L'histoire d'un rêve

  • Auteur de la discussion guarda
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DeletedUser

Guest
vous l'avez attendu avec impatience, le voici!
j'ai enfin réussi à me motiver en voyant toutes les personnes qui apprécient mes textes ^^




Chapitre 7 :
retour au combat

La troupe marcha vers le sud pendant deux jours. Elle arriva à un village où les maisons hors des fortifications étaient détruites. Le chef leur apprit qu'ils devaient défendre le village, qui était régulièrement attaqué par un village voisin.

Les troupes prirent position au niveau des portes, après avoir appris par les villageois l'heure habituelle d'attaque. Une attaque était prévue pour dans moins d'une heure. L'attente fut longue et angoissante. Guarda marchait le long de la muraille, les nerfs à vif, scrutant l'horizon. Au bout d'un long moment, elle aperçut un nuage de poussière au loin. Elle sonna immédiatement l'alerte.

Les troupes prirent position derrière les murs. Sur les remparts, les archers aiguisaient leurs flèches en attendant l'arrivée des adversaires. Guarda était impatiente d'en découdre. La taille du nuage de poussière, maintenant qu'il était clairement distinguable, laissait imaginer une armée adverse d'un millier d'hommes, mais rien de vraiment sur.

Enfin, la troupe ennemie put être comptée : il y avait dix béliers, une centaine de cavaliers et environ cinq cent soldats d'infanterie. Le combat serait facile.

Lorsque les archers ouvrirent le feu, la troupe adverse se dispersa. Malgré ceci, les victimes furent nombreuses, tant chez les cavaliers que chez l'infanterie. Les béliers, protégés par une escouade d'hommes avec des grands boucliers pour contrer la pluie de flèches, échappèrent à la pluie mortelle.

Ils parvinrent donc rapidement au niveau de la muraille qui fut détruite. Immédiatement, la cavalerie adverse s'engouffra dans les diverses brèches créées. Ils furent immédiatement accueillis par les soldats trop peu riches pour s'acheter une arme et qui donc se battaient encore avec leur fourche ou leur faux de leur vie d'antan.

Une fois les cavaliers exterminés, les soldats à la faux et la fourche se retirèrent pour laisser place aux hommes à la hache et l'épée qui eurent à affronter l'infanterie adverse déjà bien affaiblie par les archers, et n'étaient désormais composés que de quatre cent soldats dont un bon nombre de blessés.

Une fois encore, ce fut un massacre. Les adversaires étaient tués sitôt qu'ils pénétraient dans les brèches. Massacrer les béliers et leur escorte ne fut pas non plus un problème. La victoire était écrasante. Seuls cinq hommes furent tués et dix blessés dans la troupe à Guarda, contre environ sept cent victimes.

Lorsque Guarda reçut sa prime, elle fut surprise de la quantité d'argent dont disposait un village pourtant petit. Sitôt l'argent reçu et distribué, la troupe se remit en marche. Elle arriva près d'un deuxième village au bout de seulement quelques heures. Le chef apprit à la troupe que les hommes qu'ils avaient tués venaient de ce village et qu'ils devaient maintenant tuer les derniers soldats en garnison.

Une petite troupe d'infiltration, composée de Guarda et d'une dizaine d'autres hommes, étaient chargés de rentrer divisés en deux groupes, un par entrée. Une fois dedans, ils se réuniraient au milieu afin de tenter de sécuriser l'entrée Nord pour que la troupe puisse entrer sans encombres dans le village et finir le travail.

Guarda pénétra dans le village par l'entrée Nord. Un rapide coup d'œil lui permit de voir quatre gardes. Le village semblait dégarni : le combat serait court et sans difficultés. Son groupe rejoint sans difficultés l'autre groupe, ensemble ils sécurisèrent la porte, tuant les quatre gardes par surprise. Un membre du commando devait partir avertir la troupe de la réussite de la mission, pendant que les autres s'assuraient que personne n'arrive.

Malheureusement pour Guarda et les autres membres de la troupe restés sur place, il y avait non pas quatre mais cinq gardes, et le cinquième revint avec une troupe d'une centaine d'hommes. Le commando n'avait plus qu'à espérer pouvoir tenir jusqu'à l'arrivée des renforts.

