DeletedUser
Guest
Voilà un texte cout que j'ai fais pour le fun. J'ai essayé de raconter la journée d'un enfant de cinq ans et de raconter comment il voyait la vie. J'ai tenté aussi de rajouté un pointe d'humour, pour rendre le texte moins barbant.
Une journée vu d'en bas
La bataille faisait rage depuis bientôt trois heures. Les Chevaliers sous l’ordre du Seigneur Pikachu, résistaient à l’invasion viking des sombres guerriers, poussés par l’envie du pouvoir et d’expansion. Pendant le combat, un chevalier en mauvaise posture laissa tomber son épée. Je lui remis. Un autre perdit ses cheveux. Je les lui remis aussi.
-A Table Liam ! Vient manger et range tes jouets avant !
Ma maman venait de m’appeler pour manger. Je rangeais donc mes playmobils dans la caisse à jouet. Cette caisse à jouet avait beaucoup de valeurs à mes yeux. Elle contenait des légos, des playmobils, des cartes Pokémon et des billes. C’est que j’étais fils unique et ces jouets me permettaient de faire passer le temps. Mon papa et ma maman ne voulaient qu’un enfant, une fille si possible. A la place, ils m’avaient eu. Pas de chance. J’étais un garçon brun, de quatre ans et demi, j‘avais les cheveux en épis, les yeux marrons, une bouche toujours ornée d‘un sourire en banane. J‘avais aussi, à l‘instar de mon papa, une petite brioche au niveau du ventre. Elle nous tenait chaud qu‘il disait. Je savais parler, compter jusqu’à huit et j’avais même perdu quelques dents. J’avais eu le droit, pour l’occasion à l’argent tant convoité de la petite sourie. Je rejoignais donc ma famille pour aller manger. Le périple était audacieux. Il fallait quitter la forteresse de jouet pour m’aventurer dans les Terres sauvages de la maison. Les toilettes marécageuses étaient connues pour leur odeurs de morts. Il ne fallait pas respirer ce gaz toxique. Par précaution, je préféra m’équiper de mon épée en bois ainsi que de mon bouclier «*Power Ranger*». Je m’habilla de ma cape royale, me servant également de couettes, à ses heures perdues. C’est donc dans mon accoutrement, plus de gueux que de guerrier, je dois vous l’accorder, que je me mis à chevaucher mon cheval en bois, pour rejoindre les plaines de la salle à manger. Arrivée là bas, je fus traité comme un paysan. Les hôtes de cette contrée n’avaient pas pris le temps de m’accueil à ma juste valeur. Festin du jour : Épinard et poissons panné. Et comme si cela ne suffisait pas, je fût disgracié en voyant me demander d’enlever mon «*accoutrement de guerriers d’appartements*» J’étais indigné, mais mes parents ne prirent pas mon désarroi au sérieux en riant ouvertement et en se moquant devant le noble prince que j’étais.
Le repas commença et ne se finit que trois heures et demies plus tard pour ma part. Les épinards me donnaient du fil à retordre et je craignais bientôt de voir mes forces disparaître et ma vie s’éteindre, dans la plus grande solitude que la Terre ait portée ! Mon terre abrégea mes souffrances et me dit, d’une voix que j’adorais, que je pouvais laisser mon assiette. J’avais vaincu !! Je repartais donc, après avoir mangé mon «*flambi*», sur mon cheval de peinture blanche. Je retourna dans mon royaume des jouets et repris la guerre, une fois mes playmobils replacés. Finalement, les chevaliers gagnèrent. Bon, ils avaient reçu l’aide des Légos, mais la sûreté du territoire méritait bien quelques manquements à la règle.
seize heure sonna ! C’était l’heure du goûter ! Je repartis prendre cette récompense dont seuls les plus grands guerriers et les plus affamés avaient le droit d’y goûter. Cette fois ci, il était meilleur que l’affreux festin des épinards ce midi. Il y avait des pépitos. J’aime les pépitos. Surtout ceux avec le chocolat en forme d’étoile. J’avalais en vitesse ce délicieux met puis parti à la capture de l’animal légendaire qui hantait le royaume, mon chat d’appartement, j’ai nommé Félix. Félix était un gros chat d’appartement et sa masse massive rendait plus facile la tache de la capture. Cette tache m’occupa tout de même jusqu’à dix huit heures. Je parti ensuite regarder la télévision, meilleure amie de papa. J’aurais bien emmené Felix avec moi mais papa trouvait qu’il puait trop. Une fois le repas préparé, nous remangeâmes le reste de poisson du midi. Heureusement pour moi, les parents avaient fait preuve d’indulgence en ne me resservant pas de ce poison gluant et vert qu’étaient les épinards.
Après le repas, je dus aller me coucher. J’embrassais mes parents et leur souhaitait une bonne nuit.
