La légende de Drax.

  • Auteur de la discussion Daistyas
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DeletedUser

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Salut à tous, je suis Daistyas un esprit qui vagabonde sur la toile et qui y tisse ci et là quelques histoires.
Pour mon premier écrit posté ici voici un petit début de récit sans grande ambition. Je l'ai rédigé aujourd'hui bien que pensé depuis quelques temps, aussi aurait il sans doute mérité plus de relectures. Je m'excuse par avance de cette négligence mais l'envi de poster en cette section était trop grande pour que je me retiennes plus longtemps.
Je suis ouvert à la critique, c'est même une grande joie que d'avoir des avis qu'ils soient positifs ou négatifs donc n'hésitez pas. (bon après si vous hésitez entre une critique plutôt positive ou plutôt négative je dois avouer que je préférerais la première solution à la deuxième:p (j'aime pas les smileys de ce forum^^))
Je ne suis pas écrivain, je ne compte pas publier un jour, je n'écris pas pour me prendre la tête, bref je m'éclate juste à écrire et j'espère que me lire peut vous plaire.

Bonne lecture ;)

Chapitre 1: Nouvel agent.

Alors que l'aube commençait à se dessiner une ombre s'avança sur la voie principale menant à la Citée d'Ilkiem dans le Royaume d'Argnar. L'ombre d'un homme chevauchant un cheval noir des prairies de Dumna, l'ombre d'un guerrier qui avait déjà bien trop combattus. Il était aussi l'ombre de lui-même, un être triste et brisé, un veuf et un père ayant survécu à ses enfants. Il était un désespéré cherchant asile dans la plus puissante citée du Royaume d'Argnar: Ilkiem.

Enveloppé dans sa cape noir de voyage qui s’accommodait si bien à la monture il se pencha vers celle-ci et lui murmura: «nous sommes arrivés».

Après quelques pas supplémentaires ils se tinrent aux grandes portes de la citée. Il sentit en s'approchant toute la magie qui se dégageait de l'endroit, une magie effrayante qui ne donnait qu'une envie: fuir. Les yeux du guerrier ne virent pas un paysage plus accueillant. Outre l'épais mur de pierre et les portes en bois massif qui n'avaient pas grand chose d'original, des poteaux de bois étaient dressés autour d'Ilkiem. Ces massifs poteaux s'élevaient sur trois bon mètres et avaient la grosseur du tronc d'un chêne centenaire, poteaux qui se terminaient chacun par trois piques. Et à chacune des piques une tête y était plantée. Ornant tout le tour des fortifications de la citée ces piques rappelaient, à qui l'aurait oublié, la politique qui sévissait à Ilkiem.

Le cadre alentour n'était pas beaucoup plus gai, la citée était entouré d'un paysage austère. Bien que le climat y soit tempéré peu de végétations y poussaient et pour le peu qu'il y avait il ne s'agissait que de minuscules arbustes. Quant à la terre elle y était dure et aride, sèche comme si toute vie l'en avait quittée.

Un oiseau passa, sa présence fit sursauter l'homme aux portes de la citée. Il s'agissait d'un corbeau. Celui-ci se dirigea vers l'une des têtes qui décoraient les abords de la citée, il se posa, il pencha la tête... puis il entreprit de manger l’œil du défunt.

L'homme laissa l'oiseau à son festin alors que l'un des gardes posté sur le mur l'interpellait:

_Qui êtes vous ? Questionna le soldat.

L'homme fixa alors le soldat, ses yeux rouges analysèrent chaque parcelles de son modeste corps. Son regard ne tremblait pas, ne vacillait pas à la vue des têtes embrochés, il était plongé dans les yeux vides et ternes du soldat.

_Je suis Drax ! Dernier représentant de la citée de Valarach. Je demande à m'entretenir avec Ivtess, Seigneur et Maître de la citée d'Ilkiem. Déclara l'homme au pied du mur.

