la nuit froide

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Toujours aussi fort, toujours aussi poignant. Cette réalité de la vie que tu décris est celle dont on parle peut, parce que personne ne veut la voir. Mais tu la dépose là, devant nous, nous obligeant à la visualiser. L'existence est loin d'être un long fleuve tranquille et tu sais montrer comment, en un instant tout peut basculer.
Encore bravo !
 

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Bye

Perdre ses cheveux dans de lourde thérapies, déprimer de plus en plus, se battre contre cette putain de maladie. Rêver d'un avenir que l'on ne verra jamais, passer trois quarts de sa vie hospitalisé. Espérer en miracle en hurlant de douleur, se battre encore contre cette putain de maladie. Endurer la peine et le déchirement, serrer les dents et ce battre encore et encore contre cette putain de maladie.
Pour finalement s'éteindre un jour, ne plus crier, ne plus souffrir, de plus pleurer...
Juste la grand vide, à jamais. Et à ce moment on se dit que tout ça, toute cette bataille, a été menée pour rien.
Au revoir grande sœur, tu me manquera.
 

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Quand la soeur de ton meilleur ami crève du cancer ça fait réfléchir.
Moi ça me fait aussi écrire.
 

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Hope

Une femme, un accident. Une enfant, la faim.Un Soldat la guerre.
Une femme qui perd l'usage de ses jambes, garde tout de même un espoir. Un enfant qui meurt de faim garde tout de même un espoir. Une soldat en plein milieu d'un bataille, garde tout de même espoir. Car l'espoir fait vivre. Cette femme peut encore retrouver ses jambes, peut encore marcher si elle se bat. Un enfant peut encore manger, se remplir le ventre, si il se bat. Un soldat peut encore rester en vie, revoir sa famille, s'il se bat. Se battre pour que la lumière, même faible brille encore dans la masse noire qui broie nos cœurs. Car vivre est ce qu'il y a de plus beau.

Mais cette femme est décédée dans cet accident, ce petit est déjà mort de faim depuis longtemps et ce soldat s'est pris trois balle dans la tête.

Car la vie est cruelle, et nos yeux sont aveuglés pas des illusions.
 

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Agression


Il se lève touts les matins à 4 heures, monte dans osn camion et roule toute la journée, il rentre tard le soir, a deux heures de repos puis doit reprendre. Il ne s'est jamais plaint, n'as jamais rien demandé. Sa femme l'a quittée, il est en retard pour les impôts et dort dans un taudis. Mais il s'en fiche car il bit, et c'est ce qu'il y a de plus important. une nuit il s'arrête sur une aire d'autoroute, quand surgirent quatre homme armés de barres à mine. Ils se mettent à frapper, frapper encore, frapper plus fort, n'arrêteront-t-ils donc jamais? Lui ne dit rien, il subit, crie en silence, attendant la fin. Mais la fin ne vient pas, et un coup final lui est donné en plein dans le crâne. Les jeunes s'en vont en ricanant, lui est là, allongé par terre. Tout le monde s'en fiche de lui, personne ne le connait, pour ne pas faire d'embrouilles, le patron de l'aire le jette aux ordures. Tel est la fin d'une vide de merde, la fin de la vie d'un homme qui n'avait rien demandé,, la fin de milliers de vies.

lui il me marque ...
pauvre mec
 

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Sucide

Elle était là, assise au bord du précipice, le vent gonflait sa robe noir comme la nuit, elle avait le regard perdu, le regard noyé dans ses larmes, que le maquillage rendait bleues, ses douces mains de velours se crispaient, autant à cause du froid qu'à cause de la rage qui bouillonnait en elle. Son cœur était déchiré, assassiné. Elle n'en pouvait plus de cette vie de merde, de ces gens souriant avec qui elle fait semblant d'être heureuse. De sa meilleure amie aussi faux-cul que conne. Elle inspira une dernière bouffée d'air, ses cheveux foncés voletaient dans l'air tels des papillons. Elle se releva, resta immobile un instant, un dernier regard vers le ciel. Elle finit par prendre son élan et sauter pour finir sa course trente mètres plus bas. Sur son visage pâle coulait un filet de sang. L'extinction d'une princesse.
 

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et ben! toujours aussi gay c'est bien, très bon style à lire, continue!:D
 

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Trop sombre ! :/
je sais pas, au dernier moment elle aurait pu se rendre compte de ce qu'elle perdait et reculer, nan ?:)
 

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Trop sombre ! :/
je sais pas, au dernier moment elle aurait pu se rendre compte de ce qu'elle perdait et reculer, nan ?:)

Non, ça ne colle pas avec mon style d'écriture.

Et puis j'aime pas quand ça se fini bien.
 

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Moi même

Je dois suivre tes pas un à un, sans me tromper, sans dépasser la ligne d'un millimètre, tu penses que ta vie est tellement vie, tu veux que le mienne sois pareille, tu ne m'as jamais demandé mon avis, tu n'as fait que me dire ce que je dois faire, jamais je n'ai pu prendre une décision. N'as tu donc jamais songé à demander mon avis? Non, ton égoïsme et ton orgueil te surpasse, je voudrais juste être moi même, je ne veux pas te ressembler. J'aimerais tant voler de mes propres ailes, mais toi, tu ne me donnes pas le choix. Tu penses être une bonne mère, tu penses être un exemple. J'ai eu beau te le dire, tout ce que j'ai eu en retour c'était une gifle. Tout ça me rend fou, je n'en peux plus, je craque. Mais tu ne la vois même pas alors que tout se passe devant tes yeux. Je ne peux plus soutenir ce fardeau. Adieu.

....Aux dernières nouvelles le jeune garçon qui s'est jeté sous le train était un adolescent d'environ 17 ans, il venait de fuguer quand....
 

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La vie est-elle si sombre ? Tout est toujours histoire de regard.
Mais le tien est incisif, corrosif et nous plonge dans les méandres de pires tourments.
Bravo pour le style, les idées, les récits. J'espère qu'ils te libèrent de tes propres tourments.
 

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Overdose

Tu te drogues, t'es cool, tel est la devise. On en prend un peu, ça ne fait pas de mal, tout le monde en parle. Ce n'est pas si mal après tout. Encore un peu, puis un peu plus, encore plus... troubles du sommeil, agressivité. Encore plus. Délires, insomnie, malaises. On ne s'arrête plus, encore, toujours plus, on entraînes des amis dans la valse avec la mort. On tente d'autre drogues, on sniffe, on fume, on s'injecte. Folie, paranoïa, agressivité, hystérie, fatigue, perte de réflexes, maladies. Encore et toujours, on n'est plus qu'une épave, ne vivant que de ça, on se ruine, on ruine sa famille, on ruine sa santé. Mais on ne peut s'arrêter, encore plus, trop....
Une overdose, la fin, la mort.
 

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je dois t'avouer que c'est pas mon style mais pourtant, j'accroche aux mots choisit et aux sentiments dégager. Je peux que te dire de continuer, même si les thèmes sont noires, ça donne une image de la vie que beaucoup se cache de leur champ de vision ;)

Bref continue ainsi, j'attends de voir la suite. l'inspiration vient avec l'imagination et le vécu ;)
 

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J'ai envie de dire que c'est bien ecrit, mais pour le dernier, je sais pas, on dirait que tu essayes de faire la morale ...:(
 
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