Écrits de Mini Vicieux

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DeletedUser331

Guest
Je poste également mon texte du concours que j'ajoute à ma bibliothèque :)

Le Seigneur Zowan, maître des terres d'Azurian, était un jeune homme d'une vingtaine d'années. Sa femme, Jyna, été convoitée par son demi-frère, Vork. À la mort de son père, Zowan avait reçu en héritage l'intégralité de la seigneurie tandis que Vork avait été chassé comme un vulgaire bandit. Depuis ce temps, une haine s'était placée dans le cœur de ces deux hommes. Quelques années plus tard après la mort de leur père, son demi-frère Vork tomba amoureux de Jyna. Zowan décida de se venger de cette haine que son frère nourrissait contre lui et décida de faire enlever cette charmante jeune femme. Après cela, il la força à s'unir avec lui. Vork ne pouvant plus maîtriser sa colère, dépêcha alors une armée pour détruire le château de son demi-frère. Mais Zowan s'était attendu à cette réaction et il tendit un piège aux hommes d'où aucun n'en sortit vivant.
Pendant plusieurs années, Vork attendit le moment de sa vengeance. Un jour, tandis qu'il revenait de la chasse, un messager l'accueillit et lui remit une lettre d'invitation à un tournois de joute équestre. Vork adorait ce jeu auquel il participait chaque année depuis son enfance. Il était un vrai expert. Il savait qu'il pourrait battre son frère mais la victoire ne lui suffisait pas.
« Serviteur, demande à mon commandant des armées de me rejoindre dans ma chambre immédiatement. »
La seigneurie de Vork n'était pas très grande et son château manquait de décoration. Ils avaient appartenu à un félon qu'il avait chassé de force dans un duel en remportant la victoire. Ce n'était pas une luxueuse demeure comme celle de son demi-frère à laquelle il rêvait tant.
Quelques minutes plus tard, le commandant des armées se présenta à sa porte en frappant trois coups distincts.
« Entrez ! »
Après avoir passé le pas de la porte, ils se saluèrent.
« Vous souhaitiez me voir, mon Seigneur ?
Oui je t'ai demandé car dans deux jours je pars pour le tournois de joute équestre. Cette fois-ci, tu ne m'accompagneras pas. Comme tu le sais, mon frère y sera également ainsi que Jyna. Je souhaite qu'en mon absence tu mènes une offensive sur la citadelle d'Azurian. Pendant ce temps, je récupérerais Jyna. As-tu des questions ?
De combien d'hommes disposerais-je ?
Tu les prend tous, je veux m'assurer d'une victoire totale. Son royaume devra finir en cendres ! Je ne prendrais qu'une petite escorte d'une trentaine d'hommes.
Bien mon Seigneur. Tel sera fait selon vos ordres. »
Deux jours plus tard, Vork partit en route du tournois. Ils y arrivèrent en une semaine après un voyage long et harassant. De loin, on pouvait distinguer une dizaine d’étendards différents. Actuellement, ses troupes étaient en route vers Azurian. Le tournoi débutait le lendemain et durait deux jours si tout se passait bien. Il arrivait souvent que des participants se blessent et à ce moment là son prochain combat était reporté. Au petit matin, Vork fit venir un serviteur.
« Remet ce mot là à Dame Jyna. Dit lui de ne pas boire le vin de son seigneur dans les prochains jours. Tu vas aller y verser ça. C'est un poison dangereux, évite tout contact avec et surtout ne te fait pas remarquer ! »
Tandis que son fidèle serviteur s'éloignait, quatre autres entrèrent dans la tente pour préparer leur seigneur au combat. Son premier duel était contre un petit seigneur des environs à qui on avait demandait de prendre quelques frais à sa charge pour bénéficier de la chance de pouvoir jouer. Les adversaires étaient face à face, armés d'une lance et protégés par une armure. C'était une occupation dangereuse et dure. Il fallait être bon cavalier et savoir parfaitement utiliser sa lance. Le heaume de protection réduit la visibilité. Les chevaux s'élancèrent. Le plus dur moment est celui-ci, quand le départ est annoncé. Vork contrôlait son cheval avec aisance car ce n'était pas la première fois que celui-ci participait à cette compétition. Celui de son adversaire était moins stable, il n'était de toute évidence pas expérimenté. La lance de son adversaire le percuta à l'épaule et glissa sur celle-ci qui fut parcourue de frissons durant un court instant. Sa lance à lui percuta le torse de son adversaire et l'envoya à terre, lui coupant le souffle plusieurs minutes. Il sortit de l'enclos, victorieux.
Il attendit son second duel, regardant son demi-frère. Celui-ci dû recourir à trois tours avant de faire tomber son adversaire. Douze seigneurs étaient présents. On ne pouvait faire au maximum que quatre duels. Lors du premier tour, il y avait six éliminés. Vint le second tour où il jouait contre un seigneur habile et fort. Il aurait bien plus de mal avec celui-ci. Le premier round ne donna aucun résultat pour les deux participants. Lors du deuxième, Vork faillit tomber mais se rattrapa de justesse. Au dernier et quatrième tour, il toucha son adversaire au bras. Blessé, celui-ci dû lâcher sa lance et déclarer forfait. Les deux autres qualifiés étaient un de ses cousins ainsi que son demi-frère. Les deux derniers combats se dérouleraient le lendemain. Le soir-même, il alla voir son cousin. Vork lui chuchota quelques mots à l'oreille :
« Laisse le gagner, il est pour moi. »
Au lendemain, le cousin de Vork déclara forfait, se plaignant d'une douleur au ventre. La finale arriva. Vork contre Zowan.
Le signal retentit, les chevaux s'élancèrent. La pression était énorme. Le poison qui avait été administré à son frère par le vin était un poison lent qui détruisait les organes principaux, à petit feu.
Celui-ci ne le gênerait sans doute pas dans ce duel mais il aurait une morte lente et douloureuse.
Il toussa pourtant et cela lui assura la défaite. Désorienté, il ne put mettre toute sa force dans sa lance. Celle-ci toucha tout de même son adversaire à l'abdomen tandis que lui du tenir bon pour rester à cheval. Il avait le souffle court après avoir été touché en dessous de la clavicule gauche.
Au second round, la lance adverse le toucha dans le plexus et l'envoya voler plusieurs mètres en arrière.
La compétition était finie, Vork était le vainqueur. La faiblesse de son adversaire agrandissait la vitesse de propagation du poison. Après les remises de récompenses, il alla dans la tente où était soigné son demi-frère.
« J'espère ne pas avoir frappé trop fort. Tu as perdu, je reprends ce qui m'appartient. »
Zowan avait perdu sa femme, son château, ses hommes et son honneur. Il mourra plusieurs mois après.
 

