La construction d'un village

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Garet, un jeune berger, guidait son troupeau vers une vaste étendue d'herbe qu'il avait aperçu peu avant. Arrivant à sa destination, il se rendit compte que tout autour de lui se trouvait toutes les ressources dont un village pourrait avoir besoin. C'est ainsi qu'il décida qu'il allait devenir chef de village. Toutefois, avant de pouvoir réaliser son ambition,il lui manquait quelque chose : des habitants. En effet un village où on est seul n'en est pas un.

Après une longue réflexion, il décida de faire échapper quelques prisonniers de l'une des nombreuses cités fortifiées germaines de la région. S'armant de tout son courage, il s'approcha des pièges qui cernaient un joli petit village. Il avait demandé à un villageois auparavant qui lui avait fièrement répondu qu'il y avait 115 pièges.

Garet étais inquiet car il n'en avait repéré que 90. Malgré tout, s'armant de tout son courage, il s'approcha de l'un des pièges qu'il avait repéré. Il libéra le prisonnier qui y croupissait en échange de son aide. Le prisonnier se nommait Lucius, c'était un franc qui avait tenté d'envahir ce village. La totalité de son groupe avait été emprisonnée sans qu'un seul coup d'épée ne fut donné.

Commença alors une vaste entreprise de libération des prisonniers. 25 prisonniers avaient été libérés lorsqu'un garde les aperçut et sonna l'alerte. Lors de la fuite, 5 d'entre eux moururent de la main des gardes. Lucius courrait en tête, avec 2 mètres d'avance sur les autres. Ils approchaient de la lisière d'une forêt dans laquelle ils seraient en sécurité. A la lisière de la forêt, Lucius poussa un énorme cri : il était tombé dans l'un des 15 pièges que Garet n'avait pas réussi à repérer. Lorsqu'il tomba, Lucius provoqua un ralentissement général des francs en fuite, ce qui permis aux gardes d'en tuer deux de plus.

Malgré tout, les 17 derniers prisonniers accompagnés par Garet parvinrent à fuir le village. Ils retournèrent chez eux, firent venir leurs femmes et enfants puis se dirigèrent vers la colonie qu'avait prévu de créer Garet. Hélas, une patrouille du village dont ils s'étaient échappés croisèrent leur route et les firent tous prisonniers, femmes enfants et Garet compris.

Garet, s'ennuyant dans sa cellule, décida alors qu'il lui fallait s'échapper, car jamais il ne serait libéré. Il imagina de creuser un tunnel, mais il ne savait pas de quel côté étais la sortie et duquel était le village. Malgré tout, il se mit à la tache. Il avait réfléchi et s'était dit que tant qu'il traversait de la terre molle il y avait danger de se trouver sous des habitations. Par contre, si il trouvait des racines, c'est qu'il était dans la forêt et donc en sureté, et si il trouvait des roches dures c'est qu'il était parvenu à une montagne. Il commença à creuser, s'arrêtant de temps en temps pour rentrer dans sa cellule comme si de rien n'étais.

Il creusa ainsi pendant 15 jours, puis il rencontra une racine. Oubliant toute prudence, il creuse vers le haut. Il commençait à voir les premiers rayons du soleil lorsqu'il entendit les gardes crier : «*le prisonnier a creusé un tunnel!!!!!*» Il se mit alors à creuser frénétiquement. Il voyait les gardes approcher lorsqu'il parvint à obtenir un trou assez grand pour qu'il puisse passer.

Il prit la fuite au plus vite, les gardes sur ses talons. La détresse lui donnait des ailes, il sautait par dessus les troncs coupés, par dessus les buissons, s'écorchant les jambes, les bras, le torse... Mais il parvint à échapper aux gardes.

Tout sanguinolent, il fit alors le point : il étais seul, en sang, son troupeau avait du mourir ou s'être enfui. Il n'avait plus qu'une solution pour survivre : fonder seul son village en espérant le peupler de gens de passage. Il se rendit donc à l'emplacement qu'il avais repéré. Il commença par se bâtir une demeure en coupant du bois dans la forêt proche. Il avait posé les bases lorsqu'il vit un homme en haillons qu'il lui semblait reconnaître.

