Geoffroy

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Je m’appelle Geoffroy, j’ai douze années, je suis fils d’aubergiste. Enfin j’ai été fils d’aubergiste, cela fait un peu moins de douze années que mes parents sont morts. Je ne connais même pas leurs visages. Etaient-ils beaux, forts, mince, grands, petits. Je ne sais rien de tous cela à part ce que mon maitre d’armes et amis de mes parents m’a raconté d’eux.

Je suis née un jour funeste, le jour ou la grande alliance des 4 royaumes a perdu la bataille qui fit décliner l’empire. Un jour funeste pour un destin glorieux ou tragique cela fait longtemps que je me pose cette question.

L’alliance des quatre royaumes contrôlé tous notre continent. Ces royaumes étaient régit au nord par les nains à l’ouest par les elfes et dans l’est et le sud par les humains.

Le royaume du nord, « Baragund ». Il y règne un climat rude, la neige recouvre le royaume huit mois dans l’année, les montagnes y sont omniprésentes et emplis de richesses minières. Les nains se plaisent dans leurs terres car elles sont aussi rugueuses qu’eux même, aussi dure que leur armure de plaques. Leurs citadelles de pierre construites à l’intérieur des montagnes prouvent leur génie et leur amour de la montagne. Les nains sont fiers, bien que petits. Leur capitale édifiée à l’intérieur de la montagne de feu permet de forger les plus belles lame des quatre royaumes grâce a leur savoir-faire de forgeron et la chaleur dégagée par ce volcan aussi tumultueux que leur caractère.

Le royaume de l’ouest, «Telemnar ». Ces forêts sont verdoyantes toute l’année, ces clairières fleuris, le climat y est doux, les ruisseaux formes une belle et douce mélodie. La grande forêt de« Tauron » est leur plus grand sanctuaire ou sont enterrés leur héros des guerres passés. Jamais aucun homme et encore moins un nain n’est entrée dans cette forêt. En tous cas aucun n’en est ressortit vivant. Les elfes manient la magie et sont de fin couturier, leurs étoffes de soie sont aussi douce que leur peau leur cuir sont aussi souples qu’eux. Ils vivent en harmonie avec leur nature et la protège car elle est pour eux la meilleure protection.

Les royaumes de l’est et du sud, «Lorgan» et «Alaric» sont propices aux cultures de part la richesse de leur sols. Les grandes prairies de l’est permettent l’élevage des plus beaux équidés du continent. Les humains sont de brave guerrier et de très bon cavalier. Ils sont aussi à l’aise sur leur monture que dans un fauteuil. Les rois humains sont fiers Ils descendent des elfes mais jamais ils ne l’avoueront car ils sont trop orgueilleux. Eux qui ont fait construire les plus belles forteresses aux quatre coins des royaumes Humains. Ces énormes monstres de pierre avec des systèmes de défense très ingénieux et sophistiqués.

Grace à la force de l’Alliance le continent était plus ou moins sûr suivant les régions. Certes certaines bandes n’hésitaient pas à détrousser les passants et les marchands, certains quartiers des villes devenaient dangereux a mesure que la nuit faisait son apparition.





Voila le début d'une histoire qui me trottent dans la tête depuis 3 ans environ donc si cela vous plait. Je peux vous faire une longue histoire. Excusez moi par avance pour les nombreuses fautes oublié.
Soyez franc et apportez moi votre savoir.
 
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C'est un bon début ! Tu commence à planter un décor alors que tu n'as pas encore présenté ton personnage ! A mon avis, prends ton temps !
Qui est Geoffroy (personnalité, physique...) ? Qui l'a élevé depuis que ses parents sont morts ?

Peut être si j'avais un conseil au niveau pure d'écriture, ce serait de retravailler le passage de description de qui est Geoffroy à la situation à sa naissance et la présentation du monde. Cela fait un peu "brute" actuellement.