DeletedUser331

Guest
Ajout de mon texte de la battle Heul :

Les barbares du Nord ruinaient depuis plus d'un siècle les terres de France. Celles-ci étaient pillées, brûlées parfois. Les paysans avaient peur, ils se cachaient. Il suffisait d'un raid de ces guerriers pour que notre vie tourne au cauchemar.
Le Roi était excédé par les demandes d'aides de ces vassaux qui tentaient par tous les moyens d'imposer la paix sur leurs territoires. Mais malheureusement, les ennemis étaient trop puissants, trop nombreux et se multipliaient de jour en jour !
Le monarque dû ainsi faire appel à des forces étrangères en employant des mercenaires, des combattants d'autres pays. Mais la famine s'abattait et l'argent devenait rare. C'était une véritable catastrophe. Le pays serait déserté d'ici moins d'un an si les assauts continuaient, aussi répétitifs et sauvages. Les femmes étaient violées, les enfants tués et les têtes des hommes étaient plantées dans des pieux pour servir de décoration à la ferme dévastée.

Un jour, lors d'une journée très ensoleillée, un homme de dix-neuf ans se présenta au souverain du royaume. Il avait eu ouïe des malheurs de celui-ci et était venu apporter son aide. Il s'appelait Kal-El, était de grande taille par rapport aux paysans qu'il dépassait de plus d'une tête. Il mesurait 1m92 et pesait 112 kilos ce qui était exceptionnel ! Le roi n'avait jamais vu un guerrier aussi bien portant, grand et fort ! Cet homme avait une carrure imposante, était large d'épaules, les yeux bleus et les cheveux bruns. On pouvait voir distinguer les contours de ses muscles à travers sa fine armure. Il portait aussi une cape de couleur vert sombre et un chapeau. Il avait également un symbole sur le torse, deux épées qui se croisent avec un poing au dessus d'elles.

« Bonjour, je viens ici pour défendre le royaume contre les raids de brigands !
- Mais êtes-vous fou ?! Voulez-vous mourir ?!
- Messire, la seule chose dont j'ai besoin c'est que vous regroupiez une armée pendant que je les affaiblirais. Ayez confiance en moi.
Je reviendrais sain et sauf. »

Après l'avoir salué, Kal-El sortit dehors et se mit à courir vers le village le plus proche. Il allait pratiquement à la vitesse d'un cheval !
Hommes, femmes et enfants l'applaudirent à son passage, sa renommée commençait.

Le soir, il arriva près d'un campement de barbares, après avoir suivit les indications de quelques villageois. Cet homme voulait la paix et non la guerre. Il approcha en signe de paix et éleva la voix :

« Bonsoir messieurs ! Je me présente, je suis Kal-El, protecteur de ce royaume et je vous propose de vous rendre à sa majesté tant qu'il est encore temps !
- C'qui c'fou ? T'veux mourir ?, hurla le chef de campement.
- Je suis venu en paix pour vous faire une offre des plus équitables. Je ne veux de mal à personne.
- Mais c'est qui s'fout d'notre gueule ! T'vas voir toi, on va t'arracher les tripes ! Hommes, à vos armes ! »

Et ils foncèrent. Ils ne le savaient pas mais c'étaient eux les fous. Que pouvaient-ils faire ? Rien, ils n'avaient aucune chance.
Kal-El pris le premier, le chef, le retourna et le plaqua à terre. Un autre derrière l'attaqua avec son épée et il la prit dans sa main et n'en fit qu'un misérable tas de cendres. Ils n'étaient qu'une dizaine mais ne perdirent pas espoir. Deux lui sautèrent dessus mais il les repoussa. Grâce aux cordes qui se trouvaient dans le campement, il leur lia les mains et les déshabilla. Il récupéra aussi l'argent que ceux-ci avaient voler.

