DeletedUser20600
Guest
Bonsoir, donc voilà, j'ai reçu que 3 textes pour cette battle. Dommage que je me dis, car à la base c'était un sujet qui en intéressait beaucoup.
Malgré tout, les textes reçus méritent d'être publiés.
Voici Le lien pour le sujet initial.
Malgré tout, les textes reçus méritent d'être publiés.
Voici Le lien pour le sujet initial.
Les codes pour voter:
Code:
[COLOR="DarkRed"]Création N°[size=12]1[/size][/COLOR]
[COLOR="DarkOrange"]Je mets la note de : [size=12]...[/size]/20[/COLOR]
[COLOR="Blue"]Commentaires :[/COLOR]
[COLOR="DarkRed"]Création N°[size=12]2[/size][/COLOR]
[COLOR="DarkOrange"]Je mets la note de : [size=12]...[/size]/20[/COLOR]
[COLOR="Blue"]Commentaires :[/COLOR]
[COLOR="DarkRed"]Création N°[size=12]3[/size][/COLOR]
[COLOR="DarkOrange"]Je mets la note de : [size=12]...[/size]/20[/COLOR]
[COLOR="Blue"]Commentaires :[/COLOR]
Bonne chance aux participants x)
Premier texte
C’est un poème succinct,
Et non pas moins vilain,
Qui dénoncera, je l’espère,
L’évolution de notre Terre.
Car ce sont des cimes antiques et uniques,
Que l’on exploite sans qu’un vent de panique,
Ne soulève les rangs de nos défenseurs,
Dont les intérêts se situent ailleurs.
Les écologistes mécontents grondent,
Et pourtant, cette richesse qui abonde,
Se retrouvera rasée à tout jamais,
Pour alimenter nos maudits déchets.
Il est temps de réagir et de dénoncer,
Mais aussi de dévoiler et de divulguer,
Tous ces crimes que l’on passe sous-silence
Au mépris de la Vie, pour combler nos carences.
Pensons avant tout, aux espèces qui disparaissent,
Plutôt qu’à ce qui alimente notre paresse,
Car au nom de quoi sacrifions-nous des vies ?
Humaines ou animales, sans contrepartie,
Papier ou gazole, quel intérêt réduit,
Pour ce que certains appelleront notre mère,
Puisque tous, nous sommes nés sur cette Terre,
Bien après les arbres millénaires.
Le progrès a de multiples facettes,
Apprenons à démêler ce casse-tête,
Et préservons ce qui nous fait vivre,
Sans que cela ne nous désenivre.
Luttons contre la déforestation,
Vive la révolution !
Et non pas moins vilain,
Qui dénoncera, je l’espère,
L’évolution de notre Terre.
Car ce sont des cimes antiques et uniques,
Que l’on exploite sans qu’un vent de panique,
Ne soulève les rangs de nos défenseurs,
Dont les intérêts se situent ailleurs.
Les écologistes mécontents grondent,
Et pourtant, cette richesse qui abonde,
Se retrouvera rasée à tout jamais,
Pour alimenter nos maudits déchets.
Il est temps de réagir et de dénoncer,
Mais aussi de dévoiler et de divulguer,
Tous ces crimes que l’on passe sous-silence
Au mépris de la Vie, pour combler nos carences.
Pensons avant tout, aux espèces qui disparaissent,
Plutôt qu’à ce qui alimente notre paresse,
Car au nom de quoi sacrifions-nous des vies ?
Humaines ou animales, sans contrepartie,
Papier ou gazole, quel intérêt réduit,
Pour ce que certains appelleront notre mère,
Puisque tous, nous sommes nés sur cette Terre,
Bien après les arbres millénaires.
Le progrès a de multiples facettes,
Apprenons à démêler ce casse-tête,
Et préservons ce qui nous fait vivre,
Sans que cela ne nous désenivre.
Luttons contre la déforestation,
Vive la révolution !
Deuxième texte
Manifesto
La populace écrasée sous la masse
Décide de bouger enfin sa carcasse.
Les places se remplissent de gens avides,
D'éructer des slogans acides.
Le peuple est à bout de souffle, le peuple souffre
La crise est là, nous plongeant dans un gouffre.
Ensemble hissons le pavillon noir,
Ensemble sortons de ce couloir,
Sans fin...
Le pas cadencé de la foule amassée,
Rompt le calme de cette fin de journée.
La police frappe, matraque et accable,
La foule fait front, vague implacable !
L'heure est aux règlements de compte,
Détruire le bouclier des pontes.
Les mensonges ont assez duré,
La rue sort de sa passivité !
Révolte...
Les enfants meurent dans les rues,
Les politiques semblent tomber des nues.
L'hypocrisie, la fausse compassion,
Tout est question d'apparences, de réélections.
Les bombes, les tueries, les attentats,
Ne devraient viser que les chefs d'Etat,
Ceux qui, sur le dos du peuple, s'enrichissent.