_Mon Seigneur Ivtess ne reçoit pas les manants. Passes ton chemin vagabond, nous n'aimons pas les étrangers ici. Vas chercher ton pain ailleurs ou c'est le sang que tu trouveras.

Une veine sur le front de Drax gonfla alors qu'il baissait la tête, puis il passa sa langue sur sa lèvre inférieure. La réponse du jeune garde ne lui plut pas beaucoup. Alors que toutes les parties de son corps le poussait au meurtre et que ses pulsions d'assassins s'éveillaient Drax releva la tête calmement et déclara d'un ton calme:

_Dis à Ivtess que c'est le collectionneur qui le demande.

Les yeux du jeune soldat s'écarquillèrent, une perle de sueur commença à couler de son front. Il réalisait. Enfin.

_Je... je... bégaya le soldat. Ouvrez les portes !

Le cliquetis des machines qui entrent en action apaisa l'humeur de Drax, sa veine ne fut bientôt plus visible. Drax entra finalement dans la citée, des gardes armés de lances et d'épées l'attendaient de l'autre côté de la porte. Sur les murs plusieurs archers et arbalétriers s'étaient retournés côté citée et visaient Drax.

_Se sont les ordres monsieur, nous devons escorter nos invités jusqu'au palais, même vous vous ne faîtes pas exceptions. S'excusa le capitaine de la garde du mur nord.

_Je comprends, déclara Drax, et j'encourage la prudence. C'est pour la bêtise que va mon aversion. Conduisez moi au palais d'Ivtess.

D'un geste de la main le capitaine invita son invité à suivre les gardes qui avaient déjà commencer leur marche.
La citée était immense, bien plus grande que la capitale du Royaume d'Argnar. De plus à la différence de bien des citées il n'y avait rien à l'extérieur des murs, toutes les infrastructures et toute la population était à l'intérieur des fortifications, y compris les champs, les moulins, des forêts, des mines... C'était la première chose qui surprenait en entrant dans Ilkiem, le contraste qui existait de chaque côté des murs. À l'extérieur tout était aride, desséché, quasi invivable. Alors qu'a l'intérieur des murs des forêts entières s'étendaient sur de vastes hectares, ruisseaux et rivières coulaient en tout sens, les oiseaux piaillaient et la vie commençait à resplendir dès les premières lueurs du jour.

Drax passa tout d'abord devant de vastes champs, qui à n'en pas douter bénéficiaient de la magie pour s'épanouir, puis devants diverses mines et moulins, ensuite vinrent les boulangeries, les distilleries, les ateliers de diverses artisans, des écuries, des forges... après Drax entra dans un quartier d'habitations avec diverses bâtisses, piteuses dans un premier temps et de plus en plus belles à mesure qu'il avançait. Un peu plus loin il découvrit un nouveau quartier commerçant mais bien plus chic avec des bijouteries, des forges de toute autre facture, des herboristeries, des magasins de produits magiques, des écoles de magie, la caserne des hauts officiers...
Et enfin il arriva à sa destination: le palais du Seigneur Ivtess, souverain d'Ilkiem. Une villa en marbre blanc avec un magnifique jardin juste devant. Au centre de ce jardin se tenait une grande fontaine sculptée représentant un dragon crachant de l'eau. La sculpture était noir, rompant avec l'uniformité blanche de la villa.

Cela faisait longtemps que Drax n'était pas venu ici et il s’émerveillait toujours autant de ce spectacle. Alors qu'il ralentissait pour admirer le jardin le capitaine le pressa d'un toussotement. Il reprit alors sa route. Devant les portes du palais, avec elles aussi des sculptures représentants des dragons, deux gardes arrêtèrent Drax et son escorte.

_Les armes ne sont pas autorisés à l'intérieur du palais. Expliqua le capitaine.

Drax ronchonna mais il obtempéra et remit aux gardes du palais: une épée incrustée d'un rubis qu'il portait sur le côté gauche, un marteau de guerre qu'il portait sur le côté droit et un couteau à sa cheville droite.

