LL + hé HOp + LLMN VS -EVOE- + ~EVOE-+I-B

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DeletedUser9509

Guest
Encore un hors sujet... je ne juge pas ta déclaration de guerre... je réfléchis tout haut sur cette guerre : Cette déclaration de guerre n'est elle pas un fake ? Pour nous faire regarder ailleurs ? Cela leur permet de mettre leur stratégie en place tout en ébranlant les LL au passage tout en sachant que certains parlent de delete, etc.

Je me pose des questions et toi tu me parles de taupe, de traitrise, que j'ai changé de tribu etc. mais tout ceci est hors sujet avec ma réflexion ^^

Bien sur. alors comme tes potes respire..relis ton/tes posts mais bien et revient après bien sur et poste bien ta réponse franco bien sur va y. encore et encore et encore.
 

DeletedUser

Guest
??????
Je suis consternée...
OP fake = OP leurre = OP destinée à tromper l'ennemi
Trop bizarre effectivement, je ne veux pas contrarier si tu dis que sur teopointix c'était une opé fake mais quand même Teopointix a reçu plus de 150 millions de points def sur une "opé fake", et pour ça il faut tuer bien plus que 1000 off complètes.

[...]
Il y a quelque chose qui me chiffonne et je vais vous donner mon analyse [..]
Désolée mais pour moi, cela ne colle pas... il y a autre chose... il y a anguille sous roche... [...]
Cette déclaration de guerre n'est elle pas un fake ? [...]
Franchement, il y a quelque chose de louche...
Trop bizarre effectivement, je ne veux pas contrarier mais quand même les IB déclarent une guerre et prennent des villages, pas sur qu'ils fassent semblant non plus

... En fait je crois que c'est le terme de fake qui t'induit en erreur (d'où peut etre aussi une impression de manipulation)

PS: ou alors juste "blablablablabla"
 
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DeletedUser8332

Guest
Moi aussi je vous aime :p

Vous savez mes gens la frontière entre la haine et l'amour est vraiment très très mince... je ne serais pas étonnée de savoir que vous rêviez de moi la nuit, votre fixation sur ma pauvre petite personne devient très troublante hihi
 

DeletedUser

Guest
je ne serais pas étonnée de savoir que vous rêviez de moi la nuit
je répondrais: "ou pas"

Par ailleurs si je condamne le parcours de jeu (forcément), je sais que l'on reste dans un jeu et les turpitudes d'Evelyn dans le jeu ne sont pas forcément les actes qu'aurait eut Evelyne irl (ce serait inquiétant), et il est heureux que le jeu permette d'aller au delà de ce que l'irl invite raisonnablement à faire au quotidien. Cependant il ne faut pas s'emporter, pour ma part, je n'ai nulle haine mais bon, mes rêves ont bien d'autres sujets, et si j'en crois wikipedia à propos de l'amour ("sentiment [...] qui pousse ceux qui le ressentent à rechercher une proximité physique, spirituelle ou même imaginaire avec l'objet de cet amour ") ce stade n'est pas atteint non plus :D
 

DeletedUser7397

Guest
Peut etre, mais a defaut de pouvoir extrapoler sur un sujet simple, je me permettrais cette reflexion.

donc voila:

L'HUMANITÉ ENTRE L'UNIVERSEL ET LA DIFFÉRENCE:

Thèse 1: L'humanité, c'est à la fois ce qui nous fait voir combien nous sommes semblables, et ce qui nous permet d'être différent. Ce qui la menace aujourd'hui, c'est l'accélération planétaire des échanges qui nous oblige à être tous pareils, et ce sont les haines raciales ou religieuses qui nous incarcèrent dans nos différences. C'est pourquoi nous ne pouvons plus nous reconnaître dans l'alternative entre: 1) Les tenants de l'universel, qui pensent que l'humanité est une, mais qui reportent cette unité sur l'échelle évolutionniste d'un développement où toutes les sociétés tendent vers le même état. 2) Les tenants d'un relativisme culturel, qui estiment que les différentes cultures sont incommensurables, et qu'elles doivent être protégées les unes des autres, fût-ce en incarcérant les populations. Peut-on dépasser cette alternative, inventer un nouveau rapport à l'universel, et découvrir d'autres formes du respect des différences?