L'homme venait vers lui avec assurance. Au bout d'un temps, il finit par le reconnaître : c'était Lucius, qui avait du lui aussi réussir à s'enfuir lors de la panique provoquée par la fuite de Garet. Ensemble, ils finirent la maison, ou plutôt la cabane, dans laquelle ils purent se préparer un repas, le premier depuis longtemps pour les deux prisonniers en fuite.
Ils dormirent à même le bois, puis se mirent à construire deux splendide maisons en pierre, vivant le temps des travaux dans la cabane en bois, se nourrissant de cueillette. Deux mois après, le village étais là : Deux grandes maisons et une cabane qui pourrait servir de cachette.

Il fallait désormais un bâtiment principal pour le village, et ils se mirent à la tâche. Ils avaient terminé le premier étage lorsqu'un couple de voyageurs approcha. Ils dirent qu'il étaient deux francs en fuite car leur village avait été annexé par une tribu de germais. Ils vécurent dans la cabane le temps de se faire une maison décente. Le village comptai désormais 4 habitants et un hôtel de ville.

Lucius décida de s'installer en aubergiste, pour que les futurs nouveaux habitants n'aient pas à vire dans la cabane. Le couple fournissait la nourriture pour les 4 habitants. Au fil du temps, s'agrandissant par les voyageurs qui passaient par là, le village de Garet s'agrandit pour atteindre une dizaine d'habitants, 7 hommes et seulement 3 femmes. Garet décida que, pour le bien du village, les hommes célibataires devraient se chercher une épouse afin de permettre au village de continuer à grandir. Ils revinrent tous, environ 3 mois plus tard. Pendant ce temps, Garet avait épousé une voyageuse qui passait par là, la belle Gertrude ( [hrp] je sais c'est un nom de merde mais bon...[/hrp]). C'est ainsi que l'histoire du village de Garet commença.
 
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Avec le temps, la population du village augmenta jusqu'à 50 habitants, ce qui permit à Garet d'obtenir quelques mineurs de fer et quelques extracteurs d'argile, accompagnés de 6 fermiers pour la nourriture et de quelques bucherons afin de construire des bâtiments.

C'est alors que les ennuis commencèrent. Les germains qui l'avaient fait prisonnier lorsqu'il tentait de fonder son village envoyèrent une attaque sur son village, brulant quelques maisons et repartant plein des ressources que Garet peinait à accumuler. Il n'y avait plus le choix : il fallait lever au plus vite une défense.
Un maitre d'armes qui avait rejoins le village forma quelques villageois, mais ils périrent tous pour ne tuer qu'un seul germain lors de l'attaque suivante.

Garet envoya un émissaire demander l'aide des armées du roi le temps de se créer une troupe pour repousser les germains. L'émissaire fut envoyé à la capitale, puis au chef lieu régional ou il parvint a lier d'amitié avec l'émissaire d'un petit village attaqué lui aussi.

Toutefois, là bas non plus il n'obtint pas d'aide. Les deux villages firent alliance pour s'entraider dans leur lutte contre l'envahisseur germains. Chacun de son côté devait lever une troupe, puis les deux troupes se rassembleraient pour attaquer les germains les uns après les autres et les réduire à néant.

Durant cette période, Garet forma un maximum de soldats, ne laissant dans le village plus que quelques fermiers pour pouvoir nourrir les soldats et quelques rares mineurs pour obtenir les matières premières nécessaires à l'équipement. Avec le temps et en encourageant un politique de naissance, Garet parvint à lever 50 soldats en envoyant les jeunes dès leurs premières années aux champs.
Même si les raids germains étaient fréquents Garet parvenait à lever une armée grâce aux ressources qu'il accumulait dans la cabane qui lui servit d'habitation les premiers mois. Le temps était venu. Les armées alliées, rejointe par un troisième village dans le même cas, se rassemblèrent non loin du village de Garet, dans la plaine de Klyde.