La petite troupe se plaça en demi-cercle, le dos vers la porte, et se prépara à résister. Les épéistes adverses étaient peu entrainés, tandis que le commando était composé de soldats choisis parmi les meilleurs. Les deux premières lignes d'épéistes furent fauchés avant d'avoir pu lever leurs épées, puis le combat commença réellement.

Le but était de survivre, pas de tuer toute la troupe adverse. Guarda avait un camarade sur chacun de ses flancs, il lui était donc impossible d'esquiver. Elle se résigna donc à parer les attaques de son épée.

La fatigue commençait à se faire sentir. Les muscles de la jeune héroïne
commençaient à lui faire mal. Elle sentait qu'elle ne tarderait pas à faillir lorsqu'elle vit une faux passer à ras de sa tête pour se planter dans la tête de son adversaire. Comprenant que c'était les renforts, elle tua un adversaire avant de partir se reposer.

Quelques minutes après, le combat était terminé, et la troupe n'avait subi aucune pertes. L'argent gagné pour cette double mission fut utilisé en priorité pour acheter des lances, épées et haches de bataille de qualité convenable. Guarda décida d'économiser pour pouvoir s'acheter une arme de maître lors de son prochain passage dans une ville possédant des forgerons réputés.

Stationnant dans une ville afin de se réapprovisionner en nourriture et d'acheter des armes, la troupe s'agrandit d'un millier de nouveaux soldats. Leur entraînement fut moins approfondi que le précédant, la troupe ne prévoyant pas de stationner plus d'un mois.
 
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que dire juste super,mais j'ai remarqué une faute
tu a écrit un par entré au lieu de une par entre,pour une équipe par entré
 

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merci de faire remarquer la faute, mais c'est pas entre mais entrée :p
cela dit la faute est .
mais essaie de corriger une faute par quelque chose de juste :p
 

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A et bien je vais devoir faire une chose que j'attends depuis trop longtemps je pense :

Guarda, rpiste génial et modo en formation, accepte tu de faire avec moi, remleroi6470 tombeur de question et fidèle ami, d'écrire un rp pour se forum ??


La sentence se fait attendre
 

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quand je serais grand, je lirais un best sellers qui s'appelle ras "l'histoire d'un rève" de *vrais nom et prénom de garda*
 

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Puisque que tu es modérateur de cette section, tu peux changer le titre en " l'histoire d'un rêve" avec un seul "h" ;)
 

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Guest
*ressortant avec nostalgie les vieux parchemins poussiéreux qui traînaient devant son ordi, Guarda se rendit compte que cette histoire n'était pas terminée. Notre modo adoré décida donc d'utiliser ce temps libre à la rédaction de la suite que voici :*


Chapitre 8 : vers la gloire


La troupe de mercenaires allait de bataille en bataille, ne laissant derrière elle que des cendres et les cadavres des ennemis vaincus. A chaque combat, la richesse de la troupe croissait, et la troupe grandissait en récupérant les prisonniers à son service.

Avec ses économies, Guarda parvint à s'acheter l'arme qu'elle souhaitait ; une splendide claymore d'une lame d'un mètre, la plus belle formation du forgeron le plus réputé de Corona, achetée dans une armurerie qui se faisait livrer de l'équipement merveilleux par bateau.

Sa garde représentait un serpent enroulé sur lui-même mordant le pommeau de l'épée. La lame, légèrement ondulée, semblait aussi solide que ce qu'elle était légère et tranchante. Dès le premier coup d'œil vers l'épée, Guarda sut que cette épée était faite pour elle, récemment promue au titre de lieutenant de la troupe du phénix flamboyant.

Lorsqu'elle tint l'épée dans sa main à l'entraînement, Guarda sentit le pouvoir du métal, et pendant tout l'entraînement, plus rien n'était pareil, tout était plus facile, les attaques adverses étaient si lentes et leur garde si ouverte... Cette nouvelle arme était tout simplement formidable. Avec cette arme en main, la jeune femme avait l'impression que plus rien ne pouvait lui arriver.

Guarda eut trois jours pour se familiariser avec sa nouvelle épée avant que le chef ne fasse lever le camp vers la gloire et de nouveaux combats.

