Votes concours littératures noel 2014

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DeletedUser15555

Guest
Bonjour,

Voici le vote concernant le concours de littératures.


Chère Maman Noël,

Sachez que si vous vous sentez seule pour la période des fêtes à cause de votre fainéant de mari, ce sera avec un immense plaisir que vous pourrez venir fêter Hanouka chez moi.

Si vous êtes sage, il se pourrait même que à minuit mon papa Noël (c'est le prénom de mon papa) mette son petit Jésus dans votre crèche.
(Pour votre information, Jésus est le surnom qu'il donne à son érection... car tout comme votre prophète, tout le monde en parle mais très peu de gens l'ont vu ces derniers temps)

Espérant que vous trouverez votre bonheur en celle belle période de froid où les statistiques de suicides plafonnent, je vous prie d'agréer mes salutations les plus distinguées.

Olivier.

Les fêtes de Noël approchent. Partout où il y’a des hommes l’effort de guerre s’essouffle pour laisser place à une période de félicité et de paix. Les femmes habillent les foyers de décorations festives et les hommes peuvent enfin se défaire de leurs armures, les armes sont symboliquement déposés en dehors de la ville pour marquer cette période. La raison d’un tel manque de sécurité ? La Trêve, période de paix traditionnelle, a commencé depuis ce matin et nul ne serait assez fou pour la rompre et s’attirer le courroux des puissants de ce monde. Mais comme à chaque règle il existe une exception, et dans sa forteresse de Loukournan le Seigneur Ronan s’apprête à la guerre.
Le Seigneur Ronan est un homme devenu vieux avant l’heure, meurtri par la guerre il aura fait don de sa jambe droite au combat. Et chaque jour depuis ce moment il se lève le matin convaincu qu’elle est encore là et s’écroule sur le sol en essayant de prendre appui sur un membre qui n’existe plus. Et chaque jour il maudit le nom de l’homme qui lui a tranché la jambe : Le Seigneur Degnou. Mais aujourd’hui, assit sur son trône dont il ne peut se lever seul, il vient d’élaborer un plan qui permettra de soulager son tourment, mais un plan que tous réprouvent.
-Messieurs, grogna-t’il à l’intention de son assistance, je ne vous ai en aucun cas demandé votre opinion sur le sujet. Ce que je viens de vous révéler, je ne vous le demande pas, je vous l’ordonne !
Aucun des quatre nobles en présence du roi n’osa s’interposer, les regards se croisèrent maladroitement chacun espérant trouver dans le regard de son camarade une once de courage qui permettrait de s’opposer à l’obstination du Seigneur Ronan. Mais tous se turent. Le roi, satisfait de l’absence de rébellion continua d’exposer son plan à ses nobles. Yvin, Nicolas, Jean et Arthur.
-Bien, vous vous rendrez donc à Gwitalmeze le soir du 24 décembre, vous vous y rendrez à quatre pour séduire et soumettre le peuple à mon royaume. Mais surtout vous trouverez ce chien de Degnou et vous me l’exécuterez sur place ! Je me contenterai d’exposer sa tête dans la salle des trophées. Allez !
Les quatre hommes se levèrent et quittèrent la pièce en silence, ce n’est que lorsque la porte de la salle du trône se referma derrière eux, que les réactions et les brimades fusèrent.
-C’est de la folie ! Pourquoi n’as-tu rien dit ?!
-Pardon ?! Et pourquoi aurais-ce été à moi d’intervenir ? C’est toi le plus vieux d’entre nous !
-Ce n’était pas à moi de lui dire ! Je n’ai jamais été proche de lui. Yvin ! C’était à toi d’intervenir.
Le jeune Yvin avait plongé son regard dans les graviers, cherchant à se couper du monde pour trouver une solution, mais l’interpellation du noble Nicolas le força à répondre.
-Il n’a de respect pour aucun d’entre nous ! Pour lui nous ne sommes que des pions permettant d’assouvir sa vengeance.
-Et alors ? Que doit-on faire, questionna le cadet Jean ? Lui désobéir ? Il nous bannirait tous et nous serions promis à une mort certaine !
-C’est exact, nous n’avons pas le choix. Le plus dur sera de motiver les troupes mais je crois que les propagandistes sont déjà en train de s’en charger.
En effet, le portrait que le roi avait dressé de l’adversaire était tel que nul ne souhaitait laisser perdurer une telle menace, quitte à rompre la Trêve et ne pas pouvoir fêter Noël en famille. On racontait que le Seigneur Degnou était un monstre assoiffé de sang qui menait ses campagnes dans le seul but de récupérer de la chair humaine à se mettre sous la dent, on racontait aussi qu’il avait une préférence toute particulière pour la chair infantile et les organes féminins. Rien de tel que de menacer femmes et enfants pour enrager un homme. Bien entendu, tout cela était faux, et bien qu’un peu brut le Seigneur Degnou n’avait jamais gouté à la chair humaine.
Quoiqu’il en soit les soldats se préparèrent, et partirent en début d’après-midi pour arriver devant les remparts ennemies vers 22h30. Comme le roi l’avait prévu, les hommes de Gwitalmeze n’avait pas dérogé à la tradition et toutes les armes était déposé à l’extérieur de la ville sans même qu’un garde ne les surveille, après tout, aucun homme extérieur à Gwitalmeze n’était censé venir ici ce soir-là. Les hommes de Loukournan quant à eux étaient bel et bien armés et ne se tenait désormais plus qu’à une centaine de mètres des murailles adverses, l’alerte n’avait pas encore été donnée. Sans armes et avec l’effet de surprise la ville se rendrait sans discuter, ou les nobles devraient procéder au pire massacre qu’ils n’auraient jamais orchestré. Cette option n’était pas à prendre à la légère et aucun des nobles présent ne se voyait ordonner l’exécution sommaire de milliers d’hommes désarmés. Le noble Nicolas ordonna une halte pour se concerter avec le reste de ses semblables. La ville était déjà à eux, l’objectif désormais était de minimiser le nombre de pertes. Rapidement il fut décidé de s’emparer des armes laissées à l’entrée pour sécuriser davantage la situation et de demander à parlementer avec le roi.
L’opération de saisie dura une petite heure durant laquelle aucun des habitants ne se douta de quoique ce soit, les festivités à l’intérieur de la ville étaient telles que la déflagration d’un orage serait passé inaperçu. Malgré le froid et la neige inhérents à cette période de l’année une grande partie de la ville festoyait dehors, dansant autour de grand feux ou sur les tables. Le vin irriguait les gosiers les plus secs et la viande remplissait les ventres les plus gourmands. Tout le monde profitait de la fête jusqu’à ce qu’une grande lumière se manifeste à l’extérieur de la ville. Le noble Yvin avait demandé à signaler la présence de l’armée en allumant toutes les torches. Ce ne fut pas moins de 5000 soldats et 3000 cavaliers qui furent ainsi révélé à un village qui ne comptait plus une seule défense viable, le rempart quant à lui ne serait bientôt plus qu’un amoncellement de gravats grâce à l’aide des 200 béliers présents dans la horde. Une vision aussi éminente de la mort coupa court aux festivités qui étaient menées à l’intérieur de l’enceinte. Les quatre nobles sortirent des rangs accompagnés d’une cohorte de soldats, ils demandèrent à parlementer avec le Seigneur Degnou qui se manifesta au bout de quelques instants seulement. Visiblement serein malgré la menace qui se profilait devant ses murs.
