Sans nom pour le moment

  • Auteur de la discussion Anseilm
  • Date de début

DeletedUser

Guest
Prologue​

Le sang gouttait à la pointe de la lame et venait souiller sa botte droite. Le chevalier l’essuya sur la touffe de cheveux qui tapissait le crâne du paysan qu’il venait d’abattre. Il rangea l’épée dans son fourreau, elle eut du mal à rentrer. Le sang accumulé depuis des décennies avait séché dans l’étui. La pluie torrentielle qui tombait tâcherait de nettoyer l’arme et son enveloppe. La chaumière du cadavre brûlait derrière son dos. Le rouge des flammes se reflétait sur son pardessus en cuir ; de la chaleur on ne pouvait deviner sa force que par la sueur qui perlait à son front. Seul son regard céruléen était visible, la cape grimpait jusqu’à son nez, cachant la moitié de son visage. Derrière, les chevaux hennissaient comme des diables, crachant une fumée noire par leurs naseaux.

Un bruit l’extirpa de sa contemplation morbide. Quelqu’un rampait. Il tourna les talons et guetta, un mouvement près d’un tas de bois noirci attira son attention. La boue giclait à chacun de ses pas. Le chevalier posa un genou à terre, l’eau imbiba immédiatement son pantalon usé. Il souleva une bûche. Là, aplati contre le sol tourbeux, une enfant crasseuse se cachait. Ses yeux vairons le fixaient sans ciller et ses menottes s’enfonçaient dans la fange jusqu’aux poignets. Entre ses lèvres bleuies par le froid, s’échappait un nuage blanc à chacune de ses respirations. La petite était agitée de violents tremblements. Le chevalier poussa un profond soupire rauque et d’un geste habile, il dégaina son épée. « Sors d’ici ». L’enfant ferma les yeux, joignit ses mains et marmonna une prière. « Je vous salue Marie, pleine de grâce. Le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit … ». « SORS D’ICI ! » « … de vos entrailles est bénie. Sainte Marie mère de Dieu … » L’enfant parlait à toute vitesse, le souffle lui manquait. Elle fut arrachée à sa cachette, soulevée par un bras. « Priez pour nous pauvre pêcheur, maintenant … » La malheureuse se débattait de toutes ses maigres forces, hurlant sa prière comme elle hurlait sa terreur. « … et à l’heure de notre mort ! ».

Ils se faisaient face. Le chevalier, l’épée levée, et la fillette, ridicule dans ses haillons. De grosses larmes roulaient sur ses joues. Il s’apprêtait à frapper. Tuer l’innocence de sa main. Faire taire le cri de l’enfance. Lorsqu’il rouvrit les yeux, l’enfant était partie.

Chapitre 1​

Lorsqu’il entra dans la taverne, les conversations moururent brutalement. Le rire gras du gargotier se brisa et son chiffon sale resta dans le verre poussiéreux qu’il tenait à la main. Le chevalier poussa la porte de l’auberge et fit claquer ses bottes l’une contre l’autre pour en ôter l’herbe et la boue luisante. La tempête faisait rage au dehors. Il prit son chapeau et le posa au bout du comptoir de bois sombre. On commençait à s’agiter, les chuchotements prenaient de l’ampleur. Les hommes s’échangeaient des coups d’œil curieux. Le chevalier pointa du doigt une bouteille de vin dont l’étiquette était illisible tant la saleté était épaisse. S’empressant de lui servir une choppe, l’aubergiste aux joues rougeaudes semblait vouloir poser quelques questions. « Vous êtes muet mon brave ? » La tête baissée, les mains autour de son vin chaud, le chevalier ne broncha pas. Seule sa tête, toujours à moitié masquée par son manteau, répondit par la négative.

