DeletedUser
Guest
vous l'avez attendu avec impatience, le voici!
j'ai enfin réussi à me motiver en voyant toutes les personnes qui apprécient mes textes ^^
La troupe marcha vers le sud pendant deux jours. Elle arriva à un village où les maisons hors des fortifications étaient détruites. Le chef leur apprit qu'ils devaient défendre le village, qui était régulièrement attaqué par un village voisin.
Les troupes prirent position au niveau des portes, après avoir appris par les villageois l'heure habituelle d'attaque. Une attaque était prévue pour dans moins d'une heure. L'attente fut longue et angoissante. Guarda marchait le long de la muraille, les nerfs à vif, scrutant l'horizon. Au bout d'un long moment, elle aperçut un nuage de poussière au loin. Elle sonna immédiatement l'alerte.
Les troupes prirent position derrière les murs. Sur les remparts, les archers aiguisaient leurs flèches en attendant l'arrivée des adversaires. Guarda était impatiente d'en découdre. La taille du nuage de poussière, maintenant qu'il était clairement distinguable, laissait imaginer une armée adverse d'un millier d'hommes, mais rien de vraiment sur.
Enfin, la troupe ennemie put être comptée : il y avait dix béliers, une centaine de cavaliers et environ cinq cent soldats d'infanterie. Le combat serait facile.
Lorsque les archers ouvrirent le feu, la troupe adverse se dispersa. Malgré ceci, les victimes furent nombreuses, tant chez les cavaliers que chez l'infanterie. Les béliers, protégés par une escouade d'hommes avec des grands boucliers pour contrer la pluie de flèches, échappèrent à la pluie mortelle.
Ils parvinrent donc rapidement au niveau de la muraille qui fut détruite. Immédiatement, la cavalerie adverse s'engouffra dans les diverses brèches créées. Ils furent immédiatement accueillis par les soldats trop peu riches pour s'acheter une arme et qui donc se battaient encore avec leur fourche ou leur faux de leur vie d'antan.
Une fois les cavaliers exterminés, les soldats à la faux et la fourche se retirèrent pour laisser place aux hommes à la hache et l'épée qui eurent à affronter l'infanterie adverse déjà bien affaiblie par les archers, et n'étaient désormais composés que de quatre cent soldats dont un bon nombre de blessés.
Une fois encore, ce fut un massacre. Les adversaires étaient tués sitôt qu'ils pénétraient dans les brèches. Massacrer les béliers et leur escorte ne fut pas non plus un problème. La victoire était écrasante. Seuls cinq hommes furent tués et dix blessés dans la troupe à Guarda, contre environ sept cent victimes.
Lorsque Guarda reçut sa prime, elle fut surprise de la quantité d'argent dont disposait un village pourtant petit. Sitôt l'argent reçu et distribué, la troupe se remit en marche. Elle arriva près d'un deuxième village au bout de seulement quelques heures. Le chef apprit à la troupe que les hommes qu'ils avaient tués venaient de ce village et qu'ils devaient maintenant tuer les derniers soldats en garnison.
Une petite troupe d'infiltration, composée de Guarda et d'une dizaine d'autres hommes, étaient chargés de rentrer divisés en deux groupes, un par entrée. Une fois dedans, ils se réuniraient au milieu afin de tenter de sécuriser l'entrée Nord pour que la troupe puisse entrer sans encombres dans le village et finir le travail.
Guarda pénétra dans le village par l'entrée Nord. Un rapide coup d'œil lui permit de voir quatre gardes. Le village semblait dégarni : le combat serait court et sans difficultés. Son groupe rejoint sans difficultés l'autre groupe, ensemble ils sécurisèrent la porte, tuant les quatre gardes par surprise. Un membre du commando devait partir avertir la troupe de la réussite de la mission, pendant que les autres s'assuraient que personne n'arrive.
Malheureusement pour Guarda et les autres membres de la troupe restés sur place, il y avait non pas quatre mais cinq gardes, et le cinquième revint avec une troupe d'une centaine d'hommes. Le commando n'avait plus qu'à espérer pouvoir tenir jusqu'à l'arrivée des renforts.
La petite troupe se plaça en demi-cercle, le dos vers la porte, et se prépara à résister. Les épéistes adverses étaient peu entrainés, tandis que le commando était composé de soldats choisis parmi les meilleurs. Les deux premières lignes d'épéistes furent fauchés avant d'avoir pu lever leurs épées, puis le combat commença réellement.
Le but était de survivre, pas de tuer toute la troupe adverse. Guarda avait un camarade sur chacun de ses flancs, il lui était donc impossible d'esquiver. Elle se résigna donc à parer les attaques de son épée.
La fatigue commençait à se faire sentir. Les muscles de la jeune héroïne
commençaient à lui faire mal. Elle sentait qu'elle ne tarderait pas à faillir lorsqu'elle vit une faux passer à ras de sa tête pour se planter dans la tête de son adversaire. Comprenant que c'était les renforts, elle tua un adversaire avant de partir se reposer.
Quelques minutes après, le combat était terminé, et la troupe n'avait subi aucune pertes. L'argent gagné pour cette double mission fut utilisé en priorité pour acheter des lances, épées et haches de bataille de qualité convenable. Guarda décida d'économiser pour pouvoir s'acheter une arme de maître lors de son prochain passage dans une ville possédant des forgerons réputés.