-Que me vaut la visite de l’armée du Seigneur Ronan ? S’il tient à récupérer sa jambe sachez qu’elle a été dévorée par les corbeaux sur le champ de bataille.
Le visage du Seigneur frappa les noble en contrebas, il n’avait rien à voir avec son visage habituel, la paix apportée par la trêve semblait lui amener une certaine quiétude. En outre, la barbe hirsute qui garnissait généralement ses joues avait été rasée, ce qui le rajeunissait d’au moins une décennie. Cependant, se retrouver désarmé face à l’armée de son pire ennemi ne lui avait pas ôté pas son insolence naturelle.
-Vous savez très bien pourquoi nous venons, objecta Yvin.
-Et bien, ironisa-t’il en désignant l’ensemble de l’armée lui faisant front, cela ressemble vaguement à une tentative d’invasion. Mais… Savez-quel jour nous sommes aujourd’hui ? Votre peuple est-il obsolète au point de ne pas maîtriser la technologie des calendriers ?
-Nous savons très bien, quels jours nous sommes Seigneur Ronan. Maintenant vous avez un choix à faire, ou bien vous rendre, ou bien condamner votre peuple à se noyer dans son propre sang.
Toute la population de Gwitalmeze était suspendu aux lèvres de leur souverain, ses prochains mots déciderait du sort de la dizaine de milliers d’âmes résidant ici, plusieurs hommes se préparait déjà à pratiquer la technique de la terre brulée, en se tenant prêts à incendier l’entrepôt. Le silence qui s’était emparé de la ville était plus déroutant que n’importe quel autre son. Le Seigneur des lieux garda malgré tout son sang-froid.
-Je crois qu’il est inutile d’arriver à de telles extrémités, si vous veniez plutôt festoyer avec nous.
Un immense soupir de soulagement s’éleva de la foule, aucun d’entre eux ne souhaitait accueillir des étrangers qui leur avait promis la mort mais ils étaient heureux de savoir qu’ils ne mourraient pas dans les prochaines minutes. Le pont-levis s’abattit pour laisser les troupes pénétrer dans l’enceinte de la ville, Le Seigneur Degnou se tenait devant ses concitoyens les bras ouverts comme pour accueillir un vieil ami. Dans le fond tout le monde était ravi de ne pas avoir eu à faire couler le sang. Hélas, même si la ville s’était rendu sans qu’il n’y’ai eu de combat la demande du Seigneur Ronan était clair : il voulait la tête de son adversaire comme trophée.
-Je crois que nous avons à discuter, dit le noble Yvin en prenant le Seigneur Degnou en aparté.
-J’allais vous le proposer, suivez-moi tous les quatre.
Le roi et ses adversaires accompagnés de quelques soldats se rendirent dans le quartier général, pour débattre de la situation dans un plus grand confort. D’un geste de la main le maître des lieux invita ses convives à s’asseoir à la table des banquets, autour d’eux les domestiques s’affairèrent dans la hâte pour satisfaire les ventres des personnes attablées. Le pain et le vin furent rapidement servis et les verres s’entrechoquèrent en signe de confiance mutuelle. Ce procédé servait notamment à ce que les liquides débordent dans le verre de l’autre ainsi, si l’un des gobelets était empoisonné tous serait soumis au même poison. Le Seigneur Ronan fut le premier à boire en signe de bonne volonté supplémentaire. Lorsqu’il reposa son verre il se décida à commenter la situation.
-Vous savez, j’aime beaucoup votre maître. D’une certaine manière, c’est mon meilleur ennemi et je crois bien que je verserai une larme le jour de sa mort. Hélas, je crains que ce jour ne vienne rapidement eu égard à son comportement actuel.
Aucun des nobles présents ne saisit parfaitement ce que leur hôte venait de dire, il était en danger de mort entouré de quatre adversaire potentiels et de quelques soldats, lui n’avait qu’une fourchette et une poignée de domestiques pour se défendre… Et pourtant il venait de prophétiser la mort de sa Némésis.
-Comprenez-moi bien. Je sais que vous avez reçu pour ordre de me tuer et de vous emparer de ma ville, et d’ailleurs vous avez déjà gagné, si vous le souhaitez, l’un d’entre vous n’a qu’à se lever pour m’abattre froidement… Mais ! Il reprit une rasade de vin rouge avant de poursuivre. Mais la guerre a ses règles, et votre attaque vient de rompre la Trêve. A votre avis quel sera la réaction des Seigneurs alentours lorsqu’ils apprendront une telle félonie ?
Il observa l’assistance avec un sourire en coin, il savait qu’il venait de semer le doute dans le cœur de ses adversaires. Ce fut le noble Jean qui finit par apporter une réponse à la question de son vis-à-vis.
-Nous deviendrons l’ennemi général, indigne de confiance, et on ne cessera de nous traquer tant que nous ne serons pas tous morts ou exilés.
Le Seigneur Degnou savoura l‘instant avant de poursuivre.
-Exactement ! Aussi, je vous offre deux solutions. La première consiste à camper hors de la ville en attendant la fin de la trêve pour que vous lanciez votre assaut, bien sûr, vous ne bénéficierez ni d’eau, ni de nourriture et nous aurons le temps de faire appel à nos alliés du Nord. Ce qui nous apportera une victoire certaine. La deuxième solution est que vous quittiez ma ville dans les plus bref délais pour rentrer chez vous, libre à vous de nous attaquer plus tard si vous le désirez. Ou vous pouvez écouter les désirs du Seigneur Ronan et me tuer maintenant, ce qui vous condamnera tous par la suite. Votre réponse ?
Le Seigneur Degnou avait raison, il fallait quitter la ville au plus vite et faire en sorte que cette histoire ne s’ébruite pas. Les quatre nobles se levèrent de leurs chaises et s’excusèrent platement pour la gêne occasionnée. Dehors les soldats qui commençaient à peine à se mêler à la population locale furent rappelés en dehors des remparts pour repartir vers Loukournan. L’opération de rassemblement dura une petite heure durant laquelle les festivités s’interrompirent pour ne pas gêner le départ des troupes adverses. Le Seigneur Degnou savourait la débâcle de son adversaire du haut d’une de ses tours. Ce n’était pas tous les jours que l’on venait à vaincre une telle armée sans verser la moindre goutte de sang.
Les hommes de Loukournan installèrent un camp temporaire non loin de là, pour passer la nuit. A vrai dire aucun des nobles n’était pressé de rentrer tant ils craignaient la réaction de leur roi quand ils rentreraient. Ce n’est finalement que lorsque les vivres vinrent à manquer qu’ils furent forcés d’accélérer le pas pour rentrer dans la matinée du 27 décembre. Les portes de la ville s’ouvrirent pour accueillir leurs soldats humiliés. Yvin, Nicolas, Jean et Arthur furent accueillis par Clovis, le plus proche conseiller du roi. Celui-ci leur adressa aussitôt un visage interrogatif.
-Et bien, notre Seigneur n’est pas avec vous ?
Interloqués les nobles ne surent que répondre. Arthur pris néanmoins la parole tout en se désarçonnant de son cheval.
-Messire Ronan ? Il doit être dans la salle du trône.
-Non, il devait faire voyage avec vous, il m’a dit lui-même qu’il souhaitait tuer le Seigneur Degnou de ses propres mains !

