DeletedUser
Guest
Meïh marchait dans le pénombre de la nuit. Sa mère avait encore refuser. Elle refusait toujours, cela devenait une habitude.
Certes, elle voulait que sa fille puisse devenir comme toute Dame, une femme à marier pour agrandir la famille, pour s'assurer une lignée. Mais le seul tic était que Meïh était fille unique et qu'elle avait le pire caractère de tout le continent.
Elle voulait absolument suivre l'enseignement des garçons, elle voulait se battre, faire de l'escrime et apprendre les armes et la forgerie. Mais elle était une femme, et cela la condamné à suivre les séances longues et ennuyeuses de jeux raffinés et de discussion autour de thé aux gouts plus horribles les un que les autres.
Meïh s'arma de courage et partit encore plus loin dans le jardin d'hivers.
Elle n'avait plus cette longue robe qui l'empechait de faire le moindre mouvement mais elle s'était, par le biais d'un de ses valets, achetée une tenue moulante en cuir et en coton couleur écorce. Un arc courbe venait se berçait sur son épaule et un long poignard pendait à sa ceinture. Un petit paquetage lui bossait le dos.
Elle en sortit une corde et entrepit de l'accrocher à un pin. Une fois ceci fait, elle l'enroula autour de sa taille et de son bras. Puis, elle débuta sa perilleuse descente. Heureusement, son expérience d'escalade lui permit de sortir de ce premier obstacle.
Les gardes devaient être, comme tout le monde, en train de festoyer du sacre de Léontheodil le troisième.
Elle partit du palais royal et de la capitale aussi facilement que l'on rentre dans un moulin.
Certes, elle voulait que sa fille puisse devenir comme toute Dame, une femme à marier pour agrandir la famille, pour s'assurer une lignée. Mais le seul tic était que Meïh était fille unique et qu'elle avait le pire caractère de tout le continent.
Elle voulait absolument suivre l'enseignement des garçons, elle voulait se battre, faire de l'escrime et apprendre les armes et la forgerie. Mais elle était une femme, et cela la condamné à suivre les séances longues et ennuyeuses de jeux raffinés et de discussion autour de thé aux gouts plus horribles les un que les autres.
Meïh s'arma de courage et partit encore plus loin dans le jardin d'hivers.
Elle n'avait plus cette longue robe qui l'empechait de faire le moindre mouvement mais elle s'était, par le biais d'un de ses valets, achetée une tenue moulante en cuir et en coton couleur écorce. Un arc courbe venait se berçait sur son épaule et un long poignard pendait à sa ceinture. Un petit paquetage lui bossait le dos.
Elle en sortit une corde et entrepit de l'accrocher à un pin. Une fois ceci fait, elle l'enroula autour de sa taille et de son bras. Puis, elle débuta sa perilleuse descente. Heureusement, son expérience d'escalade lui permit de sortir de ce premier obstacle.
Les gardes devaient être, comme tout le monde, en train de festoyer du sacre de Léontheodil le troisième.
Elle partit du palais royal et de la capitale aussi facilement que l'on rentre dans un moulin.