♦ La légende vraie des deux enfants Black ♦

  • Auteur de la discussion Anseilm
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CHAPITRE I.Le Chevalier Noir

La nuit tombait à peine sur Elwire. La lune pleine était haute dans le ciel étoilé et les routes, recouvertes d'une épaisse couche de neige, étaient impraticables. Sauf peut-être pour un Chevalier Noir. Traversant monts et collines, l'homme fiert et massif cravachait son cheval pour l'inciter à galoper plus vite. L'heure n'était pas à la paresse, des rumeurs graves étaient parvenues jusqu'à ses oreilles alors qu'il prenait du bon temps autour d'une chope d'hydromel à la taverne du Dieu Maudit. Cessant immédiatement toute activité, le chevalier avait enfourché son cheval et tenté de gagner au plus vite Elwire, qui n'était heureusement qu'à quelques heures de route. Le verre sâle était resté à moitié rempli sur le comptoir usé et poussiéreux de l'échope où il avait passé la soirée.

Craignant de tomber sur quelques brigants, le Chevalier Noir veillait à rester sur le sentier tracé. Non pas que des bandits lui auraient donné du fil à retordre, il souhaitait simplement parvenir au plus vite au Chateau du Comte Archibald Lupin Black et devoir se battre l'aurait ralenti. Bien heureusement, l'homme dépassa les derniers arbres à la cîme haute de la forêt qui bordait l'entrée de Elwire. Il approchait. Murmurant des encouragements d'une voix rauque pour son cheval, le Chevalier grimpa la plus haute colline de la ville à vive allure. Après plusieurs heures de galop, il parvint enfin à destination et se mit au pas. Le hululement sourd d'un hibou le tira de sa torpeur, la respiration haletante et le visage rougit par l'effort, l'homme posa sa main sur le flanc brûlant de son cheval. Devant lui se dressait l'immense et imposante muraille de pierre du Chateau Black.

*​

La pièce était silencieuse, seul résonnait le bruit des couverts qui s'entrechoquaient dans les assiettes. La table croûlait sous les plats d'une abondance rare et leur quantité semblait ne jamais se réduire. Assis au bout de la table de bois, un homme trônait, le regard dans le vague. En face de lui, une femme à la beauté douce et délicate picorait quelques morceaux de pain. Ses yeux gris étaient emplis d'une tristesse vénérable et d'une sagesse sans faille. A leurs côtés étaient attablés deux enfants, qui dévoraient avidemment tous les mets qu'ils avaient entreposé dans leurs assiettes en porcelaine. Le plus jeune, un garçonnet d'à peine cinq ans nommé Seth, était habillé d'une simple toge beige. Ses yeux bleus plein de malice témoignaient d'une intelligence vive et d'une fierté humble. Né en plein mois d'août, il avait la force et le courage des conquérants. L'aînée, Thalys, était à peine plus âgée. Né quatre ans plus tôt, au printemps, tout en elle inspirait le calme et la patience. Sa blondeur et le bleu de ses yeux rappelait étrangement le physique de son frère. Les deux enfants étaient très liés, passant le plus clair de leur temps ensemble à se créer une nouvelle vie et à rêver.

Ils ne descendaient que très rarement au village, leur père ne souhaitait pas les mêler à la France d'en bas. Le Comte était pourtant un homme modeste et juste, faisant le bien autour de lui. Sa richesse et le pouvoir qu'il possédait à travers le pays suscitait de violente jalousie. Sûr de ses amis et fier de ses soldats, le Comte Archibald Black était confiant et vivait loin de la tourmente. Pourtant, l'attaque ne vient pas toujours d'un ennemi. Il est bien souvent impératif de garder un oeil méfiant sur son propre entourage.

La porte s'ouvrit brusquement. Un domestique courrut jusqu'au comte pour lui murmurer quelques paroles à l'oreille. D'un froncement de sourcils et d'un geste de la main, Archibald donna ses ordres. Quelques secondes passèrent, les deux enfants surpris gardaient le regard fixé sur la porte d'où était apparu le domestique. Enfin, le Chevalier Noir fit son entré. Sa stature à la force tranquille imposa un silence presque pieux à l'assemblée que constituait la famille Black. Son armure noire couvrait un corps taillé dans la roche, d'une poigne de fer, il ôta son casque et s'agenouilla devant le Comte. Son regard sombre se posa tour à tout sur Archibald, sa femme, puis les deux enfants qui ne purent réprimer un frisson le long de leur échine. D'une voix rauque, il demanda à s'entretenir seul à seul avec le maître du chateau.