Thèse 2: Ce problème n'est pas précisément nouveau, et le texte biblique contient à la fois une tradition universaliste où le pacte électif de Dieu avec tous ceux qui veulent y souscrire s'établit dans la fidélité à une Loi, et une tradition plus communautariste où l'alliance inconditionnelle de Dieu avec les Pères donne à une descendance la bénédiction d'une promesse. Et les lettres de Paul portent cette tension à l'incandescence, en portant l'universel singulier à un point inouï (ni homme ni femme, ni juif ni grec). Mais en tous cas, si nous voulons rendre à Dieu ce qui n'appartient pas à César, ni à un quelconque clergé religieux, ni médiatique, ni scientifique, nous devons accepter que les humains soient à l'image et à l'effigie d'un Dieu dont nous ne pouvons nous fair d'image. Cette absence proteste inlassablement contre tout Humanisme qui saurait ce qu'est l'"humanité", contre toute anthropologie positive, naturelle ou culturelle, qui prétendrait avoir enfin qualifié le propre de l'humain, et qui pourrait dès lors se débarasser du reste.

Thèse 3: L'humanité est fondée sur un "droit de naissance à continuer d'exister", qui dissocie l'humain du citoyen et vise une humanité "sans qualité": une humanité simplement universelle et vulnérable. Mais l'humanitarisme fondé sur ce "droit de naissance" apparaît comme exactement contemporain du totalitarisme, en tant qu'il est fondé sur une sorte de "crime de naissance". Il faut penser l'ensemble du piège totalitaire dont nous ne sommes pas sûrement sortis, et qui joue sur une alternative terrifiante. D'une part nous avons une conception bouchère de la filiation, où le fait d'être né est déjà un crime, et que l'on trouve depuis le racisme et l'ethnicisme les plus féroces jusqu'aux nationalismes les plus admis dans leur gestion des peuplements et leur manière d'incarcérer les personnes dans une identité-prison. D'autre part nous avons un humain sans qualité, sans racine, sans identité propre, superflu à la société et donc remodelable à partir de zéro, et ce projet traverse conjointement l'histoire récente des stalinismes comme celle des capitalismes.

LE PROBLÈME DE L'HUMANITÉ ET LE RACISME

Thèse 4: La planète est en train de se hérisser de nationalismes, qui transgressent quelques frontières, mais en font surgir beaucoup d'autres, au moment même où l'on croyait les frontières dépassées. Peut–être que l'écroulement du monde communiste, en laissant le capitalisme mondial comme seul champion de l'"universalisme", a marqué un retour de balancier qui entraîne dans sa déroute toute forme d'universalisme. L'humanité, semble–t–il, ne rêve plus vers son unité future; elle songe à sa diversité passée, et prise d'effroi voudrait s'y replier. Peut-être que les guerres "balkaniques" que nous voyons resurgir sur les vieilles cicatrices de l'histoire sont moins dues à la permanence des vieux conflits qu'à l'actualité et l'accélération de l'érosion des vieilles identités et cultures par le marché et ses brassages, et que les guerres sont des machines anthropologiques à refaire de la différence, là où les humains n'en sentent plus assez. Ne serait-il possible de sentir autrement et de faire autrement ces différences?

Thèse 5: Dans quelle mesure la civilisation désormais planétaire qui développe sa rationalité technique et ses échanges est–elle une chance ou une menace pour une diversité des cultures qui était peut–être constitutive à l'égard de la civilisation elle-même? Toute culture vit d'échange, mais si jusqu'à un certain point l'échange permet de créer de nouvelles combinaisons culturelles, et augmente donc les différences, il y a un seuil au–delà duquel l'échange finit par se nourrir des différences, et par les supprimer. En ce sens la crise actuelle apparaît comme plus grave, plus radicale, et beaucoup plus révélatrice de la condition anthropologique que l'ancien conflit entre capitalisme et communisme. Il faut remarquer que pendant des millénaires l'échange, au–delà de son utilité économique, avait pour fonction de définir l'appartenance à une sphère d'identité. Aujourd'hui, la logique de l'échange qui prévaut fait que les humains ne peuvent plus s'identifier par leurs échanges. L'utilitarisme économique y trouve peut–être son compte, mais pas tout ce que l'économie des formes de travail et de vie, de répartition et de consommation, comporte et véhicule de symbolique. C'est pourquoi tout le poids du besoin identitaire se porte sur le national, sur l'ethnique, sur le religieux, bref sur tout ce qui ne s'échange pas.

