Y'a tellement à dire que ça me décourage de répondre
Pourquoi je suis pour la suppression ? J'essaie de me remettre dans une certaine réalité.
Il y a un gros problème au niveau de l’éducation nationale et sur son niveau qui est constamment en baisse, dans tout le primaire (que ce soit en calcul, lecture ou ecriture) et dans le secondaire. Je n'ai aucune confiance dans le ou les gouvernements actuels, en plus ça n'a pas l'air d'être leurs priorités pour l'école (morale laic et théorie du genre, juste après la parution du dernier rapport PIRLS, pourquoi pas), c'est pour ça que je suis pour des mesures plus fortes, et plus radical, qu'une simple modification, et/ou d'une remise à niveau du bac, je n'y crois pas, je suis carrément pour le changement de diplome.
J'ai une logique assez libérale de l'éducation, d'ailleurs je suis pour la privatisation et la mise en concurrence des établissement, avec la démocratisation du chèque éducation, et soit des tarifs alignés/soit des bourses (déjà moins libérale comme idée). Pour moi la concurrence ne peut que augmenter la qualité, et l'égalité des chances (sachant qu'actuellement le privé est aussi sous contrat, donc c'est la même que le public), en gros ça nous donne une diversité dans les établissements et les méthodes d'enseignement, les parents peuvent choisir celui qu'ils preferent, ou le meilleur, et les plus mauvais établissement sont voués à disparaitre.
Mais c'est pas la question, même si ça rentre dans ma logique, puisque qu'un établissement, un collège ou un lycée par exemple, ne doit pas délivrer un diplôme de sortie, mais c'est à l'établissement du dessus, de faire passer son propre concour pour voir si l'élève va réussir dans son établissement. En gros, le lycée se doit de préparer l'élève, en fonction du lycée choisie, et de la filière, à tel ou tel concours, poursuite d'étude.
(Ca doit être un peu brouillon ce que je raconte, faudrait que je prenne le temps de faire un plan pour que ce soit plus clair au lieu de résumer à la va vite
)
Le cas des 27% est assez interessant, je connaissais quelqu'un qui était pour fusionner filière pro et technique, et d'envoyer 70% des elèves là bas, et seulement 30% en général. Bon, cette idée ne passera jamais, tyrannie de la majorité oblige.
Pour ce qui est des stéréotypes, pas sûr qu'on puisse y faire grand chose, ça existera malheureusement toujours, au lycée, mais même plus haut.
Pour ce qui est de la réalité économique, c'est un fait, la fac ne forme rarement à grand chose, ça donne des connaissances (limités), et ensuite tu fais un truc a peu pret en rapport.
Là on a un sacré dilemme, l'école doit elle formé à un métier, ou doit elle apporter de la connaissance, du savoir, encourager à l'épanouissement personnel de l'élève?
Je pense qu'il faudrait faire 50/50, du moins tout dépend à quel niveau de la scolarité, mais que ce soit dans n'importe quelle fillière, qu'on prenne du temps dans l'année, pour former à un travail, et au monde pro, histoire, au cas où, de pouvoir retomber après ses études, d'avoir au moins une expérience professionnel.
Vraiment associé la fillière avec le métier, par contre je ne suis pas sûr, dans une fillière littéraire, tu fais quoi comme stage ? Étudier la littérature, et quelques semaines dans l'année apprendre la mécanique dans un garage, pourquoi pas après tout
Pareil pour la filière S, on va pas les envoyer faire des stages dans le domaine médical...
Quoiqu'il en soit je suis sceptique sur les stages, si c'est pour faire des stages ou l'élève ne fait rien, et n'apprends rien, juste histoire de remplir un papier, c'est totalement inutile. Par contre si on se rapproche d'un modele comme la formation en alternance, et s'y s'est rémunéré, pourquoi pas.
Le stage noté je n'y crois pas non plus, enfin comme je suis pour qu'il n'y ai pas forcément de rapport avec la fillière choisie, normal...
Bref, un apprentissage théorique d'un certains domaine, et d'une autre part un apprentissage pratique d'un métier, sans forcément de rapport (sans rapport, principalement au lycée).