_Surtout prends en soi, au prix de ta vie. Menaça Drax. Je peux passer maintenant ?

_Toutes les armes. Déclara le garde d'un ton sans appel.

Drax le foudroya du regard mais il fit ce qui lui était demandé et remit aux gardes son anneau et sa ceinture incrusté de trois gemmes.

Les gardes le laissèrent enfin entrer dans la villa. À l'image de sa façade la villa était tout en marbre blanc avec des sculptures, des tableaux et des plantes qui parsemaient l'intérieur. Drax passa l'entrée et entra dans la salle de réception. À sa grande surprise il n'y trouva pas Ivtess mais Ivlumea, sa femme.

Elle siégeait sur son trône alors que celui de son mari était vide. Leurs trônes étaient à tous les deux en marbre noir mais la sculpture en fer forgé qui ornait chacun des trônes étaient différentes. Au dessus d'Ivlumea se dressait fièrement la sculpture d'un phœnix alors que la sculpture au dessus du trône d'Ivtess était un dragon.

Ivlumea accueillit son invité avec sourire. Elle portait sa robe rose de cérémonie, avec gants et bijoux. Un collier de diamant pendant à son cou, un bracelet en or au poignet gauche et une bague incrusté d'un diamant à l'index de la main droite. Ses cheveux rouges étaient laissés libres et sa poitrine était mise en valeur par un décolleté. Ce n'était cependant pas cela que regardait Drax mais bien ses yeux. Un œil d'Ivlumea était violet alors que l'autre était orange. Cette différence de couleur entre les deux yeux avait toujours fasciné Drax.

_Quel plaisir de te revoir Drax ! Tonna Ivlumea. . Bien que cela m'attriste que se soit en de telles circonstances. J'ai appris pour Valarach et j'en suis bien peiné. Une si belle citée réduite en cendre, quel désarroi cela m'apporte ! Je ne sais si je pourrais t'être d'un grand réconfort mais sois garantis de ma sollicitude. Je sais que tu souhaitais voir Ivtess mais celui-ci est en voyage, il est cependant très peiné également.

Drax s'approcha du trône, mit un genou à terre et baissa la tête.

_Votre majesté j'irais droit au but si vous me le permettez. Déclara Drax. Comme vous venez de l'indiquer ma citée n'est plus et mon ancien Seigneur est mort. C'est ainsi que je me retrouve sans citée ni allégeance. Alors au nom de notre amitié j'implore votre aide et vous demande d'accepter mon allégeance et que je puisse désormais servir les Seigneurs d'Ilkiem. Je souhaite devenir votre soldat.

Drax releva la tête et fixa son regard dans celui d'Ivlumea.

_Toi un soldat ? Ricana Ivlumea. Non quel gâchis. Tu seras notre agent, c'est une mission qui te sied bien d'avantages. Les batailles rangées, la discipline militaire, la hiérarchie... tout cela ne te vas pas du tout. Non toi ce qu'il te faut faire c'est de l'espionnage, du meurtre, de la torture.... C'est pour ça que tu es fait !

_Vous m’honorez souveraine.



(j'espère que cela vous aura plu, n'hésitez pas à commenter :angel:)
PS: je viens de voir que je ne sais pas ce qu'il advient du dada, je rectifierais ça en espérant que ça ne vous aura pas gêner.
 

DeletedUser331

Guest
L'ombre d'un homme chevauchant un cheval noir des prairies de Dumna, l'ombre d'un guerrier qui avait déjà bien trop combattus.

Il manque un verbe conjugué je trouve pour que ce soit un peu plus fluide, plus facile à lire. Je l'ai relu plusieurs fois car la phrase en elle-même me dérangeait :s

"combattus" --> combattu

"ombre", "cheval noir", "cape noire" --> tu t'appuies sur des éléments faciles à décrire, je trouve. Au contraire, je pense que tu devrais accorder des adjectifs un peu plus soutenus afin de détailler son visage, la position du soleil qui pourrait accentuer son "ombre", des choses comme ça..