Thèse 6: Dans un tel contexte, le combat contre le racisme, la xénophobie et les fanatismes rencontre d'énormes difficultés. Ce n'est plus seulement parce que la pression démographique rassemble sur des territoires trop proches des populations inégales (ou qui se considèrent telles) si les haines collectives se déchaînent. C'est parce que l'accélération des communications rétrécit l'espace et exacerbe ces sentiments d'inégalité, et notre impuissance c'est que toute intervention humanitaire accélère ce rétrécissement. De l'autre côté l'humanitarisme semble nous intéresser davantage aux malheurs des autres quand ils sont lointains que lorsqu'ils se passent devant chez nous. Et puis le problème de la télé-compassion est de devoir présenter corporellement le malheur au risque du sensationnel, alors que l'action durable doit chercher l'équité plus générale d'institutions aptes à créer un véritable espace public international. Enfin nous avons tendance à ne pouvoir considérer que des malheureux passifs, souffrants, et jamais des malheureux agissants, éventuellement un peu coupables mais capables aussi de se prendre en main. Comment articuler à la fois la nécessaire protection des plus vulnérables et le souhaitable équilibre des droits et des devoirs, chacun ne pouvant réclamer sa part de droits qu'en consentant à sa part des charges communes? Faut-il cesser de mesurer l'une par l'autre? Mais par quelle mesure commune le ferions-nous?

LA CONFRONTATION DES UNIVERSAUX INTERROGÉS

Thèse 7: On peut partir du constat qu'il n'y a pas un pôle d'universalité unique, mais une pluralité d'universaux en concurrence. Dans toute grande ville aujourd'hui, par exemple, il y a une pluralité de "villes invisibles" dont chacune cherche à se réaliser. La ville réelle la plus dense en convivialité des universaux serait celle dont les configurations et les réseaux seraient susceptibles d'accueillir une pluralité d'interprétations, tant simultanées (de la part des différents types et styles d'acteurs urbains) que successives (les générations ultérieures devant pouvoir réinterpréter autrement des espaces néanmoins durables). Or aujourd'hui les individus solitaires et désafiliés recherchent leur "tribu" en oubliant leurs villes respectives, en oubliant les universaux urbains véhiculés par leur propre culture. Ce qui empêche de voir cette pluralité des universaux, c'est la peur de les confronter, c'est la peur de la guerre civile, c'est la peur d'une cité entièrement divisée.

Thèse 8: Le résultat de cette peur, c'est qu'en fait les singularités des cultures ne sont pas le moins du monde menacées, mais que leurs universaux s'étiolent. Car d'un côté les différences inconvertibles survivront et se renforceront, précisément parce qu'elles sont intraduisibles. De l'autre côté tout ce qui peut être converti à l'universel marché, à Disneyworld, accèdera à cette universalité-là. Mais ce qu'il y a de visée universelle, ce qu'il y a de teneur vraiment universelle dans chaque culture, ses universaux, voilà ce qui disparaît. Pour honorer la confrontation des universaux, dont nous savons qu'elle est ce qu'il y a de plus difficile, pour faire de cette confrontation le fondement même de la cité, nous devons renoncer simultanément à nous approprier l'universalité, et accepter qu'il n'y ait que des universaux en contextes. Il nous faut remettre au centre l'interrogation sur l'universalité. Nous n'avons pas d'accés de plain-pied à l'universel, comme le croient trop aisément nos cosmopolites des droits de l'homme, de la démocratie ou du libéralisme. Nous n'y avons pas accès autrement que dans un long débat, à peine ébauché, entre ces "universaux en contexte". C'est une erreur de croire que l'on puisse accéder à l'universel en reniant la différence des manières de formuler l'universel, de l'interpréter, d'en être traversé. La question alors n'est plus de laisser tomber ses particularités pour entrer dans l'universel échange, ni de savoir comment conserver ses particularités et les protéger de l'érosion, mais de savoir à quelles conditions chaque culture peut-elle être confrontée aux autres dans sa prétention universelle elle-même.

Thèse 9: Dans cette confrontation, les vieilles religions, et plus généralement les vieilles cultures, ont un avantage, c'est qu'elles savent, d'un savoir intime et non pas théorique, que leurs universaux restent métaphoriques, et qu'il n'y a d'accès à l'universalité qu'au travers des métaphores propres à une tradition, à une langue, à une culture, à une histoire, à un contexte. Les "cultes" sont la mise en scène du noyau de leurs "cultures", de leurs scénarios fondamentaux, qui sont généralement inaccessibles à notre bonne conscience et à notre bienséance culturelle. Et ces cultes, dans leur visée universelle même, témoignent que nos universaux sont toujours encore régionaux. Seule une longue conversation entre les cultures permettrait d'établir, prudemment, les écarts et les correspondances entre ces "universaux en contexte". Il faudrait qu'elles aient incorporé le sentiment d'être un témoignage parmi d'autres et qui sait s'effacer devant d'autres témoignages, pour les entendre à leur tour. Or il faut avouer que la rencontre des cultures se fait difficilement par ce qu'elles ont chacune de plus universel, car la confrontation des universaux est toujours ce qu'il y a de plus dur, et nécessite de longues et complexes médiations. Honneur aux institutions internationales, et d'abord aux formes d'urbanité, qui oseront entrer dans ce travail.

