DeletedUser
Guest
Ici un petit Rp solo pour m'exercer, à vos commentaires =)
-Youhou, il y a quelqu'un?
Liberty enclencha la poignée plusieurs fois, désespérément. Cette foutue bibliothèque était toujours ouverte et le jour où elle s'arrangeait pour venir -elle n'en avez pas souvent l'occasion-, la voilà fermée. Tant pis, elle passa "au plan B".
-C'était pas prévu, mais il faut absolument que je fasse des recherches, ur-gen-tes.
Elle enleva deux pinces de sa chevelure, laissant ces cheveux châtains retomber, et commença à traficoter la serrure. Rapidement, la porte s'ouvrit Elle grinça et laissa entrer Liberty. Celle-ci se dirigea vers les étagères qui l'intéressaient tout en songeant au vide qui emplissait la bibliothèque. Ils étaient toujours au moins trois à l'intérieur à lire et relire des ouvrages scientifiques...
Peu importe, elle y réfléchira plus tard. L'important était de trouver le livre dont elle avait besoin. Quoi de mieux pour comprendre un livre qu'un autre livre? Bien sûr, ce n'était pas un dictionnaire qu'elle était venue chercher, il est vrai que c'est un livre pour en expliquer un autre mais il était question ici de quelque chose de beaucoup plus sérieux qu'un simple problème de vocabulaire.
Le voilà, elle l'a trouvé. Liberty posa le livre en question sur la table. Une angoisse s'empara d'elle, une intuition. Le livre reposant face à elle avait des airs de faux amis. Elle secoua la tête.
Ce maudit livre dont elle voulait comprendre le fonctionnement était le tristement fameux "Voyage de mystères", qui absorbe les gens qui ont le malheur de lire jusqu'au bout. Ce dernier est tellement fascinant que ses lecteurs souhaitent à tout prix connaître l'histoire de fond en comble; pour réaliser ce souhait, le livre aspirerais le lecteur pour qu'il voit le monde de ses propres yeux...
Seulement voilà que le livre a pris son père et son frère, et elle comptait bien lui résister. Elle n'avait pas lu une seule page, par prudence et pourtant, la couverture même du livre l'attirait. Maintenant qu'il était enfermé dans son armoire, il ne pouvait plus grand-chose sinon s'infiltrer dans ses rêves, lui murmurant dans son sommeil toute la splendeur de ses pages. Le livre qu'elle ouvrait était une œuvre explicative du livre qui la hantait. Elle sourit à la phrase "C'est un livre très absorbant" puis souffla:
-T'as pas idée à qu'elle point.
-Si, justement.
Liberty sursauta et se retourna aussi sec, pour découvrir avec étonnement, que cet personne était...
Liberty enclencha la poignée plusieurs fois, désespérément. Cette foutue bibliothèque était toujours ouverte et le jour où elle s'arrangeait pour venir -elle n'en avez pas souvent l'occasion-, la voilà fermée. Tant pis, elle passa "au plan B".
-C'était pas prévu, mais il faut absolument que je fasse des recherches, ur-gen-tes.
Elle enleva deux pinces de sa chevelure, laissant ces cheveux châtains retomber, et commença à traficoter la serrure. Rapidement, la porte s'ouvrit Elle grinça et laissa entrer Liberty. Celle-ci se dirigea vers les étagères qui l'intéressaient tout en songeant au vide qui emplissait la bibliothèque. Ils étaient toujours au moins trois à l'intérieur à lire et relire des ouvrages scientifiques...
Peu importe, elle y réfléchira plus tard. L'important était de trouver le livre dont elle avait besoin. Quoi de mieux pour comprendre un livre qu'un autre livre? Bien sûr, ce n'était pas un dictionnaire qu'elle était venue chercher, il est vrai que c'est un livre pour en expliquer un autre mais il était question ici de quelque chose de beaucoup plus sérieux qu'un simple problème de vocabulaire.