« Il ne vous reste plus qu'à marcher mes bons. Vous avez le choix : la fuite et la pauvreté ou alors vous rendre et tenter votre chance d'obtenir la clémence du peuple. Bonne chance ! »

Et il les salua avec son chapeau, à la façon qu'on salue une demoiselle.
Il devait dormir un peu, il en avait besoin. Alors il s'éloigna et se prépara un tas de bois. Après en avoir ramassé suffisamment, une source de lumière s'intensifia dans ses yeux et un rayon de feu en sortit. Le feu prit tout de suite. Il aurait chaud cette nuit.

Le lendemain, Kal-El partit à la recherche d'un second groupe de barbares. Il n'eut pas très longtemps à attendre. Il se trouvait sur une colline avec une vue sur un village en contrebas à deux ou trois kilomètres. Celui-ci était victime d'une attaque. Il courut et arriva sur les lieux en quelques minutes. Il découvrit tout d'abord un groupe de femmes attaquées par deux ou trois hommes qui tentaient de les souiller. Il se précipita à leur secours en empoignant les deux hommes par leurs vêtements et frappa la tête du premier contre celle du second. Ils profiteraient d'un moment de sommeil.

« Pour vous servir, mesdames, mesdemoiselles.
Attachez les et n'y allez pas de main morte. Ils ne doivent pas s'échapper, ce serait dommage après ce qu'ils allaient vous faire ... »

Et Kal-El reprit sa course. Aucun homme ne pouvait lui résister mais il n'avait pas pu sauver tout le monde et arriver à temps. Les enfants avaient été tués et les femmes pleuraient.

« Merci pour votre aide ! Nous vous sommes entièrement reconnaissantes !
- J'ai là quelques habits pour vous ainsi que de l'argent pour que vous puissiez refaire vos vies. Au revoir et bon courage ! »

Il s'éloigna, fit le tour de la maison, se prépara à courir lorsqu'une voix l'interrompit :

« Attends ! Comment t'appelles-tu ?
- Kal-El et toi ?
- Lana Lang. Merci pour nous avoir sauvé. »

La femme s'approcha de lui et posa un baiser sur sa joue.

« Reviens me voir ! »

Et elle disparut, aussi rapidement qu'elle était venue.
Abasourdi, je mis plusieurs minutes à revenir du 'choc'. Cette fille était une vraie beauté, je n'avais jamais vu une femme aussi belle.

Plusieurs jours passèrent et les sauvetages augmentèrent. Après plusieurs mois de combat et de recherche, Kal-El avait enfin réussi à ramener l'ordre et la paix sur les terres du souverain. Il se présenta alors à lui, désireux de lui parler.
On le fit entrer dans la salle du trône.

« Cher Kal-El, merci de tout coeur d'avoir sauvé mon peuple de cette misère. Je te suis reconnaissant.
- Ca a été avec grand plaisir mais je vous annonce mon départ. Maintenant qu'il n'y a plus de menace ... Je vais retourner chez moi. Bonne ...
- Oh j'aimerais bien mais je n'en suis pas certain. Vous nous avez remis beaucoup de barbares mais les nordiques en possèdent encore et n'hésiterons pas à nous les envoyer si vous disparaissez. Nous aimerions que vous les combattiez. De plus, je cru entendre que vous vous intéressiez à une de mon peuple. Comptez-vous la laisser ici ?
- C'est à dire ... Je ne peux pas vous aider, Majesté. Le chef des nordiques possèdent un artéfact trop puissant et je ne peux l'atteindre.
- Mais vous condamnez mon peuple à mourir ! Nous ne pouvons pas nous passer de votre aide maintenant.
- Très bien. J'irais dans deux jours alors mais il n'est pas impossible que je ne revienne pas. »

Kal-El laissa là le roi et se dirigea vers cette femme qui l'avait séduit, plusieurs mois auparavant. Depuis, ils s'étaient reparlés mais une frontière les séparer. Il n'était pas souvent là et ne pouvait pas à la fois la protéger et se battre.
Ils avaient rendez-vous dans la grange.

« Lana ... ? »

Elle lui sauta dans les bras et l'embrassa. C'était leur premier baiser.

« J'ai entendu dire que tu partais dans le nord pour vaincre nos ennemis ! C'est trop dangereux Kal-El !
- Je ne peux faire autrement, ton peuple a besoin de moi.
- Mais tu pourrais mourir !
- C'est en effet un risque que je prends. »

Ils continuèrent à parler toute la soirée. Deux jours plus tard, il était prêt pour partir. On lui proposa une monture mais il refusa :

« Je serais plus rapide à pied. »

Le chef des barbares tenait en sa possession un morceau de kryptonite verte. Lors des explosions de sa planète, cette dernière s'était mêlée aux météorites qui se sont abattues sur la terre.
Il ne savait pas encore comment il pourrait le tuer mais il avait déjà une petite idée ...
Le chef avait rassembler toute son armée dans un campement pour ne pas perdre des hommes inutilement.
Dès son arrivée, ceux-ci se précipitèrent sur lui et le chef activa la kryptonite. Kal-El était pour le moment trop loin. Il fallait qu'il entre dans son jeu.

