Proseman!

  • Auteur de la discussion peponi
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PROSEMAN PRESENTE:

les délires de proseman! Si vous arriver à suivre vous êtes fort, et pour le ptit truc, c'est Odaniel qui m'a donné l'idée au lieu de faire sa sur le chat donc si vous haïssez ce texte, vous savez qui allait voir!:D





Oh cruel destin, destin qui m'a fait perdre l'unique raison de ma présence en ce monde, toi qui a été sourd à toutes mes souffrances. Pourquoi une haine si grande pour une âme si pur? Je m'était laissé envoûté par le délice charnelle, et, alors que je rompait avec la pureté de l'âme et que je tombait dans le pêché, tu m'as brisé! Je suivais un idéal pourtant si noble, conquérir un cœur, mais de ton inexorable pouvoir, tu m'as trucidé toute espoir de survie. En homme de qualité, je me rangeais parmi l'élite de cette société si futile, ou l'apparence compte bien plus que l'esprit, mais dans cet univers factice, alors que l'on venait de dévoiler toute la perversion de mon esprit, je fus haie et rejeté de cette bonne société! Je n'étais pourtant point perverti à ce point, mais j'ai juste subi, la traitrise de personne scrupuleuse, qui pour un sou, vous aurez dévoré et jeté dans les enfers! De quel crime odieux étais je condamné? Je n'étais en réalité que voué à l'exclusion parce que j'eus osé, dévoiler mon intimité, le fond de mon esprit. En homme de qualité, c'était mon devoir de tout tenter pour récupérer la femme qui fut mienne, et qui, parti pour les colonies, était voué à un sort tragique. Les catins, les voleurs, les rebuts, les pauvres, toute cette population invisible, emmené dans un nouveau monde inconnu, et parmi ces gens de si mauvaises manières, se trouvait une femme de rang supérieur! Je devais la retirer de ce calvaire, mais, le destin joua sans doute contre moi, et en la sauvant, je me suis condamné! Lorsque j'arrivai sur le quai, et que j'accomplis cet acte d'amour, je me suis enfermé dans la marginalité, d'un homme de qualité qui ne respecte plus les lois fondés qu'il défendait avec tant de vigueur, un noble qui s'était abaissé aux manières d'un hors la loi. La réplique de cet acte fut immédiat, la comtesse d'Orléans, ne se fait pas attendre pour profiter de l'occasion telle une harpie se jetant sur un cadavre de naufragé. Je ne pus qu'observer piteusement, la rage et la manipulation de cette femme sur un monde s'offusquant tellement facilement, que le moindre écart tombe dans l'excès le plus complet. Elle ne tarda pas à donnée les détails de cette affaire, sur le fait que j'avais détourné une décision de noble rang, et le mot fut passé si rapidement, que même de simples bourgeois de rangs étaient tenus de cette odieuse méprise! J'étais impuissant face à la parole, et je devais maintenant faire face à la société, le pire des châtiments pour un homme de rang supérieur, que de devoir affronter les préjugés de tous les salons parisiens et Français! Je n'étais point aimé, mais je devais me retirer dans mon château de campagne pour y reposer en paix et réfléchir sur cette affaire. La bas, le calme de la campagne me parut reposant et bienfaiteur, je n'avais pas à affronter le regards de personnes inconnues qui avaient entendus une histoire arrangé pour y laisser paraître que le côté néfaste. J'étais dans une rage indomptable les premiers jours de mon séjour, une haine noir, toute la noirceur de mon âme remontait à la surface pour ne donner que des idées de plus en plus terribles. Je voulais que tout cela cesse mais je ne maîtrisait pas mais pensées, elles venaient, repartaient....et ce sont des journées entières que je passais dans mon bureau, seul, à rédiger sur une feuille, tous ce que je pensais afin d'éviter que cela sorte par des actes qui auraient été irréfléchis ou in voulus. Je fut étonné de la longueur des pages que j'écrivais, une bonne centaine par jour. Mais je fut aussi troublé à la fin de mon séjour par une idée qui m'effrayait, j'allais sans doute être mis à l'amende pour avoir été à l'encontre des principes et des règles de notre roi!
