Juistan'Arken

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Juistan'Arken:


Lexique: (mise à jour tout au long de l'avancée du récit)

Le Dogernytt : (appelé aussi, Kodylan de vilains (vilains = paysans))

Dzern: Comme seigneur mais en plus faible
Etrangiren: Étranger
Dar: Oui
Mastz: Maître (ex: Mastz Artozan)
Artozan: Artisan


Chapitre 1:
Les brigands​

Hulfas progressait péniblement depuis l'aube sur un chemin pentu menant à Koldys, la ville aux espoirs comme on disait à la campagne. Hulfas avait réussi à convaincre son père de le laisser partir à la ville nouvelle en argumentant sur le fait de pouvoir étudier et avoir un bon métier. Mais son rêve unique était de partir à l'aventure. Même s'il ne connaissait pas vraiment quels risques il fallait prendre. Il ne savait pas non plus que les routes étaient le gagne-pain de dizaines de bandes de coupes-jarrets et de bandits sans scrupules, à son plus grand malheur.

Quelques lieux avant Koldys, ces malfrats firent découvrir à Hulfas les joies de l'aventure. Suspendu par les jambes à un arbre, il commença à servir de cible aux archers renégats. Sa tête bouillonnait, ses jambes le tiraillaient et la peur de se recevoir une flèche dans la tête le faisais trembler comme une feuille. Heureusement ces horribles coquins ne savaient pas viser et les flèches filaient vers les broussailles.

Un homme, d'une assez grand stature vint crier sur les tireurs...ce fut les derniers visions de Hulfas. Il sombra ensuite dans l'inconscience.



Bon, vous allez pas tout comprendre au début, je met en place les persos
merci d'avoir lu
et faites des commentaires..merci, LACHEZ VOUS!!
 
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Juste une remarque : Bien faire des paragraphes pour une meilleure lisibilité :)

Sinon, j'attend la suite :D
 

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toujours content de lire de nouvelles histoires :)

peut-être un peu rapide mais tu y mets une touche d'humour agréable
 

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merci merci

Chapitre 1 (suite)​

Hulfas se réveilla, le corps moite et la tête en feu dans un hamac. Un hamac? C'était bel et bien un hamac où il se trouvait allonger, en coton, d'une douceur berçante venant se rajouter à un léger vent chaud arrivant du sud. Le ciel était bleu azur, les oliviers venaient de donnaient leurs premières olives et... mais où était il?
Il se souvint de sa situation avant la sorte de trou noir d'où il immergeait. Il avait été en route vers Koldys et des brigands lui avaient barré la route et l'avaient emmené dans leur camp. Là, il avait servi de cible... puis plus rien, le vide, aucuns souvenirs.
Il essaya de se lever mais une douleur inattendu à la jambe le fit tomber au sol. La terre était sèche et la chute étouffa son cri.
Il se releva tant bien que mal en essayant de ne pas raviver la blessure. Une cicatrice en forme d'étoile lui montra qu'une flèche lui avait traversé la cuisse. Mais elle avait été retirée.
Hulfas s'agrippa au tronc d'un cyprès et commença à se relever. Mais chacune de ses tentatives échouèrent. Et il s'écroula sur le sol pour reprendre un sommeil bien mérité.

Quand il se leva à nouveau, il le fit sans difficulté. Il voyait maintenant où il se trouvait: sur une colline au beau milieu du camps où il avait été mutilé et humilié. Il aurait préféré se trouvait sur une chaise longue à siroter le vin de son père.
Il pouvait voir l'arbre où il avait été pendu par les jambes, des centaines de tentes et une sorte de fosse de combat en construction. Mais aussi, un village entier, qui ne ressemblait pas à un repaire de malfrats. Deux gardes, en bas de la bute, le voyant debout, se précipitèrent à sa rencontre.
Le mieux armé commença:
- Bonjour, Dzern Etrangiren, moi pas parler correct la langue impérial. Toi savoir parler Dogernytt?
- Dar, dar..., répondit Hulfas. (ce qui voulait dire "Oui, oui...")
Le bandit lui expliqua qu'il devait le suivre jusqu'à la tente du chef et qu'il serait bien traiter.