"Certes certaines" est en général une forme à éviter sauf si tu veux accentuer la répétition. Cela donne une lourdeur inutile à la phrase.

Tes descriptions des royaumes sont claires et compréhensibles.

J'aimerais que Geoffroy soit un peu plus présent dans la suite et pouvoir répondre aux questions que je me pose sur lui !
Bonne continuation
Si tu veux une correction de ton texte fais moi signe, mais je ne suis pas une pro de la correction mot à mot...
 

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Merci Selsynn de m'avoir répondu je vais essayez de corriger le problème sur les "certes et certaines".

J'ai encore 40 chapitre en réserve qu'il faut que je retravaille sur la suite de l'histoire et les 4 premiers chapitres parle du post Geoffroy, ils sont donc en quelques sortes une introduction à l'intégralité du Rp.

Après l'histoire ce recentre sur lui. Après faut il que je présente directement Geoffroy ? J'aurais aimé garder le mystère sur les premiers chapitres pour que le déroulement de l'histoire se fasse progressivement. ( Excusez moi de la réponse bateau mais je ne vais pas tous dire) le premier chapitre après cette introduction de 4 chapitres (suis-je clair ? Je me le demande)est consacré entièrement au personnage principal.

Une autre solution pourrait être de comprimer les 4 premiers chapitres en un seul mais j'ai peur que le rendu sois assez bizarre car sur les chapitres après celui ci je parle de zone bien précise sur le continent.
 

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Si c'est prévu laisse comme tu as prévu ^^.
Je faisais juste état de la situation plutôt inhabituelle (enfin, je trouve).

du coup je te conseilles d'utiliser un peu de style pour qu'on identifie bien ce qui se passe, c'est Geoffroy qui raconte son histoire ? Tu peux mettre le petit paragraphe qui parle de lui de façon différente (italique est le plus simple, mais sinon une autre police...^^)
Enfin, je suis une adepte du style pour qu'on comprenne quelques chose... J'ai peut être tendance à l'utiliser un peu trop pour ma part !

Si j'ai compris :
le post que tu as fait : présentation générale
4 chapitres suivant : les background de chacuns des royaumes dont on parle dans l'histoire
Ensuite l'histoire de Geoffroy...

Si c'est celà, je ne peux que t'encourager à mettre la suite ^^
 

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Tu gère tu as tous compris. Je vais bientôt poster le premier chapitre du background et modifier la pensée de Geoffroy en Italique cela sera plus simple tu as tous a fait raison. Merci du conseil :)
 

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La forteresse de Thorondor

Quelques mois avant ma naissance depuis la forteresse de « Thorondor » à l’extrémité Est du continent de Lorgan on put voir déferler des embarcations à perte de vu qui se diriger vers le fort.

La forteresse réputée imprenable fut prise en 2 jours malgré une défense acharnée des humains. Les bateaux crachait des boulets jours et nuits dans une cadence infernale, le bruit était insupportable, la fumée rendait l’atmosphère irrespirable, on ne percevait pas les ordres des supérieurs et on ne discerné presque pas les silhouettes de ces alliés. Les troupes ennemies si imposantes, déferlées par vague infinie tel la marée.

Elles étaient composées de mercenaires, barbare, orcs, trolls et animaux monstrueux ne craignant rien. Ils paraissaient insensibles à tous l’arsenal défensif développé par l’alliance : le feu, la magie, les flèches, les épées paraissaient se fendre sur leur armure.

Le maitre du fort, le général Valar n’eu d’autre choix que d’alerter les quatre Capitale à l’aide de coursiers. A la tombée de la nuit les blessés avaient du être abandonné dans le second mur d’enceinte. Les hommes ne préférer pas imaginer ce que leurs frères d’armes ont enduré. Leur cri de douleur était plus intense que la canonnade. En l’espace de dix minutes les cris s’étaient terminés dans un étouffement, le silence le plus absolu. Les tirs de canons ne c’était pourtant pas arrêter. Les hommes de Valar savaient que leur fin était proche mais aucun d’eux ne se serait rendu a l’ennemie par orgueil et fierté il préférait que Thorondor soient leur tombeaux que leur honte. A l’aube du deuxième jour Valar prononça son dernier discours.