LA CONNIVENCE DES CRÉATIONS SINGULIÈRES

Thèse 10: On peut aussi partir d'un autre point de vue, affirmant qu'une certaine surdité réciproque des cultures est vitale à chacune si elles ne veulent pas se perdre dans le bruit de la communication généralisée. Car à la différence du temps cumulatif du progrès technique et rationnel, le temps des cultures est discontinu et non cumulatif, c'est celui de la re-création qui commence par être doublement sourde, parce qu'elle veut revenir à ses propres sources, à ce qu'il y a en elle d'enfance, et parce qu'en réouvrant intrépidement ses traditions, elle risque une rupture, une création qui brise l'image avantageuse qu'une culture voudrait garder d'elle-même. La créativité d'une culture, au-delà de sa capacité de résistance ou d'absorption des obligations liées aux échanges planétaires, tient donc à sa capacité non à répéter le passé, mais de "s'y enraciner pour inventer". Comment se moderniser et retourner aux sources? Comment réveiller une vieille culture endormie, et entrer dans la civilisation universelle? C'est le défi lancé à toutes les cultures écrasées. Une des figures les plus prometteuses de ce défi réside dans les couples mixtes, bi-religieux, bi-lingues, bi-nationaux: mais à quelles conditions ce mariage des cultures ne produit-il pas des "mulets", des enfants culturellement stériles? A quelles conditions un enfant issu d'un tel métissage peut-il vraiment être religieusement et culturellement "bilingue"? A quelles conditions peut-il rouvrir autrement les traditions croisées dont il est issu?

Thèse 11: La fidélité à ses racines consiste à rouvrir les "vieux livres" des noyaux créateurs des cultures, noyaux à partir duquel diversement nous interprétons la vie. C'est dans la structure de ces noyaux éthiques et mythiques que réside l'énigme de la diversité humaine, puisque la condition humaine nous apparaît telle que l'humanité a pris dans ces figures historiques particulières que sont les cultures. Or il existe une véritable connivence entre ce qu'il y a de plus vivant dans les cultures des uns et des autres. On vérifie cette connivence jusque dans les religions, car l'élargissement surgira par exemple pour nous en creusant le fait que les textes bibliques participent de l'intérieur à toutes les cultures encore actuelles du Proche-Orient et de la Méditerranée. C'est dans la profondeur de la foi ou de la création artistique, ici très proches, c'est là où l'attestation est la plus vive et la plus créatrice de différence et de singularité, que l'on peut éprouver la plus étonnante proximité avec ce qu'il y a de vivant et de créatif dans la foi ou dans la créativité des autres. La question alors n'est plus de laisser tomber ses particularités pour entrer dans l'universel échange, ni de savoir comment conserver ses particularités et les protéger de l'érosion, mais de savoir à quelles conditions les cultures peuvent-elles être créatrices.

Thèse 12: Car il existe une connivence de création singulière à création singulière. Les cultures en effet ne sont pas condamnées à répéter indéfiniment leur tradition ou à s'anuller dans l'échange, elles ne vivent qu'en les recréant, qu'en créant à leur tour. De création à création, il existe une sorte de consonnance, en l'absence de tout accord. C'est très net avec les créations poétiques, musicales, ou plastiques. Comment le jazz ou le flamenco, en creusant vers les sources de leur traditionalité la plus singulière, entrent-ils ainsi en résonnance de manière universelle ou en tout cas de manière universellement communicative? Nous devons supposer en tout humain l'aptitude à recréer en soi les singularités humaines rencontrées. Et même si nous ne pouvons pas tout recréer, s'il y a des créations perdues pour nous, et même s'il est nécessaire qu'il en soit ainsi si nous voulons nous-mêmes pouvoir continuer à créer, loin de cracher sur ces belles vies possibles, nous pouvons saluer de loin leur simple existence, leur désirer d'exister.