En entrant dans la tente pourpre du chef bandit, Hulfas fut assaillit pat l'odeur d'encens et comprit après que l'encens était là pour cacher la puanteur du lieu ou de l'hôte. Ce dernier était le même homme qui avait crié sur les archers, quelques temps plus tôt. Il était revêtu d'un pourpoint couleur obsidienne et d'un pantalon de soie couleur sang. Un plastron d'acier et des gants de maille constituaient sa seule armure.
- Bonjour à toi, Dzern Etrangiren, que nous vaut le plaisir de votre rencontre?
- Rien de plus que le hasard, j'en suis sûr, maintenant puis-je partir?
- Mais il veut déjà s'en aller alors qu'il vient d'arriver...non, non, non,... tu ne partiras pas d'ici sans avoir fais un choix!
- Quels choix? demanda timidement Hulfas.
- Le choix premier est de payer une petite taxe pour repartir librement...l'autre choix qui se présente à toi est celui de m'affronter en duel à mort...et ton dernier choix est celui de nous rejoindre, que choisis tu, Dzern Etrangiren?
- Vous rejoindre? Vous? Qui venez de me suspendre à un arbre et de me tirer dessus mil et une flèche?
- N'exagérons point, ceci n'était fais que pour vous vous souveniez de nous.
- Ah oui, répliqua Hulfas, sentant son courage se décuplait. Et te payer, il n'en ai pas question non plus!
- Il ne te reste qu'à m'affronter...hum, tu ne manques pas de fougue mon ami, mais cela va te perdre.
- C'est une menace?
- Non, mon ami, une prédiction. Maintenant va! Va, retourne dormir, demain à l'aube mes gardes te réveilleront et te donneront des armes. Ne manque pas à ta parole, Dzern Etrangiren.
Hulfas regagna le hamac d'où il s'était réveillait à peine deux heures auparavant.

fin du premier chapitre.
lachez vos commentaires!!
 
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Chapitre 2:
Informations inquiétantes​

Guy d'Artujes sirotait tranquillement sa bière en s'interrogeant sur qui voudrait le tuer. La taverne était bourré à craquer, l'assassin pouvait surgir de partout. C'était pour cela qu'il s'étaient placé sur un banc, au coin en diagonal vers la porte d'entrée. Ainsi il voyait tout le monde et personne ne faisait attention à lui. Il avait débuter à aiguiser sa dague en silence lorsque vint le soit disant meurtrier. Un jeune garçon d'une dizaine d'année tenant une épée rouillé d'une main gauche. Guy commença à s'esclaffer quand le petit homme lui énonça la raison de son futur acte:
- Tu...vas mourir...chien...
Et il leva son arme. Guy, lui, ne se fit pas prier et d'un rapide mouvement saisit le bras de l'adolescent et se prépara à le tordre.
Mais l'aubergiste, Anne Bouleder, arriva en trombe.
- Oh! Guy! Lâche ce petiot!
- Pourquoi le ferai je?
- Il ne t'a rien fait! Voyons, Guy, tu m'as habituer à de meilleurs comportements dans mon établissement!
- Il voulait me tuer. Laisse moi avec deux minutes le temps de savoir pourquoi!
- Non, tu es une brute, je m'en occupe. Maintenant, part, ne reviens que demain!
- Soit, mais si demain...
- Arrête, allez, à demain, coupa sèchement Anne.

Le lendemain, Guy claquait la porte de l'entrée de l'auberge et appela Anne. Elle sortit de cuisine et lui fit signe de s'asseoir.
- Le petit s'nomme Alphonse Aerklav, il dit être venu pour te tuer car tu lui aurais massacré sa famille. Je lui ai dis que tu ferais jamais ça, mais le petiot veut rien attendre. Guy, dis moi que c'est pas vrai!
- Mais bien sûr que c'est pas vrai! Je ne le connais même pas! Et puis, aa-t-il une seule preuve que c'est moi le coupable?
- Y dit que des hommes portant le blason d'Artujes serait venu tuer son monde!
- Mes hommes,...impossible. Nous étions en revue et personne ne manquait à l'appel!
- Et bien, on aurait substituer votre identité!
Guy en resta abasourdi, personne, en ses vingts année de carrière ne lui avait fais ce coup là.


lachez es coms!!
 