Les deux hommes s'isolèrent dans la bibliothèque. La pièce était pas vaste, une seule minuscule fenêtre offrait une vue imprenable sur l'horizon. Les centaines de livres qui recouvraient totalement les murs conféraient une atmosphère étouffante et une certaine lourdeur à la bibliothèque. Il y avait là des ouvrages rares et dont personne ne soupçonnait l'existence. Partout dans le pays, on parlait de cette salle cachée au chateau du Comte où l'on disait qu'il y avait des vieux grimoires sur la Magie Noire et sur une religion obscure. A vrai dire, tout n'était pas faux dans ces rumeurs qui courraient les terres françaises. Archibald avait réussi à faire taire certaines rumeurs et a gardé le mystère sur sa propre bibliothèque. Pourtant, de vils curieux tentaient encore parfois d'y pénétrer en se faisant inviter au chateau. Le Chevalier Noir prit place dans un fauteuil recouvert de velours rouge tandis qu'Archibald Black restait debout.

CHEVALIER NOIR _ " Maître. Il y a des rumeurs qui circulent dans les villages voisins. J'étais dans une taverne lorsqu'un ivrogne s'est mis à parler. Ils s'organisent. Ils arrivent, Seigneur. "

Le Comte resta impassible. La nouvelle l'accablait pourtant, ce que venait de lui révéler son Chevalier était terrible pour son cercle de fidèle et son entourage. Il porta sa main à sa joue et se frotta la barbe qu'il avait laissé poussé depuis plusieurs jours. Silence. Le Chevalier Noir commençait à s'agiter à nouveau, l'oeil inquièt. Il s'apprêta à parler, lorsqu'Archibald le fit taire d'un geste de la main. D'une enjambée, il se rapprocha des murs et en sortit deux vieux livres sur le point de tomber en lambeaux. Le Comte plissa les yeux, comme pour se rappeler d'un lointain passé, puis poussa un soupire destiné sans doute à le rassurer. Il ôta un autre livre, plus petit et en meilleur état que les précédents, et posa les trois ouvrages sur les genoux du Chevalier. Distraitement, il caressa du bout des doigts le bois d'ébène de son bureau. Il était recouvert de parchemins, de livres et parsemé de tâches d'encre. Un seul tiroir. Fermé. Il ôta une chaîne qu'il portait autour de son cou et au bout duquel était attachée une clef. Archibald ouvrit le tiroir et en sortit une enveloppe épaisse, scellé par le sceau Black.

ARCHIBALD _ " Je te confie ses livres et cette lettre, Edwin. Tu sais à qui tu dois les remettre et quand. Tu sais aussi ce que tu dois faire. L'heure est arrivée de mettre notre plan à exécution. Nous n'avons pas une minute à perdre, mon Chevalier. "

Les deux hommes se regardèrent, plein d'affection. Ils avaient passé tant d'années ensemble, parcourant les plaines hostiles de leur région et préparant ce qu'ils appelaient " leur Utopie ". Le Chevalier Noir se redressa, une tristesse véritable se lisait sur son visage. L'heure était venue.


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CHAPITRE II.L'auberge du Chêne vivant

La nuit était noire comme la cendre, les nuages bas dans le ciel menaçaient à chaque instant d'éclater en de violents orages. Alors que la lourde porte de chêne massif s'ouvrait dans un grincement strident, une pluie torrentielle s'abbatit sur la ville d'Elwire. Deux chevaux sortirent de l'enceinte rassurante du chateau. Sur le premier animal, le Chevalier Noir se tenait les sens en alerte, tentant de percer l'obscurité de ses yeux bruns. Il avait revêtu une cape en laine impénétrable sur laquelle ruisselait les gouttes glaciales de la pluie. De loin, on ne pouvait le distinguer, mais sous l'épais manteau grelottait un enfant emmitoufflé dans une couverture bleue. D'une main de fer posée sur la taille du petit garçon, le Chevalier le serrait contre lui aussi sûrement que s'il avait tenu un trésor. L'homme jeta un regard par dessus son épaule et émit un sifflement grave, comme un souffle. Dans un doux hénissement, le deuxième cheval d'une blancheur immaculé pressa le pas pour les rejoindre. La bête portait le second enfant, dont le regard azur exprimait une frayeur inqualifiable. Ses petites mains gantées serraient avec une force surhumaine les renes de la monture. D'un geste assuré, le Chevalier remit la capuche sur les cheveux blonds déjà trempés de la petite fille. Il était temps.