« Pourquoi qu’tu réponds pas alors malpoli ! », un habitué des lieux s’était levé. Le chevalier resta passif. « Il faut te secouer pour qu’tu … ». L’homme, la quarantaine, trapu et abruti par des années de beuveries, posa sa main sur son épaule. Une poignée de seconde, il n’en fallu pas plus au chevalier pour l’attraper, le plaquer contre le comptoir et coller son visage contre celui de l’importun. L’épée était restée dans son fourreau, sa force venait de ses seules mains. L’une encerclait la gorge et l’autre maintenait le corps musculeux, mais fatigué par le métier de charpentier, plaqué contre le comptoir. Les yeux écarquillés, l’homme regrettait déjà de s’être adressé à l’inconnu. Dans la taverne, le silence était écrasant. Seule résonnait la respiration suffocante du misérable, une odeur fit frémir ses narines. Son cœur se souleva. C’était l’odeur du cuir, du cuir imbibé de sang.

Debout devant la fenêtre, le chevalier regardait les vitres encrassées. La pluie battait les carreaux avec une rage incommensurable et formait un rideau impénétrable. Tout était gris, la vieille couverture miteuse, le fauteuil enveloppé dans un ancien velours, le tapis aux poils rêches. Dans cet univers cendré, seule la petite table de nuit recouverte d’une dentelle rouge et la tapisserie de couleur jaune pisseux juraient. De derrière la porte venait des murmures, une rumeur qui enflait. Le chevalier restait calme. L’habitude. Comme à chaque fois qu’il quittait un lieu, il laissait une foule de questions sans réponses. Une rumeur qui, comme une brume incolore, s’infiltrait dans les foyers, dans les tavernes et persistait pendant des mois. C’est ainsi qu’il bâtit sa réputation. A travers les terres de France, les surnoms qu’on lui donnait étaient nombreux. Il était fantôme, ombre ou criminel. Chaque village forgeait sa propre légende sur cet homme sans nom qui arpentait le pays à cheval.

Il plissa les yeux, deux gamins peu farouches s’approchaient des écuries. C’est là que le chevalier avait laissé sa monture, un pur sang Arabe à la robe ébène. Sa bouche émit un claquement de langue agacé, même s’il savait la bête entre de bonnes mains. En arrivant sur les lieux, il avait payé grassement un jeune homme pour qu’il veille sur son cheval. Le chevalier claque des talons et du regard, fit l’état des lieux. Le mobilier était sommaire. Une très vieille Bible trônait sur la table de nuit. Il en connaissait déjà chaque mot, chaque phrase, chaque verset, par cœur. Le chevalier fit le signe de croix. Il ôta ensuite son manteau et le posa délicatement sur le lit. La nuit serait courte. A cause de l’imbécile de la taverne, il devrait partir à l’aube. Juste avant, il lui rendrait une petite visite. Une visite sanglante.

Le soleil pointait à peine, qu’un cri déchira le ciel paisible d’un village français. Les oiseaux s’envolèrent et un chien se mit à aboyer. Une longue plainte suivit et déjà les fenêtres s’ouvraient et quelques portes grincèrent. Personne n’osait faire le premier pas. Le plus courageux, un vieux bûcheron qui habitait là depuis six ans, franchit le seuil de la maison où résonnaient les pleurs. Dans une petite chambre, une femme était effondrée sur le corps sans vie de son mari. Aux pieds du malheureux, un petit garçon en chemise de nuit tremblait de tous ses membres. Le bûcheron se signa, murmurant les bribes d’une prière.​
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Le sang gouttait à la pointe de la lame et venait souiller sa botte droite. Le chevalier l’essuya sur la touffe de cheveux qui tapissait le crâne du paysan qu’il venait d’abattre. Il rangea l’épée dans son fourreau, elle eut du mal à rentrer. Le sang accumulé depuis des décennies avait séché dans l’étui. La pluie torrentielle qui tombait tâcherait de nettoyer l’arme et son enveloppe. La chaumière du cadavre brûlait derrière son dos. Le rouge des flammes se reflétait sur son pardessus en cuir ; de la chaleur on ne pouvait deviner sa force que par la sueur qui perlait à son front. Seul son regard céruléen était visible, la cape grimpait jusqu’à son nez, cachant la moitié de son visage. Derrière, les chevaux hennissaient comme des diables, crachant une fumée noire par leurs naseaux.