Une éthique de l'humanité comme proximité et comme universalité

Thèse 13: La première orientation éthique que nous pouvons tirer des thèses précédentes est que nous ne rencontrons la singularité des autres qu'à travers notre capacité métaphorique à en recréer et à en éprouver les joies et les douleurs. Car cette capacité métaphorique à nous rapprocher nous donne le courage de sentir ce que nous ne sentons pas du premier coup: que d'autres souffrent. Ce n'est pas une fiction: il existe d'autres êtres humains, peut-être très loins de nous, et nous pouvons sentir leur proximité en dépit de l'irrémédiable distance qui nous en sépare. Si le langage, dans cet état d'émergence où il entre en métaphore avec celui des autres, ne nous donnait pas à sentir ce que d'autres humains peuvent sentir, nous ne sentirions jamais qu'à notre tour, de près ou même de loin, nous pouvons leur faire mal, ou leur communiquer nos bonheurs. Sans cette connivence, cette correspondance humaine, nous nous anesthésirions, nous mutilerions nos sensations, et nous imposerions aux autres cette mutilation, cette impuissance à l'humanité.

Thèse 14: La seconde orientation est que si nous n'avons d'accès à l'universalité et à l'humanité que par le biais d'une confrontation d'universaux dont nous savons qu'ils sont encore métaphoriques, ces métaphores de l'universel permetttent de voir et de faire voir le semblable là où l'on ne voyait plus que des différences ou une identité abstraite. Dans la pénombre de l'inhumanité de notre monde, nous pouvons renoncer à y discerner quoi que ce soit d'humain; mais en nous habituant à cette obscurité, qui est bien celle de la condition humaine, nous pouvons voir l'identique dans l'altérité, dans les différences où l'humanité semble se disperser. Or cette ressemblance, nous ne la voyons que parce que nous renonçons à mettre la main sur l'humanité même. Comme s'il y avait un reste, l'absence d'une humanité plus vaste et plus intime, plus universelle et plus singulière, et qui reste en nous comme un désir.

Qu'en pensez vous?
 

DeletedUser8332

Guest
Très intéressant Hitch... cela donne matière à réfléchir... mais je me permettrai de surrenchérir à savoir qu'il faut prendre en compte les principes du jeu de rôle.

Dans le cadre de cette analyse, et afin de permettre de saisir pleinement les situations observées il me paraît primordial de procéder à une présentation des principes de jeu qui fondent le jeu de rôle. Vous trouverez ci-dessous une description synthétique de ce qu'est un jeu de rôle ainsi que des explications plus détaillées sur les différentes particularités de ce type de jeux.

Le jeu de rôle est un jeu de société dans lequel les joueurs incarnent des personnages qui vivent une aventure. Une autre personne, le meneur de jeu, arbitre et anime la partie. Le jeu de rôle est avant tout basé sur le dialogue entre le meneur de jeu et les joueurs. Le meneur de jeu décrit une situation à ses joueurs et ceux ci font réagir leurs personnages en fonction de cette situation. Il n'y a pas de gagnants ou de perdants au sens propre du terme dans un jeu de rôle. En effet le but pour les joueurs est de réussir à résoudre l'énigme proposé par le meneur de jeu, celui ci ayant pour but de mettre en scène (du mieux que possible) le déroulement de l'aventure.

Le jeu de rôle est avant tout un jeu de société. En effet il n'est pas possible d'y jouer seul, il faut être au minimum deux. Le nombre idéal de participants étant situé entre 4 et 8. Si le jeu de rôle ne peut se jouer qu'au moins à deux c'est parce qu'il existe deux types d'acteurs dans un jeu de rôle :
Le(s) joueur(s) : chaque joueur incarne un personnage. Ce personnage est défini suivant des caractéristiques telles que sa force, son intelligence etc. L'ensemble de ces caractéristiques est notée sur une feuille de personnage et permet de définir l'individualité de celui ci.

Le Meneur de Jeu (MJ) : c'est à la fois l'arbitre, l'allié et l'opposant des autres joueurs. Son but est de proposer et de mettre en scène une aventure intéressante. Il incarne tous les personnages que seront amenés à rencontrer les joueurs, il fournit les descriptions des lieux dans lesquels les joueurs évoluent, règle les conflits .
Le jeu de rôle est avant tout un jeu de dialogue. Ce sont les interactions entre le(s) joueur(s) et le meneur de jeu qui permettent de faire évoluer les situations.

C'est pourtant simple, non ?
 