CHEVALIER NOIR _ " Aggripe-toi bien. Et si quelque chose ne vas pas, pense à moi très fort. J'arrêterai mon cheval pour venir à toi. " dit-il d'une voix rauque.​

Et comme s'ils avaient senti le départ, les chevaux s'élancèrent au galop. Ils voyagèrent plusieurs jours, faisant une pause chaque fois qu'il le fallait. Les enfants étaient encore très jeunes et la rudesse des chevaux meurtrissais leurs muscles à peine formés. Se défaussant de sa cape, le Chevalier en avait fait un coussin avec lequel il rembourra la selle pour assoir tour à tour les deux enfants Black. Durant leur fuite, les cieux ne se calmèrent pas un instant et ne leur offrirent aucun répis. Des éclairs éblouissants par leur lumière crevaient le ciel et plusieurs fois ils virent la foudre s'abbatre à leurs côtés. Les enfants, Seth et Thalys Black, ne posèrent pas une question, bien trop occupé à prier pour leur salut et à trouver une position confortable. L'homme ne décocha pas un mot, sauf pour s'assurer du bien être des petits dont il avait la charge.

A l'aube du quatrième jour, au petit matin la tempête avait baisser sa garde et seule une bruine légère subsistait. Les odeurs de la forêt étaient décuplées par l'eau qui s'était déversée, et les enfants se laissaient bercer par les mouvements routiniers de leurs chevaux. Dans la nuit, lThalys avait éclaté en gros sanglots et était restée inconsolable. Devant une situation qu'il ne maîtrisait pas, le Chevalier avait pris l'enfant sur son propre cheval. Elle dormait derrière lui, aggripé à ses vêtements, sa tête blonde posée sur son dos musculeux et puissant.

Ils furent attaquer une seule fois. La fuite avait été impossible, leurs montures bien trop fatiguées étaient incapables de galoper. Il avait fallu cacher les enfants dans un buisson et se battre jusqu'au milieu de la nuit. Dans l'énergie du désespoir, le Chevalier Noir avait fait preuve d'une habileté et d'une hardiesse légendaire. Blessé à la cuisse, il avait salement amoché ses assaillants qui repartirent bredouilles. Sa propre blessure était peu profonde mais peu jolie à voir, de ses petites mains adroites, la petite fille lui avait bricolé un bandage. L'homme était bourru et solitaire, mais au fond de son coeur il entrevoyait l'attachement qu'il commençait à porter envers les deux enfants. Un attachement qui lui porterait préjudice dans le futur.

Le soleil était haut dans le ciel et dardait ses rayons sur l'ensemble du pays lorsqu'ils arrivèrent à l'auberge qui devait les accueillir. Devant la petite maison, un vieillard était assis sur un tabouret et se tenait dressé en s'appuyant sur une canne sculptée. Les deux chevaux s'avancèrent au pas, guidé par Edwin le Chevalier jusqu'à un mangeoir où ils pourraient goûter une eau pure et limpide. Poser les pieds par terre fut une épreuve, leurs membres douloureux et noués les empêchaient de marcher correctement. Les enfants apprécièrent en revanche les dalles chauffées par le soleil qui couvraient le sol devant l'auberge. Un chien fou et indomptable sortit en trombe de sous une charette et s'élança d'un bond sur le Chevalier, comme s'ils se connaissaient depuis toujours. Dans un rire franc et sincère, comme retenu depuis trop longtemps, Edwin tapota le flanc de l'animal. Les enfants restraient prostrés aux côtés des chevaux, incapables de bouger. Le Chevalier les attrapa par la taille et les hissa tous les deux dans ses bras. Sur le chemin de l'auberge, il adressa un signe de tête au vieil homme, puis pénétra à l'intérieur de l'auberge. Ils furent tous trois saisis instantannément par une douce odeur de soupe et de viande.

