le vis avec son ami le détective, tout deux encerclaient par les guerriers missrais. Ils faisaient des dégâts dans leurs rangs, mais leurs forces diminuaient beaucoup plus rapidement que les ennemies.
Luminor ne pouvait pas se servir du canon sans risquer de tuer ses amis. Bien décidé à les aider du mieux que je pouvais, sortis mon arc et commença à décocher mes flèches sur les adversaires pour donner un peu de répit aux combattants pour qu'ils aient une chance de revenir dans les murs protecteurs.
 
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Le sort de paradoxe se détérioraient au fur et à mesure du temps qui passait, jusqu'au moment où les Missraïs se réveillèrent tous pour tuer l'ours et le détective. Il les encerclèrent. Bien que ses deux compagnons étaient d'une force extraordinaire, ils ne pouvaient lutter contre des chasseurs expérimentés au nombre actif de 500. Luminor rentra Hitsugaya dans son fourreau et fonça tête baissée sur les adversaires. Il en plaqua un bataillon et commençait à les déchiquetaient quand les couteaux se plantèrent. Il en reçut un de le ventre, un dans le bras. Luminor souffla, bien que le sang coulait, il sentait son sang bouillonnait. Il sortit Hitsugaya de son fourreau, faisant fuire les deux couteliers. La poignée s'étincellait, L'épée se mouvait d'elle-même, arrivant au niveau de son visage, elle commençait à fusionner avec le semi-démon. La poignée en forme de coeur arriva au front, marque évidente de la fusion. Luminor constatait également que son museau s'allongeait ainsi que les autres transformations habituelles. Plus aucuns sons n'arrivaient à ses oreilles, il ne s'intéressait désormais que par son changement.

" Je peux me contrôler... Je le peux ! ... "

Il poussa tous les Missraïs et arriva au milieu du combat, près de ses amis très surpris. Ils eurent au début un frisson en croyant que j'allais les attaquer, mais un mouvement de tête leur fit comprendre que bien que le pouvoir maudit en moi avait prit le pouvoir, Hitsugaya m'aidé à contrôler mon tout en rajoutant des pouvoirs à ma transformations. Je lâcha un soupir, le combat allait maintenir connaître un retournement de situation...
 

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Luminor arriva à nous rejoindre dans le cercle endiablé dans lequel nous nous trouvions. Désormais, presque tous réunis, nous étions de taille à pouvoir lutter contre ces affreux guerriers dont l'odeur de la mort empestait leurs lames. Tous les trois nous nous surpassâmes et lutâmes pendant plus de trois longues heures. Je repensais à ce que m'avais dit Luminor, mon fidèle frère de guerre :

" Tu sais, ton parchemin marche toujours, dès que ton esclave meurt, le parchemin redevient vierge et est de nouveau réutilisable.. "
" Mais cette fois, prends un compagnon non maléfique. Haha ! "


Je devais l'avouer, il avait eu raison. Le nombre d'opposants, qui voulaient en découdre, diminua et nous prîmes peu à peu l'avantage. Soudain, les troupes ennemis s'arrêtèrent de nous cogner dessus et un chef, à la monture, tant fabuleuse que redoutable. En effet, ce général Missraï montait un Loup au pelage blanc et soyeux. Pas de doutes, il devait être à moi.
Mes compagnons, à bout de force étaient eux aussi prêt à en découdre. J'intervint et ordonna qu'on me le laisse. Ce combat était pour moi. Avant de me lancer dans le combat le plus important de ma vie (plus important encore que celui qui avait permis la rencontre entre moi et l'Ours), je renouvela le rituel. Je sorti le parchemin devenu vierge, m'entailla la main puis fit couler le sang, fraichement récolté, sur le parchemin. Je fit en suite bruler ce dernier. Tout ce rite se passa inscroyablement vite, dans les yeux dubitatifs de mes ennemis Je pris mon épée Elfique et l'envoya en pleine poitrine contre le général. Il tomba de sa monture. Si je parvenais à tuer ce loup, il serait la première créature que je tuerait après ma désenvoutement. Logiquement, si ce que m'avait dit Luminor était vrai, ce loup devait bientôt m'obéir. Je sortis mon poignard à la hâte et m'élance en trombe sur ce noble animal. La bête, contrairement à ce que je prévoyait, ne s'enfuit pas. Elle me mordit le poignet et je profita de cet instant de proximité entre lui et moi pour lui poignarder sa partie ventrale. Pas de doutes, l'animal était mort, et la porte qui, jadis, s'était ouverte dans mon esprit réapparut pour la deuxième fois de mon existence. Pas de doute, je pouvais à nouveau invoquer ma créature. C'est en hâte que je le fit, instinctivement, et la monture aussi massive qu'un cheval, apparut, m'obéissant. Les opposants, apeurés, hésitèrent à se rebattre. Le combat pouvait reprendre.
 
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Je n'avais rien perdu du combat du haut de l'arbre où j'étais perché à trois mètres... Avec peu d'appréhension, je me laissai tomber sur le dos d'un soldat.

-Désolé mon bon ami
Je le contournai alors puis me faufila entre les rangs des autochtones pour rejoindre mes deux compagnons. Évidement j'eus un grand mal à les approcher... mais avec quelques coups de coudes, plutôt de lames, on parvient à tout et je me jetais dans la mêlée sanglante, Maltavia à la main.
 
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