Lorsque les germains arrivèrent pour attaquer le village de Garet, la troupe les contourna et fonça droit sur le village germain, les femmes et les enfants étant cachés à divers endroits du village afin de ne pas avoir de pertes civiles. Lorsque les troupes arrivèrent à proximité du village, Lucius arrêta tout le monde.
«Attention aux pièges! Avancez en file, prêts à rattraper celui de devant soi si il tombe! Je passe devant!»
L'arme au poing, Lucius s'élança vers le village germain, suivi par Garet, puis les chefs des deux villages alliés et enfin les troupes. Même si Lucius risqua deux fois de tomber dans l'un des pièges, Garet le rattrapa à chaque fois et toute la troupe arriva au village. Il n'y avais pas un seul soldat dans le village, ce fut donc une tâche aisée que d'en prendre le contrôle.

Les troupes se postèrent autour de la grande-porte du village, afin de réserver un accueil chaleureux aux germains quand ils seraient de retour. Les germains arrivèrent une dizaine de minutes plus tard, les poches presque vides. Ils ouvrèrent la porte en grand. Ils entendirent alors un grand cri poussé par Lucius : «archeeeeers! Tirez!»

La première salve de flèche avait tué toute la première ligne de germains. Le temps que les germains comprennent ce qui leur arrivait, deux nouvelles salves mortelles furent tirées. Quand enfin ils comprirent et s'élancèrent vers les archers, ils furent pris en tenaille par deux troupes de furieux soldats avec haches, alors que les archers se trouvaient soudainement protégés par une grande troupe de lanciers.

Lucius se battait comme un beau diable, frappant de taille, d'estoc, avec une précision chirurgicale qui tuait à chaque fois. Le combat fut rude, mais les francs étaient bien entrainés et fort peu furent blessés, et aucun tués. La bataille semblait finie. Il ne restais plus que 3 germains entourés par une vingtaine de francs fous furieux qui se jetèrent sur eux.Les deux premiers tombèrent vite.

Mais le troisième se battait comme si le diable avait pris possession de lui. Il tranchait un bras par ci, une jambe par là... Lucius ordonna aux soldats de battre en retraite. Il approcha seul de celui qui semblait le chef des germains, son arme à la main.

S'en suivit l'un des plus beaux combats possibles. Au bout d'un bon moment, Lucius se retrouva acculé contre un mur. Fou de rage, Garet s'empara de l'arc le plus proche et tira flèche sur flèche sur le chef germain. Au bout de quelques secondes, le chef germain avait tout du porc-épic.

Garet libéra ensuite tous les prisonniers, leur proposant ainsi qu'aux villageois germains de rejoindre son village.

Les prisonniers qui le souhaitaient prirent les armes pour aller affronter les autres villages germains. Lucius ramassa l'épée du général ennemi mort, qui était une arme de maitre, et décida de s'en servir pour la paix dans le monde franc.

La troupe de libération du joug des envahisseurs germains partit ensuite vers le second village et de nouveaux combats sanglants. Lorsqu'ils arrivèrent en vue du village, les habitants du village régulièrement attaqué par ces germains se ruèrent en courant vers les combats... et leur mort.

La plupart tombèrent dans des pièges qui étaient dissimulés de ci de là. Les autres furent criblés de flèches. En quelques instants, l'herbe était devenue rouge du sang des braves tombés pour leur femme et pour leurs enfants. Garet ordonna la retraite. Il faudrait visiblement une armée plus importante pour parvenir à vaincre ce village.

La situation était catastrophique. Des dizaines de villageois étaient morts dans l'affrontement. Il faudrait des années pour se remettre de cette défaite. Mais les années, aucuns des trois villages ne les avaient. Celui de Garet, parce qu'il fallait s'occuper des germains tout juste arrivés dans le village, et les deux autres car ils risquaient de se faire attaquer. Les chefs des différents villages rentrèrent chez eux en ayant essuyé une cuisante défaite juste après une grande victoire.