Pendant ce temps à Gwitalmeze, le Seigneur Degnou gisait dans une flaque de sang, il venait d’être poignardé par un mendiant en guenilles, un mendiant qui avait pour particularité d’être estropié de la jambe droite. Le meurtrier se pencha sur le roi agonisant pour lui murmurer quelques mots avant qu’il ne trépasse.
-Flatté d’être votre meilleur ennemi, mon Seigneur, mais la Trêve vient de se finir ce matin.

comment dire, j'ai relu une partie des annales et ceci est un cas peu courant , peut être inédit, pas du jamais vu mais je cherche encore ou j'ai bien pus lire quelque chose du genre

mais je m’égare, nous sommes le 26 novembre de l'an de grâce 2014, l'année tire à sa fin et la compagnie est toujours la.

Posé à coté du livre de cuir noir, mon café gnole refroidi lentement, mais mes idées sont ailleurs. La faute à …oui ca faute…
Je n’aime pas ce sentiment qui présage mon humeur sombre et mélancolique , d’un temps qui nous regarde , d’un temps passé sur un autre monde , qui nous à chasser .expulser , radier , mais qui ne sait pas ……que nous l'avons gagné avec les amis poké, cacher à ses yeux par les voiles du passe et qui bientôt ferons parler de la cn .
Nous n’aurons peut êtres pas le même nom , mais nous serons la . tarte , mon ami de jeu …dixouné et ca grande g**, kili un café ou un terrassement à faire , seven un mystère pour moi , broownie mon pote taciturne, drucilla la douce, ange un guerrier des temps ancien, tellement vieux que heureusement pour lui que charles soit la pour lui tenir le déambulateur, sans oublié chris le jeune vieux ou le vieux jeune et enfin tinoiso la grande sœur des 2 gamins.

Il me regarde, me nargue , je ne l’ai pas ouvert depuis longtemps …mais pourtant il est la , présent et couvert de poussière, ces page jaunis et déchirer ….. notre grand livre des annales .

Un livre noir comme la compagnie , mais grand dans son contenu . il raconte à ça manière mon périple avec des joueurs de grande classe et avec de grands sentiments . dans ce jeu de rôle, il sont les meilleurs……

Je revois la compagnie du temps ou on n’étais encore que deux, dans mon ignorance et ma découverte , je risquais de passe à cote de plein de choses …la raison que je ne l’ouvre que très rarement car il me fait pleurer.
Sentiment , certes peu digne de la cn mais n’est telle pas faites de joie et de douleur et les larmes sont toujours la
Perte d’un ami de jeu ou de retrouvailles

Je prends notre journal de bord, jauni par les années, et me met à écrire …..

Nos empires ont grossis considérablement et nos troupes de même , nous formons maintenant une alliance redoutée et redoutable.
Je suis rester à mon poste de "chef" comme accroché à une bouée, tant les mouvements de ce monde sont sauvages et mouvementés, comme une mer qui arrive et ce retire.
Formant au gré de ces vagues, des alliances et des ennemis .Quelque fois admirable dans l’honneur comme le prouve la dernière guerre contre les LD ou immonde comme avec les haches (quand on ne me laisse pas prendre des vivi, ils sont immonde ^^). Je cite leur nom afin que les futurs compagnons n’oublient pas cet ennemi qui seras abattu un jour ou l’autre.

En cette fin d'année, la meilleur depuis longtemps, un ptit bout chou nous est né. Sur ce monde , dur et austère, m et md ange viennent d’avoir un bébé, tous nos vœux de bonheur salopiot de cn et bisou à camille

La compagnie ce doit de lui faire honneur, bravo monsieur geoffrey

A tous nos amis tombés sur ce monde ou d'autre, que je devrais dans un avenir proche mettre sur la stele de la compagnie

Mais ce n’ai pas à cause de ca que je suis perturber , mais bien à cause de lui …..

J’écris pour pégasse , peu etre , mais pas sur …..
Je noirci des pages et des pages car de toutes les bonnes choses de ce nouveau monde , la meilleur seras sans aucun doute la décision de nos amis et frères de la compagnie noire , que de choses nous apporteront t’ils pour porter notre sentiment de la guerre au meilleurs niveau sans rien demander en retour.

Lui, toujours lui , mais pas facile à définir …ce sentiment de manque , malgré la présence féminine de nos dames
De leurs envies de nous surpasser, de nos langage à tenir , de l’honneur de gentlemen afficher envers elles

Dieu (toujours ces modos mrd) nous est témoin que nous faisons attention, on range nos chaussettes , on fais la vaisselles , on range notre tentes ….mais malgré cela, il est la , tel une ombre présente et mouvante …

Il est présent ce soir et tous ca parce que nous sommes en paix avec avec nous meme et que j’ai ouvert notre livre pendant qu’il étais la…une présence venu du passer , comme la pluie ou le soleil qui sont passés… me manque leurs décision pour etre au top de ma forme mais cela viendras

Je sens que vous voulez savoir , compagnons noir ce qui perturbe votre pseudo chef …

pégasse bien sur , je te fais la dédicace de cette annale mon ami
Que les nars (soldats et guerriers kotavariens) reviennent et vengent les affronts fais à la compagnie…………..si toutefois tu repartait

la décision t'appartient

tiré du grand livre noir

Trêve

Dans le froid hivernal, par un hiver glacial
Les arbres sont morts, décharnés, mis à nu.
Le ciel, pur comme jamais, resplendit d'un bleu pâle
Veille la fillette heureuse, près de l'âtre, ingénue.

Les guerriers ont rangé leurs armes meurtrières,
retour au ratelier, pour épées et rapières.
A la place il saisissent leurs cognées,
et s'en vont, chantant de concert, quelques arbres couper.

Tout n'est que couleurs, joie, gaieté, bonne humeur,
Dans la maison qui luit, au milieu de la nuit,
On conjure le souci, les ennuis, le malheur.
Pour profiter enfin, du bon goût de la vie.

L'arbre est resplendissant, dans son manteau d’épine,
Il se rit de ce temps, si frisquet au dehors,
Il pense à tous ses frères, dans les forêts sapines
Qui n'ont pas son allure, ni ses guirlandes d'or.