Comment allais je payé cette amende qui allait sans doute être lourde alors que, la ruine me guette et que ma fortune s'amaigrit de jour en jour! Un destin encore plus tragique que l'exclusion allait sans doute me tomber dessus, une chose qui n'a aucun remède, une chose qui ne laisse aucun échappatoire possible, qui vous tire vers les profondeurs de la sociétés, qu'allais je devenir sans un sou? Une vie sociale fini, une vie aisé terminé, pour un bonjour à la pauvreté et à l'isolement? Non, j'en venais même à penser au salut que je pourrais me donner pour délivrer mon corps et mon âme de toutes ces souffrances passées et des humiliations à venir, aucune autre solution pour cette situation désespérée, j'étais voué à la tragédie. Et, j'aurais du me douter de ce que préparait le destin pour moi lorsque déjà après l'avoir sauvé, ma bien aimée mourait de la tuberculose, une maladie sans remède, comme la société dans laquelle je vis! Les jours passèrent, mon séjour allait se terminer, je devais affronter maintenant la haine du futur, mais, je ne le voulais point, je n'y étais pas préparé et je ne voulais m'y résigner! J'aurais tant voulu pouvoir avoir procès honorable et que l'on juge l'acte amoureux au lieu de s'étendre sur l'affaire scandaleuse. Ce serait naïveté et bêtise que de refaire ce qui fut, je devais réfléchir sur ce qui allait arriver prochainement, l'humiliation nouvelle d'une amende qui me condamnerait à la pauvreté et à une vie de gloire fini. Je ne pouvais supporter l'idée de vivre dans le caniveau comme ses pauvres gens, laissés pour compte, invisible. Mon seul ami resté fidèle était mon chien, qui ne m'avait jamais abandonné lors des chasses organisées, et qui continuait à m'aimer sans se soucier de tous ce que je faisait! Ah que j'aurais voulu tuer d'un coup d'épée cette harpie qui avait eu l'odieuse idée de dénoncer un acte si noble, elle ne doit pas savoir ce qu'est l'amour que l'on peut porter sur une femme et qui peut amener même au sacrifice. Le séjour était fini, j'étais à l'aube du départ, le cocher préparait les derniers détails afin de me ramener à Chambéry ou je devais regagner le palais. Qu'allais je pouvoir faire? Me pendre ici même dans le bureau, affronter le destin la tête haute même si j'atterrirai dans le caniveau? Il me fallait prendre une décision rapidement car les heures me semblait devenir des minutes, et le moment fatale m'attendait.
Heureusement, j'eus l'idée salvatrice de m'exiler! Je connaissais du monde en Prusse et parlait très bien la langue, je m'y étais fait des amis et étais apprécié. Je tomba dans l'euphorie quelques temps, puis alla de suite voir le cocher pour le payer afin que l'on change d'itinéraire. J'avais trouvé la solution qui allait peut être me faire renaître et me libérer, j'avança même l'heure du départ de 3 heures afin de pouvoir avoir toutes les chances d'y arriver avant que l'on donne ordre de me retrouver pour me juger, car un délit de fuite alors qu'une lourde amende se dessinait pour moi, était comme assassiner un comte, c'était puni de la bastille tant redouté, on vous y enfermait et bienheureux celui qui restera dans la mémoire du roi et qui un jour reverra le monde extérieur! Tout étais prêt, je sortis avec mes bagages, monta dans la calèche et nous y allèrent dans la foulée! Il faisait nuit depuis quelques heures, et je vis peu à peu le château s'éloigner. Durant le trajet qui allait me mener jusqu'à la frontière, je réfléchissait sur cette affaire qui m'avait poussé à m'exiler, sur cet acte uniquement poussé par l'amour et qui avait fait de moi aujourd'hui un homme recherché pour être emprisonné.
 

