souffrance et agonie!

  • Auteur de la discussion peponi
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proseman:D vous présente:

Un pays, des terres arides, une colline, un village perché dessus.
Tout est paisible, et pourtant c'est la guerre, les enfants jouent et pourtant ils portent des grenades, le village est calme et pourtant des terroristes se cachent. Un hôpital plus bas, dans la vallée, une roquette frappant des innocents, des civils tués, un soldat blessé. Des hommes embrigadés, des enfants boucliers, une femme violé. Battu sur la place publique, fouetté pour avoir osé se dévoiler, des hommes fous, une loi humiliante. Des soldats Français, tombés dans des embuscades, une population changeante, un pays en ruine, des médias pourris. Une guerre qui devient impopulaire, et pourtant si nécessaire. Un enfant qui pleure ses parents, trois mois plus tard, il tuera des innocents. Triste réalité pour un pays embourbé dans un chaos sans fin.
 

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je sais pas pourquoi mais ça me rappelle quelque chose mais ça veut pas sortir ^^
 

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je sais pas , j'ai une impression de déjà lu quelque part :D
 

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ah non impossible, parce que j'ai fait un truc dans le genre en cours sa fait pas longtemps et sa sa en est un dérivé!;)
 

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ben j'ai dut lire un truc qui ressemblait beaucoup dans ce cas mais comme je lis pas mal, ça m'étonne pas de voir des choses ressemblantes ^^

désolé sinon c'est pas mal poser, manque un peu sentiment du moins, ce coté est pas très bien exploiter car dans une poème, tout passe par les sentiments que ce dernier te fait passer ;)
 

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Je trouve ça pas mal du tout, j'aime beaucoup.

Peux-t-on en avoir d'autres ? :)
 

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ok new imporvisation of proseman!:D


Un soldat égorgé, gisant inconscient sur le sol de Kaboul, une roquette frappant un bâtiment afghan, des terroristes se cachant dans les montagnes du Kurdistan, une femme battue sur la place publique car celle ci étouffée sous son voile par la chaleur et l'oppression des hommes. Des combattants cagoulés, arrivant par dizaines pour faire souffrir un peuple déjà torturé par une guerre atroce. Des blindés Américains, Français, Canadiens explosant sous une bombe improvisée posée là, par un simple berger. Des funérailles nationale pour une embuscade qui tua bien des hommes. Des kidnappings incessants, des crimes commis par des personnes embrigadés, par un seul homme qui terrorise à lui seul cette partie du monde. Un journaliste Japonais attrapé, sa chaîne de télé reçevra plus tard, la cassette de son exécution, un traducteur égorgé pour avoir été soupçonné d'aider l'humanité à enlever cette maladie qui ronge tant de pays: le terrorisme!
 

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Un pays meurtri, une population terrorisée, des femmes violés, des soldats drogués, des pillards déchaînés, des bandes armées. Le 4 fait ses ravages alors que le soir venu ses premiers effets commencent, les soldats allumés, tuent, violent, pillent, exécute. Une population drogué, des dirigeants qui y veillent, une guerre civile, l'Afrique, comme tant d'autres des pays de ce continent.
Des enfants soldats, la haine les nourrit, les armes sont leurs crayons.
Une violence inouïe, pour une nation démunie, une pauvreté accablante, une dictature aveugle et sourde des cris de son peuple. Un chef de passage, le soutien de grandes nations, les enjeux politiques au dessus des enjeux humains.
Alors que cette enfant, s'apprête à mourir sous les balles d'un autre gamin de son quartier, alors que ces soldats drogués chaque jour, alors que ces bandes armées pillent nuit et jour, alors que cette dictature tue un peu plus ce peuple, le monde reste la, devant la télé, à observer la situation et s'en offusquer, mais quelque part, sa ne les concerne pas.
 

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J'aime beaucoup.
Il y a quelques fautes d'orthographe ou de grammaire, mais le ton est juste, style journalistique. Cela donne l'impression d'images se juxtaposant les unes les autres.
Continue à écrire ; sur l'irc j'avais bien vu que tu étais doué :)
 

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Un état jeune, des voisins hostiles, une indépendance proclamée, une décision internationale. Un peuple survivant de près de 6000 ans de souffrance, une nation retrouvant sa terre, un peuple joyeux, un passé douloureux.
Une guerre dès sa création, des armées entières aux frontières, une jeune armée courageuse. Une victoire héroïque, un peuple fier, des guerres qui commencent. 60 années de guerre pour 60 années de vie, une opération gigantesque, des médias pollués, des terroristes acharnés, une manipulation des lâches. Des pays divisés, un peuple martyrisé, qui aujourd'hui se bat fièrement pour sa nation, et sa religion.
 

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Comme plume, je trouve que tu peux écrire encore mieux et surtout, montrer à pas mal de gens que tu sais le faire.

Moi je vais être un peu moins jouissif mais j'ai pas ressenti de sentiment du moins assez fort pour dire que ça me touche. C'est ce que je trouve dommage, la prose est un style bien à lui mais il reste le fait que comme tout poésie, le sentiment de l'auteur doit surgir aux lecteurs. J'apprécie les testes mais je trouve que tu devrais y ajouter un peu plus de sentiment pour mieux toucher et surtout bien choisit car là, j'ai la vision d'un journaliste qui reflète ce que les autres vivent. Moi je préfèrerai voir ce que toi tu ressens ;)
 

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Pour tous ceux qui se posent la question:Mes textes sont mes propres écrits qui ont été créer lors de manifestations dans le cadre du lycée, pour le plaisir...il n'y a donc aucun rapport avec le talentueux swolmm et ces textes à succès!:D
Ces textes sont uniques et n'ont aucun influence, voila!;)

merci kissi, pour oda, oui le problème c'est que ces textes sont tirés de ce que j'ai fait en classe (d'ailleurs qui n'a pas été séléctionné sans doute car je faisait de la propagande américaine!:D) donc je vais faire de nouveaux textes, et on verra ce que sa donnera!;)
 

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tu sais, la base de la poésie, c'est le sentiment. Peu importe le sentiment, tu peux faire de très beau poème sur la haine et en faire des mauvais sur l'amour. Le truc que moi je m'inspire, c'est le sentiment que ça procure aux autres. Si ça touche les gens, c'est ce qui me fait grandir dans cette voie. le style fait pas de différence, je sais que je suis nul dans la prose, d'ailleurs j'essaie même pas car je sens que c'est pas ce que j'aime faire mais si j'ai un conseil à te donner, c'est de travailler le sentiment. Le succès se ressentira à se moment là ^^
 

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^^
tu joue sur les mots!xD
bref je vais essayer mais je pense pas que je suis doué pour sa, on va voir sa!;)
 

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Hum, c'est pas pour faire le rabat joie, mais j'ai l'impression que ces textes sont en fait une succession sans pause d'évènements, Tu te contentes juste de décrire des scènes mises bout à bout ...
 

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non.
J'écris comme une histoire si tu n'avais pas remarqué!;)
C'est un peu comme l'a dit Plume un style journalistique!;)


Bon, voila autre chose de nouveau et j'espère que la y aura du sentiment! :rolleyes:



Une femme battue, une femme violée, une femme brûlée, des femmes martyrisées. Elles ne font rien, et pourtant dans certains pays elles sont battues, elle ne réclame rien et pourtant, dans certains pays elles sont oppressées, elle ne veulent ni guerre, ni haine et pourtant, on les tuent.
A toutes ces femmes, en Afrique, en Asie, Au moyen Orient, à toutes les femmes que vous voyez sur vos écrans, leurs calvaires est quotidien, leur souffrance sans fin. Des pays développés? Des femmes pourtant battues.
A ces femmes qui voient leurs enfant mourir, a ces femmes qui voient leurs maris capturés, égorgés, a ces femmes qui doivent se battre pour survivre.
A toutes ces femmes, victime d'une guerre qu'elles n'ont pas voulus, a toutes les femmes. Elles pourraient être vous mais aujourd'hui elles ne sont rien.
 

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Un mec qui court, un flic qui tire, un homme qui tombe, mon frère est mort.
Dit extrémistes alors qu'il ne faisait qu'espérer pouvoir se venger d'un mec, dit délinquant alors qu'il tentait de se sauver poursuivit par des terroristes sans pitiés. Une bavure, la mort, une perte, la vengeance. J'ai toujours cru qu'il allait s'en sortir, trafic de came, délinquance, emmerdes, des graffitis insultants, des jeunes qui tombent dans l'extrémisme face à un antisémitisme et un racisme qui se développe, des flics aveugles, une justice faite, une punition: la mort.
Des fanatiques à la sortie d'un lycée, des tracts distribués, des insultes, une baston, une gueule en sang, un mec qui tombe, blessé par un tir dans la tête à bout portant, un lycée choqué pour une scène quotidienne.
 
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