La grand table est dressée, au milieu de la grange,
Couverts d'argents sortis, verres de cristal chantant,
Le faste et la gaieté, ont remplacé la fange
Pour célébrer seulement, la beauté de l'instant

Hiver 2014.
Un soir de décembre, je me connecte sur GT. Il est 17H45 et là, ma vie bascule. Une attaque s'affiche. C'est la première depuis que je joue.
Alors j'entends déjà les rires sarcastiques de ceux dont le compteur ne descend pas en dessous de 50 attaques par jour quand tout va bien.
Vous rigolerez moins dans quelques lignes...
L'attaque provient en effet d'un village qui appartient à quelqu'un que je connais personnellement. Dans la vraie vie, elle s'appelle Marie et c'est une voisine que j'avais réussi à convaincre de participer au jeu.
Elle est très sympa Marie. On s'échange régulièrement des petits messages sur le jeu. Elle m'a prévenu qu'elle allait s'y mettre à fond et hanter le monde dans lequel nous jouons jusqu'à la fin. Tous les villages de joueurs qu'elle attaque deviennent invariablement barbares. Elle doit en fait des frigos définitifs. Et puis quel humour ! Quand je lui demande qui est sa prochaine cible, elle me répond toujours: "toi." Et puis, ensuite, elle me dit le joueur qu'elle cible et, le lendemain, tous les villages de ce joueur sont devenus des barbares. Mais elle a aussi un sacré problème de... santé. Enfin je crois. Lors de sa dernière crise le médecin qui était venu la soigner est reparti en ambulance; il criait: "Son cas ne relève pas de la médecine ! Son cas ne relève pas de la médecine !"
Il avait le visage défiguré et il lui manquait un doigt.
Cela m'a fait de la peine pour lui car j'ai toujours eu des relations super avec elle. Disons des relations convenables. Par messages interposés laissés sur les paillassons, en dessous ou dans les boîtes aux lettres. Surtout dans celle de GT.
Avec moi, pas de soucis, je fais toujours ce qu'elle me demande; je lui dépose tous les jours un kilo de viande rouge et nos échanges sont tout à fait cordiaux. Elle me laisse des petits mots sympas sur le paillasson genre: "Super le boeuf d'hier !" ou encore "Ce cheval était un peu raide mais j'aime bien quand c'est dur." Et puis elle me rembourse toutes mes dépenses.
D'accord, je ne l'ai jamais vue. D'accord, c'est un peu bizarre. Mais merde, je pensais juste qu'elle était très timide et suivait un régime hyper-protéiné et puis c'est tout.
Quand j'ai vu que l'attaque venait de son village, j'ai vu rouge et je suis allé directement frapper à sa porte. Pour la première fois elle s'ouvre. Un monsieur d'une cinquantaine d'années me fait face derrière lui, j'aperçois juste un couloir mal éclairé dont les murs semblent recouverts d'un vieux papier peint couvert de phrases écrites au marqueur. C'est illisible, on dirait du latin ou du grec.
"Bonjour, me dit-il, vous êtes un ami ?"
Je suis sur le cul; je ne savais pas qu'elle vivait avec quelqu'un. Comme je ne répond pas, il me relance: "Vous êtes venu rendre hommage à la défunte ? me demande-t-il encore." Et là, je pige que je suis complètement à côté de la plaque. Marie est morte...
Du coup, je lui bafouille que c'est une erreur et je repars chez moi. Huit minutes plus tard, je suis devant mon ordi et j'envoie un message à mon assaillante: "Salut, je ne pensais pas recevoir d'attaque de ta part..."
Quelques secondes après, je reçois une réponse. Je n'ai toujours pas cliqué pour l'ouvrir. Alors pour tout vous dire, je suis devant mon ordi, j'ai peur et j'attends vos conseils. Si quelqu'un connais personnellement un prêtre, un imam, un rabbin ou un chaman, je suis preneur. S'il vous plaît, aidez-moi ! Il est 18H32 et...
Tiens, quelqu'un vient de sonner. bougez pas, je vais ouvrir...

#message du support#
21 décembre 2014 18H33
Ce message a été créé par un joueur qui n'existe plus officiellement. En cas de message de sa part ou d'attaque, merci de nous prévenir d'urgence.

Par un soir avec une lune bien éclairée
Une fillette était désespérée

Le Père Noël n'était point passé
Comme le noir de l'obscurité

Le Père Noël était là en réalité
Il était juste caché

Il fît déposé un cadeau bien décoré
En dessous , d'un sapin bien renouvelé.

En effet , il était descendu par la cheminée
Par une telle agilitée.

La fillette , le vît manger son goûter
Et accouru , pour le rencontrer

Ils s'entralassèrent , comme cela pouvait faire réver
telle une amitiée était née

Le Père Noël devait partir sans tarder
Car il avait d'autres cadeaux à livrer.

La petite fille se reveillît
Le sourire aux lèvres , descendît de son lit

Courût vers le sapin , tel avec envie
Et ouvrît son cadeau , soigneusement , comme une gentille petite fille

Tel est la magie de Noël
Comme le dît le Père Noël

« Cette année, Noël n’aura pas lieu. » La formule circulait déjà parmi les lutins qui, malgré leur acharnement et leur labeur durant les douze mois écoulés à imaginer et à fabriquer toute sorte de marionnettes, poupées, jeux de bois ou de construction, s’étaient réunis en cercle afin de discuter de ce triste événement qui s’annonçait inévitablement. La mère Noël, l’épouse du père Noël, était également présente et participait à ce débat. Elle était à l’image des lutins, c’est-à-dire les larmes aux yeux, inquiète, apeurée, effrayée et même terrorisée à l’idée que Noël pouvait disparaître.

« - Qu’allons-nous faire ? demanda-t-elle la voie émue.
- Noël doit exister ! dit alors le lutin Bertrand. Seul le père Noël peut conduire, grâce à la magie qu’il détient, les rennes volants. Nous devons alors le convaincre !
- Hélas, il n’a plus goût à rien, répondit la mère Noël. Il reste assis sur son gros fauteuil sur lequel ses yeux vides hésitent entre le feu brûlant de la cheminée et la neige glaçante qu’il regarde à travers la fenêtre.
- Mais, n’y aurait-il pas quelque chose afin qu’il retrouve son moral ?
- Malheureusement… je ne vois pas. À moins que…
- À moins que quoi ? interrompit le lutin Bertrand.
- Un jour, reprit la mère Noël, il me raconta avoir aperçu, alors qu’il effectuait sa tournée il y a un an de cela, un cadeau emballé qui lui était inconnu et qui était déjà sous un sapin. »

Les lutins furent alors stupéfaits car, comme nous le savons tous, seul le père Noël pouvait offrir des cadeaux à cette époque de l’année et seul le père Noël connaissait absolument tous les cadeaux des petits et des grands.

« - Mais… qu’était-ce ce cadeau ? dit alors le lutin Bertrand.
- Il ne l’a jamais su. Il contempla un moment ce cadeau, déposa les siens au pied du sapin, et repartit. Mais, il me dit qu’il n’avait jamais arrêté de penser à ce cadeau en se demandant ce qu’il y avait dedans.
- Nous devons alors retrouver ce cadeau et le lui apporter ! s’exclama alors le lutin Bertrand.
- Oui, je suppose… hélas, je ne sais pas où il est.
- J’irai alors le chercher et le trouver moi-même ! continua de s’exclamer le lutin Bertrand. »

Les autres lutins perçurent alors une lueur d’espoir nonobstant la tâche ardue qui s’annonçait pour le lutin Bertrand. Ce dernier enfila donc son manteau vert de velours et partit en direction du monde des humains.

