Récits d'horreur du jeu d'Halloween

  • Auteur de la discussion DeletedUser20600
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DeletedUser20600

Guest
Récits d'halloween


Voici venu le moment de vous dévoiler les récits d'horreur que nous avons reçu pour le jeu d'Halloween.

Nous remercions chacun des participants et nous leur souhaitons bonne chance.

Donc il sera temps pour vous, membres du forum, de voter pour le récit que vous appréciez le plus!!
 

DeletedUser20600

Guest
Récit #1

(Fiction à lire sur “This is Halloween” de Marilyn Monson)

Boys and girls of every age…

Le soir d'Halloween, survenant une fois par année, à une époque non située, mais avec une vérité : C'est une fête que beaucoup de monde, véritablement beaucoup de monde aime célébrer, quelque soit l'endroit dans le monde. Des enfants déguisés qui étaient accompagnés, par leur grand frère ou leur grande sœur, voire le deux, sous les regards attendris des parents. En bref, un monde qui est tout ce qu'il y a de plus idyllique. Le soir, commençait déjà se pointer, de la même façon que le soleil disparaissait. Sauf que la lune n'était pas présente.

-« Une nuit sans lune…, songea quelqu'un en se tenant dans l'ombre d'une ruelle, éclairée par une lumière glauque de couleur jaunâtre émanant d'un réverbère. C'est… parfait. Oui, je crois que c'est le mot. On peut enfin commencer. »

Il avait murmuré, presque chantonné, la dernière phrase. La moitié de son visage était visible, l'autre dans l'ombre. Sauf, que, cette ombre, cachait justement un sourire d'un sadisme abominable, qui, si son visage était visible, contrasterait complètement avec l'expression neutre de son visage éclairé. Puis, purement et simplement, il disparut, semblant ne jamais avoir existé.

-Dépêche-toi, Jules, on a pas que ça à faire !

-Oui, j'arrive, deux secondes !

Le dénommé Jules, âgé de pas plus de 10 ans, se dépêcha de rejoindre ses amis, en manquant de trébucher sur ses propres bandages, en déguisement de momie. Ils étaient tous là : guillaume, déguisé en loup-garou, Alexandre, alias Alex, en vampire, Côme, en Frankenstein hyperactif, Nathan, en fantôme noir, chose résultant de sa logique pour le moins étrange, et Adrien, déguisé en l'allégorie de la mort, avec une cape noire lui recouvrant la tête et tombant par terre, et une faux à la main.

-Encore avec cette idiotie nommée Halloween ? demanda une personne, moqueuse.

-Te moque pas d'Halloween ! s'emporta Côme, directement, avant que quiconque eu le temps de se retourner.

Il s'agissait d'Agathe, la grande sœur de Jules, âgée de 16, relativement sympa, mais peste comme pas deux quand elle s'y mettait.

-C'est une fête de chochotte pour des chochottes dans votre genre, se moqua-t-elle.

-Parce que tes fêtes où on « se bourre la gueule », comme vous dites, c'est mieux ? répliqua calmement Alex. Et évite de nous traiter de chochotte, alors que tu hurle dès que tu vois une araignée. Allez, on la laisse ruminer sa défaite.

Et c'est sans plus de cérémonie qu'ils partirent, s'engouffrant, dans le monde qu'était Halloween, avec Côme ouvrant la marche. Adrien et Alex regardèrent Agathe une seconde, puis partirent.

Tout se passait parfaitement, le tout étant digne d'un conte de fée.

-Des bonbons ou une farce, chantonna joyeusement Nathan, en véritable gamin.

Comme dans le plus grand des clichés, une vieille dame alla leur chercher des bonbons. Bonbons qu'ils mirent joyeusement dans leur sac, qui était déjà bien rempli.

-On assure ! s'exclama Nathan, on est les meilleurs !

-Tu l'as dit bouffi ! fit Côme en lui donnant une tape dans l'épaule.

-C'est surtout que vos costumes sont moins ridicules que l'année dernière, fit remarquer Adrien.

En y repensant, ils éclatèrent tous de rire. Alex ricana un moment, puis proposa :

-Et si on allait voir la cinglée qui te sert de sœur ? proposa Alex.