« Bienvenue dans mon territoire stupide être. Je suis le général Zod ! Et tu vas mourir ! Mouahaha ! »

Ses hommes firent un cercle autour de Kal-El. Celui-ci ressentait déjà les effets de la pierre et dut mettre un genou à terre sous la douleur. Un premier ennemi s'approcha dans la tentative de lui donner un coup de pied. Le coup n'eu pas le temps d'arriver, déjà l'homme avait été expulsé de plusieurs mètres. Il souffrait de plus en plus mais put se charger des hommes du général. Ce dernier était en pleine hystérie.

« Tu ne peux rien contre moi ! Hahahahahaha ! Tu vas mourir ! Ton espèce n'a rien à faire sur ces terres ! Tu vas payer !! »

Il leva la kryptonite dans sa main droite dans les airs et j'eus mon occasion. Kal-El s'élança de toute mes forces pour la récupérer. La douleur s'intensifia mais il fit enfin lâcher la pierre à Zod. Le mal se calma mais il resta là. Son plan ne marchait pas comme prévu. La pierre n'était pas censé s'éteindre ? Il cria. Le général Zod se rapprocha de lui, savourant à l'avance sa victoire.

« J'ai gagné ... »

Kal-El le regarda alors dans les yeux et un rayon en sortit pour désintégrer la tête de ce mégalomane. La douleur s'estompa d'un seul coup. Il l'avait divisé en deux et en avait gardé un sur lui. C'était pour ça que son plan n'avait pas fonctionné. Maintenant, c'était finit.

Kal-El fouilla les environs du campement, dans les ruines et trouva une femme abandonnée et emprisonnée.

« Qui êtes-vous ?, demanda-t-elle d'une voix faible.
- Je suis Kal-El et je suis venu pour sauver votre peuple de ces barbares.
- Vous êtes venu me délivrer ?! Oh merci ! Merci !
- Comment vous appelez-vous ?
- Lois Lane. Où allons-nous ? »

Et c'est ainsi que Kal-El se retrouva avec deux femmes sur les bras. Laquelle choisir ?
 

DeletedUser331

Guest
Bonjour,

Ce matin j'étais inspiré et j'ai commencé un nouveau début de livre, l'autre ne me satisfaisait pas.
Par contre, c'est dans un style différent :)

La pluie tombait dru sur Quenir, petite ville littorale. Un brouillard épais empêchait les villageois de voir devant eux. Les sorties étaient rares, les rues désertes. Un lourd silence planait. Il faisait sombre.
Puis, un mouvement. Sur les quais, ce qui semblait être un homme, se déplaçait rapidement en direction d'une silhouette, à peine visible. Elle était là, près d'un conteneur, se tenait debout, avec une posture ferme. Quand l'autre individu s'approcha, elle s'adressa à lui :

« As-tu trouvé ce que tu cherchais ?
- L'humain ne semble pas ici, maître.
- Très bien, nous allons passer à la ville suivante alors. Rassemble-les et préparez-vous à vous mettre en route immédiatement.
- Maître, ils ont faim.
- Vous ne pouvez pas vous empêcher de manger au mauvais moment ! Il n'en est pas question ! Vous … »


Il fut interrompu par un autre homme qui s'approchait, une torche à la main.

« Empêche-les ! Personne ne doit savoir que nous sommes ici ! », s'écria-il.

Mais il était trop tard … Tandis que l'individu continuait de s'approcher, deux bêtes, toutes biscornues, lui sautèrent dessus. La première lui arracha la moitié de son cou, le tuant sur le champ.
La second l'atteignit quand il était déjà à terre, se vidant de son sang. Elle s'occupa du reste du corps, le torse, le ventre et les jambes. En près de cinq minutes, il ne restait plus que les os.
L'homme qui avait crié à voix basse s'était figé lorsqu'elles avaient commencé le travail. Peu à peu, il reprit ses esprits, revenant à lui comme s'il était revenu de la mort elle-même. Il avait le teint livide, pâle. Il avala sa salive avec beaucoup de discrétion, par peur de se faire surprendre. Au bout d'une nouvelle minute, il prit de nouveau la parole.

« Comment crois-tu que les habitants de cette ville vont réagir à la disparition d'un des leurs ? Ils essayeront de trouver une excuse valable, mais, derrière ça, ceux que nous cherchons vont s'y intéresser ! Ils pourront faire le rapprochement ! J'ai été nommé pour vous diriger et si vous voulez que cette mission arrive à son terme, vous devez m'obéir ! »

Il se tourna ensuite vers les deux créatures. Elles continuaient, inlassablement, à sucer et lécher les os restants. Elles étaient loin d'être rassasié et une proie supplémentaire n'aurait pas été de refus.