Le voilà, elle l'a trouvé. Liberty posa le livre en question sur la table. Une angoisse s'empara d'elle, une intuition. Le livre reposant face à elle avait des airs de faux amis. Elle secoua la tête.
Ce maudit livre dont elle voulait comprendre le fonctionnement était le tristement fameux "Voyage de mystères", qui absorbe les gens qui ont le malheur de lire jusqu'au bout. Ce dernier est tellement fascinant que ses lecteurs souhaitent à tout prix connaître l'histoire de fond en comble; pour réaliser ce souhait, le livre aspirerais le lecteur pour qu'il voit le monde de ses propres yeux...
Seulement voilà que le livre a pris son père et son frère, et elle comptait bien lui résister. Elle n'avait pas lu une seule page, par prudence et pourtant, la couverture même du livre l'attirait. Maintenant qu'il était enfermé dans son armoire, il ne pouvait plus grand-chose sinon s'infiltrer dans ses rêves, lui murmurant dans son sommeil toute la splendeur de ses pages. Le livre qu'elle ouvrait était une œuvre explicative du livre qui la hantait. Elle sourit à la phrase "C'est un livre très absorbant" puis souffla:
-T'as pas idée à qu'elle point.
-Si, justement.
Liberty sursauta et se retourna aussi sec, pour découvrir avec étonnement, que cet personne était...
***
L'auteur même du livre. Un homme de taille et de corpulence moyenne que l'on devinait vieux uniquement à cause de ses cheveux blancs. Ses yeux verts pétillaient d'une malice inouïe.
-Figures-toi, jeune fille, que je me suis fait absorbé et si mon livre n'est pas la réponse à la question, son auteur l'a.
-Comment avait-vous fait pour...
-Pour ressortir? Je crois que c'est assez simple, celui qui y rentre n'a qu'a désirer en sortir.
Cet homme l'irritait, non seulement il se croyait malin et il coupait ses phrases mais en plus il venait de lui dire que son père et son frère sortiront quand ils le voudraient réellement, c'est-à-dire que s'ils désiraient la voir, il n'avait qu'a dire que ce livre était odieux. Ils devraient être à ses côtés!
Elle reprit son calme. L'écrivain pouvait l'aider.
-Avez-vous une idée pour que je retrouve ma famille? Comment puis-je faire pour les ramener? Ils me manquent tant!
-Tu pourrait simplement attendre ou alors tu rentre dans le livre, tu les trouves et tu les convainc de haïr ce livre autant que toi. Mais c'est plus risqué, évidemment.
-Ce monde est dangereux...?
-Oui, c'est peut-être pour ça que ta famille n'est pas revenue. Ils sont sûrement morts.
-NON!!! ILS SONT EN VIE, OK? Et je vais aller les chercher!
-D'accord, sais-tu te battre? Survivre en terre hostile? Te nourrir dans la nature? Te diriger? Fabriquer des pièges? Organiser une résistance? Concevoir des plans? Connais-tu...
-NON! Non, non et non. coupa Liberty. Je ne sais rien faire de tout cela.
-Alors, apprends.
-Comment, vous pouvez me l'apprendre tout cela, vous?
-Non, les livres le peuvent. Je t'indiquerai les choses à savoir. Quand tu sera prête, si les membres de ta famille sont toujours aux abonnés absents, tu lira le maudit livre qui te les a enlevés.
Liberty réfléchit, l'occasion de suivre un entrainement pareil ne se présentait pas tout les jours. Et il fallait qu'elle retrouve les deux hommes de sa vie avant qu'ils fassent une boulette comme ils le font des qu'elle a le dos tourné.
-Entendu. Je m'engage a suivre votre entrainement quitte a faire des choses stupides.
-Tu commencera par te mettre dans la tête que les choses qui paraissent stupides ne le sont pas si cela donne un résultat.
Liberty s'inclina devant son maître. Elle allait pouvoir apprendre a vivre et surtout survivre dans un monde parallèle, de quoi la motiver pour quelques temps.
-Tu commencera par apprendre a te battre a main nues.