"ils se tinrent aux grandes" --> devant

"n'avaient pas grand chose d'original" --> je pense que tu peux améliorer la formulation de cette phrase

"poteaux" --> répétition, tu peux dire par exemple "ces derniers, massifs, s'élevaient..

"Ces massifs poteaux s'élevaient sur trois bon mètres et avaient la grosseur du tronc d'un chêne centenaire, poteaux qui se terminaient chacun par trois piques. Et à chacune des piques une tête y était plantée." --> y a trop de répétitions à mon goût, c'est peut-être fait exprès, mais pour le coup, ça passe pas super bien.
"Ces derniers, massifs, s'élevaient sur plus de trois mètres, possédaient la grosseur d'un tronc de chêne centenaire, et finissaient par trois piques en fer au bout desquels une tête était plantée comme trophée, et menace pour rappeler à chacun la politique qui sévissait à Ilkiem." --> ce n'est qu'un exemple mais tu gagnerais à ne pas te répéter si tu liais tes phrases entre elles, sans t'interrompre.

"était" --> essaie de trouver des synonymes

"pour le peu qu'il y avait" --> je pense que là aussi tu peux améliorer la formulation ^^

"l'homme aux portes de la citée" - "L'homme" - "alors que l'un des gardes posté sur le mur l'interpellait:"

Au final, je me suis perdu. C'est un garde qui sursaute, un garde différent qui interpelle l'étranger ?

"parcelles" --> parcelle

"têtes embrochés" --> embrochées

"il était plongé" --> c'est plutôt son regard qui est plongé non ?

"Je demande à m'entretenir avec Ivtess, Seigneur et Maître de la citée d'Ilkiem. Déclara l'homme au pied du mur." --> Je demande à m'entretenir avec Ivtess, Seigneur et Maître de la citée d'Ilkiem, déclara l'homme au pied du mur. Faut pas faire de coupure.

"côté citée" --> c'est pas très joli :D

"exceptions" --> exception. Et même chose, évite de mettre un point pour lier avec la phrase suivante.

"les gardes qui avaient déjà commencer" --> avaient déjà commencé

"Alors qu'a l'intérieur" --> Tandis qu'à

"les ateliers de diverses" --> de divers

"après Drax entra" --> Là pour le coup, je serai tenté de mettre un point à ta place :)

"diverses bâtisses" --> répétition

"de plus en plus belles à mesure qu'il avançait" --> c'est dommage de présenter ça comme ça.

"plus chic" --> fais attention à ton vocabulaire, dans ton époque c'est pas vraiment.. adapté.

"Expliqua le capitaine." - "Menaça Drax." - "Déclara le garde" etc... --> même remarque.

"cendre" --> cendres

"peiné" --> répétition

"c'est de l'espionnage, du meurtre, de la torture" --> c'est quand même un peu 'cash' si je puis dire. J'suis pas sûr que j'apprécierais qu'on parle de moi comme ça xD

Au final, j'aime mais sans plus, désolé de te le dire, mais c'est à mon goût trop stéréotype, trop banal. Tu ne surprends pas ton lecteur dans ce chapitre.
De toute façon, je ne suis pas fan des univers de "magie", c'est trop facile à mon goût et maintenant c'est du vu et revu. Je te conseille d'innover un peu, rend ton personnage vraiment mystérieux, spécial, décris avec splendeur la cité (on en a qu'un bref aperçu, et la magie a trop de place pour moi, joue un rôle trop important), rend ses actions et ses paroles originales etc..

Mais j'suis content de te relire ;)
 

DeletedUser

Guest
Alors alors.

Comme je te l'ai dit, ça me fait penser au personnage principal de Farlander, Ash. Mais d'un autre côté, ça s'en éloigne pas mal, leur motivations respectives étant diamétralement opposées. En tout cas, lis-le, il en vaut le détour.