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DeletedUser7397

Guest
Je veux bien concevoir ce chemin de reflexion,mais n'oublions pas qu' historiquement parlant, ces faits ont déja été plus ou moins vécus lors du célèbre passage historique de la ligue bretonne

Je prendrais pour cela en reference Hervé Le Goff qui tout à la fois relève le défi d’une vaste synthèse des événements de la décennie ligueuse en Bretagne et affirme l’ambition d’un point de vue éclairant de manière renouvelée les enjeux de cette dernière. Soit la richesse d’une monographie, précise et érudite, alliée à la dimension critique d’une thèse replaçant les péripéties factuelles et la reconstitution narrative des guerres bretonnes de la Ligue dans une perspective d’histoire internationale examinée au prisme de la rivalité anglo-espagnole. Cet élargissement géopolitique du cadre d’analyse rend ainsi justice, en termes de fécondité heuristique, à la voie qu’avait ouverte en 1925 le commandant Binet en s’intéressant à « Une question de crédits interalliés au xvie siècle. L’intervention anglaise en Bretagne pendant la ligue (1591-1595) » (Bulletin philologique et historique du Comité des travaux historiques, Paris, Imprimerie nationale, Ernest Leroux, p. 87-133). Une approche d’ordre diplomatique qui n’avait alors rencontré qu’une indifférence générale. Indifférence dont le caractère erroné s’est progressivement révélé jusqu’à éclater dans le livre d’H. Le Goff qui propose donc bien plus qu’une révision salutaire de nos lieux communs sur cette histoire quitte à employer trop hasardeusement le concept « huntingtonien » de « choc des civilisations ».

Bien davantage qu’à partir des décisions arrêtées à Nantes et à Rennes ou encore depuis la cour itinérante d’Henri IV, c’est à partir de celles prises à Londres et à Madrid que doivent être compris les événements de cette décennie bouleversée. En redonnant à la Bretagne sa dimension géostratégique essentielle dans le conflit dressant l’une contre l’autre l’Espagne et l’Angleterre, l’auteur propose une histoire des guerres de religion dont la clef de compréhension peut jouer pour d’autres régions disputées par des souverainetés rivales sans prétendre pour autant affranchir le duché d’une histoire religieuse et idéologique commune au reste du royaume (une illusion historiographique qu’il dénonce en quelques lignes alertes). Outre la publication de nombreux documents probatoires inédits (plus de cent pièces provenant en grande partie des ressources archivistiques anglaises), c’est cette richesse d’approche qui explique le caractère volumineux de l’ouvrage dominé cependant grâce à un plan chronologique efficace restituant « derrière une apparente confusion […] la cohérence des événements, la logique des politiques suivies et celles des stratégies mises en œuvre » (p. 39). Divisé en seulement cinq chapitres, le développement dissipe, en effet, l’impression de confusion qu’a retenue classiquement l’historiographie de cette période non pas en survolant cependant son propos – on est frappé au contraire par la précision des détails rapportés –, mais en faisant le choix d’un point de vue surplombant, celui donc de la qualification géostratégique de la province dans le conflit opposant Philippe II à Elisabeth Ière.

Le récit débute en 1588 avec un portrait nuancé du duc de Mercœur permettant à H. Le Goff de revenir sur son image fausse de « champion d’une Bretagne autonome voire indépendante » (p. 67) offerte au romantisme breton par la propagande henricienne. Il s’achève sur le contexte des négociations du traité d’Angers dix ans plus tard. Dans le premier chapitre sont passés en revue les différents acteurs locaux du conflit et la construction du développement mobilise des portraits particuliers et des analyses de groupe pour s’achever sur la description et l’analyse des soulèvements des « communes ». Ce changement d’échelle ménage habilement la transition avec le chapitre suivant centré sur l’internationalisation du conflit commencée en octobre 1590 avec l’intervention espagnole et poursuivie, en mai 1591, avec l’engagement d’Elisabeth Ière instruite de longue date, avec le cas irlandais, de l’importance de la Bretagne comme zone de refuge de ses ennemis catholiques et foyer de nouvelles menaces contre le homeland. Cette considération stratégique faisant de la Bretagne la première ligne de défense de l’île explique les hésitations des chefs du camp royal dans lequel le prince de Dombes souhaitait poursuivre le duc de Mercœur dans la province quand son allié, le général anglais Norreys, ne cachait pas son hostilité à s’éloigner des côtes et à laisser la Basse-Bretagne aux Espagnols retranchés au Blavet. Quand les adversaires et partisans français d’Henri IV avaient une conception terrienne du conflit, la « guerre de Bretagne sera d’abord, pour les Espagnols et les Anglais, une guerre des îles, des presqu’îles et des ports » (p. 185). De là découlent hésitations des manœuvres et sentiment d’incohérence stratégique. Après l’étude de la victoire ligueuse de Craon en mai 1592 et de ses conséquences, les chapitres 3 et 4 poursuivent le récit des péripéties militaires tout en faisant état des négociations en jeu tant au niveau régional qu’à l’échelle du royaume et à celle des relations internationales aboutissant au départ des Anglais en février 1595, à la soumission de Mercœur et au rembarquement des Espagnols en mars et septembre 1598. Un dernier chapitre examine les conséquences d’un tel conflit. Après avoir dressé plusieurs portraits de capitaines et d’aventuriers qui l’ont traversé – dont celui du tristement célèbre La Fontenelle –, c’est son impact démographique, économique, religieux, social mais aussi urbain, judiciaire et politique dans la province qu’H. Le Goff tente alors de saisir.