« Faîtes-moi disparaître ses restes et lavait moi le sol, il ne doit rester aucune trace ! »

Elles levèrent la tête et plantèrent le regard dans ses yeux. Il y lut une envie de meurtre, une envie de le manger. Il ne pouvait rien y faire et supporta ce regard abominable.
Elles réagirent enfin, après ce qui semblait une éternité et elles finirent de lécher le sang qui avait dégouliné sur le sol. Puis, elles ramassèrent les os, les cassèrent en petits morceaux avec une force incroyable et les jetèrent à l'eau. Les poissons finiraient le travail ...
 
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DeletedUser

Guest
Bonjour,

Ce matin j'étais inspiré et j'ai commencé un nouveau début de livre, l'autre ne me satisfaisait pas.
Par contre, c'est dans un style différent :)

La pluie tombait à drue sur Quenir, petite ville littorale. Un brouillard épais empêchait les villageois de voir devant eux. Les sorties étaient rares, les rues désertes. Un lourd silence planait. Il faisait sombre.
Puis, un mouvement. Sur les quais, ce qui semblait être un homme, se déplaçait rapidement en direction d'une silhouette, à peine visible. Elle était là, près d'un conteneur, se tenait debout, avec une posture ferme. Quand l'autre individu s'approcha, elle s'adressa à lui :

« As-tu trouvé ce que tu cherchais ?
L'humain ne semble pas ici, maître.
Très bien, nous allons passer à la ville suivante alors. Rassemble-les et préparez-vous à vous mettre en route immédiatement.
Maître, ils ont faim.
Vous ne pouvez pas vous empêcher de manger au mauvais moment ! Il n'en est pas question ! Vous … »


Il fut interrompu par un autre homme qui s'approchait, une torche à la main.

« Empêche-les ! Personne ne doit savoir que nous sommes ici ! », s'écria-il.

Mais il était trop tard … Tandis que l'individu continuait de s'approcher, deux bêtes, toutes biscornues, lui sautèrent dessus. La première lui arracha la moitié de son cou, le tuant sur le champ.
La second l'atteignit quand il était déjà à terre, se vidant de son sang. Elle s'occupant du reste du corps, le torse, le ventre et les jambes. En près de cinq minutes, il ne restait plus que les os.
L'homme qui avait crié à voix basse s'était figé lorsqu'elles avaient commencé le travail. Peu à peu, il reprit ses esprits, revenant à lui comme s'il était revenu de la mort elle-même. Il avait le teint livide, pâle. Il avala sa salive avec beaucoup de discrétion, par peur de se faire surprendre. Au bout d'une nouvelle minute, il prit de nouveau la parole.

« Comment crois-tu que les habitants de cette ville vont réagir à la disparition d'un des leur ? Ils essayeront de trouver une excuse valable, mais, derrière ça, ceux que nous cherchons vont s'y intéresser ! Ils pourront faire le rapprochement ! J'ai été nommé pour vous diriger et si vous voulez que cette mission arrive à son terme, vous devez m'obéir ! »

Il se tourna ensuite vers les deux créatures. Elles continuaient, inlassablement, à sucer et lécher les os restants. Elles étaient loin d'être rassasié et une proie supplémentaire n'aurait pas été de refus.

« Faîtes-moi disparaître ses restes et lavait moi le sol, il ne doit rester aucune trace ! »

Elles levèrent la tête et plantèrent le regard dans ses yeux. Il y lut une envie de meurtre, une envie de le manger. Il ne pouvait rien y faire et supporta ce regard abominable.
Elles réagirent enfin, après ce qui semblait une éternité et elles finirent de lécher le sol qui avait dégouliné sur le sol. Puis, elles ramassèrent les os, les cassèrent en petits morceaux avec une force incroyable et les jetèrent à l'eau. Les poissons finiraient le travail ...

Salut, voila se que j'ai penser de ton texte :

"Il y lut une envie de meurtre, une envie de le manger."
Tu aurai dû arranger ta phrase autrement, genre :"Il y lut une envie de meurtre, une envie de le dechiqueter tellement qu'ils avaient faim !"
Bon, c'est pas le meilleur exemple, mais c'est toi qui decide en même temp :D

"et elles finirent de lécher le sol qui avait dégouliné sur le sol."
Comment le sol pourait-il degouliner sur lui même ?

Comme le mien (de texte) c'est un peu cours, mais perso moi sa me derrange pas.
Bon, en tous cas sa ne ma pas empêcher de prendre plaisir a lire donc bravo :)
 

DeletedUser331

Guest
Salut, voila se que j'ai penser de ton texte :

"Il y lut une envie de meurtre, une envie de le manger."
Tu aurai dû arranger ta phrase autrement, genre :"Il y lut une envie de meurtre, une envie de le dechiqueter tellement qu'ils avaient faim !"
Bon, c'est pas le meilleur exemple, mais c'est toi qui decide en même temp :D

Hum en effet c'est moi qui décide :D
Non, je préfère garder tel que c'est actuellement :)

"et elles finirent de lécher le sol qui avait dégouliné sur le sol."
Comment le sol pourait-il degouliner sur lui même ?