Un bruit l’extirpa de sa contemplation morbide. Quelqu’un rampait. Il tourna les talons et guetta, un mouvement près d’un tas de bois noirci attira son attention. La boue giclait à chacun de ses pas. Le chevalier posa un genou à terre, l’eau imbiba immédiatement son pantalon usé. Il souleva une bûche. Là, aplati contre le sol tourbeux, une enfant crasseuse se cachait. Ses yeux vairons le fixaient sans ciller et ses menottes s’enfonçaient dans la fange jusqu’aux poignets. Entre ses lèvres bleuies par le froid, s’échappait un nuage blanc à chacune de ses respirations. La petite était agitée de violents tremblements. Le chevalier poussa un profond soupire rauque et d’un geste habile, il sorti son épée. « Sors d’ici ». (Une faute de conjugaise & une répétition trop flagrante) L’enfant ferma les yeux, joignit ses mains et marmonna une prière. « Je vous salue Marie, pleine de grâce. Le Seigneur est avec vous. Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit … ». « SORS D’ICI ! » « … de vos entrailles est bénie. Sainte Marie mère de Dieu … » L’enfant parlait à toute vitesse, le souffle lui manquait. Elle fut arrachée à sa cachette, soulevée par un bras. « Priez pour nous pauvre pêcheur, maintenant … » La malheureuse se débattait de toutes ses maigres forces, hurlant sa prière comme elle hurlait sa terreur. « … et à l’heure de notre mort ! ».

Ils se faisaient face. Le chevalier, l’épée levée, et la fillette, ridicule dans ses haillons. De grosses larmes roulaient sur ses joues. Il s’apprêtait à frapper. Tuer l’innocence de son bras. (petit bug ?) Faire taire le cri de l’enfance. Lorsqu’il rouvrit les yeux, l’enfant était partie.

***​

Lorsqu’il entra dans la taverne, les conversations moururent brutalement. Le rire gras du gargotier se brisa et son chiffon sale resta dans le verre poussiéreux qu’il tenait à la main. Le chevalier poussa la porte de l’auberge et fit claquer ses bottes l’une contre l’autre pour en ôter l’herbe et la boue luisante. La tempête faisait rage au dehors. Il prit son chapeau et le posa au bout du comptoir de bois sombre. On commençait à s’agiter, les chuchotements prenaient de l’ampleur. Les hommes s’échangeaient des coups d’œil curieux. Le chevalier pointa du doigt une bouteille de vin dont l’étiquette était illisible tant la saleté était épaisse. S’empressant de lui servir une choppe, l’aubergiste aux joues rougeaudes semblait vouloir poser quelques questions. « Vous êtes muet mon brave ? » La tête baissée, les mains autour de son vin chaud, le chevalier ne broncha pas. Seule sa tête, toujours à moitié masquée par son manteau, répondit par la négative.

« Pourquoi qu’tu réponds pas alors malpoli ! », un habitué des lieux s’était levé. Le chevalier resta passif. « Il faut te secouer pour qu’tu … ». L’homme, la quarantaine, trapu et abruti par des années de beuveries, posa sa main sur son épaule. Une poignée de seconde, il n’en fallu pas plus au chevalier pour l’attraper, le plaquer contre le comptoir et coller son visage contre celui de l’importun. L’épée était restée dans son fourreau, sa force c’était ses mains. (je trouve l'usage de " c'était " à cet endroit assez ... "brisant", çà m'a heurté dans ma lecture ^^'') L’une encerclait la gorge et l’autre maintenait le corps musculeux, mais fatigué par le métier de charpentier, plaqué contre le comptoir. Les yeux écarquillés, l’homme regrettait déjà de s’être adressé à l’inconnu. Dans la taverne, le silence était écrasant. Seule résonnait la respiration suffocante du misérable, une odeur fit frémir ses narines. Son cœur se souleva. C’était l’odeur du cuir, du cuir imbibé de sang.​


Je continue d'aimer tes écrits, tu prends de plus en plus d'assurance, c'est génial, juste du bonheur :)
 

DeletedUser

Guest
Oh merci Déca :) J'ai pris compte de tes trois remarques et j'ai changé ! J'espère que le texte sera meilleur ainsi. Encore mille merci pour le compliment.
 