Rappelant dans sa conclusion le contresens d’un « isolement breton », l’auteur achève son propos en montrant que ce qui était vrai dans le domaine culturel et économique le devenait davantage encore dans le domaine géostratégique, marqué par l’exacerbation de la rivalité anglo-espagnole, au point, écrit-il même, « que le sort de l’Europe en a dépendu

Donc je me pose la question.Sommes nous en train de revivre la triste histoire de la ligue Bretonne?....
 

DeletedUser8332

Guest
Est ce qu'on revit la triste histoire de la ligue Bretonne ? Pourquoi employer le terme "triste" ?

La Ligue Bretonne de Football Gaélique a été créée pour apporter un élan supplémentaire au developpement du football gaélique en Bretagne. Chargée de promouvoir ce fantastique sport irlandais, à fort caractère celte, et d'en organiser le développement, elle entend devenir un acteur sportif et culturel majeur en Bretagne, pour que celle-ci devienne une région pilote dans le developpement du football gaélique.

Les projets de la Ligue Bretonne sont nombreux comme :
- Doubler le nombre de clubs par département en ciblant les grandes agglomérations bretonnes et les pôles universitaires.
- Lancer l'équipe de Bretagne sénior masculine du Championnat européen, mettre en place à court terme des équipes de Bretagne féminines et universitaires.
- Engager des relations avec l'Irlande autour d'échanges sportifs et culturels.
- Structurer le Championnat de Bretagne en terme de communication et de matériel.
- Soutenir l'enseignement du football gaélique dans les établissements scolaires en accompagnant les projets de formation et d'équipement de matériel de football gaélique dans les établissements scolaires.

Donc je ne comprends pas vraiment que tu parles de "triste histoire" mon très cher Hitch ^^
 

DeletedUser20332

Guest
Slt les looser

pas le temps de lire ,les pavé son trop gros .........
soyez concis , résumez vos pensées que l'on ne passe pas 2 heures a lire .mieux insulté vous en sms voir face a face

une remarque : pathetique la blonde remettre en cause de irl a cause d'un jeu .tu es petit tellement petit ...
 

DeletedUser

Guest
Bonjour à tous
je viens pour ainsi dire écrire très rarement sur le forum officiel
mais quand je vois ce ramassis d'insultes et autres
il y a un moment ou il faut arrêter
et ce moment est arrivé
Nous sommes sur un jeu et nous devons nous respecter en tant que joueurs
même s'il y a eu comme beaucoup le pense trahison, coup de poignard dans le dos
ou manque à sa parole
Dans mon prochain message dominical à la triade
j'insisterais sur le fait que l'on doit rester fair-play
et je vous conseille de faire la même chose dans vos tribus

Bon dimanche à tous
Newwine
 

DeletedUser21846

Guest
Treizn Tu viens dire a certain de ne pas juger , de respecter les IB etc alors que votre façon de nous avoir déclarer la guerre est une énorme insulte à la triade. Vous n'avez pas le droit à notre respect

Et tu assumes quoi exactement ? Si tu assumais t'es actes on verrait dans tes postes des mots tel que trahison , confiance , respect de l'adversaire . Au moins jean des EVOE assume d'être haineux

Ont dit que c'est qu'un jeu mais vu les liens qu'avaient Irl ou sur d'autres mondes passé certains IB ( pas des moindre ^^ ) et LL/hé hop ça me me dégoute de voir mes amis blesser et trahi...

Alors tu nous demande de pas pleurer de faire face etc , pfff mais t'es vraimenjt immonde car ton seul but était de nous mettre plus bas que terre.
 

DeletedUser

Guest
Puis il le fait avec la manière il dit ouvertement qu'il nous la mit c'est beau quelques droiture tu m'impressionne XIII !
 

DeletedUser1426

Guest
Sinon pour le reste pas de frustration, pas de dégout, il s'agit d'une déclaration de guerre a un allié dans un jeu de guerre. Donc on y va, on avance, on fera au mieux pour vous faire honneur dans notre secteur..

Je reste dans ma ligne de conduite tout simplement

XIIIZE

ah ben on avance un petit peu
 

DeletedUser

Guest
Ce monde est toujours aussi passionnant, c'est comme les feux de l'amour, on revient 3 mois après c'est toujours aussi peu intéressant.

A combattre sans respect, vous triompherez sans gloire.
 

DeletedUser19258

Guest
salut, jex....petite question!
tu parles de qui la?
de tes sois disant alliés de l époque qui t ont laissé mourir sans aide?
de la triade qui t a fais quitter ce monde avant l heure?
des ib qui preparent les troupes et des que celles ci sont opés, déclarent la guerre, et envoient les nobles 5 minutes apres la declaration...?


pour finir ,
si le monde 2 est intéressant!!!

apres, je comprends, ton point de vu!
le monde 2 n était peut être pas intéressant pour toi,
car au final , tu n avais simplement pas le niveau de celui ci!
 
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DeletedUser1426

Guest
Ce monde est toujours aussi passionnant, c'est comme les feux de l'amour, on revient 3 mois après c'est toujours aussi peu intéressant.

A combattre sans respect, vous triompherez sans gloire.



tient un fourbe peut en cacher un autre
 
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DeletedUser21846

Guest
Ce monde est toujours aussi passionnant, c'est comme les feux de l'amour, on revient 3 mois après c'est toujours aussi peu intéressant.

A combattre sans respect, vous triompherez sans gloire.

Mouai faudrait pas non plus qu'on passe pour les méchant et les irrespectueux de l'histoire

Les paroles sont une chose , la colère en est une autre.

Les actes est les faits sont là quand même et aucune parole ne pourra les changer . Et vu que apparemment les coups les plus misérables sont permis dans ce jeu , qu'il n'y a pas de "règles" ni de code d'honneur selon certains ont verra jusqu'ou les protagoniste seront prêt a s'abaisser pour détruire l'autre.
 

DeletedUser

Guest
salut, jex....petite question!
tu parles de qui la?
de tes sois disant alliés de l époque qui t ont laissé mourir sans aide?
de la triade qui t a fais quitter ce monde avant l heure?


apres,
le monde 2 n était peut être pas intéressant pour toi, car tu n avais pas le niveau, non?

Voilà, c'est bien ce que disais merci pour la confirmation. T'ai-je manqué de respect je ne crois pas.

Fourbe ? Encore cette histoire des hé hop attaqué par les AVA ? Oui j'assume, quand un soit disant allié ne joue pas le jeu on se retourne contre lui, c'est tout à fait normal.

Pas le niveau ? Je suis parti bien avant de perdre des villages, je ne suis pas mort (y a personne qui meurt ici c'est un jeu ....), juste parti, je n'ai pas voulu jouer en tant que LSDC. Je ne pense pas que les LL m'aient noblé beaucoup de villages lorsque j'étais sur le compte.

Mais tu as entièrement raison, vu que vous êtes beaucoup plus forts, le mieux c'est de rester entre vous, effectivement.

Bon jeu à tous.
Très cordialement
 

DeletedUser

Guest
30/08/12, 22:44 : Petit Flashback,sur ce même topic, du XIII dans le texte:

Hello Jextraodinaire,

Tu ne me connais pas, mais moi je te connais. Non pas au travers d'affrontements sur GT (forme), mais plutôt sur le (fond).. Pour avoir lus et vus plusieurs de tes interventions (mp) et (profil) sur le monde 2, je te trouve irrespectueux, sans sens de l'honneur, stratégie du plus offrant, avec un potentiel de retournement de veste au delà des 180°C et sans états d'âmes.

j'irai donc pas plus loin au niveau des autres commentaires, mais concernant le mien je dirais go sur ton monde 9 en harponner le plus et laisse ce monde loin, loin, loin derrière

X13Z

Méditez sur ces belles paroles...

XIII

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