Il posa un énorme livre sur une table.
-La-dedans repose la sagesse de quatre sports de combats a main nues que tu dois apprendre a maitriser.
-Mais, il est en espagnole!
-Justement, c'est la seule langue qui est parlé dans le monde que tu vas affronter, alors apprends.
L'auteur même du livre. Un homme de taille et de corpulence moyenne que l'on devinait vieux uniquement à cause de ses cheveux blancs. Ses yeux verts pétillaient d'une malice inouïe.
-Figures-toi, jeune fille, que je me suis fait absorbé et si mon livre n'est pas la réponse à la question, son auteur l'a.
-Comment avait-vous fait pour...
-Pour ressortir? Je crois que c'est assez simple, celui qui y rentre n'a qu'a désirer en sortir.
Cet homme l'irritait, non seulement il se croyait malin et il coupait ses phrases mais en plus il venait de lui dire que son père et son frère sortiront quand ils le voudraient réellement, c'est-à-dire que s'ils désiraient la voir, il n'avait qu'a dire que ce livre était odieux. Ils devraient être à ses côtés!
Elle reprit son calme. L'écrivain pouvait l'aider.
-Avez-vous une idée pour que je retrouve ma famille? Comment puis-je faire pour les ramener? Ils me manquent tant!
-Tu pourrait simplement attendre ou alors tu rentre dans le livre, tu les trouves et tu les convainc de haïr ce livre autant que toi. Mais c'est plus risqué, évidemment.
-Ce monde est dangereux...?
-Oui, c'est peut-être pour ça que ta famille n'est pas revenue. Ils sont sûrement morts.
-NON!!! ILS SONT EN VIE, OK? Et je vais aller les chercher!
-D'accord, sais-tu te battre? Survivre en terre hostile? Te nourrir dans la nature? Te diriger? Fabriquer des pièges? Organiser une résistance? Concevoir des plans? Connais-tu...
-NON! Non, non et non. coupa Liberty. Je ne sais rien faire de tout cela.
-Alors, apprends.
-Comment, vous pouvez me l'apprendre tout cela, vous?
-Non, les livres le peuvent. Je t'indiquerai les choses à savoir. Quand tu sera prête, si les membres de ta famille sont toujours aux abonnés absents, tu lira le maudit livre qui te les a enlevés.
Liberty réfléchit, l'occasion de suivre un entrainement pareil ne se présentait pas tout les jours. Et il fallait qu'elle retrouve les deux hommes de sa vie avant qu'ils fassent une boulette comme ils le font des qu'elle a le dos tourné.
-Entendu. Je m'engage a suivre votre entrainement quitte a faire des choses stupides.
-Tu commencera par te mettre dans la tête que les choses qui paraissent stupides ne le sont pas si cela donne un résultat.
Liberty s'inclina devant son maître. Elle allait pouvoir apprendre a vivre et surtout survivre dans un monde parallèle, de quoi la motiver pour quelques temps.
-Tu commencera par apprendre a te battre a main nues.
Il posa un énorme livre sur une table.
-La-dedans repose la sagesse de quatre sports de combats a main nues que tu dois apprendre a maitriser.
-Mais, il est en espagnole!
-Justement, c'est la seule langue qui est parlé dans le monde que tu vas affronter, alors apprends.
***
Sur la plaine jouxtant à la maison de Liberty, était regroupés les plus forts de sa région dans les catégories suivantes: kung fu, karaté, judo, jujitsu, boxe, canne de combat, escrime, tir à l'arc, combat à la hache, à l'épée, à la double épée et à la lance. Douze professionnels que Tom Hack -l'auteur- avait mis au défi de battre la jeune fille. Cela faisait seulement un mois qu'elle avait commencé l'entraînement mais son maître lui avait assuré qu'elle en était capable. Elle avait travaillé tout les jours, du levé du soleil à son couché et après un jour de repos le jour précédent, elle se sentait plus en forme que jamais.
