La Quête de O'llu

DeletedUser

Guest
Somptueux ! Je me suis mis dans le personnage avec une grande facilité, j'ai aimé l'instant "tragique" de ce texte et l'amour que leur portait ses parents, bien que dans le texte il n'y a pas vraiment de traces d'amour. A l'instant où la fille meurt il n'a aucune tristesse ou de peine, même si il est transformé à ce moment un telle drame touche un loup...

Mais sinon, bravo !!

Allez à vous maintenant !
 

DeletedUser

Guest
D'un geste incotrolé, puisant dans sont esprit le moyen d ignorer cette peine pour ce vengern O'llu penetra dans un coin inconnu de son esprit.
Trouvant du reconfort et de la joix, enfin cela y ressemblait, il ne se laissa pas tromper...
il visita ce caveau, inconnu, et, jouissant d'une paix interieur ,il resta assis, tendi,s que sur le champ de bataille, il se transformai en loup massacrant ses enemis^^

voila pour quoi ya pas de tristesse dsl pour les fautes
 

DeletedUser

Guest
oui j'bondonne ma place seulement si O'llu se transforme en loup et devient un elfe comme ca il est immortel et avec ses annés qui s'ecoule restera a peu pres normal ^^
 

DeletedUser

Guest
merci de m'avoir fais ce lien je m'empresse d'allé voir ^^ je suis fan :p
 

DeletedUser

Guest
Maritima, ne crois pas que personne ne s'intéresse à tes écrits, ils sont très bien ^^
 

DeletedUser

Guest
Ok, ok je m'y mets alors. Fin de la semaine prochain chapitre.
 

DeletedUser

Guest
Dsl les gars le retour de O'llu est enfin là ! Je suis dsl d'avoir pris autant de temps j'ai dû m'occuper de quelques problèmes et j'ai délaissé O'llu à présent le concours est toujours ouvert les mecs allez-y !
 

DeletedUser

Guest
Je sais pas si le forum existe encore.. Il faut que je regarde tu as toujours le lien Deca ?

EDIT : Oui ca y est on va retenter de refaire vivre le forum autant dire Mission Impossible on essayera de contacter les anciens membres
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Enfin ! Pour vous les fans de O'llu, le 5ème chapitre sort !

Le soleil revint aussitôt la montagne noire étant retombée sur les barbares. Les chevaux tombèrent au sol et les cavaliers violemment projetés à terre se remirent sur pied difficilement, aucuns dangers ni blessures ne pouvait les arrêter. La première salve de flèches barbare arriva en plein vers les murailles. Des flèches dont les pointes étaient aiguisées dans la roche. Certaines ricochèrent sur la muraille mais celles qui atteignirent leurs cibles firent des ravages. Plusieurs Grecs se virent transpercer le torse et tomber dans le champ devant la muraille où les cannibales les dévorèrent en quelques minutes.
Ce carnage était une horreur dont seul la vue était insupportable, les plus sensibles vacillèrent. Les tours de sièges apparurent au loin, O’llu avait le ventre noué, l’espoir ne leur souriait pas. Quelques assaillants hardis essayaient d’escalader la muraille mais les archers transpercèrent leurs doigts ensanglantées avec les pointes des flèches. Ceux qui commençaient à escalader se ravisèrent immédiatement en voyant ce qu’il en coûtait.
- O’llu ! Hurla une voix.
Le Grec tourna la tête d’où provenait la voix. La partie gauche de la muraille avait été annexé par les soldats des ténèbres. Ragnarok se défendait avec son épée mais les nombreux barbares le mettait en bien mal point. Le jeune héros rangea son arc, brandit son katana et accourut vers le point de conflit. Ragnarok était en bien mauvaise posture. Il se trouvait à genoux et les trois lames des barbares étaient contre la sienne, il luttait de toute ses forces mais il se sentait affaibli. La lame de O’llu transperça les ligaments du premier barbare qui hurla de douleur, ses jambes se dérobèrent sous lui et il tomba sur le sol rocailleux. Il faisait encore plus de bruit que des porcs que l‘on égorgeait, les deux Grecs éprouvaient presque de la pitié pour la victime mais lui n’aurait pas hésiter à les tuer. Ragnarok, soulager d’un ennemi repoussa les autres et acheva le troisième homme d’un rapide coup d’épée dans le crâne, le sang coulait doucement et lentement..
Le massacre ne faisait que commencer..
O’llu planta son épée dans la hanche de son adversaire, mais un autre lui écorcha la jambe d‘un coup de hache vif . Il souffrait atrocement mais contre-attaqua, attrapa par les bras de son agresseur, et le lança vulgairement comme un objet. Le héros Grec arracha son le tissu qui entourait sa blessure, en l’occurrence son pantalon. Il sortit sa dague et la planta dans la gorge du guerrier le plus proche. Une salve de grappin s’accrochèrent aux murs, les combattants adverses s’y agrippèrent et avançaient dangereusement vers les murailles . O’llu sentait son énergie se dérobait de son corps. Du sang coulait de sa veine qui était gravement atteinte. Il avait peur pour sa vie.. C’est une des rares fois où il approuvait ce sentiment de vide et de solitude. Le Grec s’appuya sur son katana et se redressa fièrement, le brandit promptement et par un cri de guerre perçant il se jeta aux milieu des guerriers adverses. Son arme transperça le poitrail des ennemis comme le couteau effile le beurre. Les tours de sièges touchèrent bientôt le mur de défense. Plusieurs soldats en sortirent et les citoyens, attaqués très vite s’écroulèrent dans le sang.
- GRECS, RETRAIT AU PREMIER NIVEAU ! Annonça Achilles.
Dès que les Jaulirins entendirent cet ordre tout les hommes se retirèrent, le seul qui était derrière le groupe était O’llu, blessait à la jambe il boitait. Quand soudain il trébucha et s’écrasa le genou sur le sol. Il hurla de douleur, tous les ennemis arrivaient vers lui. Il se plongea dans ses pensées, tentant de reculer le moment fatidique aussi tard qu’il le pouvait.
- C’est mon heure, ah ! Dieux, je vois que vous n’avez plus besoin de moi sur ce monde..
Il ferma les yeux.
- Vous n’avez plus besoin de mon épée, de mon soutien et ma loyauté tel en soit mon sort, mais protégez Jaulir. La cité des seigneurs ne doit pas tomber.
Une larme lui coula de son iris, une douce larme salée, piquante, fougueuse comme l’aura été O’llu.
- Ma vie s’arrête ici..
- Non, O’llu tant que tu veux nous vivons !
Achilles lui prit le bras et l’aida à se relever. Tandis que Ragnarok luttait contre les barbares mais la centaine d’hommes sur lui était trop même pour un général d’armée aussi vaillant et reconnu dans le monde.
- Où sont les citoyens ?
- Tu parles, tous ces poltrons t’ont vu tomber mais aucuns ne pensaient à ta vie mon ami.
O’llu ria, mais Ragnarok quand à lui grimaçait de douleur.
- Eh les filles, peut-être pourriez-vous accélérer le mouvement de mon côté je commence à faiblir.
Le blessé et le seigneur grimpèrent les marches, bien que O’llu se frappait les pieds contre celles-ci, il ne se plaigna de rien au monde car il savait que son seigneur ne se gênerait pas de le laisser au milieu des escaliers. O’llu se tourna et regarda le visage d’Achilles, un homme qui essayait de ne laisser paraître aucunes émotions sur son visage mais il se trahissait très souvent. Un grand seigneur au cœur aussi grand que son règne..
La jambe du Grec lui fit terriblement mal, l’hémorragie redoubla enfin plus de force et du sang en plus grand quantité coula de sa blessure. Quand soudain son esprit le quitta, il ne pensait plus à rien.. O’llu s’était évanoui.
 