Ce monde des humains était vaste et faisait environ mille kilomètres sur mille kilomètres, soit une superficie totale d’un million de kilomètres carrés. Les humains habitaient dans des villages plus ou moins grands, plus ou moins avancés. Certains d’entre eux étaient ainsi fortifiés afin, disaient les humains, de se défendre contre les barbares. En réalité, ces fortifications permettaient plutôt aux humains de se défendre contre d’autres humains. Les barbares, quant à eux, dont le nom n’était usité que de ceux qui ne l’étaient pas, vivaient paisiblement, malgré des pilleurs occasionnels, en attente d’un éventuel noble qui les convertiraient à leur foi. Le père Noël connaissait les différentes rivalités existantes mais n’en prenait pas compte dans la distribution des cadeaux, car le père Noël savait, qu’au fond, les humains et les barbares étaient bons.

Le lutin Bertrand avait conscience que son travail allait être difficile car il devrait aller dans les cinquante mille villages du monde. Il alla donc dans un premier village et demanda à voir le paladin qui y habitait. Il lui demanda si, il y a un an de cela, un cadeau eut pu être déposé au pied du sapin avant le 25 décembre. Le paladin lui répondit que non. Le lutin Bertrand s’en alla donc.

Le lutin Bertrand alla alors de village en village, posant à chaque fois la même question afin de savoir si, oui ou non, un cadeau eut pu être déposé au pied de leur sapin avant le 25 décembre de l’année précédente. Il rencontrait alors à chaque fois le paladin, et, s’il n’en existait aucun, il rencontrait alors un éclaireur, un cavalier léger ou un cavalier lourd. En effet, il savait que ces chevaliers parcouraient parfois de longues distances entre les villages et pouvaient donc détenir de précieuses informations.

Les villages défilaient devant les yeux du lutin Bertrand malgré le blizzard glacial qui pouvait emporter dans l’au-delà les gens les moins précautionneux sans manteau pour les couvrir. La neige, malgré sa beauté innocence et inoffensive, était d’une cruauté sans merci et ralentissait la course du lutin Bertrand. Mais, ce dernier, dont le souffle ralentissait à chaque village visité, continuait inlassablement toujours en encore sa route.

Un jour, alors qu’il sentait ses forces faiblir, le lutin Bertrand arriva à un village. Ce village semblait fort pauvre et les bâtisses délabrés n’étaient faites que de bois et de paille. Comme à son habitude, il demanda à voir le paladin. On lui répondit qu’il n’existait pas, dans ce village, de paladin. Il demanda alors à voir un éclaireur, un cavalier léger ou un cavalier lourd. On lui répondit qu’il n’en existait pas non plus. Fort embêté, il demanda s’il y avait un lancier, un porteur d’épée ou un guerrier à la hache. On lui répondit encore qu’il n’en existait pas non plus.

« Mais, qu’avez-vous donc ? lança le lutin Bertrand.
- Nous avons des fermiers.
- Et pourquoi n’avez-vous que des fermiers ? N’avez-vous donc pas peur des autres villages ?
- Oh que si, nous en avons peur, hélas. Nous voyons venir, tous les jours, nombre guerriers, portant hache ou montant des équidés, qui dévalisent toutes nos maigres ressources. Nous étions, il y a un peu plus d’un de cela, un village prospère et détenions même d’autres villages. Nos nobles étaient fabuleux et intelligents et voyageaient dans le vaste monde et conquéraient tous les villages à travers lesquels ils passaient. Nos guerriers étaient puissants et dévoués et dévastaient tous les villages dans lesquels ils arrivaient. Quant à nos mines de fer, carrières d’argile et camps de bois, ils abreuvaient nos villages de riches ressources inépuisables. Hélas, il y a un peu plus d’un an, quelques jours avant Noël, des armées de puissantes tribus dont nous n’avions jamais entendu parler vinrent. Et ce fut un désastre. Ces armées tuèrent tous nos guerriers, brûlèrent nos églises, notre académie et tous nos autres bâtiments. À la levée du jour, le village prospère n’était plus que ruines et désolation. Nos guerriers étaient tous morts mais nous remercions les dieux d’avoir épargné les plus faibles d’entre nous. Nous décidâmes donc d’offrir un modeste présent à celui qui, d’habitude, en donne au lieu d’en recevoir. »

À ces derniers mots, le lutin Bertrand sauta de surprise et répondit aussitôt :

« - Est-ce donc vous, qui, l’année dernière, avez déposé un cadeau au pied du sapin ?
- Oui, c’est nous.
- Merveilleux ! Merveilleux ! s’exclama joyeusement le lutin Bertrand.
- Mais, pourquoi est-ce si merveilleux ? demanda-t-on d’un ton interrogatif.
- Voyez-vous, je suis un lutin du père Noël et je suis à la recherche de ce cadeau afin de le lui apporter. L'avez-vous encore ?
- Oui, bien sûr. »

Les fermiers donnèrent alors le cadeau au lutin Bertrand. Ce dernier, malgré ses forces encore faiblissantes, retourna au repère du père Noël. Le voyage fut long et difficile. Le vent du Nord soufflait sur le visage du lutin et qui, en raison de sa maigreur, aurait pu être transporté dans les airs s’il n’avait pas, de temps à autres, arrêter sa course pour se mettre à l’abri d’un sapin. La neige tombait en gros flocons et arrivait à la hauteur des épaules du lutin Bertrand ralentissant encore plus la marche de ce dernier.

Puis, à la suite de longues journées de marche, le lutin Bertrand, fatigué et usé, arriva au repère du père Noël qui se trouve, dit-on, dans ces vastes contrées du Nord dont les coordonnées négatives avoisinent les centaines de milliers. Il frappa à la porte et la mère Noël lui ouvrit. Celle-ci agrandit grands les yeux et son sourire témoigna de son émotion que sa voix, sous le choc, ne pouvait offrir. Elle prit le cadeau des mains du lutin Bertrand et réussit à bafouiller un timide « merci ». Elle alla vite apporter le cadeau au père Noël. Ce dernier, toujours sur son gros canapé, aperçut instantanément l’objet qu’on lui apportait et se leva aussitôt. Il déballa le papier cadeau, ouvrit la boîte et vit, plié, un magnifique manteau rouge brodé de fil d’or. Il dit alors « merci, merci », et pleura de joie.

Le lutin Bertrand, resté sur le pas de la porte et ayant vu la scène, était également heureux d’avoir pu rendre le bonheur au père Noël. Mais, c’est, hélas, également en lutin heureux de son abnégation qu’il tomba de froid dans la neige et rejoignit alors les guerriers du village d’où provenait le cadeau. Il mourut, mais grâce à lui, Noël vécut.