Cette fois-ci, le combat ne serait pas qu'une simple escarmouche mais une réelle campagne, avec du côté de Guarda l'empire d'Erath, qui affrontait le royaume de Vandor. De part et d'autres, ce serait des dizaines de milliers d'hommes qui allaient s'entretuer. Les pertes seraient nombreuses, mais l'empire était près à payer assez pour que cela en vaille la peine, surtout que ce genre de bataille pouvait donner un prestige immense aux troupes mercenaires qui y participaient. Peut-être même que certains des chefs de troupes gagneraient un titre de noblesse.

La troupe rejoignit le gros de l'armée trois jours après? Guarda, ainsi que Garet, le chef Till et deux autre capitaines de la troupe gagnèrent la tente de l'état major de l'armée dirigée par le prince Archibald Ironwel en personne.

Une fois les règles de l'étiquette appliquées, Guarda apprit que le premier combat, qui serait sans doute le plus dur, les opposeraient au gros de la troupe Vandorienne dans la plaine de Zurong.

La stratégie était simple : un groupe attaquerait de front alors que deux autres se prépareraient à attaquer par les flancs sitôt le combat engagé. La troupe du Phénix était dans le groupe chargé du flanc Sud.

En arrivant, déjà divisée en trois, au niveau de la troupe adverse, la troupe appliqua le plan prévu au départ. Toutefois, Guarda eut l'impression, en voyant la taille de la troupe adverse, qu'il manquait des soldats, probablement en train d'appliquer la même stratégie que sa propre troupe. Guarda était en train de dire à l'un de ses subordonnés d'en référer à son chef lorsqu'ils tombèrent nez à nez avec la troupe adverse.

Au centre comme sur les deux flancs, le combat s'engageait. Se laissant guider par sa lame plus qu'en la dirigeant, Guarda se jeta dans la mêlée, tranchant les membres qui passait dans son rayon d'accès.

L'épée tournoyait autour de Guarda, moissonnant comme des fétus de paille des dizaines d'ennemis malchanceux. Aucun ennemi ne parvint à pénétrer la garde de la jeune femme.

Au bout d'un moment, Guarda distingua non loin un homme qui semblait commander à la troupe adverse. Se disant qu'il s'agirait probablement d'un adversaire de valeur, Guarda
commença à se diriger vers lui, se frayant un chemin à coup d'épée au travers de la mêlée.


Lorsqu'elle fut près de celui qui semblait être le chef de la trope adverse, Guarda fut assaillie par une dizaine de soldats bien mieux entraînés, probablement la garde rapprochée de cet homme qui portait les galons d'un général. Guarda peinait à éviter toutes les attaques, et encore plus à contre-attaquer.

Malgré tout, elle finit par abattre un adversaire, puis un deuxième, et elle continua ainsi cet âpre combat pendant de longue minutes. Finalement, au prix d'incroyables efforts, Guarda parvint à triompher de la garde rapprochée. Elle approcha alors du commandant adverse.

La jeune femme avant beau être au milieu des lignes ennemies et entourées d'ennemis, elle ne s'en souciait guère : seule comptait la mort de cet être armé d'un immense fléau à 2 têtes qui commandait à la troupe de ses adversaires.

Guarda lança une attaque vers la gorge de son adversaire, qui para aisément à l'aide de son épais bouclier de bois de chêne, qui protégeait l'ennemi.

Le bouclier représentait un énorme problème aux yeux de Guarda. Malgré le fait qu'elle utilisait tous ses réflexes pour se maintenir en vie, elle réussit à se rendre compte qu'étant donné qu'il était impossible d'atteindre directement les points vitaux de l'ennemi, il fallait l'estropier avant de pouvoir lui porter le coup de grâce.

Feintant de frapper une attaque vers la tête de son adversaire, la jeune lieutenant dévia au dernier instant sa trajectoire hors de la zone couverte par le bouclier, sectionnant la cheville du Vandorien, qui s'effondra au sil en lâchant son fléau et son bouclier sous l'effet de la douleur.

Alors qu'elle s'apprêtait à porter le coup de grâce, la jeune mercenaire ressentit une douleur sourde dan son dos. Avant de sombrer dans l'inconscience, Guarda parvint à se rendre compte que sa claymore était plantée au travers de la gorge du général adverse.

La mort du général provoqua un vent de panique au sein de l'armée adverse, provoquant une rapide victoire de l'armée d'Ironwel, qui put ensuite porter assistance au front central, ce qui permit d'infliger une sévère défaite aux Vandoriens.
 