Il dit : « Vaillant soldats des quatre royaumes, notre heure est venue. A nous de la rendre glorieuse, que tous le monde sache que vous vous êtes battu jusqu’à votre dernier souffle l’épée au poing, la flèche prêt à être décocher. Soyez fière de tué l’immondice qui souille notre Terre en ce jour, faites une dernière prière pour ce que vous chérissez, parents, enfants, une femme, un mari. Pour l’alliance des quatre royaumes ! »

Tous les soldats reprirent en chœur « Pour l’alliance des quatre royaumes ! »

Un sergent monta sur la dernière partie du chemin de garde et cria aussi fort qu’il le put « Vous allez tous… »

Un archer ennemi décocha une flèche en plein cœur du pauvre malheureux qui retomba dans la cour comme une pomme tombe d’un arbre. La dernière poigner de défenseur du fort était dans la cour, les béliers taper sans relâche sur la herse qui ne tarda pas à se briser. Un corps a corps perdu d’avance s’engagea pour les hommes de Valar qui resserrait les rangs au fur et à mesure des pertes. Leur force était décuplée par leur sentiment de désespoir. Ils tuèrent sans relâche jusqu’à la nuit tombé.

Les assaillants semblaient maintenant craindre cette poignée d’homme déterminé. Valar était très habile il parait les coups habilement. Son ambidextrie le rendait puissant ils assénées des coups sur les flancs de ces adversaires puis avec ces deux lames il coupait la tête de ces ennemie avec une précision chirurgicale. La grande stature des ennemies les désavantager dans cette cours étroite formant un L. Mais a la fin de la journée, la défense du fort de Thorondor était vaincue. Le joyau des humains réduit a néant en l’espace de deux jours. Les trois premiers murs de renfort étaient totalement réduits en cendres. Le quatrième et le cinquième partiellement. Le millier d’hommes du fort avait succombé à l’impressionnante force ennemie venue de l’ Est.
 
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C'est sympathique mais je trouve trop de similitude entre le Seigneur des Anneaux et ton début de récit.
Je crois même qu'il y a mélange entre SDA et Warcraft : "Les troupes ennemies si imposantes, déferlées par vague infinie tel la marée.
Elles étaient composées de mercenaires, barbare, orcs, trolls et animaux monstrueux ne craignant rien. Ils paraissaient insensibles à tous l’arsenal défensif développé par l’alliance : le feu, la magie, les flèches, les épées paraissaient se fendre sur leur armure."
Là on dirait clairement la Horde.
C'est dommage que tu ne plante pas TON décor, même si tu t'inspires de sources déjà existantes.

Après au niveau cohérence, 2 choses me font tiquer :
1- Tu parles de la magie, comme si c'était naturel. Tu places la magie parmi des éléments (feu) et objets (épées, flèches). La magie est un art, en ce sens elle se différencie car non naturelle. Tout le monde peut tenir une épée, même un enfant. Mais qui peut lancer un sort ? Seul une personne qui a travaillé pour peut le faire. On ne nait pas mage, on le devient, en apprenant les formules, en apprenant à lire, en apprenant la pratique. De même on ne nait pas guerrier : la plupart des jeunes qui se forgent un héros le sortent du chapeau. C'est un type qui a passé toute sa jeunesse dans la forêt, élevé par les loups (donc aucune culture, ne sait pas parler, se déplace à 4 pattes), passant ses longues heures à s'entrainer à l'épée (l'épée ne poussant pas naturellement, il faut être forgeron pour créer son épée, donc avoir vu quelqu'un forger avant, pour forger il faut avoir le matériel, pour avoir le matériel il faut de l'argent car on ne trouve pas de l'acier en cueillant des champignons). Bref, je m'éloigne et personne ne dit rien ! Soit je captive, soit on m'écoute pas...
Donc la magie est un art, disais-je, et tu devrais l'introduire, préciser que c'est un monde où la magie est présente, montrer qui sais se servir de la magie...