DeletedUser15757

Guest
J’adore :D:D:D belle description (je ne suis pas un pro donc je ne c'est pas quoi dire :p)
Si tu a une suite envois la^^
 

DeletedUser

Guest
Suite chapitre 1​


Debout devant la fenêtre, le chevalier regardait les vitres encrassées. La pluie battait les carreaux avec une rage incommensurable et formait un rideau impénétrable. Tout était gris, la vieille couverture miteuse, le fauteuil enveloppé dans un ancien velours, le tapis aux poils rêches. Dans cet univers cendré, seule la petite table de nuit recouverte d’une dentelle rouge et la tapisserie de couleur jaune pisseux juraient. De derrière la porte venait des murmures, une rumeur qui enflait. Le chevalier restait calme. L’habitude. Comme à chaque fois qu’il quittait un lieu, il laissait une foule de questions sans réponses. Une rumeur qui, comme une brume incolore, s’infiltrait dans les foyers, dans les tavernes et persistait pendant des mois. C’est ainsi qu’il bâtit sa réputation. A travers les terres de France, les surnoms qu’on lui donnait étaient nombreux. Il était fantôme, ombre ou criminel. Chaque village forgeait sa propre légende sur cet homme sans nom qui arpentait le pays à cheval.

Il plissa les yeux, deux gamins peu farouches s’approchaient des écuries. C’est là que le chevalier avait laissé sa monture, un pur sang Arabe à la robe ébène. Sa bouche émit un claquement de langue agacé, même s’il savait la bête entre de bonnes mains. En arrivant sur les lieux, il avait payé grassement un jeune homme pour qu’il veille sur son cheval. Le chevalier claque des talons et du regard, fit l’état des lieux. Le mobilier était sommaire. Une très vieille Bible trônait sur la table de nuit. Il en connaissait déjà chaque mot, chaque phrase, chaque verset, par cœur. Le chevalier fit le signe de croix. Il ôta ensuite son manteau et le posa délicatement sur le lit. La nuit serait courte. A cause de l’imbécile de la taverne, il devrait partir à l’aube. Juste avant, il lui rendrait une petite visite. Une visite sanglante.

Le soleil pointait à peine, qu’un cri déchira le ciel paisible d’un village français. Les oiseaux s’envolèrent et un chien se mit à aboyer. Une longue plainte suivit et déjà les fenêtres s’ouvraient et quelques portes grincèrent. Personne n’osait faire le premier pas. Le plus courageux, un vieux bûcheron qui habitait là depuis six ans, franchit le seuil de la maison où résonnaient les pleurs. Dans une petite chambre, une femme était effondrée sur le corps sans vie de son mari. Aux pieds du malheureux, un petit garçon en chemise de nuit tremblait de tous ses membres. Le bûcheron se signa, murmurant les bribes d’une prière.​

(Pour ceux qui veulent, la suite a été aussi ajoutée au 1er message :))
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Ce n'est pas du tout mauvais , c'est rare que je commente cette section parce qu'a vrai dire j'aime prendre le temps de lire vos grands textes , et je finit jamais la moitié de ce que je commence sur cette partie ><.