DeletedUser

Guest
Eh bien j'adoooore. :)
L'action est très bien raconté, je m'imagine dans la peau d'Ollu coupant les ligaments de l'autre balourd là.. Hum. C'est du beau.
J'ai vu quelques petites fautes rikiki, à des endroits, désoléééé :s
La suite! La suite!...
 

DeletedUser

Guest
Merci ca fait toujours plaisir de demander une suite en ce moment j'écris pas la suite je planche plutôt à rejoindre des RP en groupe, j'ai jamais tenté l'expérience et j'aimerai bien
 

DeletedUser

Guest
Hop là les mecs, la suite, c'est un peu bâclé mais j'attend vos commentaires pour corriger.

- Boum… Boum
- O’llu !
- Seigneurs, la porte ouest a cédé la garde tente de nous rejoindre mais elle se fait massacré.
Le Grec se réveilla, une tête était penché juste au dessus de lui. Il regarda les alentours et constata qu’ils avaient rejoint le premier niveau.
- O’llu, tu es réveillé ?
- Oui c’est bon..
Il se releva avec peine, des soldats étaient contre la porte pour la soutenir du bélier qui tentait de la défoncer. La situation était critique, ils allaient périr par le fil des lames. D’autres troupes ennemies arrivaient depuis l’ouest et les Grecs allaient être encerclés. O’llu sortit son épée et se prépara devant la porte. Son aventure avait à peine commencer qu’elle allait se finir. Au moins il sera mort pour une cause juste et noble. Ses muscles se raidirent d’un seul coup, son esprit se renforça. Non ! Jaulir je tombera pas ce soir. La porte céda et immédiatement les troupes déferlèrent sur eux, ainsi que les troupes venant de l’ouest. O’llu prit le premier ennemi venu, lui sectionna la carotide, planta sa dague dans la main d’un autre puis enfonça profondément son épée dans le ventre du dernier. Un barbare lui asséna un terrible coup de masse dans le coup, il vacilla puis répliqua par un coup de manche de le nez un lui écorcha le peau du ventre. Les Grecs à côté de lui ne se débrouillait pas aussi bien. Un se faisait déchiquetait la peau du cou pendant qu’un autre hurlait à la mort car sa jambe avait le tibia tranché.
Achilles tentait de se libérer du flot de guerriers qui déferlaient sur lui. Il balançait son épée de droite à gauche, il se fichait du pourquoi et du comment tant qu’elle touchait un corps.
Ragnarok quand à lui avait sortit sa dague qu’il maniait à la perfection. Son premier ennemi se retrouva une dague planter dans le pied, un autre la dague dans la tête. La bataille était égal mais désespéré pour chacun des deux camps. O’llu grimpa sur un mur, prit son arc, le banda et tira dans la tête du premier venu. Il le banda à nouveau et rechercha une cible de choix.. Il vit un cavalier ennemi armé d’une hache, portant une armure noire et un heaume identique. Il décocha sa flèche dans le heaume mais elle ricocha. Son ennemi l’avait à présent remarquer et avançait vers lui.. O’llu sortit son épée et lui fit face. Les deux adversaires se retrouvèrent nez à nez.
- Petit homme, tu vas devoir payer.
- D’accord mon gros, je t’attends.
Cet affront le rendit fou et asséna des dizaines de coups d’épée à O’llu qui les esquiva tous d’une habilité sans pareil.
Le héros, légèrement planta son arme à l’aisselle de son adversaire, là ou sévit la faille de l’armure.
Le guerrier laissait paraître des grosses gouttes de sueur, l’attaque l’avait profondément touché.
Le combat entre les deux chefs sera furieux, le destin de Jaulir étant la récompense…
 
Dernière édition par un modérateur:
Haut