Comme le mien (de texte) c'est un peu cours, mais perso moi sa me derrange pas.
Bon, en tous cas sa ne ma pas empêcher de prendre plaisir a lire donc bravo :)

Je parlais du sang :eek: Je rectifie ça ^^

Comme le mien (de texte) c'est un peu cours, mais perso moi sa me derrange pas.
Bon, en tous cas sa ne ma pas empêcher de prendre plaisir a lire donc bravo :)

C'est une introduction :D
 

DeletedUser

Guest
Moi aussi c'est une intro mais j'ai bien aimer ton texte.

Ps : Que pense tu de ma nouvelle signe ?
 

DeletedUser

Guest
Je me suis arrêté à la première phrase, choqué : " La pluie tombait à drue sur Quenir [...] "
 

DeletedUser

Guest
Y a des fautes un peu bêtes qui sont semées à grand vent dans le texte. Relis-toi.

La lecture est sympa, j'aime pas trop les dialogues, la séparation entre les interlocuteurs n'est pas nette (au niveau de la forme).

Durant l'écriture de la suite, creuse un peu tes personnages, qu'ils soient plus profonds.


Prometteur.
Continue :D
 

DeletedUser331

Guest
Y a des fautes un peu bêtes qui sont semées à grand vent dans le texte. Relis-toi.

La lecture est sympa, j'aime pas trop les dialogues, la séparation entre les interlocuteurs n'est pas nette (au niveau de la forme).

J'ai rectifié les quelques fautes que j'ai vu. Au niveau des dialogues, le copier/coller d'open office a foiré car les tirets ne sont pas revenus. Du coup c'est clair que ça faisait de suite, un peu brouillard.

Durant l'écriture de la suite, creuse un peu tes personnages, qu'ils soient plus profonds.

Je suis resté dans le flou exprès, de sorte que je pourrais les approfondir peu à peu.
C'est une introduction, il ne faut pas l'oublier :D
 

DeletedUser19116

Guest
:eek: Mais c'est horriblement violent !
Au fait, t'es aussi sur grepolis, gandalf le rouge ?
 

DeletedUser331

Guest
Chuuuut :eek:

Oui ... :x

Je ne répondrais pas à cette question totalement déplacée :confused:
 

DeletedUser

Guest
Bijour !
Bon j'ai lu depuis un moment mais maintenant j'attends la suite alors je commente un peu :)

- Alors déjà je pense que tu mets trop de virgules à certains endroits ! Les détails c'est bien mais quelques allusions suffisent parfois^^
Par exemple ici :"Elle était là, près d'un conteneur, se tenait debout, avec une posture ferme."

- "Très bien, nous allons passer à la ville suivante alors. Rassemble-les et préparez-vous à vous mettre en route immédiatement."
Ici je pense que ça ne fait pas assez Dominant-dominé (bin oui il l'appelle Maitre) donc utilises un peu plus l'impératif, pourquoi pas quelques jurons, etc

- "une envie de le manger."
Je trouve ça un peu maladroit, il sent que la bete le dévore du regard, l'animal se pourlèche les babines, il s'imagine dévoré vivant... Bref plein d'autres possibilités, donne-nous des images chocs :)

- "elles finirent de lécher le sang qui avait dégouliné sur le sol."
Et bin voilà ! Tu peux rajouter ici qu'elles lui jettent toujours le même regard, elle pense surement à lui en faisant cela, ou quelque chose comme ça ;)

- Sinon l'individu qui se fait bouffer tout cru, c'est qui exactement stp ?^^ Parce que quelqu'un qui se promène de nuit, seul sur les quais d'un petit village perdu, avec une torche et qui voit pas que quelque chose se trame dans le coin, bin c'est louche lol

- Pour la scène du "diner", peut-etre que tu pourrais mettre plus de détails sanglants ! Craquement des os, dents, sang dégoulinant...

Voilà voilà ! A toi de voir et bonne chance pour la suite. Je marque que des mauvaises critiques, m'en veux pas mais autant que je dise des critiques constructives :')
En attendant la suite, NameriF
 

DeletedUser331

Guest
J'y retoucherais ce weekend si je peux en tenant compte des commentaires :)

Merci ! :p

Voilà la V2 :

La pluie tombait dru sur Quenir, petite ville littorale. Un brouillard épais empêchait les villageois de voir devant eux. Les sorties étaient rares, les rues désertes. Un lourd silence planait. Il faisait sombre.
Puis, un mouvement. Sur les quais, ce qui semblait être un homme, se déplaçait rapidement en direction d'une silhouette, à peine visible. Elle était là, près d'un conteneur, se tenait debout avec une posture ferme. Quand l'autre individu s'approcha, elle s'adressa à lui :

« As-tu trouvé ce que nous cherchons ?
- L'humain ne semble pas ici, maître. »

Cette voix, nasillarde, était tout sauf humaine. De loin, on aurait pu prendre ça pour des cliquetis tellement la réponse avait été chuchotée et aigüe.
L'homme tressaillit au son de celle-ci mais continua comme si de rien n'était.