Après les modifications apportées par Déca , qui lui est sans aucuns doutes maintenant un expert dans la plume. Ton début me rappel beaucoup un gros pavé que j'ai bouquiné dans le passé mais j'arrive pas à remettre la main sur le titre :/

Continue comme ça , j'attend la suite avec hâte :D
 

DeletedUser

Guest
Eh bien ton commentaire prend d'autant plus écho en moi si tu réponds rarement aux textes postés ici :) Et je le prends encore mieux puisque cela veut dire que tu es allé jusqu'au bout. Pour finir, ça me motive encore bien davantage ! Tu devrais commenter plus souvent :D

La suite demain !

PS: Si tu retrouves le titre du bouquin dont tu parles, dis le moi !
 

DeletedUser

Guest
Suite chapitre 1​


Debout devant la fenêtre, le chevalier regardait les vitres encrassées. La pluie battait les carreaux avec une rage incommensurable et formait un rideau impénétrable. Tout était gris, la vieille couverture miteuse, le fauteuil enveloppé dans un ancien velours, le tapis aux poils rêches. Dans cet univers cendré, seule la petite table de nuit recouverte d’une dentelle rouge et la tapisserie de couleur jaune pisseux juraient. De derrière la porte venait des murmures, une rumeur qui enflait. Le chevalier restait calme. L’habitude. Comme à chaque fois qu’il quittait un lieu, il laissait une foule de questions sans réponses. Une rumeur (l'insinuation de la partie soulignée t'oblige à une répétition, et la partie soulignée casse le rythme, à revoir ?) qui, comme une brume incolore, s’infiltrait dans les foyers, dans les tavernes et persistait pendant des mois. C’est ainsi qu’il bâtit sa réputation. A travers les terres de France, les surnoms qu’on lui donnait étaient nombreux. Il était fantôme, ombre ou criminel. Chaque village forgeait sa propre légende sur cet homme sans nom qui arpentait le pays à cheval.

Il plissa les yeux, deux gamins peu farouches s’approchaient des écuries. C’est là que le chevalier avait laissé sa monture, un pur sang Arabe à la robe ébène. Sa bouche émit un claquement de langue agacé, même s’il savait la bête entre de bonnes mains. En arrivant sur les lieux, il avait payé grassement un jeune homme pour qu’il veille sur son cheval. Le chevalier claque des talons et du regard, fit l’état des lieux. Le mobilier était sommaire. Une très vieille Bible trônait sur la table de nuit. Il en connaissait déjà chaque mot, chaque phrase, chaque verset, par cœur. Le chevalier fit le signe de croix. Il ôta ensuite son manteau et le posa délicatement sur le lit. La nuit serait courte. A cause de l’imbécile de la taverne, il devrait partir à l’aube. Juste avant, il lui rendrait une petite visite. Une visite sanglante.

Le soleil pointait à peine, qu’un cri déchira le ciel paisible d’un village français. Les oiseaux s’envolèrent et un chien se mit à aboyer. Une longue plainte suivit et déjà les fenêtres s’ouvraient et quelques portes grincèrent. Personne n’osait faire le premier pas. Le plus courageux, un vieux bûcheron qui habitait là depuis six ans, franchit le seuil de la maison où résonnaient les pleurs. Dans une petite chambre, une femme était effondrée sur le corps sans vie de son mari. Aux pieds du malheureux, un petit garçon en chemise de nuit tremblait de tous ses membres. Le bûcheron se signa, murmurant les bribes d’une prière.​
(pas bien compris ce bout de phrase, y a-t-il un sens ?)

(Pour ceux qui veulent, la suite a été aussi ajoutée au 1er message :))


L'image du petit village réveillé par le cri de la victime est assez bien réussie. Le tout m'est sympathique encore une fois,
Continue :)
 

DeletedUser

Guest
Je corrige tout ça dès que je peux :)
Par contre "se signer" en langage religieux, c'est faire le signe de croix. Ca évite de mettre toujours "il fit le signe de croix", qui une expression assez lourde.
 

DeletedUser

Guest
;)
Maintenant il faut que je réfléchisse à une suite et surtout à lancer l'histoire. Parce que je n'y ai pas encore pensé. :)
 
Haut