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Donc j'ai fini la lecture et j'en tire quelques points ;)
Bon désolé mais je commence par les négatifs =/

Je trouve que ton texte est un peu trop répétitif, surtout sur l'emploie du nom Guarda^^

J'ai trouver dommage qu'au début du texte Guarda apprenne le français et le latin et non des langues imaginaires. Surtout que les royaumes que tu décris sont inventés. On est dans de la fantasy ;)

Bon Guarda d'après mes conclusion n'est pas humaine ;p Pour tuer autant de personnes en ne récoltant que des égratignures...=)
De plus, à chaque fois qu'un guerrier "surhumain" passe dans son champs de vision, elle l'attaque et elle a l'avantage.

Je sais que ce texte est en parti la pour démontrer le machisme. Mais je vais être encore pire que toi et dire que dans certains passages, (supposons qu'on soit dans la vie réelle) cela ne se serait pas vraiment déroulé comme cela.
Au moyen-âge la vie était rude pour les femmes.

On passe aux points positifs maintenant ;)

Tout d'abord très bon style d'écriture. Un vocabulaire qui correspond parfaitement au sujet. Félicitations.

Une histoire bien trouvée. On prends plaisir à la lire.

Personnages attachants.

De l'action à volonté. Et moi qui suit un grand amateur de dark, j'aime ça ;p
Bon voila j'ai dit ce que j'avais à dire. J'espère que mes critiques te feront avancés :)
Et j'ai envie de te dire : continue ainsi, tu es bien partie =D
 
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merci beaucoup pour cette critique, tu as entièrement sur tous les points ^^
si je m'amuse à tout réécrire, je changerais les noms et le reste :p
j'avoue que je répète souvent "guarda", mais j'ai pas assez décrit mon perso pour l'instant
 

DeletedUser

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Une petite carte légendée ( avec légende détaillée dessous et un petit cours d'histoire)
l'image passe pas --'
mapbp.png



Les îsles :
Autrefois un seul grand empire, les îsles furent découpées en plusieurs états suite à un problème d'héritage entre sept des fils bâtards de l'empereur Haldric Ier et son fils légitime, Haldric d'Erath. Progressivement, chacun des 8 pays formés se démarque des autres, tant sur le plan des coutumes que de la langue. Désormais, en 1727 ( année de naissance de guarda ), les pays sont fortement différenciés mais les tensions militaires existent toujours. Chacun des 7 bâtards prit possession par la force des 6 rpyaumes portant leur nom ( Ethos, le plus jeune des bâtards, n'eut qu'une petite île qui est désormais la république d'Ethos )