Malgré les pertes et les blessés dans l'armée de Garet, son village gagna en puissance pendant cette guerre. En effet, les germains qui avaient rejoins le village et les prisonniers comptaient plus d'une centaine de personne, qui furent assignés à diverses tâches pour le bien de la communauté. Le village bâtit une caserne et une écurie, puis commençât à transformer son armée de simple fantassins et archers en troupes d'élite, avec des cavaliers et des archers montés, escortés par une troupe d'hommes en armure lourde.
 
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Bon début

Malgré une légère répétition au début ( vraiment très légère )

j'apprécie beaucoup ta première parti,maintenant,je lirais l'autre un peu plus tard tout a l'heure

Bonne continuation dans ton histoire!
 

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Lucius apprit à monter à cheval. Désormais, il étais le paladin du village, comme le prouvait la statue à son effigie placée sur la place du village. Le village de Garet croissait toujours plus.

Il partit voir le roi, décidé à obtenir un titre de noblesse, de manière à pouvoir être le maître de plusieurs villages. Lorsqu'il revint, un mois après, il étais noble et son village contenait une armée inouïe de cavaliers, archers et soldats se battant à la hache. L'heure étais venue d'achever les germains. Avec les catapultes formées par les villages voisins, Garet partit attaquer les ennemis de ses alliés.

Le tir des catapultes permit de détruire la porte d'entrée principale et les murs en quelques minutes. Dès l'effondrement du mur, Lucius se lança à la charge avec son armée de cavaliers légers. Ils pénétrèrent dans le village au triple galop, massacrant les archers qui tentaient de se mettre en place.

La bataille fut réglée en un instant. Un seul soldat mourut côté français, abattu par une flèche tirée depuis un toit. Pour les germains, c'était un massacre. Le chef du village qui fut attaqué par ces germains demanda à annexer la population, mais Garet lui refusa ce droit, prétextant que la présence de germains dans son village favoriserait l'insertion de ceux ci. Les alliés de Garet se sentirent trahis, mais n'en dirent rien lorsqu'il se remémorèrent les massacres occasionnés par la cavalerie de Lucius.

Le deuxième village n'opposa pas plus de résistance, n'étant pas préparé à subir une attaque. Les habitants de ce village furent eux aussi annexés par Garet. Désormais Garet possédait le plus grand village de la région, avec plus d'un millier d'habitants.

L'heure était venue d'augmenter le nombre de villages contrôlés par l'avare chef de village. Garet fit construire une académie dans son village, attirant ainsi quelques nobles des alentours qu'il pourrait envoyer en tant que chef dans d'autres villages.

Avec les quatre petits nobles qu'il avait ainsi obtenu, Garet marcha, suivi de Lucius et son armée, vers le village de son plus proche allié. Laissant le gros de ses troupes hors du village, Garet se présenta à la porte du village avec une garde d'honneur d'une dizaine de personne. La porte lui fut ouverte. Aussitôt Lucius, qui étais dans la garde d'honneur, ordonna aux cavaliers postés en bordure du village d'attaquer, pendant que la garde d'honneur sécurisait la porte. Garet continua vers l'hôtel de ville, où il se présenta devant le chef, escorté seulement de Lucius. Lorsqu'il se trouva en présence du chef, il ne lui dit qu'une seule phrase ;
«Ton village est mien, désormais».
Son vis à vis lui répondit
«Mais Garet... Je croyais que nous avions signé un traité d'alliance!»
Ce fut Lucius qui lui répondit :
"les promesses n'engagent que ceux qui les croient ."

Puis Garet pourfendit de son épée le chef du village, nommant l'un des nobles à son service ''adjoint au maire du village'', ne pouvant s'occuper à la fois de son village et de celui-ci ( et des autres qu'il comptait bien conquérir.