2- Tu parles de boulets de canon. Donc la poudre noire est présente et répandue. Perso, et cela n'engage que moi, l'invention des armes à feu place tout de suite ton récit dans la catégorie "beurk". Je hais les armes à feu, faisant quitter la noblesse et le courage des hommes à la facilité et la lâcheté. Un type qui tue 50 personnes à la Kalash est-il meilleur qu'un type qui tue 10 adversaires à l'arme blanche ? Pou moi la réponse est clairement non. L'épéiste possède une technique, un savoir-faire, une force physique. L'autre n'a qu'une bonne gâchette.
En plus, c'est vraiment facile de tuer quelqu'un à 100 mètres, tandis qu'au corps-à-corps, nombreux sont les chevaliers à avoir épargné leur adversaire, car il faut du sang-froid, de la cruauté et de la haine pour ôter la vie de quelqu'un.

Mais ces 2 points ne sont pas grand chose, c'est plus ma critique que la critique de ton récit.

Ton point faible, c'est l'utilisation des participes passés et des verbes conjugués : préféraient et non préférer, tapait et non taper, assénaient et non assénées... C'est très nombreux, trop à mon goût.

Ton point fort : contrairement à ce que dit Selsynn, tu as choisit de planter le décor avant de relater l'action, et ça c'est bien. Qu'importe si ton décor prend 5 ou 10 chapitres, c'est grâce à lui que le lecteur va pouvoir imaginer ton héros, imaginer la ville, les situations qu'il va vivre... Si tu commençais directement par l'action de ton personnage, le lecteur ne se sentirait pas concerné par l'histoire.
Je pense que tu peux étoffer davantage ton décor, par contre ne rentre pas trop dans les détails : tu nous parles de Valar, tu nous montres comment il se bat, mais nous ignorons absolument tout de lui. Est-il un Prince ? Un Roi ? Est-ce un Homme ? Un Elfe ? Il meurt avant qu'on puisse apprendre quoi que ce soit sur lui.

Un conseil pour ces situations : si tu dois raconter une bataille, soit tu la racontes avec les yeux de ton héros, présent à ce moment et qui voit/entend ce qu'il se passe, donc peut raconter le combat. Soit le héros n'y est pas et dans ce cas, il vaut mieux raconter ton récit comme si c'était un extrait d'archives, un texte que les gens peuvent consulter mais dont l'auteur est soit inconnu, soit mort, soit rescapé. Cet auteur était présent lors du combat et il a consigné ce qu'il s'est passé.
Par exemple, le récit de la mort de Balïn dans le SDA : Dans la Moria, Gandalf trouve un livre, il le lit et se rend compte qu'il s'agit du récit de la mort des Nains. Les choses y sont consignées, tout simplement : Oïn est mort en se rendant au Lac. les Orques se font chaque jours plus nombreux. Nous avons perdu Bombur et Bifur, ainsi que l'accès sur les niveaux inférieurs. La Grande Salle est perdue elle aussi à présent. Nous n'avons plus d'espoir...
Voici un extrait d'archives. Comme tu le vois, on ne montre pas comment Oïn, Bombur et Bifur sont morts, on (car nous ignorons qui est l'auteur) nous apprend juste qu'ils sont morts, et c'est important car ces Nains ne recrutent pas dans la Moria, ils sont venus à 13, et si l'un meurt, il ne peut pas être remplacé, donc toute perte est à signalée car elle a son importance. A force d'avoir des pertes, à un moment il n'en reste plus un seul.

Voilà, désolé c'est un (trop ?) long message.
 
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