A peine eut-il franchi le seuil de la maisonnée, qu'une femme âgée sortit de ce qui devait être la cuisine en levant les bras au ciel. La vielle dame prit dans ses bras le petit Seth dans un cri enjouée, l'enfant apeuré lança un regard suppliant à Edwin. Un sourire éclairait le visage du Chevalier, il ébourriffa les cheveux du garçon et posa Thalys sur le banc qui entourait la table. Ils étaient affamés et n'avaient malheureusement plus le temps de profiter des beaux jours, tout au plus pourraient-ils rester deux ou trois nuits à l'auberge. Edwin se laissa choir sur le banc et ôta son manteau imprégné de pluie et de boue.

CHEVALIER NOIR _ " Ô combien je suis heureux de te revoir, mère. " s'exclama t-il dans un soupire. Le regard figé sur la femme à la chevelure grisonnante et aux joues burinées par le soleil et le temps passés à travailler la terre dans les champs.​

La vieille femme hocha la tête gravement. Elle avait tant attendu leur arrivée, qu'elle s'était convaincu qu'un malheur était arrivé. Dieu soit loué, les trois voyageurs étaient parvenus sains et saufs à bon port. Alors qu'Edwin déposait Seth sur le banc et prenait place à ses côtés, sa mère lui confia que Ménélas, son géniteur, était en bien mauvaise santé. Le pauvre bougre était complètement aveugle et pouvait difficilement marcher à cause d'une hanche capricieuse. Les années s'accumulaient grâcement sur les épaules du vieillard à présent, et les beaux printemps qu'il avait passé à piocher dans les champs et à porter des sacs d'orge étaient révolus.

On entendit un pas claudiquant dans le couloir, le toc toc léger d'un canne maltraitait le sol recouvert de pierre rouge. A peine Edwin eut-il jeté un coup d'oeil par-dessus son épaule, que Ménélas fit son entrée. De ses yeux blancs d'aveugle, il salua les visiteurs et s'assit rapidement en bout de table. La jeune Thalys ne pouvait s'empêcher de fixer le vieil homme, il avait quelque chose de doux sur son visage abimé. Et ses mains câleuses semblaient capable d'étrangler un homme à main nue, comme de caresser le plus farouche des félins.

L'ENFANT SETH _ "Pourquoi vos yeux sont blancs ?" interrogea l'enfant, curieux de tout. Sentant le regard lourd de sa soeur sur lui, il ajouta vivement : " Monsieur...".​

Le vieil homme tourna son visage vers Seth et sembla le voir, comme si ses yeux étaient encore bons. Un sourire étira ses lèvres sèches et dévoila des dents encore vigoureuses et blanches. Avant de donner une réponse, il prit une miche de pain et planta ses dents dans la croûte dorée. Un soupire de délice s'échappa de ses lèvres entrouvertes.

MENELAS _ " Qu'en pense-tu mon garçon ? J'ai perdu mes yeux, mais je ne suis point aveugle. Il faut que tu te souvienne de ce que je vais te dire : l'homme qui perd un de ses sens, n'est pas démunis. Bien au contraire, il n'en est que plus fort. Sache que depuis que j'ai perdu la vue, mes autres sens se sont aiguisés et affinés. A présent, j'ai l'ouïe aussi fine que celle d'un loup. Souvient toi de ça p'tit gars. " Répondit Ménélas avant d'interroger Seth, il demanda à l'enfant intéressé de lui dire ce qu'il croyait être les causes de la perte de sa vue.​

Seth jeta un regard à Edwin. Sa cuiller de soupe restait suspendu dans les airs, à quelques centimètres de ses lèvres. Il la reposa sur le bords de son assiette et croisa les bras.

L'ENFANT SETH _ " Peut-être que c'est en travaillant les champs ! Vous avez trébuché sur votre fourche et les pics de l'outil se sont plantés dans vos yeux." proposa l'enfant. " Ou alors, c'est à force d'avoir chassé la nuit. Vous avez tellement plissé les yeux pour dénicher une proie, que vos yeux se sont crevés tout seul ! Vous deviez être un fin chasseur ...".​

Seth vira au rouge tandis que l'assemblée éclatait d'un rire franc et sincère. Lorsque les éclats de rire furent retombés, Edwin adressa un signe de tête à sa mère. Il était temps que les enfants prennent du repos. Le Chevalier avait prévu de repartir le soir même, mais constatant l'état de fatigue des enfants, il n'avait pu s'y résoudre. Il était de toute façon hors de question de voyager sans préparation et sans qu'ils aient récupéré des forces. Les trois voyageurs ne pourraient plus faire escale avant la destination finale de leur périple, ils devraient donc l'effectuer d'une traite. L'essentiel était de prendre du repos. Edwin avait également en tête d'enseigner les rudiments d'équitation et de combat aux deux enfants. S'il s'avérait qu'ils devaient s'enfuir ou se défendre au cours de leur route, mieux valait qu'ils y soient préparés. Edwin commencerait leur entraînement dès le lendemain. Il n'y a pas de temps à perdre.