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en effet le début est plein d'humour et bien raconté (quelques petites fautes mais bon, rien de méchant)
sinon entre le chapitre 1 et 2 on change de personnage et de lieu c'est bien çà?
oui, j'attends la petite suite qui va bien....
 

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chapitre 2 on change de perso et de lieu
effectivement
mais merci merci ^^
 

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Chapitre 2 (suite)

La pénombre était total, personne ne pouvait le voir, en même temps, il ne voyait personne non plus, mais cela donnait à sa mission une chance de réussir. Il s'accroupit et sortit une lame de lancer. Le couloir, lui, était éclairé et des bruits de pas lui signalait la présence d'un garde, voir deux. Son rythme cardiaque s'accéléra, déjà, cette sorte d'excitation arrivant avant chacun de ses assassinats lui parcourut le corps. Une seconde, il suffisait d'une seconde d'inattention et il serait démasquer. Il ne fallait pas que cela arrive.
Il se jeta sur la trajectoire de l'homme d'armes tout en lançant son dard mortel, qui fit son office. Un râle s'échappa du mourant avant qu'une deuxième dague lui perfora la tempe. Alors il s'écroula.
Cette basse besogne achevait, le tueur put franchir la porte du Roi sans soucis. Ce dernier se trouvait avec sa maîtresse masquait derrière des rideaux. Mais le tueur n'aimait pas tuer les femmes de sa main propre, il envoya un vase rempli de serpents s'en chargeait à sa place.
Puis il courut, plus vite que possible, tout en percevant que les cris de l'amant et de la maîtresse s'achevaient. Les lourds pas de course des gardes se firent entendre alors qu'il était déjà sortit du logis.
Il savait qu'il ne pourrait plus être pris. Maintenant il fallait attendre son salaire.


lachez vos coms...
 
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L'histoire et les personnages se mettent en place petit à petit. Ton écriture est fluide, malgré quelques fautes qu'il faudrait corriger.
Je trouve ce mouvement d'un lieu à l'autre sympa.
J'attends la suite.
 

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Chapitre 3:
Le Roi est mort​

"A dix heures, ce matin, une rumeur fit sombrer notre aimée capitale de l'Empire Meagnisien dans une panique chaotique. Les commerçants fermaient boutiques et partaient au fort apprendre des nouvelles, des ordres religieux d'auto-mutilation défilèrent dans la rue principale, les clercs des Neuf Bénis jurant sur les prophètes qui semblaient maintenant vouloir annoncer la fin du monde. La milice urbaine et la légion ne parvenant pas à repousser les curieux en dehors de la forteresse durent employer la force. Cette violence entraîna une émeute. Les Guildes se rassemblant pour construire des barricades.
Jamais cette ville, qui représentait la richesse, le pouvoir et la discipline de l'Empire, n'en était arrivé là.
Mais en fin de journée le calme reprit le dessus, grâce au discours du Général en chef des Légions.
Il appelait au retour au calme, énoncer les conditions de la mort du souverain et demandait vengeance. Alors, les espions furent lâchaient, cherchant partout le coupable. Mais bien sûr il ne trouvèrent rien. L'assassin de sa majesté se trouve maintenant loin, et d'après nos renseignements, les recherches ont cessé. Le Grand Prêtre ayant demander à l'héritier légitime, Huldris IX le Nain, de partir en quête contre la conspiration."


Article de Jehan LeMont, de la Gazette Koldysan.


Ormagon dégustait un rôti de porc à la moutarde et au miel, tout en lisant le journal, et découvrant que son assassin avait comme à son habitude réussit une mission périlleuse.
- Enfin, les choses bougeait, et bientôt, je serais sur le trône.
Et il s'esclaffa tout un buvant d'un trait sa bière.
 
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Hulfas se réveilla d'un sommeil agité, il avait rêvé toute la nuit de son propre meurtre. Presque toutes les façons de mourir s'étaient enchaîné à la suite dans sa crâne. Il avait transpiré et souillé ses vêtements déjà crasseux.
Un brigand vint lui en donner de propre. Un homme taillé pour la combat et la brutalité incarné, mais qui se révélait d'une incroyable serviabilité. Une chemise de lin et un pantalon de cuir lui furent ainsi offert.
Etais ce là une façon de l'habiller proprement pour son enterrement avant même que le combat eut lieu? Hulfas s'en fichait éperdument, tout ce qui contait pour lui maintenant c'était de s'en tirer sans trop d'égratignures. Mais le combat s'annonçait fatal pour lui, et il le savait. Mais à quoi bon baisser les bras et se laisser tuer sans bouger alors qu'on pouvait rendre la tache plus difficile à son adversaire.
Son "geolier" s'éloigna quelques instant pour revenir avec un vieux sabre et une minuscule bouclier rond comme les piquiers du nord utilisaient pour se défendre lorsqu'il se trouvait au corps à corps.
La lame, qui de loin paraissait en mauvais état n'en étais pas moins très affûtée. Il passa son pouce tout le long du tranchant et put voir que l'arme coupait assez bien la peau. Mais est ce que cela pourrait couper du cuir clouté. Hulfas n'en était pas sûr.
Deux autres bandits vinrent le mandé à la fosse de combat. Il les suiva, maintenant seuls les dieux auront le pouvoir de le sortir de cette impasse. Mais encore fallait il qu'ils se soucient d'un pauvre fils de forgeron.
Entré dans l'arène, Hulfas ne put contenir sa peur. Des dizaines de crâne entouré la fosse, plantés à des pieux noircis. Les sinistres têtes devaient être les vestiges de tous ceux qui avaient voulu tombé au combat.
- Je vois que tu admires mes trophées, jeune fou, lança la voix rauque du chef derrière lui, dommage que tu ne puisses les contempler plus longtemps.
- J'adorerais voir ton crâne pourrir sur un de ses pieux, assassin! tout en criant ces paroles, Hulfas avait levé son arme et frappait vers le visage du chef.
Mais ce dernier était rapide et agile malgré sa masse musculaire et il évita le coup. Tout en se fendait dans l'espoir de toucher Hulfas, le colosse lui décrivit les différents processus pour faire ses soit disant trophées:
- ...vois tu? Il faut d'abord prendre la tête et la laisser baigner dans le formol deux trois jours...
Hulfas para et envoya son talon écrasait le pied du colosse. Celui ci n'apprécia guère et se jeta dans une série de coup qui aurait put être fatal si il visait plus juste.
- ...ceci ne sert en fait qu'à nous laisser le temps de ripailler de ma victoire dans quelques petites fêtes. Ensuite, nous la plantons sur une branche, qui, au préalable a été tailler en pointe. Nous faisons cramer le tout puis nous les entreposons ici. C'est tout simple, tu vois?
Hulfas, se dégagea, puis dans un effort tyrannisant il bondit et essaya de maîtrisait le chef des bandits, en vain.
Ce dernier, lui décocha un coups à la mâchoire. Celle ci craqua au grand désespoir d'Hulfas. Il eut beau tenté de se dégagé de l'entreinte du colosse, il n'y parvint pas. Et le pire était que son adversaire avait posé sa lame sur sa gorge.
- Ta tête se rajoutera ma collection, la fougue t'a perdu.
Hulfas se sentit soudain las de la vie, le desespoir l'envahit. Son existence aura été courte. Il se rappela des moments heureux de sa vie. Le jour où son père lui avait appris à manier le soufflet, le marteau et le fer pour forgé des armes ou des outils. Le jour où il lui avait offert des tenailles d'acier et un marteau de plomb. Le jour où...une voyante était passé dans son village et lui avait annoncé que sa vie serait pleins de tourments et que sa destinée serait d'accomplir de grandes choses et de vivre vieux, très vieux.
- NON! Je ne peux pas mourir ainsi, rugit il en poussant par une force nouvelle le corps désirant de meurtres du brigand.
Hulfas saisit son sabre et frappa, frappa et frappa le colosse à terre, jusqu'à que celui ci ne bouge plus...
 