Stationnant dans une ville afin de se réapprovisionner en nourriture et d'acheter des armes, la troupe s'agrandit d'un millier de nouveaux soldats. Leur entraînement fut moins approfondi que le précédant, la troupe ne prévoyant pas de stationner plus d'un mois.
j'ai enfin réussi à me motiver en voyant toutes les personnes qui apprécient mes textes ^^
Chapitre 7 :
retour au combat
retour au combat
La troupe marcha vers le sud pendant deux jours. Elle arriva à un village où les maisons hors des fortifications étaient détruites. Le chef leur apprit qu'ils devaient défendre le village, qui était régulièrement attaqué par un village voisin.
Les troupes prirent position au niveau des portes, après avoir appris par les villageois l'heure habituelle d'attaque. Une attaque était prévue pour dans moins d'une heure. L'attente fut longue et angoissante. Guarda marchait le long de la muraille, les nerfs à vif, scrutant l'horizon. Au bout d'un long moment, elle aperçut un nuage de poussière au loin. Elle sonna immédiatement l'alerte.
Les troupes prirent position derrière les murs. Sur les remparts, les archers aiguisaient leurs flèches en attendant l'arrivée des adversaires. Guarda était impatiente d'en découdre. La taille du nuage de poussière, maintenant qu'il était clairement distinguable, laissait imaginer une armée adverse d'un millier d'hommes, mais rien de vraiment sur.
Enfin, la troupe ennemie put être comptée : il y avait dix béliers, une centaine de cavaliers et environ cinq cent soldats d'infanterie. Le combat serait facile.
Lorsque les archers ouvrirent le feu, la troupe adverse se dispersa. Malgré ceci, les victimes furent nombreuses, tant chez les cavaliers que chez l'infanterie. Les béliers, protégés par une escouade d'hommes avec des grands boucliers pour contrer la pluie de flèches, échappèrent à la pluie mortelle.
Ils parvinrent donc rapidement au niveau de la muraille qui fut détruite. Immédiatement, la cavalerie adverse s'engouffra dans les diverses brèches créées. Ils furent immédiatement accueillis par les soldats trop peu riches pour s'acheter une arme et qui donc se battaient encore avec leur fourche ou leur faux de leur vie d'antan.
Une fois les cavaliers exterminés, les soldats à la faux et la fourche se retirèrent pour laisser place aux hommes à la hache et l'épée qui eurent à affronter l'infanterie adverse déjà bien affaiblie par les archers, et n'étaient désormais composés que de quatre cent soldats dont un bon nombre de blessés.
Une fois encore, ce fut un massacre. Les adversaires étaient tués sitôt qu'ils pénétraient dans les brèches. Massacrer les béliers et leur escorte ne fut pas non plus un problème. La victoire était écrasante. Seuls cinq hommes furent tués et dix blessés dans la troupe à Guarda, contre environ sept cent victimes.
Lorsque Guarda reçut sa prime, elle fut surprise de la quantité d'argent dont disposait un village pourtant petit. Sitôt l'argent reçu et distribué, la troupe se remit en marche. Elle arriva près d'un deuxième village au bout de seulement quelques heures. Le chef apprit à la troupe que les hommes qu'ils avaient tués venaient de ce village et qu'ils devaient maintenant tuer les derniers soldats en garnison.
Une petite troupe d'infiltration, composée de Guarda et d'une dizaine d'autres hommes, étaient chargés de rentrer divisés en deux groupes, un par entrée. Une fois dedans, ils se réuniraient au milieu afin de tenter de sécuriser l'entrée Nord pour que la troupe puisse entrer sans encombres dans le village et finir le travail.
Guarda pénétra dans le village par l'entrée Nord. Un rapide coup d'œil lui permit de voir quatre gardes. Le village semblait dégarni : le combat serait court et sans difficultés. Son groupe rejoint sans difficultés l'autre groupe, ensemble ils sécurisèrent la porte, tuant les quatre gardes par surprise. Un membre du commando devait partir avertir la troupe de la réussite de la mission, pendant que les autres s'assuraient que personne n'arrive.
Malheureusement pour Guarda et les autres membres de la troupe restés sur place, il y avait non pas quatre mais cinq gardes, et le cinquième revint avec une troupe d'une centaine d'hommes. Le commando n'avait plus qu'à espérer pouvoir tenir jusqu'à l'arrivée des renforts.
La petite troupe se plaça en demi-cercle, le dos vers la porte, et se prépara à résister. Les épéistes adverses étaient peu entrainés, tandis que le commando était composé de soldats choisis parmi les meilleurs. Les deux premières lignes d'épéistes furent fauchés avant d'avoir pu lever leurs épées, puis le combat commença réellement.
Le but était de survivre, pas de tuer toute la troupe adverse. Guarda avait un camarade sur chacun de ses flancs, il lui était donc impossible d'esquiver. Elle se résigna donc à parer les attaques de son épée.
La fatigue commençait à se faire sentir. Les muscles de la jeune héroïne
commençaient à lui faire mal. Elle sentait qu'elle ne tarderait pas à faillir lorsqu'elle vit une faux passer à ras de sa tête pour se planter dans la tête de son adversaire. Comprenant que c'était les renforts, elle tua un adversaire avant de partir se reposer.
Quelques minutes après, le combat était terminé, et la troupe n'avait subi aucune pertes. L'argent gagné pour cette double mission fut utilisé en priorité pour acheter des lances, épées et haches de bataille de qualité convenable. Guarda décida d'économiser pour pouvoir s'acheter une arme de maître lors de son prochain passage dans une ville possédant des forgerons réputés.
Stationnant dans une ville afin de se réapprovisionner en nourriture et d'acheter des armes, la troupe s'agrandit d'un millier de nouveaux soldats. Leur entraînement fut moins approfondi que le précédant, la troupe ne prévoyant pas de stationner plus d'un mois.
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