DeletedUser16182
Guest
KOD, meilleure tribu du continent 24.
Notre recrutement est maintenant restreint. Contactez-moi ingame avec une lettre d'application pour voir si vous avez une chance de nous rejoindre.
Histoire tribale:
Il y a fort fort longtemps, dans une valée sombre et abandonnée, vivait une unique communauté paisible d'environ 300 habitants, formée d'un très petit village et de fermes avoisinnantes. Personne n'avait entendu parler de guerre, de religion ou autre connerie. Tous vivaient par leurs propres moyens, par des accords avec les autres citoyens, et tous vivaient une vie calme et sans danger, sans gouvernement, sans autorité.
Loin de là, un roi était assis sur son trône, avec une vue sur son vaste royaume. Il buvait un grand vin que lui seul pouvait se payer, en mangeant un pain qui était si rare en bas, dans la ville, bref, il vivait le luxe. Le peuple, lui, vivait la famine depuis plusieurs mois déjà, et ils ne pouvaient plus le supporter.
De retour à notre petite communauté, c'était la nuit. Tous prenaient un repos bien mérité après une dure journée de travail. Mais Henri, lui, ne dormait pas. Il était assis sur son toit, à regarder le village endormi. Mais, soudainement, il aperçu une silouhette. C'était un cheval, oui, comme on en voyait parfois dans les fermes à proximité du village, mais quand la silouhette se rapprocha, il se rendit compte qu'un homme chevauchait le cheval. Un homme sur un cheval, mais qu'est-ce qui se passe?. L'homme, vêtu de pièces métaliques, sortit une pièce de bois en forme d'arc, dont les deux extrémités étaient reliées par une corde, et y plaça un morceau de bois, d'une forme étrangement parfaitement cylindrique, sur laquelle on avait placé une pierre pointue. La flèche en question se pointa vers Henri, et décolla. Henri n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait et ce qu'était cet instrument. Une marre de sang se formait autour de son corps, maintenant tombé du toit.
Quelques jours plus tard, le roi était en pleine réception avec des personnes importantes du royaume, sois des maires ou des seigneurs, pour discuter de la crise qui régnait sur le royaume, quand on vint l'interrompre. C'était Grevy, le chef des éclaireurs. Il demanda à s'entretenir avec le roi. "Nous avons découvert une communautée arrièrée en technologie, qui pourant abonde en nourriture. Ce serait facile de s'y installer!
Dans notre petit village, Anthonin, le plus vieil homme de la petite communauté, alla où les cris de surprise attiraient tout le village. Il du sang, sur le toit, qui avait visiblement coulé. En suivant la trace, on put voir Henri, décédé, avec une flèche entre les deux yeux. Henri était père de 2 garçons, de 16 et 17 ans. Les regards interrogateurs des citoyens ne suffirent pas à Anthonin pour qu'il révèle l'existence des armes et de la guerre au petit peuple. C'était le seul à en avoir vu de sa vie, et jamais il n'aurait souhaité à sa communauté de les découvrir.
La porte de la salle de réception commença a trembler, à faire du bruit. Tous les regards y étaient figés. Quand soudainement, un bélier la traversa d'un bruit terrible. Les citoyens frustrés ne pouvaient pas encore passer défouler leur rage sur leurs dirigeants, mais un d'eux pu crier: "La guillotine est prête pour ceux qu'on aura vivant!" C'est ainsi qu'ils recommencèrent à défoncer la porte à coup de bélier. Le roi murmura à l'oreille de Grevy: Pouvez-vous nous y mener?C'est ainsi que la noblesse du royaume empruntèrent les tunnels sous-terrains du château, après s'être vêtus d'armures et s'être procurés des armes; les hommes comme les femmes. À peine entrés dans le tunnel, ils entendirent la porte d'entrée du château s'effondrer. Ils refermèrent la trappe secrète. Une fois sortis du tunnel, ils étaient à plus de 2 kilomètres du château, et Grevy les dirigeaient tous vers le village qu'il avait trouvé quelques jours auparavant.
Quelques jours plus tard, tout en travaillant dans leurs fermes ou en visitant des amis, les habitants de notre petite communauté parlaient tous des circonstances étranges de la mort de Henri, pendant que Anthonin, devenu paranoïaque, avait emprunté la forge du forgeron pour se fabriquer une arme. Les 2 fils d'Henri étaient partis marcher dans la montagne, et attendaient désormais, sur le sommet, le coucher du soleil pour enterrer leur père dans le trou fraîchement creusé. Une fois cela fait, ils commencèrent à redescendre la montagne.
Anthonin, devenu fou, faisait les 100 pas dans sa maison, quand vint le moment qu'il redoutait tant. Il entendit une femme hurler au loin, probablement dans une ferme proche. Puis, plus tard, on hurlait partout dans le le petit village. Puis il le vit. 3 hommes, armés d'épées, cernaient une petite famille. 2 jeunes parents et 2 petites filles de 6 et 8 ans respectivement. Anthonin fonça vers eux, armés de son épée, ce qui surprit les 3 hommes. Un d'eux fut abbatu rapidement, mais les 2 autres ont riposté. Et le sang d'Anthonin se mélangeait à celui de Grevy sur le chemin de terre battue.