Je suis dans le cas peu probable , mais vous remarquerez que les cas peu probable on une fâcheuse tendance a se réaliser, où ces griffonnages subsisteraient aux crocs acérés du temps , un Anonyme parmi tant d' Autres. Les Autres se sont mes frères d' armes. L Anonyme, c' est mon nom enfin plutôt le quolibet que les Anciens m' ont donné, parait que c' est une tradition. Sont Anciens ceux qui ce ceux engagés avant vous . Ainsi peut-être défini la dernière compagnie franches de Khatovar, la compagnie noire, à la fois plus noire que le cœur d' un prêtre et ombre de son passé. Le passé, voila ce qui résume ces livres, couvert de poussière, miteux et avachis sur lui-même comme un ados, notre histoire mérite mieux que ces ouvrages éphémère , le passé d' une d' une Compagnie réduite a quelques soldat qui vivent et se demande pourquoi ???
Ah, j' oubliais, comme me le fait rappeler Un-Coup-La-Quinzaine , l' en-tête qui doit orner chaque livres contant nos péripétie- cela devient de plus en plus fréquent comme me souffle gentiment Deux-Coups (le frère d' Un-Coup pour ceux qui ne l aurait pas compris ) .
En ces temps là ne servait rien ni personne; ni sorciers mégalomane, ni religions abstraites . Non la Compagnie noire ne servait que ses propres intérêt et il y avait à faire ...

"Psst l' Anneaux"
"Gnn..."
" Réveil toi le pitaine veut te voir "
Aussi me levais-je péniblement, je vous l' accorde et répliquer dans un bâillement sonore
"OUAH, tu sais très bien que j ai horreur de ce surquolibet (après tout il existe bien des surnoms), merde A-NO-NY-ME, pas compliqué tout de même ."
"Oui, oui tu nous l' as déjà dit mais magne toi Le Grognon te veut au rapport dans la seconde"
"Et que me veut-il?"
"Aucune idée" me confia-t' il en m' envoyant pèle-mêle mes affaires "mais ça avait l' air important"
"Allons bon" me résignais-je .
La demi-heure d' après je frappais a la tente du Capitaine.
"Entre L' Anonyme " lâcha-t'il de sa voix d' ours grognon
J' entrais donc, craignant du boulot supplémentaire mais curieux de savoir lequel . Je fais parti de ceux qui on une curiosité qui les mène par le bout du nez et un nez qui sait où trouvez les emmerdes pour foncer en plein dessus.
"Tu le sais comme moi et comme la plupart des Anciens , la Compagnie noire n' est plus. Nous sommes pour ainsi dire des pirates de terre et il est loin le temps où appartenir à la Compagnie c' était appartenir à un groupe d' élite , il est loin le temps où seul les plus puissant de ce monde n' osait prononcer "Khatovar" sans craindre de nous voir débouler par delà les monts pour les châtier ..."
oula je savais pas ce qu' il avait mangé hier soir mais ça l' avait retourné ...
"Je veux faire revivre ce temps, L' Anonyme tu m' entends, faire de la Compagnie la puissance militaire la plus crainte dans ce monde mais je veux d' abord faire comprendre aux bleus ce que signifiait être de la Compagnie noire "
Ah, voila les emmerdes qui se pointe, je me disais bien que Le Vieux ne me convoquais pas juste pour une séance d' introspection.
"Je veux donc que tu prépares la Lecture qui aura lieu ce soir"
Ben, voyons ce soir et pourquoi pas hier matin tant qu' on y est ?

Intérieurement j' avais bien une idée mais il allait me falloir l' aide de deux de nos cinq calamiteux sorciers et surtout de l' Étendard, j avais l' intention de vérifier quelques veillent légendes ...
J' entrais donc dans le Bar-tente et m' installait entre L' initié et Le Chauve . Le Chauve possède une sacrée touffe d' où son surnom . Et les convainquais-je d' entrer en communication avec l' Esprit de l' Étendard et de même s' ils n' avaient pas de réponse de lui transmettre le message que j avais hâtivement griffonné et puis je retournais finir ma nuit ...

La nuit tombé silencieusement sur le plateau que la Compagnie occupé, je me décidais enfin de choisir un emplacement pour la Lecture, installais mon lutrin et attendais l' heure fatidique et l' arrivée de mes Compagnons. Ils étaient tous là, parfait j' allais pouvoir commencé :
" Compagnons, et frères d' armes,
pendant cette Lecture j ai l intention de vous montrer ce qu' est la Compagnie (je me sentais un peu comme un prêtre essayant de vendre sa religion) "
Stupeur...
Du sol surgirent d' immense serpent de lumières octarine enveloppant un à un mes compagnons... l' Étendard brillait de mille feux le silence ce fut , et pis une voix :
"Bienvenu dans la maison de souffrances, ne faites pas attention aux autres de toutes façons vous n' existez pas pour eux"
Intérieurement je voyais des images qui peu à peu se formait dans mon esprit, ça avait marché, le Golem Toubib existait vraiment , il pourrait nous raconter mieux que n' importe quel annaliste l' histoire des annales manquantes, les Annales de la Quatrième Porte ...
" Vous voyez là bas au fond de la pièce le cylindre aux antennes c' est GES , une des recrues arrivé juste attend pour l' une des plus grandes Opération de la Compagnie , a gauche entrain d' affuter sa hache GAGB dit le magnifique, à droite Vétérini , seul survivant du raid contre la ville de Tendrinours , les troupes du Doc les ayant pris a revers à droite de la gauche de GAGB, à coté de GES, Choubi un autre bleu a l' époque et là la tête dans des piles de calcul le lieutenant MTH à droite encore Hammurabi, Sylter une recrue prometteuse , puis Sca , puis notre philosophe - jardinier Sunjata célèbre pour sa remise en question de l' origine de la Compagnie, "Toubib or not Toubib, what's the question " , s' il est jardiniers c' est qu' il a suivi le principe de son prédécesseur Terre qui Vole ou VolTerre qui affirmait qu' il faut cultiver son jardin, Darkfox , Carte Bleu ou fra01234156"
Tous étaient là , la mine aussi fraîche qu' un cadavre de deux jours, pas à dire ils n avaient pas beaucoup dormi pour planifié la Dresden Party , l' Histoire continua; mippage des Villes importante du royaume du Doc , préparation de guerre , le bruit des bottes martelant les pavés menant a La Mort, la Guerre, des morts, des blessés mais aussi des survivants .
Malheureusement, les officiers de la Compagnie noire n' avait pas prévue les retombés religieuse que pouvait avoir cette guerre , et un soir...
"un éclair bleu déchira le ciel lourd de nuages noir et frappa l' Étendard qui pris feu, un hurlement effrayant , des halos bleu, rouges, vert , et jaune, et pourpres et parababolique entouré certains de nos compagnons et pis plus rien.
La nuit revenue, les compagnons ayant été pris dans les halos sont mort , ce que Vét avait pris pour des sorciers puissants étaient des dieux mineur (et raideur) appelés Modérateur d' une drôle de religions celle d' OHGUÉMEUH ....
Ainsi s' achèvent les Annales de la Quatrième Porte ...."

Après le raid de ces MODÉRATEURS, les survivant prirent la poudre d' escampette et franchirent en hâte la 58° Portes pour de nouveaux faire tremblez ceux qui entendrons parler du Khatovar et de ces Compagnie franches ...

Merci à tout les participants.