Le maître de la canne de combat s'avança en premier. Liberty prit donc une canne et se plaça face à son adversaire. Angoissée à l'idée qu'elle n'avait appris que part les livres alors que l'homme qui faisait deux fois sa taille l'avait appris des années durant en pratique et non en théorie, elle s'inclina. L'homme la salua de même et le combat commença. Les coups pleuvait dans tout les sens, les parades s'enchaînaient, éviter, attaquer, tourner, changer de tactique, utiliser quelques bottes secrètes, tout cela s'enchainait à une vitesse affolante. Cinq minutes plus tard, le combat s'achevait. Et l'on pouvait voir Liberty gagnante, en plein extase devant cette réussite inattendue. Cet auteur fou avait donc raison!?
Quelques heures plus tard, Liberty s'était battue contre les douze maître. Elle s'inclina devant tout ces gens formidables. Elle avait perdue au tir à l'arc, à la lance et au jujitsu. Les maîtres de ces catégories s'engagèrent à revenir le lendemain pour lui enseigner les notions qui lui manquaient. La jeune femme n'en revenait toujours pas, les livres avait un réelle pouvoir si on leur portait assez d'attention...
Une fois qu'elle eut comblés ses lacunes avec les maîtres qui l'avaient gagnés, elle alla voir l'auteur.
-Bonsoir maître, alors, je pars demain?
-Peut-être. Assise.
-Je ne suis pas un chien.
Pas de réponse. L'auteur ignora la remarque. Liberty s'assit en soupirant, toujours la même rengaine. Son maître lui montra une casserole du doigt.
-Du porc au caramel, tu verra, c'est délicieux.
-On va voir ça.
-Alors?
-Ce n'est pas bon.
-Ah, fit l'auteur, déçut.
-C'est plus que bon, c'est excellent, tu me ressert?
-Avec grand plaisir, fit-il avec un sourire.
La soirée passa tranquillement. Ils discutèrent de tout et de rien, puis la question revint.
-Je pars quand?
-On va voir ça... Habla español?* (*Parles-tu espagnol?)
-Si, señor!** (**Oui monsieur!)
-Bien, sais-tu te battre?
-Oui.
-Trouver de la nourriture dans tout les endroits, que ce soit une grotte ou un désert?
-Oui.
-Te diriger grâce au soleil ou aux étoiles?
-Oui.
-Fabriquer des pièges, que se soit pour un lapin ou pour une créture massive ou rapide?
-Re-Oui.
-Comment survivre, monter un camps faire du feu, protéger la zone où tu dors, organiser des tours de garde?
-Non... Je plaisante! Bien sûr que oui.
-Et tout le reste?
-Oui puissance quinze.
-Mais sais-tu comment tu vas retrouver ton père et ton frère?
-Je... non.
-Laisse-moi te le dire...
Le vieil homme lui murmura son secret à l'oreille et une lumière se mit à briller dans les yeux de Liberty.
-Alors ça je sais faire, aucun souci!!
Et ils rigolèrent ensemble tandis que le soleil se couchait...
Sur la plaine jouxtant à la maison de Liberty, était regroupés les plus forts de sa région dans les catégories suivantes: kung fu, karaté, judo, jujitsu, boxe, canne de combat, escrime, tir à l'arc, combat à la hache, à l'épée, à la double épée et à la lance. Douze professionnels que Tom Hack -l'auteur- avait mis au défi de battre la jeune fille. Cela faisait seulement un mois qu'elle avait commencé l'entraînement mais son maître lui avait assuré qu'elle en était capable. Elle avait travaillé tout les jours, du levé du soleil à son couché et après un jour de repos le jour précédent, elle se sentait plus en forme que jamais.
Le maître de la canne de combat s'avança en premier. Liberty prit donc une canne et se plaça face à son adversaire. Angoissée à l'idée qu'elle n'avait appris que part les livres alors que l'homme qui faisait deux fois sa taille l'avait appris des années durant en pratique et non en théorie, elle s'inclina. L'homme la salua de même et le combat commença. Les coups pleuvait dans tout les sens, les parades s'enchaînaient, éviter, attaquer, tourner, changer de tactique, utiliser quelques bottes secrètes, tout cela s'enchainait à une vitesse affolante. Cinq minutes plus tard, le combat s'achevait. Et l'on pouvait voir Liberty gagnante, en plein extase devant cette réussite inattendue. Cet auteur fou avait donc raison!?