Ensuite, il partit avec sa troupe restée intacte sur le village de son deuxième allié. Escorté par ses nobles et Lucius, il se rendit sur la place du village et déclara aux habitants que ce village était désormais le sien. Lorsque le chef du village vint protester, Lucius l'exécuta d'un simple coup d'épée en travers de la poitrine. Un des nobles fut de nouveau nommé adjoint au chef du village. Garet était désormais le possesseur des trois plus gros villages du secteur, l'alliance entre les 3 villages leur ayant permis de s'agrandir rapidement. Mais les actes de Garet finirent par arriver au préfet de région.

Alors que Garet annexait son 5ème village, le préfet arriva en bordure du village avec sa troupe. Il déclara Garet hors-la-loi. Toutefois, les armées de Garet étant solidement remparées derrière les murs du village, le préfet préféra remettre l'arrestiation à une date ultérieure, afin d'éviter des pertes inutiles.

Mal lui en prit.

Garet lança une campagne de recrutement dans la totalité de ses villages. Lorsque le préfet revint pour s'emparer de la capitale de Garet, il avait des catapultes et une belle armée de cavalerie. Dans le village de Garet, il y avait autant de troupes que le jour de l'annexion du cinquième village.

Les soldats récemment recrutés étaient divisés en deux groupes : un qui encerclait silencieusement l'armée du préfet et un qui attaquait le chef-lieu de région. Lorsque le préfet, voyant un mur s'effondrer sous les coups des catapultes, fit s'élancer sa cavalerie, elle partit comme une flèche.

Lorsque la fumée de l'effondrement du mur se fut dissipé, le préfet s'aperçut qu'il y avait un deuxième mur derrière le premier. Il s'apprêtait à donner l'ordre de repli lorsqu'il entendit dans son dos le fracas des armures des troupes l'encerclant. Les cavaliers du préfet se firent massacrer lorsqu'il arrivèrent au niveau du deuxième mur par les archers qui étaient sur le deuxième rempart. Les catapultes du préfet n'étant plus protégées par les cavaliers furent vite capturées par les soldats de Garet, soldats qui parvinrent à tuer le préfet avant qu'il ne s'enfuie.

La bataille avait duré près d'une heure, mais Garet n'avait pas subi de pertes. Les troupes qui avaient été envoyés sur le chef lieu régional y virent peu de troupes, qui furent vite exterminées par l'armée que Lucius commandait. Les nobles, qui étaient partis avec cette troupe, annexèrent la ville.

Suite à cela, Garet s'auto-proclama préfet de région. Quelques plaintes furent envoyés vers la capitale, mais aucune n'eut de suite. C'est alors que commença un véritable règne de la terreur chez les habitants de la région. Garet annexait les villages les uns après les autres, devenant le maître incontesté de la région. Lorsqu'il eut fini de prendre la totalité des villages de sa région, soit un total de 25 villes et villages, il annexa un village situé dans une région voisine.

Le préfet de région lui envoya un message lui demandant de restituer le village si il ne souhaitais pas une guerre, qu'il perdrait assurément. Garet se proposa dans une alliance contenant une dizaine de propriétaire de plus de vingt villages chacun. Dès qu'il fut accepté, il annonça au préfet de la région qu'il avait attaqué que c'était la guerre. Il annonça à ses alliés qu'il s'était honteusement fait attaqué, leur demandant une assistance qu'il obtint.
 
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édit en cours
édut terminé, GregDGreg tu peut supprimé ce message qui ne sert plus à rien :)
 
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Oui bon c'est peut-être pas utile non plus de flooder en répétant tout ce qui a été dit... Vous m'obligez à nettoyer :/
 

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Merci, c'est mieux, j'ai réussi à tout lire et c'était bien.
 

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Moi j'aime bien ton Rp. Y'a pas quelques idée qui viennent de travian ??
 
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J'me disait aussi, pièges, germains ...
A quand la suite ??
 

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La bataille eut lieu le lendemain. Le petit village annexé par Garet fut la cible du préfet, comme prévu par notre héros. Les troupes de ses alliés étaient toutes présentes dans les environs, prêtes à ralentir pas à pas la progression adverse.

