DeletedUser
Guest
Il m'a semblé que l'autre Rp à plusieurs était assez contraignant, et finalement, ne s'ouvrait pas à tous comme je le désirais, aussi, en parallèle, j'ai décidé d'ouvrir ce RP ; Alors en gros, on est à la fin du Moyen-Âge, tout près de la renaissance, (arquebuses et rapières permises è_é), et toutes les fantaisies au niveau des personnages sont permises
Sans candidature, vous pouvez poster à la suite, tout en respectant toutefois les messages des autres et en conservant un français correct
Pour les commentaires : http://forum.guerretribale.fr/showthread.php?t=26588
Précisions : Nous sommes sur une île portuaire regorgeant de loups et d'habitations à plusieurs étages misérables
Tout est dirigé par le bourgmestre, mais on s'en fout de sa tronche, au pire, on le charcutera un jour
____________________________________________________________________________________
Sans candidature, vous pouvez poster à la suite, tout en respectant toutefois les messages des autres et en conservant un français correct
Pour les commentaires : http://forum.guerretribale.fr/showthread.php?t=26588
Précisions : Nous sommes sur une île portuaire regorgeant de loups et d'habitations à plusieurs étages misérables
Tout est dirigé par le bourgmestre, mais on s'en fout de sa tronche, au pire, on le charcutera un jour
____________________________________________________________________________________
L'hiver était cruel sur les quais, j'avais enfilé par dessus sa fourrure un lourd manteau et un bonnet pointu. Nouée à son cou et pendouillant sur son torse, une écharpe d'un pourpre vieillie lui réchauffait la gorge.
J'avais rendez-vous avec un capitaine de navire, pour marchander une traversée. Le Continent me manquais, et puis je devais vendre ses fourrures de loup : l'Île regorgeant de ces animaux, inutile de les céder ici.
J'avais dans l'espoir de monter une petite expédition aussi. Une fois débarqué, je voulais reconquérir une femme que m'avait pris de force le Comte Sullimgerb, un homme-mouche aux vices connus de tous. Il s'apprêtait à se marier avec elle en dépit de son bon vouloir. Elle, qui m'était promise, à moi, Déca le terrible. D) Je comptais donc recruter aussi quelques pirates et mercenaires histoire de faire tomber la place forte.
Moi, l'Ours, marchais à toute vitesse, mes pattes frappant le pavé avec violence. J'avais, sanglée dans mon dos, une hache d'une taille monstrueuse, que je maniais avec autant d'adresse et de facilité qu'une légère dague.
Le brouillard était omniprésent, il couvrait le corps des clochards, que parfois, par hasard, j'écrasais quelque peu sous mon poids. Le petit matin voyait arriver les premières pêches, déjà quelques hommes criaient le célèbre : " Il est fraiiiis mon poisson, il est frais ! " ou quelques dérivés (langoustes, homards, moules, huîtres, etc).
J'arrivai enfin devant la bateau " La Gertrude ", le point de rendez-vous avec le capitaine de ce dernier bâtiment.
------------------------------------------
Pour les commentaires, c'est ici.
Dernière édition par un modérateur: