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Éloge de l'amour!
Ils étaient deux, nus dans ce lit tout bleu, ils se regardaient sans parler dans l'obscurité d'une nuit fraiche d'automne. La brise caressait les cheveux de ce petit metalleux tandis qu'il apaisait par ses soins les douleurs de ce troll amoureux. Deux corps nus et frêles, perdus dans cette chambre immense et belle. Que l'hymne à l'amour résonne pendant qu'un acte de désir s'actionne volontairement. Des coups de feu retentirent et un éclat sorti. Une tâche blanche qui à tout jamais restera gravée en signe d'amitié de ces deux amoureux. Symbolisant la paix et la liberté de sa couleur blanche, symbolisant la fraternité de sa substance gluante. Alors que le silence se rétablit et que la brise reprit son calme après une tempête de fureur déclenché par un désir si vif de ces deux jeunes hommes, la chambre n'en parut pas moins affectés de leur impudeur qu'à l'heure où encore, les colombes dansaient au milieu des fleurs. Ah quel belle nuit, dénuée de sens, pourvu de folies, rempli de coups et de fureur...ah mais quel matin douloureux. Une marche difficile pour des éraflures encore si présentes qu'une abime de douleurs s'éleva dans le calme permanent de leur chambre. Mais une sonnerie retenti. Alors que le troll tout usé de tout son corps par des folies répétés par l'usage d'un mariage trop vite consommé, mariage illégale et amoral jugé par une foule indolore et insensible, il se leva avec peine y voir l'aventurier matinale qui frappait. C'était le noble et grand Aigle qui vient punir les deux insolents pour leur trop grandes ambitions de fuir une retraite forcée et d'un coup de griffe leur ôta tout espoir qu'un jour ils puissent recommencer leurs pêchés charnelle si doux. Ah matin si douloureux...deux jeunes engins brisés par le destin.
Ils étaient deux, nus dans ce lit tout bleu, ils se regardaient sans parler dans l'obscurité d'une nuit fraiche d'automne. La brise caressait les cheveux de ce petit metalleux tandis qu'il apaisait par ses soins les douleurs de ce troll amoureux. Deux corps nus et frêles, perdus dans cette chambre immense et belle. Que l'hymne à l'amour résonne pendant qu'un acte de désir s'actionne volontairement. Des coups de feu retentirent et un éclat sorti. Une tâche blanche qui à tout jamais restera gravée en signe d'amitié de ces deux amoureux. Symbolisant la paix et la liberté de sa couleur blanche, symbolisant la fraternité de sa substance gluante. Alors que le silence se rétablit et que la brise reprit son calme après une tempête de fureur déclenché par un désir si vif de ces deux jeunes hommes, la chambre n'en parut pas moins affectés de leur impudeur qu'à l'heure où encore, les colombes dansaient au milieu des fleurs. Ah quel belle nuit, dénuée de sens, pourvu de folies, rempli de coups et de fureur...ah mais quel matin douloureux. Une marche difficile pour des éraflures encore si présentes qu'une abime de douleurs s'éleva dans le calme permanent de leur chambre. Mais une sonnerie retenti. Alors que le troll tout usé de tout son corps par des folies répétés par l'usage d'un mariage trop vite consommé, mariage illégale et amoral jugé par une foule indolore et insensible, il se leva avec peine y voir l'aventurier matinale qui frappait. C'était le noble et grand Aigle qui vient punir les deux insolents pour leur trop grandes ambitions de fuir une retraite forcée et d'un coup de griffe leur ôta tout espoir qu'un jour ils puissent recommencer leurs pêchés charnelle si doux. Ah matin si douloureux...deux jeunes engins brisés par le destin.
Ce poème s'adresse à Bachtel et Mylove qui y verront des messages suite à un trip sur IRC. Pour les autres essayaient si vous voulez de décrypter!
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