Alors qu'Edwin mettait un terme à sa réflexion, il s'aperçut qu'il était seul dans la cuisine. Ménélas était à nouveau à son poste devant l'auberge et des pas sourds se faisaient entendre à l'étage. Le Chevalier grimpa lentement les marches de l'escalier de bois. Il y avait sur le seuil du premier étage, trois pièces. Trois chambres, dont une plus petite où s'affairait à présent sa mère. Seth et Thalys étaient assis sur le bord d'un lit imposant, observant avec attention la vieille dame prendre des draps propre dans une grosse armoire de bois noir. Après avoir donné le bonsoir à Edwin, Seth s'installa sur le matelas à terre et Thalys se glissa sous les draps blancs du lit. La mère d'Edwin les borda et plaqua un baiser chaud sur leurs fronts. Les deux enfants, dont les paupières étaient closes, s'étaient déjà endormis. La fatigue accumulé ces derniers jours avait eu raison d'eux.
 
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DeletedUser

Guest
Excellent !!

Par contre, faut bien critiquer, sinon on s'améliore jamais:
Evite de faire des tas comme ça. Fais des paragraphes, moi, j'ai pour habitude de faire un paragraphe par fait ( un pour une arrivée et description de personnages, par ex, un autre pour une frittade avec un garde, etc... ).

J'ai remarqué deux trois fautes, mais leur nombre ne me chatouille même pas assez l'esprit pour dire une remarque désobligeante,
Ce texte est très bon.

J'attend une suite. ( de la baston! de la baston !... )
 

DeletedUser

Guest
Oh merci =D Ca fait plaisir !

C'est vrai que j'ai posté ça en gros paragraphe et c'est assez lourd à lire. Je vais arranger ça ! :)

Pour les fautes, pareil, merci je vais me relire !

De la baston ? Hm. Je suis une fille et les filles ça aime pas la baston :p
 

DeletedUser162

Guest
Bon, j'ai enfin trouvé le courage de lire tout ça. Très bonne narration, très fluide et au vocabulaire riche. Les "pavés" que sont tes paragraphes ne me gênent pas contrairement à Deca, j'écris de la même manière ^^.

Par contre, si le vocabulaire est riche, il y a trop de fautes d'orthographe, ça me gêne un peu dans un texte littéraire. Ca serait un premier jet, ou dans un discussion courante comme ça, oui, mais dans un roman, il faut se relire, car sinon, à partir d'un moment, certains lecteurs vont te lâcher.

J'attends la suite avec impatience en tout cas ;)
 

DeletedUser

Guest
Merci beaucoup pour ta critique.

Effectivement, ce n'est qu'un premier jet. J'ai écris cela directement dans un "message" de ce forum. Je ne suis pas passée par Word, ni par un autre logiciel texte.

Du coup, je ne me suis pas relue. Mais je m'en excuse car je sais ô combien c'est désagréable d'être arrêté toutes les deux minutes par une faute .... !

Je vais corriger cela rapidement.
 

DeletedUser162

Guest
Oki, c'est cool tout ça :)

J'aimerais juste rajouter que j'adore ta mise en page, très sobre et claire.
 

DeletedUser

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A quand la suite ? (au risque de te fouler les doigts au clavier x))
 

DeletedUser

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Bientôt bientôt :)

Ca fait plaisir de se voir demander la suite !
 

DeletedUser

Guest
a quand la suite?

ps: pour ceux qui on du mal a lire, imprimer la page.
 

DeletedUser

Guest
L`Ours toujours fan :)
Je n'ai pas décelé de fautes même si à vrai dire, je n'ai pas cherché =/.. j'étais subjugué par la lecture

Continue ;)
 

DeletedUser162

Guest
La même que Déca, c'est toujours aussi bien, et aucune faute qui saute aux yeux.

On attend la suite avec impatience :)
 

DeletedUser162

Guest
Hop hop hop! Je remonte ce sujet parce que c'est un réel coup de coeur :D

A quand la suite? :eek:
 
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