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Enfin, ô miséricorde, j'aperçois la frontière par delà quelques collines qui se dressent sur notre route! Nous ne sommes plus qu'à quelques lieux de ma libération, celle de mon corps et celle de mon âme, je vais enfin pouvoir renaître! Mais avant cela, nous devons nous arrêter dans un petit village pour y faire changer nos chevaux car ils ne tiendront plus longtemps. Nous entrâmes dans le petit patelin, mais je ne voyait pas de calèche! "OU est donc le relais?" criais je au cocher qui ne me répondit. Je regardait par la fenêtre et je vis avec horreur que mon cocher venait d'être transpercé par une épée, un soldat du roi se tenait la debout et la retira du cœur de cet homme innocent! Pour moi, c'était sans doute le commencement de la fin, comment ai je pu échouer aussi près du but, alors que en à peine une demi heure j'aurais quitté la France, comment? Je suis abattu par une si grande détresse que de savoir que ma chute inévitable et douloureuse commence alors que ces gardes m'emmènent à Chambéry. Le voyage fut sombre pour moi, sombre de toutes ces pensées si noir, de toutes ces hypothèses de ce qui allait m'arriver qui me hantaient l'esprit, je redoutais d'affronter cette société, d'affronter la pauvreté qui m'attendais. Nous arrivâmes enfin au palais, et la, je fus accueilli pas d'autres gardes, encore et toujours, ils m'emmenèrent au deuxième étage alors que je les suivais comme un mort vivant, j'étais vide, complètement blanc et je ne pensais plus, je marchais sans but, automatiquement. La les gardes me laissèrent dans une grande pièce ou je ne vis personne! Il y avait un grand bureau, des sculptures, des fresques au mur somptueuse, un palais comme j'en avais vu des dizaines. Puis, un homme entra, il me sembla que ce fut d'abord un juge mais de plus près je vis que ce n'était qu'une sorte de préfet, au service de sa majesté. Son habit noir m'avait trompé! Il commença à me parler, m'expliquant pourquoi j'étais la, pourquoi il était la surtout, pendant de longues minutes. Il rabâcha incessamment que j'avais fait une traîtrise en sauvant ma bien aimé et qui du coup avait empêché le bateau de partir et qui permit à plus de 500 personnes embarqués de force de s'échapper, que j'étais celui qui avait fait honte à la région. Il arrêta quelques instants, chercha dans ses papiers et me donna l'amende qui s'élevait à plus de trois cents louis d'or ce qui est une véritable fortune et qui me vouerait à une pauvreté immédiate suite à une ruine encore plus immédiate! J'étais effondré, j'avais une bonne semaine pour payer ma dette avant que l'on me prenne tous mes biens! Ah, que le destin est impitoyable envers ceux qu'il à désigner comme ses victimes, moi qui avait été tant épargné, je me retrouve maintenant dans une impasse ou la mort pour moi homme de qualité approche à grands pas. Je regretta alors de n'avoir choisi pour solution que de me pendre dans ce bureau avant que j'eus cette idée qui me donna de faux espoirs, des illusions uniquement. Que vais je maintenant faire? Je sais déjà que je ne pourrais payer cette amende du fait du manque cruelle d'argent en ces temps si difficile, alors que faire? Retenter un exil sachant que si j'échouerai à nouveau, cette fois ci se serait bel et bien la prison et non l'amende, ou, me résigner à cette pauvreté et cette vie de tristesse qui m'attend? Mon esprit était torturé lors de chacun de mes pensées qui devenaient de plus en plus nombreuses, je ne pouvais rien arrêter, je pensais à tous ce qui m'étais arrivé, au destin, à ce qui m'arriverait, à des solutions, je ne suis pus que l'esclave de ma tête. L'amour est impitoyable, il vous fait prendre des décisions instantanées et vous pousse à des actes qui causeront votre perte, il vous torture jour et nuit jusqu'à ce que vous ayez fait le faux pas qui vous mènera à votre perte, il vous éloigne même de ce que vous aimez, quel paradoxe si affreux. Je n'ai pas été épargné, mais en plus de cela, maintenant que je suis conspué par cette bonne société faite d'ingrats, d'hypocrites et d'immoralité, je ne suis reconnu par personne et ma chute en sera d'autant plus lourde.
 