Pour noter, veuillez c/c ceci : ( A noter que les personnes ayant écrits ne peuvent pas voter, mais peuvent tout a fait faire des commentaires.)


PHP:
[B]Texte n 1:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]


[B]Texte n 2:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]


[B]Texte n 3:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]


[B]Texte n 4:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]


[B]Texte n 5:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]


[B]Texte n 6:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]

[B]Texte n 7:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]


[B]Texte n 8:[/B]
[B]Note :[/B] /20
[B]Commentaires :[/B]
 

DeletedUser28529

Guest
:eek:

Trop de concurrence :(

*se cache du poème que je viens d'écrire*

Y as t-il un lot de consolation ? :)

Et je suis sûrrss que certains ont faits des copiés collés :p. Avec la longueur du texte ^^
 

DeletedUser15555

Guest
:eek:

Trop de concurrence :(

*se cache du poème que je viens d'écrire*

Y as t-il un lot de consolation ? :)

Et je suis sûrrss que certains ont faits des copiés collés :p. Avec la longueur du texte ^^


J ai tout verifié, j en ai eu 3 qui m ont fait le coup, ils ne sont pas dans le lot ^^
 

DeletedUser28529

Guest
Et les résultats on les voit en direct ?

Enfin ... Je sais que je vais perdre :p

Y as t-il des lots de consolation ? :(

Genre DES BISCUITS ? :D
 

DeletedUser15555

Guest
Tu vas voir els résultats selon les votants, le calcul de tout se fera le 29 ( ou plus tard, si il n y a pas assez de votants) ^^
 

DeletedUser22715

Guest
du beau travail à tous points de vu

bonne chance aux votants, noter le meilleur ne me parais pas vraiment simple

bonne chance à toutes et tous
 

DeletedUser28195

Guest
Avant de commenter tous ces récits, je tiens à dire que le niveau est hyper élevé :eek: Bravo à tous!
Bon, par contre l'énoncé n'a pas été vraiment respecté par tous mais ce n'est pas grave x)
Je ne m'attendais pas à ce qu'il y ait autant de réponses et des récits d'une telle qualité. Je vois qu'il y a de fins écrivains, c'est vraiment sympa à voir, j'espère que ce qu'on vous a proposé vous a plu, mais rien qu'à vous lire, j'ai le sentiment que ça a intéressé plus d'un :)


Texte n 1:
Note :10 /20
Commentaires : Un peu... osé :D


Texte n 2:
Note : 19/20
Commentaires : Très bien écrit, on rentre facilement dans ton récit, facile à lire, bon vocabulaire. Il y a quelques fautes, mais l'histoire est tellement bien écrit qu'on ne remarque même pas les fautes d'orthographe :)


Texte n 3:
Note : 17/20
Commentaires : Magnifique hommage, très bien raconté. En lisant ton récit, j'ai l'impression de "boire tes paroles" (même si ce sont des écrits^^). On plonge dans tes pensées très facilement et on ne sait pas quand on en ressortira. Les seuls points noirs que j'ai relevé sont les fautes d'orthographe, de structure, et quelques mots ou abréviations que j'ai eu du mal à comprendre, mais dans un sens, je comprend ces erreurs car on sent que tu as écrit ça quasi d'une seule traite, naturellement, comme si tu le tapais dès que tu avais les mots en tête. Si tu avais fait une seconde lecture, tu aurais sûrement corrigé les fautes, mais le risque, c'est que tu modifie ton texte car tu le trouve moche ou quoi, alors que là, honnêtement, j'ai trouvé ton récit très bien :) (bref, je papotte, je papotte...^^)

Texte n 4:
Note : 18/20
Commentaires : Je ne suis pas très callée en poêmes, mais il me semble qu'il y a des vers qui ne forment pas d'alexandrins. A vérifier en croisant avec les avis des autres. D'ailleurs, il y a deux vers qui ne commencent pas par une majuscule, mais je pense que c'est un oubli de ta part. Sinon, pour le reste, très bien écrit, pas de fautes d'orthographe, très bon vocabulaire :)

Texte n 5:
Note : 16/20
Commentaires : Je ne ferai pas de commentaires sur le compteur à 50 :D Plus sérieusement, l'idée en elle même de l'histoire est très intéressante, bien cherchée, troublante avec une fin intrigante comme je les aiment (oui je suis un poil sadique :evil:). Il y a certains points que je n'arrive toutefois pas à cerner: comment peut il connaitre l'évolution de sa voisine sans la voir une seule fois (ptet des rumeurs je ne sais pas)? C'est un peu bizarre de donner à crédit 1kg de viande au pas de la porte de sa voisine^^ Mais après, je pense que ça fait partie du mystère, le petit côté surnaturel :) Il y a aussi quelques fautes d'orthographe et des petites étourderies que tu verra sûrement quand tu te relira.
Tu es jeune, tu as de bonnes idées. Il faut absolument que tu gardes ton côté créatif car ton récit est vraiment intéressant et tu as de la suite dans les idées. Si tu gardes ton côté créatif, ton style d'écriture évoluera, mais je suis prête à parier que tu fera des histoires surprenantes qui feront la différence ;)


Texte n 6:
Note : 14/20
Commentaires : Ton histoire est assez simple, mais tu as rajouté des rimes, qui est quand même un exercice assez difficile. Pour le reste, je trouve qu'il y a beaucoup de fautes d'orthographe et de ponctuation. Mais ça, ça s'améliore toujours, et la langue française est quand même très exigeante (petite pensée à tous les non-francophones qui apprennent notre langue). Si tu veux aussi améliorer tes prochains poêmes, je te conseille d'essayer de faire tes vers en alexandrins (12 syllabes), c'est un exercice difficile, mais après un peu d'entrainement, tu y arrivera facilement ;)

Texte n 7:
Note : 20/20
Commentaires : Combo! Tu es le seul écrivain qui a suivi la consigne initiale, j'ai été totalement absorbée par ton récit, très facile à lire et aéré. Je n'ai remarqué aucune faute d'orthographe, ou alors j'ai été tellement absorbée par ton histoire que je n'en ai remarqué aucune^^ L'histoire est simple, mais touchante. Félicitations! :)


Texte n 8:
Note : 13/20
Commentaires : J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans ton histoire (peut être aussi parce que c'est le dernier que je lis et que mon lit m'appelle^^). En fait, il y a eu des passages ambigus où j'avais du mal à suivre ton explication, notament au tout début et quand on fait la connaissance de tous les guerriers, peut être fais tu référence à d'anciens vrais staffiens... Tu fais aussi quelques fautes d'orthographe (j'y tiens à cet orthographe^^). Mais ce qui m'a tout de même plu, c'était ton franc parler et celui du héros, au moins on est callés sur le caractère d'Anonyme :p
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser22715

Guest
j'ai hate de voir la notation du staff sur ce concours ^^

à vos votes

merci

ps: merci à appaloosa pour son analyse tres fine

pps: ta messagerie est saturée ^^
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser28195

Guest
Oui pardon, ma messagerie est saturée de biscuits :$

n'hésitez pas à voter :)
 

DeletedUser28529

Guest
Appa , je te déteste :D

Je ne dirais pas qui je suis , même si je trouve que ma ponctuation irréprochable :)

Mon texte as quand même as avantage : Il est court ;)


Cordialement :rofl:
 

DeletedUser

Guest
Joyeux Noël à tous.