Eléments de la légende expliqués


(1)Tern, village natif de Guarda
(2)Varith, capitale d'Erath, lieu de refuge de Haldric d'Erath durant la grande guerre de succession
(3)Velen, ancienne capitale de l'Empire des îsles. Le trône impérial réside en son palais.
(4)Larth, capitale du royaume de Vandor. Son palais abrite le sceptre impérial.
(5)Ethos, ville-état. Seule capitale des Isles n'ayant aucun droit sur le trône impérial, cette ville garde son indépendance car aucun pays n'a intérêt qu'elle passe chez ses enemis. Par conséquent, chaque pays participe à la défense de la ville et de sa campagne.
(6)Cydannon. Cette ville, capitale du royaume d'Ithor, revendique le trône impérial par le droit divin. En effet, la ville abrite le grand temple de Lloti, principale déesse des Isles.
(7)Koska, capitale du royaume d'Odyr. Ce royaume revendique le trône car son palais abrite l'épée des rois, arme avec laquelle les anciens dirigeants des Isles menaient leurs armées au combat.
(8)Green Falls, capitale du royaume de Manoll. Ancien pavillon d'été de l'empereur Haldric Ier, cette ville connut un grand essor lorsque Manoll s'y réfugia avec la couronne impériale durant la grande guerre de succession.
(9)Jirta, capitale du royaume de Graiz. Depuis l'exil de Graiz lors de la grande guerre de succession, les rois se transmettent l'antique main de la justice. Ils profitent de cet artéfact pour dire que seule leur parole est légitime, et que eux seuls sont susceptibles de désigner le roi le plus apte à s'emparer du trône ( eux-mêmes)
(10)Silean, capitale du royaumme de Dret. Dret est le plus âgé des fils de Haldric Ier. Son père l'avait éloigné le plus possible du trône en lui offrant le duché de Tomalek ( La légende veut que les habitants de l'empire, en arrivant sur l'île, ait demandé par geste le nom de cet île à un indigène. Après un certain temps de gesticulation, l'indigène comprit et leur répondit «*tomalek*», ce qui signifie, à peu près «* sur notre île, imbécile*») Malgré tout, lorsqu'il apprit que 5 de ses demi-frères tentaient d'obtenir le trône, il décida de rejoindre la bataille.
(11)Passes mortuaires. Ainsi nommées à cause de l'incroyable nombre de naufrages ayant eu lieu sur les rochers de cette passe au relief sous-marin trompeur.
(12)Corona. Grande cité portuaire de l'empire d'Erath.
(13)Presqu'île d'Haldric. Ainsi appellée car c'est Haldric Ier qui décida de déplacer le palais royal, autrefois à Larth, sur cette presqu'île.
(14)Baie des pirates. Le port de la baie des pirates est la seule ville d'importance qui ne s'intéresse pas au conflit pour le trône de l'Empire. Ce n'est pas parce que les pirates n'aiment pas e pouvoir, c'est juste qu'ils préfèreraient conquérir tout l'ancien empire sous la bannière d'un système républiquain.
(15)Baie des sauvages. Ainsi nommée car les sauvages de Tamalek y furent sauvagement massacrés lors de l'arrivée des colons de l'empire en l'an 127.
(16)Détroit de Lloti. Ainsi nommée car l'empereur Salikan y recontra le premier grand prêtre le Lloti, qui parvint à le convertir, marquant l'an 1 de cette ère.
(17)Détroit d'Ethos. Ainsi nommée pour faire plaisir au dirigeant de la république d'Ethos, qui menaçait, si on ne lui offrait pas ceci, de se rallier au royaume de Vandor.
(18)Détroit des ténèbres. Ainsi nommé car cet étroit goulot est très dangereux à traverser de nuit, car un moment d'innatention suffit pour s'échouer sur les côtes de l'île des pirates. Même si la côte est très sabloneuse, c'est le moyen le plus sûr de mettre fin à ses jours.
(19)Eissen. Ville phare de la défense Vandorienne lors de l'attaque de l'empire d'Erath, elle repoussa les assauts de l'empereur Archibald d'Ironwell.
(20)Transom, capitale de la baronie d'Irigron.
(21)Whitestone
(22)Westfall, capitale du duché de la Lande Grise
(23)Forêt d'Irigorn
(24)Fleuve serpent
(25)Marais perfide
(26)Crocs du monde
(27)Col des tempêtes. Seul passage ( difficilement) traversable des crocs du monde
(28)Montagne de Feu et forée torturée
(29)Fleuve sacré
(30)Montagne sacrée
(31)Petit sanctuaire de Lloti
(32)Forêt sacrée
(33)Collines de Betray
(34)Lac de Khain
(35)Pont et lac de Koska
(36)Fleuve de Jirta et sa vallée
(37)Forêt de l'escargot et lac de sang
(38)Barrière de corail
(39)Déserts de Gill ( désert rocailleux)
(40)cimetière marin d'Olidanzar.
 

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Chapitre 9 : Assiégée

Malgré qu'elle soit grandement affaiblie, la troupe continua plus en avant dans les terres Vandoriennes. Le soir, l'armée fit halte dans une vaste plaine aux abords de la forêt.
Cette forêt fit rejaillir de nombreux souvenirs dans la mémoire de la jeune femme. Cette pinède était en effet fort semblable à la forêt d'Irigorn, où Guarda avait vécu les jours les plus heureux de sa vie.
La troupe du phénix flamboyant était installé au plus près de la forêt. Plongée dans ses souvenirs, Guarda décida de marcher à l'ombre des grands pins. Elle ne se rendit pas compte que Garet la suivait.
Elle marcha le long d'un sentier étroit. Au détour d'un virage, la jeune mercenaire vit un pin immense, majestueux. Une impression de sérénité se dégageait de cet arbre. La jeune fille décida de s'arrêter pour souffler un peu.
Au moment où elle allait s'asseoir, Guarda entendit une voix dans son dos.
- Guarda !
Surprise, la jeune fille se retourna et découvrit Garet avançant vers elle.
- Guarda !
- Oui Garet ? Qu'y a-t-il ?
Garet s'assit contre le grand pin, juste à côté de Guarda. Une légère bise se leva alors, chassant un nuage qui cachait le soleil. A travers l'épais feuillage, un seul rayon parvint à passer, donnant à la scène un éclairage presque surnaturel.