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agneuh?

écrit de façon plus lisible et avec des paragraphes
pour éclaircir le tout
ça fait pareil que de la prose et on a envie de le lire, au moins ^^
 

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s'il te plaît peponi, essaie d'aérer ton texte, là j'ia même pas envie de le lire --'
 

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Je m'en fous, j'aère rien du tout, c'est pas l'apparence qui compte c'est le contenu c'est sa que vous comprenez pas!
 

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Bah ouais masi moi j'ai pas lu car ça fait paté jété comme ça là.
 

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Ce qui fait pâté jeté comme sa c'est ton post inutile!
T'es pas heureux? va t'en! T'as pas compris que c'est le contenu qui compte, t'es très superficiel tu sais!
 

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Tu sais quoi faudras pas d'étonner quand tu seras bann a vie.

Enfaite toi tu t'en bat des autres, se que tu fais tu le fais pour toi et rien a battre des autres.
 

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Guest
Non j'en ai juste marre des postes qui servent à rien et qui sont la pour descendre les créations des autres, si tu veux vraiment réagir faut d'abord lire ce que j'écris!
 

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C'est illisible !!

Ça donne pas envie de lire.

Je vais essayer mais si dans 30 minutes je post pu c'est que je me suis perdu dans ton rp.
 

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Écoute, c'est pas illisible car c'est tapé sur l'ordinateur donc déjà relis toi, ensuite si tu viens commenter mon RP c'est que tu l'as lu et pas pour me dire que c'est un pâté jeté comme sa, donc que sa donne pas envie de lire ok mais si tu viens c'est pas pour justement débattre la dessus!
merci!
 

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Texte pas mal (pas assez espacer) j'avai déja lu une partit sur IRC
 

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Guest
Oui, c'est Odaniel qui m'a dit de mettre sa plutôt sur le forum!;)
Merci!:)
 

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Guest
bien pour un début mais ais pitier de moi fait des saut de ligne je n'arrive pas à lire je crois que tu à réveiller ma conjonctivite :D je n'est pas pus tous lire à cause de la non aération dsl
 

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Guest
Ben c'était pour vous pousser à lire le contenu et car j'aime bien quand sa fait pavé!:D Je ferais un effort pour la suite merci!
 

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conseil peponi, si tu veux que ton contenu soit bien comprit, fait des paragraphe et des espaces car moi qui aime lire les poèmes et les proses, là je t'avoue que je peux pas juger ton oeuvre car ça me donne pas envie de lire. Il faut que les gens aient envie de lire tu sais, certes tu veux qu'ils te lisent pour le contenu mais pour ça, il faut qu'il soit lisible et espacer pour une bonne présentation qui pousse à lire le contenu ;)
 

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Guest
conseil peponi, si tu veux que ton contenu soit bien comprit, fait des paragraphe et des espaces car moi qui aime lire les poèmes et les proses, là je t'avoue que je peux pas juger ton oeuvre car ça me donne pas envie de lire. Il faut que les gens aient envie de lire tu sais, certes tu veux qu'ils te lisent pour le contenu mais pour ça, il faut qu'il soit lisible et espacer pour une bonne présentation qui pousse à lire le contenu ;)


Odaniel moi qui attendait ton commentaire avec impatience:Dje suis très déçu!:(
Les gens s'en foutent du contenu, il veulent de l'apparence, je peux aussi faire un truc style bling bling, sa va claquer mais ce sera du vent!:(
Bref, je vais vous les espacer vos paragraphes!
 