Le combat fut d'une intensité incroyable. Les soldats du préfet foncèrent droit sur les murs, cependant qu'un bélier étais venu ouvrir la porte. Les archers tirèrent tous sur le bélier, brûlant le toit de paille censé protéger des flèches. Malgré tout le bélier survécut aux flammes.

D'autres soldats vinrent remplacer les porteurs brulés et se mirent à courir tant qu'ils purent. Ils furent abattus, puis les suivants à leur tour. Malgré une quantité impressionnante de soldats tués, la porte fut défoncée. Les cavaliers du préfet attaquèrent alors en masse. Plusieurs milliers de ces soldats étaient présents.

Dès que la troupe atteignis la porte, les troupes alliées déferlèrent depuis les forêts alentours, se ruant pour prendre en tenaille les cavaliers qui devaient faire face à une horde de lanciers. Le choc fut sanglant. On ne comptais plus le nombre de pertes, même si on les estimais au bout d'une demi-heure à 3000. Lucius tua le préfet adverse, s'octroyant la hallebarde de combat de ce dernier. Suite à cela commença l'annexion de la préfecture voisine.

La force de Garet commençait à inquiéter les autres préfets, qui sentirent que si il ne faisaient rien, ils finiraient annexés. Ils firent une protestation commune auprès du roi, qui leur fournit 2000 cavaliers en soutient. Chaque préfet leva une troupe. Les armées rejoignirent les armées du roi près d'un village que Garet s'apprêtait à annexer. Lorsqu'il entra dans le village, ne rencontrant qu'une résistance de routine qui se rendit, Garet ne se doutait de rien.

Alors qu'il prononçait son habituel discours d'annexion, un tir de catapulte vint s'abattre sur une maison non loin. Garet partit sur les remparts pour avoir un compte rendu de la situation. Il vit alors les armées alliées des préfectures, une horde de plus de 100 000 fantassins et 10 000 cavaliers qui se massaient juste hors de portée de flèche.

Les catapultes auraient bientôt terminé leur destruction du mur. Craignant pour sa vie, Garet ordonna à tous ses cavaliers de tenter une percée pour détruire les catapultes. Attaquant avec eux, il profita du passage qu'ils avaient ouvert pour prendre la fuite à travers la forêt. Il fuyait, sans se préoccuper de la vie de ses hommes.

«Le village va probablement être rasé pensa-t-il. Mon armée va se faire massacrer et les troupes des préfets réunis annexeront rapidement l'ensemble de mes villages. Je n'ai pas le choix. Il faut que je quitte la France. Peut-être m'en sortirais-je mieux en Germanie, je ne sais. Mais je n'ai pas l'ombre d'un autre choix.»

L'ancien chef de village n'eut pas tort. En tout, ses armées triomphèrent de 56 784 soldats d'infanterie et 7412 cavaliers, ainsi qu'une cinquantaine de catapultes. Mais les 5 000 archers, les 25 000 cavaliers et les 50 000 hommes à la hache périrent dans le combat.

Garet s'enfuit donc vers la Germanie. Deux jours après avoir passé la frontière, il vit une belle plaine. Au bond de cette plaine se situait la forêt dans laquelle il se trouvait. A sa gauche se trouvait une zone argileuse. On voyait à l'autre bout de la plain le profil d'une montagne ferrugineuse. Garet décida d'y fonder un nouveau village.


Fin.


Maintenant que cette histoire est finie, je vais pouvoir m'occuper entièrement de l'histoire d'un rêve ^^
 

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Je suis d'accord. C'est un peu dommage que cela se termine aussi vite. Mais bon vu qu'elle en fait un autre on s'en fou :D
 

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au pire je pourrais toujours le continuer en écrivant son nouveau départ après
 

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Ouai puis tu peux faire un RP sans fin :D Genre à chaque il fui comme un lâche. Et puis il en reconstruit un autre etc..etc..
 
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