- Je voulais te parler.
- Je t'écoute
- Cela fait un certain temps que tu es parmi nous, et on a traversé ensemble de nombreuses étapes. Mais je crois que cette campagne est plus dangereuse que celles que nous avons effectué depuis le début, donc j'ai décidé de te parler maintenant, avant de risquer de mourir.
- Arrête de tourner autour du pot ! Je déteste ça !
- Je t'aime Guarda !
La jeune fille recula sous l'effet d'un choc violent Elle était troublée. Pendant son enfance, elle avait passé des heures à apprendre comment réagir à ce genre de situations, mais quelques mois passés en temps que merçenaire lui avait tout fait oublier.
Elle se sentit assiégée, mais ce n'était pas un siège comme ceux qu'elle avait connu par le passé. Pour ce combat, elle était seule, et elle n'était pas sure d'avoir envie de gagner.
- Guarda?
Cet appel, plein d'inquiètude, tira Guarda de ses songes. Elle se rendit soudain compte que son coeur battait plus fort qu'au milieu d'une bataille.
- Excuse moi, je suis un peu surprise, il me faut un peu de temps pour réfléchir.
- Prends tout ton temps, je ne veut pas que tu prennes de décisions que tu risques de regretter.

Ne sachant pas quoi dire face à de telles marques d'amour, Guarda saisit la main de Garet. Elle approcha ses lèvres de celles du jeune homme, déposant un léger baiser. Elle resta ainsi, ses lèvres à quelques centimètres de celles de son nouvel amant, ses yeux plongés dans le regard noisette de son compagnon.
Soudain, la fatigue d'une longue journée de marche s'emparra de Guarda, qui s'endormit dans les bras musclés de son compagnon aux cheveux bruns.
Lorsqu'elle se réveilla, Guarda était dans la tente infirmerie, et l'aumonier de la troupe était en train de soigner ses multiples blessures. Regardant autour d'elle, elle vit de nombreux autres blessés, certains même avaient perdu une jambe ou un bras.
“ C'est normal, songea Guarda, c'est la guerre. Mais si c'était Garet à la place de cet homme, dans le coin ? Comment le vivrais-je?”
Peu après s'être réveillée, Guarda vit la porte de l'infirmerie s'ouvrir sur Garet. Le jeune mercenaire s'avança vers Guarda pour lui murmurer :
- Comment vas-tu?
- A merveille, lui répondit la jeune fille. J'ai un peu mal sous mes coutures, mais ca va. C'est toi qui m'a amené ici?
- Oui. J'ai vu que ta tunique était déchirée quand tu t'es endormi dans mes bras. J'ai vu les bandages que tu avais fait un peu à la hâte et je me suis dit que ce serait une bonne idée de faire arranger ca.
- Merci, chuchota Guarda.
Guarda put sortir de l'infirmerie dans la journée, mais la troupe devait encore rester quelques jours afin de finir de soigner les blessés plus graves.
 
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DeletedUser8110

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Nous retrouvons avec toujours autant de plaisir notre heroine préferée !!
Toujours un bon style mais avec cette fois , une touche de romantisme.
A quand la suite ? ^^
 

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quand tu veut, je l'ai écrit, si tu veut je te l'envoie mais je préfère nlaisser le temps aux gens de lire
 

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Guest
Bon, moi c'est avec un énorme plaisir que je relis le tout, ce week-end.

Faut bien que je fasse quel que chose en t'attendant mon ange ^^.
 

DeletedUser

Guest
L'histoire est intéressante, mais je trouve que certains dialogues semblent (sont?) baclés, certaines tournures de phrases gâchent complètement le texte (du genre un "Mais bon ..." en plein milieu de l'écrit) et il y a parfois des incohérences (de mon point de vue) du genre "préjugés sexistes" à cette époque, ça m'a gêné dans la lecture. Ca donne l'impression que tu écris sans aucune préparation, simplement tu t'y mets et puis tu ne réfléchis pas vraiment, tu laisses les mots venir. Du coup, ça fait livre pour enfant (de mon point de vue toujours!), alors que l'histoire est pas mal.
 
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