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PROSEMAN PRESENTE:

les délires de proseman! Si vous arriver à suivre vous êtes fort, et pour le ptit truc, c'est Odaniel qui m'a donné l'idée au lieu de faire sa sur le chat donc si vous haïssez ce texte, vous savez qui allait voir!:D





Oh cruel destin, destin qui m'a fait perdre l'unique raison de ma présence en ce monde, toi qui a été sourd à toutes mes souffrances. Pourquoi une haine si grande pour une âme si pur? Je m'était laissé envoûté par le délice charnelle, et, alors que je rompait avec la pureté de l'âme et que je tombait dans le pêché, tu m'as brisé! Je suivais un idéal pourtant si noble, conquérir un cœur, mais de ton inexorable pouvoir, tu m'as trucidé toute espoir de survie. En homme de qualité, je me rangeais parmi l'élite de cette société si futile, ou l'apparence compte bien plus que l'esprit, mais dans cet univers factice, alors que l'on venait de dévoiler toute la perversion de mon esprit, je fus haie et rejeté de cette bonne société!

Je n'étais pourtant point perverti à ce point, mais j'ai juste subi, la traitrise de personne scrupuleuse, qui pour un sou, vous aurez dévoré et jeté dans les enfers! De quel crime odieux étais je condamné? Je n'étais en réalité que voué à l'exclusion parce que j'eus osé, dévoiler mon intimité, le fond de mon esprit. En homme de qualité, c'était mon devoir de tout tenter pour récupérer la femme qui fut mienne, et qui, parti pour les colonies, était voué à un sort tragique. Les catins, les voleurs, les rebuts, les pauvres, toute cette population invisible, emmené dans un nouveau monde inconnu, et parmi ces gens de si mauvaises manières, se trouvait une femme de rang supérieur! Je devais la retirer de ce calvaire, mais, le destin joua sans doute contre moi, et en la sauvant, je me suis condamné!

Lorsque j'arrivai sur le quai, et que j'accomplis cet acte d'amour, je me suis enfermé dans la marginalité, d'un homme de qualité qui ne respecte plus les lois fondés qu'il défendait avec tant de vigueur, un noble qui s'était abaissé aux manières d'un hors la loi. La réplique de cet acte fut immédiat, la comtesse d'Orléans, ne se fait pas attendre pour profiter de l'occasion telle une harpie se jetant sur un cadavre de naufragé. Je ne pus qu'observer piteusement, la rage et la manipulation de cette femme sur un monde s'offusquant tellement facilement, que le moindre écart tombe dans l'excès le plus complet. Elle ne tarda pas à donnée les détails de cette affaire, sur le fait que j'avais détourné une décision de noble rang, et le mot fut passé si rapidement, que même de simples bourgeois de rangs étaient tenus de cette odieuse méprise! J'étais impuissant face à la parole, et je devais maintenant faire face à la société, le pire des châtiments pour un homme de rang supérieur, que de devoir affronter les préjugés de tous les salons parisiens et Français! Je n'étais point aimé, mais je devais me retirer dans mon château de campagne pour y reposer en paix et réfléchir sur cette affaire. La bas, le calme de la campagne me parut reposant et bienfaiteur, je n'avais pas à affronter le regards de personnes inconnues qui avaient entendus une histoire arrangé pour y laisser paraître que le côté néfaste. J'étais dans une rage indomptable les premiers jours de mon séjour, une haine noir, toute la noirceur de mon âme remontait à la surface pour ne donner que des idées de plus en plus terribles. Je voulais que tout cela cesse mais je ne maîtrisait pas mais pensées, elles venaient, repartaient....et ce sont des journées entières que je passais dans mon bureau, seul, à rédiger sur une feuille, tous ce que je pensais afin d'éviter que cela sorte par des actes qui auraient été irréfléchis ou in voulus. Je fut étonné de la longueur des pages que j'écrivais, une bonne centaine par jour.