Quelques heures plus tard, Liberty s'était battue contre les douze maître. Elle s'inclina devant tout ces gens formidables. Elle avait perdue au tir à l'arc, à la lance et au jujitsu. Les maîtres de ces catégories s'engagèrent à revenir le lendemain pour lui enseigner les notions qui lui manquaient. La jeune femme n'en revenait toujours pas, les livres avait un réelle pouvoir si on leur portait assez d'attention...
Une fois qu'elle eut comblés ses lacunes avec les maîtres qui l'avaient gagnés, elle alla voir l'auteur.
-Bonsoir maître, alors, je pars demain?
-Peut-être. Assise.
-Je ne suis pas un chien.
Pas de réponse. L'auteur ignora la remarque. Liberty s'assit en soupirant, toujours la même rengaine. Son maître lui montra une casserole du doigt.
-Du porc au caramel, tu verra, c'est délicieux.
-On va voir ça.
-Alors?
-Ce n'est pas bon.
-Ah, fit l'auteur, déçut.
-C'est plus que bon, c'est excellent, tu me ressert?
-Avec grand plaisir, fit-il avec un sourire.
La soirée passa tranquillement. Ils discutèrent de tout et de rien, puis la question revint.
-Je pars quand?
-On va voir ça... Habla español?* (*Parles-tu espagnol?)
-Si, señor!** (**Oui monsieur!)
-Bien, sais-tu te battre?
-Oui.
-Trouver de la nourriture dans tout les endroits, que ce soit une grotte ou un désert?
-Oui.
-Te diriger grâce au soleil ou aux étoiles?
-Oui.
-Fabriquer des pièges, que se soit pour un lapin ou pour une créture massive ou rapide?
-Re-Oui.
-Comment survivre, monter un camps faire du feu, protéger la zone où tu dors, organiser des tours de garde?
-Non... Je plaisante! Bien sûr que oui.
-Et tout le reste?
-Oui puissance quinze.
-Mais sais-tu comment tu vas retrouver ton père et ton frère?
-Je... non.
-Laisse-moi te le dire...
Le vieil homme lui murmura son secret à l'oreille et une lumière se mit à briller dans les yeux de Liberty.
-Alors ça je sais faire, aucun souci!!
Et ils rigolèrent ensemble tandis que le soleil se couchait...
***
Liberty ouvrit fébrilement l'armoire qui emprisonnait le livre maudit. Elle déglutit en l'ouvrant, installée dans son canapé. Elle fut très vite captivée par le récit extraordinaire qui s'offrait à elle.
Certes, elle avait appris beaucoup, mais cela ne sera pas suffisant si elle est désarmé devant un dragon ou un truc du genre. Au moins, elle courait vite... Rien n'était certain, l'auteur du livre explicatif de ce livre là n'était sortit que par un coup de chance, et elle devrai sans doute traverser le continent d'Öyazz entier pour retrouver son père et son frère, s'il étaient vivants. Ce qu'elle espérait de toute son âme.
Au bout de deux heures pendant lesquelles elle avait lut à une vitesse affolante, Liberty se retrouva face au mot FIN qui ornait l'ultime page du livre. Elle s'endormit d'un seul coup tandis que son mentor la regardait disparaître avec fascination.
Un seau d'eau réveilla la jeune femme. Celle-ci se retrouva face à une femme aux longs cheveux châtains et violets, dont les yeux améthystes semblaient briller dans le levé du soleil.
-Debout, petite humaine!
-Vous... pourquoi vous m'appelez comme ça? Vous êtes humaine, non?
-Seulement la nuit.