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sa m'a beaucoup plus!;)
je trouve que c'est bien raconter et tu ne lasse pas le lecteur! on est dans l'histoire et c'est assez passionant!:rolleyes:
j'espère pouvoir lire la suite prochainement!;)
 

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Guy d'Artujes chiquait du tabac tout en marchant tout devant une colonne d'une centaine de miliciens. Son lieutenant, Rodekarl, lui tapota l'épaule pour qu'il se retourne. Il le fit et découvrit que son subalterne était rouge et transpiré à chaudes gouttes.
- Oui, lieutenant?
- Monsieur, faisons une pause, voilà des heures que nous marchons à travers cette jungle sans fin et nous ne trouvons que arbres, arbres et arbres. Les hommes sont autant fatigué que moi, messire.
- Bien, répondit Guy avant de crier à ses hommes: Halte!
Ils s'installèrent dans une clairière proche.
- Qu'on monte le camps, ordonna Rodekarl.
- Lieutenant, suivez moi.
- Oui, sir.
Il l'emmena à l'écart et débuta une conversation des plus gênante pour lui.
- Officier Rodekarl Huyn, pensez vous que mes soldats sont pour mes recherches?
- Nous serons avec vous jusqu'à la mort, sire!
- Rodekarl! Ne parlez pas le language apprit à l'Académie Militaire avec moi, mes soldats sont il pour cette recherche?
- Euh...puisque vous me le permettez, sir...non...la plupart sont contre, archi-contre.
- Pourquoi, Rodekarl?
- Nous savons tous...que ce ne sont pas nos hommes qui ont massacré les parents de ce jeune homme, alors pour nous...c'est recherche...ne servent à rien, messire.
- Je pensais avoir sous mon commandement des gens qui aient un peu de cervelle...au camp, lieutenant!
L'officier partit le plus vite possible au camp. Comment ses hommes pouvaient être aussi stupides. Comment pouvaient ils se ratacher à leur fierté de cette façon, en croyant que personne ne pourraient usurpé leurs identités par de fausses cotes d'armes.
Guy retourna auprès de ses miliciens, exaspéré. Les infâmes renégats qui étaient derrière tout ça devaient bien rire s'ils pouvaient les voir. "Des soldats débiles et un vétéran hébété, quels beaux mariages de pigeons!"
Mais il ne comptait pas les laisser le ridiculiser.
Il fallait qu'il redresse le moral de ces troupes, et il le ferait!
 

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toujours aussi fan de l'histoire, j'aime beaucoup, continue!;)
 

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Olgar ne parvenait pas à dormir, son patron ne lui avait toujours pas fait le moins signe de vie. Il n'y avait que deux choses possibles: il a été retardé par quelques effacement de preuves compromettantes ayant mal tourné, dans ce cas là, Olgar savait que son employeur s'en tirerai, mais la deuxième possibilité était pour lui plus inquiétante, le complot aurait put être découvert et ses supérieurs exécutés. Cela mettrais un therme à l'espoir que Olgar s'était forgé: jamais il ne reverrais sa mie, son aimée, sa promise. Personne ne pourrais la retrouver. Même pas lui. Pourquoi les dieux lui avaient donné ce gagne pain ci pour vivre et aimer. Tuer, il s'en serais passer s'y il n'avait pas été élevé par un chef de bande de la pègre de Koldys.
Maintenant, il était voué à la damnation promis par les Neufs à ceux qui enlèvent la vie pour l'argent. Son dernier crime, la personne royal de Olfrez le Deuxième, dit le Bon, ne lui avait coûté que quelques égratinures, les défenses du Palais du Roi étant petites. Ce roi croyait au principe de la muraille populaire: "Si le peuple m'aime, ils me défendront." mais Olgar l'avait tué tout de même. Enfin, ses petits l'avaient tués. Des serpents venant de par delà les Monts Rouge. Si venimeux que personne n'avait osé apparavant à les attraper et s'en servir.
Olgar était fier de ses exploits, quoique qu'ils soient bien noirs.
Mais maintenant une seule chose le turlupiner. Quand reverrait il Tuliah? Serait elle morte ou bien vivante? L'aura t on violée? Souillé? Tuée?
Il ne le saura jamais tant qu'il restait caché dans les égouts.
Olgar se rua tout d'un coup, vers l'escalier, remontant à la surface.
 
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N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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