- Encore un échec ! Passons à la ville suivante immédiatement alors. Rassemble-les et préparez-vous pour vous mettre en route immédiatement !
- Maître, ils ont faim.
- Vous ne pouvez pas vous empêcher de manger ! Il n'en est pas question ! Vous … »

Un autre homme sortit de la brume. Il était gros, gras, comme à peu près tous les gens du coin.
Il portait à la main une torche, éclairant faiblement les environs, un béret noir, des souliers de cuir ainsi qu'une veste grise à boutons.
Son allure était timide, il était terrifié. Des perles de sueur coulées le long de ses grosses joues et de son nez plat. Sa bouche était pâteuse, ses mains moites et ses genoux tremblotaient. D'une voix faible il murmura :

« Qui … Qui êtes-vous ? Je suis le … le maire de cette ville et j'exige … »

Il fut interrompu par le cri de l'autre homme.

« Empêche-les ! Personne ne doit savoir que nous sommes ici ! », s'écria-il.

Mais il était trop tard … Tandis que l'individu continuait de s'approcher, torche brandie, deux bêtes, toutes biscornues, lui sautèrent dessus. Le malheureux n'eut pas le temps de se sauver ni de crier pour demande de l'aide. La première lui planta ses griffes dans le torse et dans le dos et plongea la tête vers sa gorge. Elle lui arracha la moitié du cou dans un craquement horrible des os. Le sang effusa à toute vitesse.
La second l'atteignit dans sa chute. Celle-ci commença le festin par les membres inférieurs de l'homme. En quelques minutes, ce qui était un être humain n'était désormais plus qu'un ensemble d'os.
L'homme qui avait crié à voix basse s'était figé lorsqu'elles avaient commencé le travail. Peu à peu, il reprit ses esprits, revenant à lui comme s'il était revenu de la mort elle-même. Il avait le teint livide, pâle. Il avala sa salive avec beaucoup de discrétion, par peur de se faire surprendre. Au bout d'une nouvelle minute, il prit de nouveau la parole, d'une voix acerbe.

« Comment crois-tu que les habitants de cette ville vont réagir à la disparition d'un des leur ? Ils essayeront de trouver une excuse valable, mais, derrière ça, ceux que nous cherchons vont s'y intéresser ! Ils pourraient faire le rapprochement ! J'ai été nommé pour vous diriger et si vous voulez que cette mission arrive à son terme, vous devez m'obéir ! »

Il se tourna ensuite vers les deux créatures. Celles-ci réagirent en même temps et le fixèrent tout en continuant, inlassablement, à sucer et lécher les os restants. Elles possédaient des dents de près de cinq centimètres. Leur mâchoire était un vrai bordel tellement leurs dents partaient dans tous les sens. Elles étaient loin d'être rassasiées et une proie supplémentaire n'aurait pas été de refus.

« Faîtes-moi disparaître ses restes et lavez moi le sol, il ne doit rester aucune trace ! »

Elles lui jetèrent un regard noir. Il y lut une envie de meurtre et cru qu'il servirait pour le prochain repas. Il ne put supporter ce regard abominable et détourna les yeux, effrayé et dégouté.
Elles finirent de lécher le sang qui avait dégouliné sur le sol. Puis, elles ramassèrent les os, les cassèrent en petits morceaux avec une force incroyable et les jetèrent à l'eau. Les poissons finiraient le travail …
 
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DeletedUser331

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L'anglais. N'existe-il pas de cours plus ennuyant que celui où un professeur reste assit durant une heure entière sur sa chaise, à varier entre cours dicté, exercices sur fiche que l'on nous donne ou encore interrogation surprise de cinq minutes, silence complet dans la salle, histoire de bien commencer la journée ?
Déjà que je suis un piètre élève en langues alors si en plus on m'assigne une vieille femme, toute ridée, qui parle comme si elle s'adressait à un mur …
Heureusement, j'avais la fenêtre. Comment mieux occuper son temps qu'en regardant la nature au dehors, rêvant des oiseaux qui volent, qui sifflent, des animaux libres de tout mouvement, qui peuvent aller là où ils veulent, sans prise de tête.
Le hic là-dedans, c'est l'homme. Ce n'est plus de la liberté pour les animaux mais de la survie. Aimeriez-vous être en perpétuel besoin de trouver de la nourriture alors que celle-ci est quasi-inexistante car l'homme a massacré la forêt tout autour, ou bien en perpétuel danger, manquant à tout instant de vous faire écraser ?
J'ai dans mon quartier un écureuil qui s'abrite tant qu'il le peut dans ce qu'il reste de la faune et la flore qu'il y avait avant, avant l'intrusion de l'homme. N'est-ce pas un acte condamnable d'avoir tué, volontairement ou indirectement, des milliers d'animaux, d'espèces végétales ? Le pire, c'est l'extinction de celles-ci. On condamne des hommes à la prison car ils auraient ôté la vie d'un des leurs. Mais en quoi la vie d'un homme riche est-elle plus importante que celle d'un vulgaire rat ?
Heureusement, j'avais ma voisine. Comment ne pas être le plus heureux des hommes lorsque l'on tombe amoureux ? N'est-il pas merveilleux de ressentir les sentiments les plus profonds du monde ?
Le hic là-dedans c'est quand l'amour n'est pas réciproque.et que l'on voit cette fille tous les jours, en pensant qu'elle aurait pu être l'élue de notre cœur mais qu'en un mot, un regard, elle a réduit tous nos espoirs à néant. N'est-ce pas terrible de voir que tous les efforts du monde ne suffisent pas à faire pencher la balance en notre faveur ? Cette jeune femme, si fragile, seule, préférait repousser toutes formes d'amours que je pouvais éprouver, d'un revers de la main, comme si tout cela n'était qu'illusion.
Pourtant, mon cœur souffre, je pleure soirs et nuits pour ce qui aurait pu être la plus belle aventure de ma vie. Et cette douleur n'est-elle pas réelle ?
L'oublier, cela n'aurait-il pas été plus juste pour soulager la tristesse qui s'était emparée de moi ? J'aurais tout donné pour pouvoir caresser sa peau si douce, embrasser ses lèvres si pulpeuses, passer ma main dans ses cheveux si doux.
Je souffre, je m'éteins, je me meurs dans ce monde cruel et injuste.
 