Une fois dans mon lit, je joua dix minutes avec mes peluches. Puis je repensa à ma journée fabuleuse que je venais de vivre. Pas de doutes, c’était vraiment bien, un jour de vacance, quand on à presque cinq ans.
La bataille faisait rage depuis bientôt trois heures. Les Chevaliers sous l’ordre du Seigneur Pikachu, résistaient à l’invasion viking des sombres guerriers, poussés par l’envie du pouvoir et d’expansion. Pendant le combat, un chevalier en mauvaise posture laissa tomber son épée. Je lui remis. Un autre perdit ses cheveux. Je les lui remis aussi.
-A Table Liam ! Vient manger et range tes jouets avant !
Ma maman venait de m’appeler pour manger. Je rangeais donc mes playmobils dans la caisse à jouet. Cette caisse à jouet avait beaucoup de valeurs à mes yeux. Elle contenait des légos, des playmobils, des cartes Pokémon et des billes. C’est que j’étais fils unique et ces jouets me permettaient de faire passer le temps. Mon papa et ma maman ne voulaient qu’un enfant, une fille si possible. A la place, ils m’avaient eu. Pas de chance. J’étais un garçon brun, de quatre ans et demi, j‘avais les cheveux en épis, les yeux marrons, une bouche toujours ornée d‘un sourire en banane. J‘avais aussi, à l‘instar de mon papa, une petite brioche au niveau du ventre. Elle nous tenait chaud qu‘il disait. Je savais parler, compter jusqu’à huit et j’avais même perdu quelques dents. J’avais eu le droit, pour l’occasion à l’argent tant convoité de la petite sourie. Je rejoignais donc ma famille pour aller manger. Le périple était audacieux. Il fallait quitter la forteresse de jouet pour m’aventurer dans les Terres sauvages de la maison. Les toilettes marécageuses étaient connues pour leur odeurs de morts. Il ne fallait pas respirer ce gaz toxique. Par précaution, je préféra m’équiper de mon épée en bois ainsi que de mon bouclier «*Power Ranger*». Je m’habilla de ma cape royale, me servant également de couettes, à ses heures perdues. C’est donc dans mon accoutrement, plus de gueux que de guerrier, je dois vous l’accorder, que je me mis à chevaucher mon cheval en bois, pour rejoindre les plaines de la salle à manger. Arrivée là bas, je fus traité comme un paysan. Les hôtes de cette contrée n’avaient pas pris le temps de m’accueil à ma juste valeur. Festin du jour : Épinard et poissons panné. Et comme si cela ne suffisait pas, je fût disgracié en voyant me demander d’enlever mon «*accoutrement de guerriers d’appartements*» J’étais indigné, mais mes parents ne prirent pas mon désarroi au sérieux en riant ouvertement et en se moquant devant le noble prince que j’étais.
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Le repas commença et ne se finit que trois heures et demies plus tard pour ma part. Les épinards me donnaient du fil à retordre et je craignais bientôt de voir mes forces disparaître et ma vie s’éteindre, dans la plus grande solitude que la Terre ait portée ! Mon terre abrégea mes souffrances et me dit, d’une voix que j’adorais, que je pouvais laisser mon assiette. J’avais vaincu !! Je repartais donc, après avoir mangé mon «*flambi*», sur mon cheval de peinture blanche. Je retourna dans mon royaume des jouets et repris la guerre, une fois mes playmobils replacés. Finalement, les chevaliers gagnèrent. Bon, ils avaient reçu l’aide des Légos, mais la sûreté du territoire méritait bien quelques manquements à la règle.
seize heure sonna ! C’était l’heure du goûter ! Je repartis prendre cette récompense dont seuls les plus grands guerriers et les plus affamés avaient le droit d’y goûter. Cette fois ci, il était meilleur que l’affreux festin des épinards ce midi. Il y avait des pépitos. J’aime les pépitos. Surtout ceux avec le chocolat en forme d’étoile. J’avalais en vitesse ce délicieux met puis parti à la capture de l’animal légendaire qui hantait le royaume, mon chat d’appartement, j’ai nommé Félix. Félix était un gros chat d’appartement et sa masse massive rendait plus facile la tache de la capture. Cette tache m’occupa tout de même jusqu’à dix huit heures. Je parti ensuite regarder la télévision, meilleure amie de papa. J’aurais bien emmené Felix avec moi mais papa trouvait qu’il puait trop. Une fois le repas préparé, nous remangeâmes le reste de poisson du midi. Heureusement pour moi, les parents avaient fait preuve d’indulgence en ne me resservant pas de ce poison gluant et vert qu’étaient les épinards.
Après le repas, je dus aller me coucher. J’embrassais mes parents et leur souhaitait une bonne nuit.
Une fois dans mon lit, je joua dix minutes avec mes peluches. Puis je repensa à ma journée fabuleuse que je venais de vivre. Pas de doutes, c’était vraiment bien, un jour de vacance, quand on à presque cinq ans.
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