Un immense merci aux participants qui y sont allés de leurs idées et de leur plume.

Quelques tournures de français charmantes, et des libertés prises avec des accords bien difficiles, sont à relever de ci et de là.
Quelquefois ça piquait les yeux, et je commets un manquement de savoir vivre en le faisant remarquer. Je vous présente mes excuses.

Ce n’est pas un labeur pénible sur la compréhension des règles de Grévisse qui était demandé ici, encore moins des difficultés de la langue français de Thomas, ni un étalage du nombre de mots que l’on connait du Larousse ou du Petit Robert, ou encore un examen sur les tables de conjugaison de Bescherel.
C’est des écrits qui devaient venir de votre coeur, qui ont permis de vous exprimer et surtout de nous divertir.

Donc, peu importe les fautes d’orthographes,(il y a des correcteurs en ligne pour ça :) ) les doigts qui ont zippé sur les claviers, trop pressés de nous mettre de jolis textes ou poèmes.

Ce qui compte vraiment, et seulement ça, c’est d’avoir de belles choses à nous mettre sous les yeux et de participer.



Texte*n*1:
Note*:15*/20
Commentaires*: un peu trop olé olé, mais bon, chacun fête le solstice d’hiver à sa façon.


Texte*n*2:
Note*:12*/20
Commentaires*:l’histoire n’est pas mal, quoique assez classique. Le texte aurait beaucoup à gagner à être plus concis, pour éviter des lourdeurs dans les descriptions et explications répétitives qui lui ôte sa facilité de lecture.


Texte*n*3:
Note*:12*/20
Commentaires*: Ce récit n’est pas mal en soi, mais une narration à la première personne, dont beaucoup de phrases commencent par «Je», est très dérangeante.


Texte*n*4:
Note*:19 */20
Commentaires*:ce poème a l’avantage d’être court et bien tourné, les rimes sont bonnes.


Texte*n*5:
Note*:19*/20
Commentaires*: original, le manque de descriptions permet au lecteur d’imaginer ce qui aurait pu se passer ou pas. Un petit coté fantastique de l’histoire qui n’est pas pour me déplaire.
Cette narration se présente comme un rêve : on passe quelquefois, d’une scène à l’autre sans transition aucune.
Cela m’a rappelé ma toute première attaque reçue et ma panique pour une seule petite croix en haut à droite ....



Texte*n*6:
Note*:18*/20
Commentaires*: Un joli poème en vers libres. Bel effort pour quand même y mettre des rimes. Je pense que la poésie en prose est une forme d’écriture que tu pourrais développer.


Texte*n*7:
Note*:15/20
Commentaires*:L’idée d’un Père Noël dépressif n’est pas mal. C’est bien dans le thème, mais, si certains passages sont agréables à lire car concis, d’autres souffrent d’effet de styles plutôt maladroits.


Texte*n*8:
Note*: 17*/20
Commentaires*: Bon texte, pas de descriptions inutiles des personnages, on rentre dans le vif du sujet. Cette nouvelle aurait gagné à être un peu plus courte dans certains descriptifs. Les portes, les mondes parallèles ont toujours la cote et ouvrent l’imaginaire.
Que nous présenteras-tu l’an prochain ?
*
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser28529

Guest
Enfin quelqu'un qui reconnaît les vrais poème ^^

Je vais faire exprès de porter la confusion sur quel poème j'ai écris (Comme ce que j'ai déjà posté dans mon commentaire précédent xD)

Et moi je pense que le texte 1 est superbe ! Je mettrai un petit 16/20 si je pourrai noté mais je peux pas sniiff
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser21107

Guest
J'ai lu et voici mon avis :
Texte n 1:
Note :5 /20
Commentaires :
Un peu trop facile ^^
mon petit cousin de 14 ans qui se découvre sort des blagues plus réussis ^^



Texte n 2:
Note :18 /20
Commentaires : Excellente fluidité de la langue, belle histoire bien inspirante. On s'y prend vite! Par contre j'aurais voulu un tantinet plus d'allusion à tout ce qui est magie de Noël!


Texte n 3:
Note : 10/20
Commentaires :Trop de fautes d'orthographe. Dans une histoire cela gâche l'expérience de lecture et m'empêche de bien m'immerger. à l'avenir peut-être repasser son texte sur Antidote ou autre correcteur de langue française?


Texte n 4:
Note : 19/20
Commentaires : l'idée d'un poème est excellente, j'adore l'effort qui y a été mis. Le poème se lit bien, les rimes sont bien recherchées. un Gros Bravo à l'auteur!


Texte n 5:
Note : 15/20
Commentaires : Jolie histoire, mais honnêtement je perçois mal le lien avec noël hormis la date. Ce n'est pas Halloween la fête des morts-vivant xD


Texte n 6:
Note : 17/20
Commentaires : Jolie poème très mignon! j'ai bien apprécié! C'est doux, très Noël et attendrissant

Texte n 7:
Note : 20/20
Commentaires : oui note parfaite pour un texte parfait! J'ai adoré le style d'écriture, la simplicité de l'histoire, l'atmosphère de Noël. Ça me rappelle les contes que ma grand mère me lisait quand j'étais petite! un gros bravo à l'auteur!


Texte n 8:
Note : 12/20
Commentaires : Bel effort, par contre il faudrait travailler sur la fluidité de l'histoire pour qu'elle se lise mieux. Trop d'éléments ont été lancé pêle-mêle et rapidement. Mieux vaut faire plus simple, mais plus fluide, surtout pour des petits texte.
 
Dernière édition par un modérateur:

jejel66

Roi
Score de réaction
287
Texte n 4:
Note : 1/20
Commentaires : l'idée d'un poème est excellente, j'adore l'effort qui y a été mis. Le poème se lit bien, les rimes sont bien recherchées. un Gros Bravo à l'auteur!

Oui, oui, bravo, c'est bien continue ainsi! 1/20, bim dans ta ... hum! x)
 

DeletedUser22715

Guest
je pense qu'il manque un chiffre derriere le 1

en effet, le commentaire est en contradiction avec la note

Texte n 4:
Note : 1/20
Commentaires : l'idée d'un poème est excellente, j'adore l'effort qui y a été mis. Le poème se lit bien, les rimes sont bien recherchées. un Gros Bravo à l'auteur!

cela est comme les "fôtes" je pense quitte à noté, autant faire attention :p
 

DeletedUser940

Guest
Tous d'abord Merci pour tout ceux qui ont participé.

Voici mon avis, je ne mettrais pas de commentaire, mais points seront simplement mon apréciation personnel, et regarde moins les fautes de français...

Texte n 1:
Note : 6 /20

Texte n 2:
Note : 17 /20

Texte n 3:
Note : 12 /20

Texte n 4:
Note : 15 /20

Texte n 5:
Note : 18 /20

Texte n 6:
Note : 12 /20

Texte n 7:
Note : 20 /20

Texte n 8:
Note : 10 /20
 
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