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Joli texte. Y a pas forcément de structure, ni même de transition entre le passage sur la faune et celui sur la jeune fille donc ça fait un peu "brouillon". Mais d'un côté, des "réflexions sur la vie", on en a tous, en cours, dans le bus, à vélo, en s'endormant etc. et perso j'aime les écrire comme elles viennent, donc forcément, le rendu fait brouillon, mais c'est ce qui donne ce petit côté "réflexion au fin fond de mon esprit" au texte.

Ça me rappelle également un peu mes dissertations de philo en terminale.. Jamais aucune structure, plan ou cheminement logique.. Juste mes pensées qui s'étalaient sur la copie au fil des pages.

Sinon, je pense qu'en continuant sur ta lancée concernant la faune & flore, y a moyen de faire nue réflexion philosophique sympa là dessus, pas forcément très poussée mais rien qu'un début.
J'ai bien aimé le sens dans lequel ça partait. :flower:
 

DeletedUser

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Intéressant :) J'aime bien l'idée de ce texte... Les pensées qui vagabondent, sans forme donc mais avec un fond bien présent !
Quelques fautes d'orthographe mais bon vu que ça a apparement était fait dans l'instant, c'est pardonnable ^^

A part ça tu as utilisé deux fois "Le hic là-dedans", peut-être faudrait-il en remplacer un ;)
Tu parles du rat comme un "vulgaire" animal, n'est-ce pas là le dénigrer et le mettre ainsi en dessous de l'homme ?
Et la transition du rat à la femme qui pourrait surement être modifiée lol

Je ne sais pas quoi dire d'autre donc ça sera tout !
Ah si j'attends toujours la suite de ta nouvelle... Et tes commentaires sur mes textes aussi :p
 

DeletedUser

Guest
" J'ai dans mon quartier un écureuil qui s'abrite tant qu'il le peut dans ce qu'il reste de la faune et la flore qu'il y avait avant, avant l'intrusion de l'homme. "

Effectivement, l'écureuil s'abrite dans la faune :x
Des images assez dégueulasses se structurent déjà dans mon esprit o_o


Pas mal de faufautes, mais bon, " c'est moins pire " qu'il y a quelques temps. Continue dans ce sens et n'hésite pas à te relire après avoir écris et avant de poster ^^'

Pour ce qui est de tes soucis d'amour, je peux t'apprendre à draguer :cool:

Bonne continuation, mon abeille d'amour <3
 

DeletedUser331

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A part ça tu as utilisé deux fois "Le hic là-dedans", peut-être faudrait-il en remplacer un ;)
Tu parles du rat comme un "vulgaire" animal, n'est-ce pas là le dénigrer et le mettre ainsi en dessous de l'homme ?
Et la transition du rat à la femme qui pourrait surement être modifiée lol

Je ne sais pas quoi dire d'autre donc ça sera tout !
Ah si j'attends toujours la suite de ta nouvelle... Et tes commentaires sur mes textes aussi :p

Alors pour l'histoire du "Le hic là-dedans" c'était fait exprès =)
J'ai repris deux fois deux structures identiques.

Après j'utilise l'expression "vulgaire rat" justement pour insister sur le terme qui s'oppose avec un "homme riche" ;)

Pour ce qui est de tes textes, je vais essayer de m'occuper de ça dans la semaine, désolé je suis un peu surchargé.

Effectivement, l'écureuil s'abrite dans la faune :x
Des images assez dégueulasses se structurent déjà dans mon esprit o_o

Pour ce qui est de tes soucis d'amour, je peux t'apprendre à draguer :cool:

Pour la faune, exact, j'aurais du reformuler mais voilà tu as compris l'idée x)
Sinon pour mes "soucis d'amour" ... Le problème est plus complexe :rofl:
 
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