A ces mots, les rayons du soleil touchèrent l'inconnue qui se métamorphosa en une ravissante jument dont les yeux et les reflets de sa crinière violets se détachaient joliment du noir ébène qui ornait sa robe. Liberty comprit qu'elle était tombé en plein cœur de la tribu qu'elle préférait, les Sïquals. Des créatures qui changeaient d'apparence selon le jour ou la nuit. Elle en resta bouche-bée.
-Grimpe, mon nom est Onomotopaya. Dépêches, j'ai pas toute le journée.
Liberty monta sur la jument et observa les lieux. C'était exactement comme elle l'avait imaginé. Un village similaire à une cité maya, semblable au Machu Picchu. Des animaux de toutes sortes se baladaient. Elle reconnut non loin un faune, personnage secondaire mais néanmoins important de l'histoire, qui regardait dans sa direction. On l'emmenait sans doute devant la chef du village, vieille humaine aux pouvoirs guérisseurs le jour, vieille chouette la nuit. Ce peuple ne dormait jamais.
Comme l'avait présumé Liberty, elle se retrouva devant la vieille femme, qui accueillie avec un sourire énigmatique.
-Approches, jeune humaine. Mmmmh, oui, ce serait possible, j'en suis certaine. Oui... Je pense que c'est parfait.
La sage femme parlait seule -en espagnole évidemment- tout en analysant Liberty. Cette dernière avait peur de comprendre car ce personnage avait réagi de cette façon devant l'héroïne du livre. Et dans ce cas, elle avait de quoi stresser.
-Amenez-la dans le temple, on va s'occuper de son cas. Je pense qu'elle pourra parfaitement supporter le rituel.
Liberty eut à peine le temps de penser "Eh merde, à peine arrivé à Öyazz et je suis déjà dans un pétrin pas possible...Fait chier!!" qu'elle se retrouva devant les portes du lieu-dit. En proie à une panique insatiable, elle ne pensa même pas à se débattre. Elle aurait pût s'enfuir sans problème, seulement, quelque part, elle voulait subir le rituel et devenir une Sïqualle. Elle voulait savoir quel animal était enfoui en elle. Elle voulait prendre le risque. Si le rituel était un échec, elle mourra mais dans le cas contraire, ce nouveau pouvoir pourrait changer sa vie.
Elle devait tenter le coup.
Liberty ouvrit fébrilement l'armoire qui emprisonnait le livre maudit. Elle déglutit en l'ouvrant, installée dans son canapé. Elle fut très vite captivée par le récit extraordinaire qui s'offrait à elle.
Certes, elle avait appris beaucoup, mais cela ne sera pas suffisant si elle est désarmé devant un dragon ou un truc du genre. Au moins, elle courait vite... Rien n'était certain, l'auteur du livre explicatif de ce livre là n'était sortit que par un coup de chance, et elle devrai sans doute traverser le continent d'Öyazz entier pour retrouver son père et son frère, s'il étaient vivants. Ce qu'elle espérait de toute son âme.
Au bout de deux heures pendant lesquelles elle avait lut à une vitesse affolante, Liberty se retrouva face au mot FIN qui ornait l'ultime page du livre. Elle s'endormit d'un seul coup tandis que son mentor la regardait disparaître avec fascination.
Un seau d'eau réveilla la jeune femme. Celle-ci se retrouva face à une femme aux longs cheveux châtains et violets, dont les yeux améthystes semblaient briller dans le levé du soleil.
-Debout, petite humaine!
-Vous... pourquoi vous m'appelez comme ça? Vous êtes humaine, non?
-Seulement la nuit.
A ces mots, les rayons du soleil touchèrent l'inconnue qui se métamorphosa en une ravissante jument dont les yeux et les reflets de sa crinière violets se détachaient joliment du noir ébène qui ornait sa robe. Liberty comprit qu'elle était tombé en plein cœur de la tribu qu'elle préférait, les Sïquals. Des créatures qui changeaient d'apparence selon le jour ou la nuit. Elle en resta bouche-bée.