Mais je fut aussi troublé à la fin de mon séjour par une idée qui m'effrayait, j'allais sans doute être mis à l'amende pour avoir été à l'encontre des principes et des règles de notre roi!
Comment allais je payé cette amende qui allait sans doute être lourde alors que, la ruine me guette et que ma fortune s'amaigrit de jour en jour! Un destin encore plus tragique que l'exclusion allait sans doute me tomber dessus, une chose qui n'a aucun remède, une chose qui ne laisse aucun échappatoire possible, qui vous tire vers les profondeurs de la sociétés, qu'allais je devenir sans un sou? Une vie sociale fini, une vie aisé terminé, pour un bonjour à la pauvreté et à l'isolement? Non, j'en venais même à penser au salut que je pourrais me donner pour délivrer mon corps et mon âme de toutes ces souffrances passées et des humiliations à venir, aucune autre solution pour cette situation désespérée, j'étais voué à la tragédie.

Et, j'aurais du me douter de ce que préparait le destin pour moi lorsque déjà après l'avoir sauvé, ma bien aimée mourait de la tuberculose, une maladie sans remède, comme la société dans laquelle je vis! Les jours passèrent, mon séjour allait se terminer, je devais affronter maintenant la haine du futur, mais, je ne le voulais point, je n'y étais pas préparé et je ne voulais m'y résigner! J'aurais tant voulu pouvoir avoir procès honorable et que l'on juge l'acte amoureux au lieu de s'étendre sur l'affaire scandaleuse. Ce serait naïveté et bêtise que de refaire ce qui fut, je devais réfléchir sur ce qui allait arriver prochainement, l'humiliation nouvelle d'une amende qui me condamnerait à la pauvreté et à une vie de gloire fini. Je ne pouvais supporter l'idée de vivre dans le caniveau comme ses pauvres gens, laissés pour compte, invisible. Mon seul ami resté fidèle était mon chien, qui ne m'avait jamais abandonné lors des chasses organisées, et qui continuait à m'aimer sans se soucier de tous ce que je faisait! Ah que j'aurais voulu tuer d'un coup d'épée cette harpie qui avait eu l'odieuse idée de dénoncer un acte si noble, elle ne doit pas savoir ce qu'est l'amour que l'on peut porter sur une femme et qui peut amener même au sacrifice.

Le séjour était fini, j'étais à l'aube du départ, le cocher préparait les derniers détails afin de me ramener à Chambéry ou je devais regagner le palais. Qu'allais je pouvoir faire? Me pendre ici même dans le bureau, affronter le destin la tête haute même si j'atterrirai dans le caniveau? Il me fallait prendre une décision rapidement car les heures me semblait devenir des minutes, et le moment fatale m'attendait.
Heureusement, j'eus l'idée salvatrice de m'exiler! Je connaissais du monde en Prusse et parlait très bien la langue, je m'y étais fait des amis et étais apprécié. Je tomba dans l'euphorie quelques temps, puis alla de suite voir le cocher pour le payer afin que l'on change d'itinéraire. J'avais trouvé la solution qui allait peut être me faire renaître et me libérer, j'avança même l'heure du départ de 3 heures afin de pouvoir avoir toutes les chances d'y arriver avant que l'on donne ordre de me retrouver pour me juger, car un délit de fuite alors qu'une lourde amende se dessinait pour moi, était comme assassiner un comte, c'était puni de la bastille tant redouté, on vous y enfermait et bienheureux celui qui restera dans la mémoire du roi et qui un jour reverra le monde extérieur! Tout étais prêt, je sortis avec mes bagages, monta dans la calèche et nous y allèrent dans la foulée! Il faisait nuit depuis quelques heures, et je vis peu à peu le château s'éloigner. Durant le trajet qui allait me mener jusqu'à la frontière, je réfléchissait sur cette affaire qui m'avait poussé à m'exiler, sur cet acte uniquement poussé par l'amour et qui avait fait de moi aujourd'hui un homme recherché pour être emprisonné.


Voila votre texte un peu plus aéré!
 
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