Julien et Charles, qui descendaient la montagne, voyaient une activitée anormale dans le village, et entendaient de loin des cris de terreur. Ils se mirent à courir pour rejoindre le village le plus vite possible.
Tous les autochtones de la place étaient exterminés, les maisons et les fermes avaient étés fouillées. Les membres de l'aristocratie s'étaient tous offert un bon repas à même les provisions des familles avant de s'endormir dans leurs lits, la conscience trop tranquille.
Julien et Charles arrivèrent beaucoup trop tard. Les corps et le sang donnaient à leur parfait petit village une allure sombre. Chaque cadavre sur le sol, ils le connaissaient, il avait une histoire. Des enfants, des hommes, tout. Puis, il vit, sur le sol, une famille complète au même endroit, dont 2 petites filles. À côté d'eux, ils virent un homme qu'ils ne connaissaient pas, et le vieil Anthonin, morts. C'était le premier inconnu qu'ils avaient vu avoir péri dans la bataille. Ils avaient remarqué, sur chacun des deux hommes, un objet métallique de forme allongée. Charles tenta de le prendre mais s'y coupa. Il comprit alors l'existence des armes. Puis, il comprit qu'Anthonin savait. Il en avait une, il s'y était préparé, mais ne voulait pas corrompre le village, que celui-ci devienne comme ces brutes dégueulasses. Ils en prirent chacun une, et partirent dans les bois, loin, se créer un abri.
Les rois avaient fait venir des gens du peuple, qui n'avaient aucunement d'armes, pour leur servir d'esclaves dans les fermes, car ils se sont rendus compte qu'ils ne pouvaient pas travailler, et que les provisions ne seraient pas éternelles.
Charles et Julien partaient ce soir là, vers le village, bien armés. En usant des lampions du village, ils incendièrent des maisons. En usant leurs épées, ile tuèrent des hommes, des femmes et des enfants. Puis s'en allèrent. Et ils répètaient le manège à l'occasion. La souffrance vécue leur avait apporté la vie éternelle. Et c'est ainsi que sont nés les Knights Of Death.
Leurs passages se firent de moins en moins fréquents, aussi bien qu'ils devinrent une légende. Mais, c'est quand qu'on ne les attendaient pas qu'ils arrivaient, toujours armés, prêts à venger leurs familles, et leur communauté maintenant oubliée. On vint à les appeler les Knights Of Death.
Notre recrutement est maintenant restreint. Contactez-moi ingame avec une lettre d'application pour voir si vous avez une chance de nous rejoindre.
Histoire tribale:
Il y a fort fort longtemps, dans une valée sombre et abandonnée, vivait une unique communauté paisible d'environ 300 habitants, formée d'un très petit village et de fermes avoisinnantes. Personne n'avait entendu parler de guerre, de religion ou autre connerie. Tous vivaient par leurs propres moyens, par des accords avec les autres citoyens, et tous vivaient une vie calme et sans danger, sans gouvernement, sans autorité.
Loin de là, un roi était assis sur son trône, avec une vue sur son vaste royaume. Il buvait un grand vin que lui seul pouvait se payer, en mangeant un pain qui était si rare en bas, dans la ville, bref, il vivait le luxe. Le peuple, lui, vivait la famine depuis plusieurs mois déjà, et ils ne pouvaient plus le supporter.
De retour à notre petite communauté, c'était la nuit. Tous prenaient un repos bien mérité après une dure journée de travail. Mais Henri, lui, ne dormait pas. Il était assis sur son toit, à regarder le village endormi. Mais, soudainement, il aperçu une silouhette. C'était un cheval, oui, comme on en voyait parfois dans les fermes à proximité du village, mais quand la silouhette se rapprocha, il se rendit compte qu'un homme chevauchait le cheval. Un homme sur un cheval, mais qu'est-ce qui se passe?. L'homme, vêtu de pièces métaliques, sortit une pièce de bois en forme d'arc, dont les deux extrémités étaient reliées par une corde, et y plaça un morceau de bois, d'une forme étrangement parfaitement cylindrique, sur laquelle on avait placé une pierre pointue. La flèche en question se pointa vers Henri, et décolla. Henri n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait et ce qu'était cet instrument. Une marre de sang se formait autour de son corps, maintenant tombé du toit.
Quelques jours plus tard, le roi était en pleine réception avec des personnes importantes du royaume, sois des maires ou des seigneurs, pour discuter de la crise qui régnait sur le royaume, quand on vint l'interrompre. C'était Grevy, le chef des éclaireurs. Il demanda à s'entretenir avec le roi. "Nous avons découvert une communautée arrièrée en technologie, qui pourant abonde en nourriture. Ce serait facile de s'y installer!
Dans notre petit village, Anthonin, le plus vieil homme de la petite communauté, alla où les cris de surprise attiraient tout le village. Il du sang, sur le toit, qui avait visiblement coulé. En suivant la trace, on put voir Henri, décédé, avec une flèche entre les deux yeux. Henri était père de 2 garçons, de 16 et 17 ans. Les regards interrogateurs des citoyens ne suffirent pas à Anthonin pour qu'il révèle l'existence des armes et de la guerre au petit peuple. C'était le seul à en avoir vu de sa vie, et jamais il n'aurait souhaité à sa communauté de les découvrir.
La porte de la salle de réception commença a trembler, à faire du bruit. Tous les regards y étaient figés. Quand soudainement, un bélier la traversa d'un bruit terrible. Les citoyens frustrés ne pouvaient pas encore passer défouler leur rage sur leurs dirigeants, mais un d'eux pu crier: "La guillotine est prête pour ceux qu'on aura vivant!" C'est ainsi qu'ils recommencèrent à défoncer la porte à coup de bélier. Le roi murmura à l'oreille de Grevy: Pouvez-vous nous y mener?C'est ainsi que la noblesse du royaume empruntèrent les tunnels sous-terrains du château, après s'être vêtus d'armures et s'être procurés des armes; les hommes comme les femmes. À peine entrés dans le tunnel, ils entendirent la porte d'entrée du château s'effondrer. Ils refermèrent la trappe secrète. Une fois sortis du tunnel, ils étaient à plus de 2 kilomètres du château, et Grevy les dirigeaient tous vers le village qu'il avait trouvé quelques jours auparavant.
Quelques jours plus tard, tout en travaillant dans leurs fermes ou en visitant des amis, les habitants de notre petite communauté parlaient tous des circonstances étranges de la mort de Henri, pendant que Anthonin, devenu paranoïaque, avait emprunté la forge du forgeron pour se fabriquer une arme. Les 2 fils d'Henri étaient partis marcher dans la montagne, et attendaient désormais, sur le sommet, le coucher du soleil pour enterrer leur père dans le trou fraîchement creusé. Une fois cela fait, ils commencèrent à redescendre la montagne.
Anthonin, devenu fou, faisait les 100 pas dans sa maison, quand vint le moment qu'il redoutait tant. Il entendit une femme hurler au loin, probablement dans une ferme proche. Puis, plus tard, on hurlait partout dans le le petit village. Puis il le vit. 3 hommes, armés d'épées, cernaient une petite famille. 2 jeunes parents et 2 petites filles de 6 et 8 ans respectivement. Anthonin fonça vers eux, armés de son épée, ce qui surprit les 3 hommes. Un d'eux fut abbatu rapidement, mais les 2 autres ont riposté. Et le sang d'Anthonin se mélangeait à celui de Grevy sur le chemin de terre battue.
Julien et Charles, qui descendaient la montagne, voyaient une activitée anormale dans le village, et entendaient de loin des cris de terreur. Ils se mirent à courir pour rejoindre le village le plus vite possible.
Tous les autochtones de la place étaient exterminés, les maisons et les fermes avaient étés fouillées. Les membres de l'aristocratie s'étaient tous offert un bon repas à même les provisions des familles avant de s'endormir dans leurs lits, la conscience trop tranquille.
Julien et Charles arrivèrent beaucoup trop tard. Les corps et le sang donnaient à leur parfait petit village une allure sombre. Chaque cadavre sur le sol, ils le connaissaient, il avait une histoire. Des enfants, des hommes, tout. Puis, il vit, sur le sol, une famille complète au même endroit, dont 2 petites filles. À côté d'eux, ils virent un homme qu'ils ne connaissaient pas, et le vieil Anthonin, morts. C'était le premier inconnu qu'ils avaient vu avoir péri dans la bataille. Ils avaient remarqué, sur chacun des deux hommes, un objet métallique de forme allongée. Charles tenta de le prendre mais s'y coupa. Il comprit alors l'existence des armes. Puis, il comprit qu'Anthonin savait. Il en avait une, il s'y était préparé, mais ne voulait pas corrompre le village, que celui-ci devienne comme ces brutes dégueulasses. Ils en prirent chacun une, et partirent dans les bois, loin, se créer un abri.
Les rois avaient fait venir des gens du peuple, qui n'avaient aucunement d'armes, pour leur servir d'esclaves dans les fermes, car ils se sont rendus compte qu'ils ne pouvaient pas travailler, et que les provisions ne seraient pas éternelles.
Charles et Julien partaient ce soir là, vers le village, bien armés. En usant des lampions du village, ils incendièrent des maisons. En usant leurs épées, ile tuèrent des hommes, des femmes et des enfants. Puis s'en allèrent. Et ils répètaient le manège à l'occasion. La souffrance vécue leur avait apporté la vie éternelle. Et c'est ainsi que sont nés les Knights Of Death.
Leurs passages se firent de moins en moins fréquents, aussi bien qu'ils devinrent une légende. Mais, c'est quand qu'on ne les attendaient pas qu'ils arrivaient, toujours armés, prêts à venger leurs familles, et leur communauté maintenant oubliée. On vint à les appeler les Knights Of Death.
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