Concernant le texte, eh bien, comme dit par MV, j'ai un peu des impressions de déjà vu. Néanmoins plus j'irai en lisant, plus n'importe quoi me semblera du déjà vu, donc à la réflexion, ça peut pas vraiment être considéré comme un tord. J'aime bien le personnage, quoique le rendre un peu plus effronté à l'égard des simples soldats en affichant un peu plus de mépris m'aurait plût également :p Un peu trop de descriptions également lorsque Drax pénètre dans la ville, alors qu'il est censé l'avoir déjà vue. Je passerais personnellement un peu vite dessus (sans éluder pour autant le contraste intérieur/extérieur).

Bwef. Je travaille à la poste. Ou plutôt, j'attends de voir la suite.

PS : T'as un peu de problème sur les dialogues ^^ On ne met pas de majuscule au verbe après que le personnage ait parlé, que ce soit un point d'interrogation, d'exclamation, ou une virgule (jamais de point). Ça donnera :

- J'ai faim, dit Nyctal.
- As-tu faim ? demanda Nyctal.
- J'ai une faim de loup ! s'exclama Nyctal.
 

DeletedUser

Guest
"- J'ai faim, dit Nyctal.
- As-tu faim ? demanda Nyctal.
- J'ai une faim de loup ! s'exclama Nyctal. "
Discussion de schizophrènes xD

"Alors que l'aube commençait à se dessiner une ombre s'avança sur la voie principale menant à la Citée d'Ilkiem dans le Royaume d'Argnar. L'ombre d'un homme chevauchant un cheval noir des prairies de Dumna, l'ombre d'un guerrier qui avait déjà bien trop combattus. Il était un désespéré cherchant asile dans la plus puissante citée du Royaume d'Argnar: Ilkiem. "
Même si je suis amateur d'ombre, ça fait un peu trop d'ombres d'un coup dans la même phrase. Je ne suis pas fan non plus des débuts d'histoire qui présentent immédiatement le cadre spatio temporel "cité de bidule dans le pays de truc sur le continent des chamalows", je trouve que beaucoup de gens commencent leur histoire comme ça ce qui fait un peu répétition. Pour le coup tu le répètes carrément deux fois dans le même paragraphe.

"de la citée"
Cité étant féminin, il n'y a pas besoin de lui mettre un e, qui ferait "la cité citée"

"c'est le collectionneur qui le demande."
Si c'est un nom, une majuscule serait de mise je trouve, pour donner plus de poids à l'individu. Le Collectionneur, ça en jette plus. On passe sur le fait qu'ils ne vérifient absolument pas son identité et le pourquoi de sa visite. Si je vais à ma banque et que dis que je viens au nom du PDG voir du président du FMI, pas sûr qu'ils m'ouvrent les coffres avec des courbettes.

A la fin il se met au service du seigneur de la cité mais qu'en est-il du collectionneur ? Il semble venir après la destruction de sa propre ville et la mort de son suzerain, mais il ne parle plus du collectionneur. Tout de suite il se met au service de la dame, et elle accepte bien rapidement.

Quand on a déjà lu pas mal de trucs à toi, on est pas bien surpris. Le personnage, l'univers, même le titre semble sorti de tes précédents écrits. Tu prends un contexte et tu le changes un peu. C'est dommage. Enfin je le fais aussi souvent, je comprends qu'on soit attaché à ce qu'on a déjà fait ^^

Mais bref, ça manque un peu de punch, quelque chose qui retienne l'attention et nous donne envie d'en savoir plus. Honnêtement ma seule interrogation là c'est "qui est ce collectionneur" ? J'imagine un personnage puissant, influent, mystérieux, dans l'ombre mais connu. A moins que, cela vient juste de me venir à l'esprit, ce soit le nom du personnage ? Le surnom de Drax ? Si c'est le cas, c'est un peu décevant et il aurait fallu expliquer un peu pourquoi il a ce surnom, voir que la dame l'appelle ainsi pour lui donner plus de poids.
 
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