Jusqu'à la lie nous avons bu le calice.
Changement...
Dans la nuit sortent des quartiers chics,
Les bimbos botoxées et toute leur clique.
Elles tuent chaque année des milliers d'animaux,
Le maquillage est leur remède à tous les maux.
Tout le monde sait, personne ne réagit,
Nous baignons dans l'hypocrisie,
Que nous servent des hommes serviles.
Le mensonge leur est plus qu'utile...
Que l'homme se réveille,
Que l'homme se rebelle !
La populace écrasée sous la masse
Décide de bouger enfin sa carcasse.
Les places se remplissent de gens avides,
D'éructer des slogans acides.
Le peuple est à bout de souffle, le peuple souffre
La crise est là, nous plongeant dans un gouffre.
Ensemble hissons le pavillon noir,
Ensemble sortons de ce couloir,
Sans fin...
Le pas cadencé de la foule amassée,
Rompt le calme de cette fin de journée.
La police frappe, matraque et accable,
La foule fait front, vague implacable !
L'heure est aux règlements de compte,
Détruire le bouclier des pontes.
Les mensonges ont assez duré,
La rue sort de sa passivité !
Révolte...
Les enfants meurent dans les rues,
Les politiques semblent tomber des nues.
L'hypocrisie, la fausse compassion,
Tout est question d'apparences, de réélections.
Les bombes, les tueries, les attentats,
Ne devraient viser que les chefs d'Etat,
Ceux qui, sur le dos du peuple, s'enrichissent.
Jusqu'à la lie nous avons bu le calice.
Changement...
Dans la nuit sortent des quartiers chics,
Les bimbos botoxées et toute leur clique.
Elles tuent chaque année des milliers d'animaux,
Le maquillage est leur remède à tous les maux.
Tout le monde sait, personne ne réagit,
Nous baignons dans l'hypocrisie,
Que nous servent des hommes serviles.
Le mensonge leur est plus qu'utile...
Que l'homme se réveille,
Que l'homme se rebelle !
Troisième texte
Les chevilles enflées c'est l'ancrage à la terre
Alors que la tête et le cœur tirés aux cieux
Sa bouche cette antenne diffuse des idées à la pelle
Tractopelle à fantasmes
Débiteur du neuf
Dévoreur de l'instant
C'est une sirène il lance son chant séduisant provocateur
Et ses camarades pompiers arrivent et incendient le pays
Locution rauque et extatique
Moustaches électriques
Et mains frénétiques
Dans un élan épileptique
L'invasion de la fièvre
La contagion câline
Fusion archaïque
Et derniers échanges coquins
Le flux continu de l'inspiration
Toujours gonflant toujours croissant
S'enchâsse dans les esprits
Et soulève les passions
Soudain colique nausée
Le revers de la médaille couvert de poison
Le déclin après l'apogée
Le réel à portée
Ce monde infâme dont je suis le centre pour moi seul
Qui connaît sept milliards d'autres centres
Et de plus immuables
L'ouest et l'aigle aux plumes vertes
L'est et le drapeau rouge couvert d'or
Entre ces deux géants
Le Japon, ses cordes et ses ravins
Et puis nous vieille Europe
Orgueil de cadavre
Dans cette planète étroite et géante à la fois
De sempiternels fœtus en attente de vivre
Qui meurent dans leur patience petits êtres éphémères
Et moi qui les condamnent dans ma haute estime de moi-même
Je suis un mange-merde
Alors que la tête et le cœur tirés aux cieux
Sa bouche cette antenne diffuse des idées à la pelle
Tractopelle à fantasmes
Débiteur du neuf
Dévoreur de l'instant
C'est une sirène il lance son chant séduisant provocateur
Et ses camarades pompiers arrivent et incendient le pays
Locution rauque et extatique
Moustaches électriques
Et mains frénétiques
Dans un élan épileptique
L'invasion de la fièvre
La contagion câline
Fusion archaïque
Et derniers échanges coquins
Le flux continu de l'inspiration
Toujours gonflant toujours croissant
S'enchâsse dans les esprits
Et soulève les passions
Soudain colique nausée
Le revers de la médaille couvert de poison
Le déclin après l'apogée
Le réel à portée
Ce monde infâme dont je suis le centre pour moi seul
Qui connaît sept milliards d'autres centres
Et de plus immuables
L'ouest et l'aigle aux plumes vertes
L'est et le drapeau rouge couvert d'or
Entre ces deux géants
Le Japon, ses cordes et ses ravins
Et puis nous vieille Europe
Orgueil de cadavre
Dans cette planète étroite et géante à la fois
De sempiternels fœtus en attente de vivre
Qui meurent dans leur patience petits êtres éphémères
Et moi qui les condamnent dans ma haute estime de moi-même
Je suis un mange-merde