-Grimpe, mon nom est Onomotopaya. Dépêches, j'ai pas toute le journée.
Liberty monta sur la jument et observa les lieux. C'était exactement comme elle l'avait imaginé. Un village similaire à une cité maya, semblable au Machu Picchu. Des animaux de toutes sortes se baladaient. Elle reconnut non loin un faune, personnage secondaire mais néanmoins important de l'histoire, qui regardait dans sa direction. On l'emmenait sans doute devant la chef du village, vieille humaine aux pouvoirs guérisseurs le jour, vieille chouette la nuit. Ce peuple ne dormait jamais.
Comme l'avait présumé Liberty, elle se retrouva devant la vieille femme, qui accueillie avec un sourire énigmatique.
-Approches, jeune humaine. Mmmmh, oui, ce serait possible, j'en suis certaine. Oui... Je pense que c'est parfait.
La sage femme parlait seule -en espagnole évidemment- tout en analysant Liberty. Cette dernière avait peur de comprendre car ce personnage avait réagi de cette façon devant l'héroïne du livre. Et dans ce cas, elle avait de quoi stresser.
-Amenez-la dans le temple, on va s'occuper de son cas. Je pense qu'elle pourra parfaitement supporter le rituel.
Liberty eut à peine le temps de penser "Eh merde, à peine arrivé à Öyazz et je suis déjà dans un pétrin pas possible...Fait chier!!" qu'elle se retrouva devant les portes du lieu-dit. En proie à une panique insatiable, elle ne pensa même pas à se débattre. Elle aurait pût s'enfuir sans problème, seulement, quelque part, elle voulait subir le rituel et devenir une Sïqualle. Elle voulait savoir quel animal était enfoui en elle. Elle voulait prendre le risque. Si le rituel était un échec, elle mourra mais dans le cas contraire, ce nouveau pouvoir pourrait changer sa vie.
Elle devait tenter le coup.
***
Le rituel commença, la tension était palpable dans ce silence parfait. De la bonne volonté rendaient les choses plus faciles et moins douloureuses; Liberty avait donc décidé de ne souffrir aucune résistance. Elle s'installa au milieu du soleil en début d'eclipse dessiné au sol et posa ses mains sur ses genoux.
Les prêtres de l'Eclipse tendirent un draps troué en son centre au dessus d'elle et le menèrent jusqu'au sol, le releverent ensuite. A présent, la lune occupait un tiers du soleil. Ils repeterent l'opération jusqu'a ce que la lune recouvre totalement l'astre lumineux.
Puis, il prirent un autre drap, orné de symboles mythiques, et attachèrent Liberty a l'eclipse. Aussitôt attachée, elle fut absorbé par les astres. Si elle était rejetée de ceux-ci avant le coucher du soleil, elle mourra.
***
Une eau noir et épaisse entourait l'îlot blanc où s'était refugiée Liberty. Plus aucune notion du temps, plus de bruit, plus d'odeur... Ses sens se perdaient au fur et a mesure. Dans le livre, il n'était pas écrit comment l'héroïne s'en sortait et cela embêtait bien Liberty. Soudain, alors qu'elle venait de perdre le sens du toucher, une lumière vive venant d'en dessous de l'eau l'eclaira. Elle se pencha et vit des ombres diformes qui erraient autour de l'objet qui diffusait la lumiere en question.
Il était profondement enfoui sous l'eau et les ombres qui tournoyaient autour n'avaient rien de rassurant. Et au lieu de la fasciner, la Lumière la dégoutait. Et si ces ombres était ceux qui avaient échoués? Et si c'était les silhouettes de personnes qui tournaient autour de son billet de sortie.*
Liberty mît un pied dans l'eau, elle n'était ni chaude ni froide alors qu'elle était glaciale il y a peu. Sans doute l'était-elle toujours mais les sentations de Liberty perdues. Peu importe, elle allait rejoindre cette Lumière et aller à l'inverse de ses choix. Elle sauta rejoindre les méandres de la Lumière.*
Elle la rejoignit plus vite qu'elle ne le pensait mais... Lorsqu'elle arriva a la lumiere, elle vit celle-ci sur un plafond et qu'elle respirait. Elle venait de rejoindre l'autre coté qui était exactement comme celui qu'elle avait quitté.*
-Wow, la j'y comprends plus rien.
L'îlot blanc était la et les silhouettes avaient disparues. Non. Il en restait une, assise sur le bout de terre. Liberty s'assit a côté de l'ombre et frémit en la frôlant: elle etait brulante. (Ses sens était-ils revenus?) Et elle semblait pleurer, des larmes noires, semblables a l'eau flottante. Oui. C'était bien ses larmes qui emplissait le... Lac?
Malgré la douleur causé par la température élevée de la créature, Liberty sécha ses larmes et la consola. L'âme alors cessa de pleurer et s'eleva dans les airs. Elle traversa la Lumiere qui chuta alors vers l'eau. Liberty la rattrapa.
Le rituel commença, la tension était palpable dans ce silence parfait. De la bonne volonté rendaient les choses plus faciles et moins douloureuses; Liberty avait donc décidé de ne souffrir aucune résistance. Elle s'installa au milieu du soleil en début d'eclipse dessiné au sol et posa ses mains sur ses genoux.
Les prêtres de l'Eclipse tendirent un draps troué en son centre au dessus d'elle et le menèrent jusqu'au sol, le releverent ensuite. A présent, la lune occupait un tiers du soleil. Ils repeterent l'opération jusqu'a ce que la lune recouvre totalement l'astre lumineux.
Puis, il prirent un autre drap, orné de symboles mythiques, et attachèrent Liberty a l'eclipse. Aussitôt attachée, elle fut absorbé par les astres. Si elle était rejetée de ceux-ci avant le coucher du soleil, elle mourra.
***
Une eau noir et épaisse entourait l'îlot blanc où s'était refugiée Liberty. Plus aucune notion du temps, plus de bruit, plus d'odeur... Ses sens se perdaient au fur et a mesure. Dans le livre, il n'était pas écrit comment l'héroïne s'en sortait et cela embêtait bien Liberty. Soudain, alors qu'elle venait de perdre le sens du toucher, une lumière vive venant d'en dessous de l'eau l'eclaira. Elle se pencha et vit des ombres diformes qui erraient autour de l'objet qui diffusait la lumiere en question.
Il était profondement enfoui sous l'eau et les ombres qui tournoyaient autour n'avaient rien de rassurant. Et au lieu de la fasciner, la Lumière la dégoutait. Et si ces ombres était ceux qui avaient échoués? Et si c'était les silhouettes de personnes qui tournaient autour de son billet de sortie.*
Liberty mît un pied dans l'eau, elle n'était ni chaude ni froide alors qu'elle était glaciale il y a peu. Sans doute l'était-elle toujours mais les sentations de Liberty perdues. Peu importe, elle allait rejoindre cette Lumière et aller à l'inverse de ses choix. Elle sauta rejoindre les méandres de la Lumière.*
Elle la rejoignit plus vite qu'elle ne le pensait mais... Lorsqu'elle arriva a la lumiere, elle vit celle-ci sur un plafond et qu'elle respirait. Elle venait de rejoindre l'autre coté qui était exactement comme celui qu'elle avait quitté.*
-Wow, la j'y comprends plus rien.
L'îlot blanc était la et les silhouettes avaient disparues. Non. Il en restait une, assise sur le bout de terre. Liberty s'assit a côté de l'ombre et frémit en la frôlant: elle etait brulante. (Ses sens était-ils revenus?) Et elle semblait pleurer, des larmes noires, semblables a l'eau flottante. Oui. C'était bien ses larmes qui emplissait le... Lac?
Malgré la douleur causé par la température élevée de la créature, Liberty sécha ses larmes et la consola. L'âme alors cessa de pleurer et s'eleva dans les airs. Elle traversa la Lumiere qui chuta alors vers l'eau. Liberty la rattrapa.
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