Ils éclatèrent une nouvelle fois de rire en pensant à cette perspective.



[…]



Agathe, devant un film d'horreur, « Les griffes de la nuit », bailla. Ce film était d'un ennui… Rien de très effrayant, juste quelques adolescents se faisant déchiqueter dans leurs rêves. Elle finit par laisser ses pensées vagabonder, jusqu'à fermer les yeux.

Puis elle entendit la sonnette de la porte, et se redressa brusquement, le cœur, pour une raison qu'elle -croyait- ignorer, battant. Elle se leva. Elle se dirigea doucement vers la porte. Et elle entendit :

-Sauve-moi…

Elle se raidit, se rappelant soudain de quelque chose. La porte se mit à trembler, la personne derrière tambourinait dessus. Prudemment elle s'approcha un peu.

-Sauve moi…

La porte s'ouvrit en grand.

-… De Freddy !

Devant elle, se tenait le personnage hideux du film qu'elle venait de voir. Freddy. Les griffes de la nuit. Il leva une de ses mains garnies de ses griffes démesurément longues. Elle ferma les yeux et hurla aussi fort qu'elle put en tenant sa tête entre ses mains.

Quand elle les rouvrit, elle se sentit rougir jusqu'au bout des oreilles. En effet, devant elle se tenait non Freddy, mais Guillaume, un des amis de son abruti de frère, qui la regardait, comme tous ses amis d'ailleurs, incrédule. Le moment de flottement passé, ils éclatèrent de rire.

-Et elle nous traite de chochotte après ça, ricanait Jules, qui était plié en deux.

-Nan, mais je vous ai pas sonnés les mômes !

Arrêtant totalement de rire, Adrien se tourna soudain vers elle, sa capuche ne laissant entrevoir que son œil droit. Et il dit le plus sérieusement du monde :

-Des bonbons ou une farce ?

-Hein ? Tu te fous de moi ?

-Non, je ne me fous pas de toi, je suis même très sérieux.

-J'ai l'air d'être un distributeur de bonbecs ? Du vent !

-Tu devrais faire attention à Halloween… Certaines farces sont moins agréables que d'autres…

-Ouais bien sur, c'est ça, c'est ça…, fit Agathe en claquant la porte, énervée. « Je déteste ce gosse, c'est un futur psychopathe, ce mec… »

Un cri la tira de ses pensées.

Elle se retourna, et se maudit d'avoir eu un réflexe aussi vif , en soupirant: elle devenait parano, ce n'était que le film qu'elle avait oublié de mettre en pause. Elle fronça les sourcils : elle était pourtant sure de l'avoir fait…

Elle envoya mentalement Jules et ses amis se faire foutre, eux, et leur fête débile. Pourtant quand elle repensait aux derniers mots qu'avaient prononcés Adrien, cela lui hérissait le poil, et, pour une raison qu'elle ignorait, avait une étrange sensation, plutôt désagréable. Elle soupira, et retomba dans son canapé. 20h34. Cela faisait maintenant plus d'une heure qu'ils étaient partis. Agathe alla dans la cuisine en quête d'un truc à grignoter.

[…]



Agathe regarda de nouveau l'heure, et vit qu'un truc clochait : il était 23h passé, et ils n'étaient pas rentrés, alors que d'ordinaire, ils ne rentraient que maximum aux alentours de 22h. Elle soupira une énième fois. Qu'est-ce qu'ils avaient encore fait ?

-Bon, je vais devoir aller les chercher, sinon je vais me faire engueuler, grommela-t-elle.

Elle se leva, alla chercher son manteau, ses clés, et sortit. Et elle se rendit compte que la nuit était vraiment noire. Elle nota aussi que la lune était absente.

-«Ils ont bien choisi leur nuit, rumina-t-elle intérieurement. Bon, où est-ce que je pourrais chercher… »

Elle fit rapidement le tour du pâté de maison, puis se rappela d'un endroit.

-N'allez pas me dire qu'ils sont là-bas, marmonna-t-elle, plus pour elle-même que pour un éventuel interlocuteur.

Après quelques minutes de marches, elle atteignit l'endroit : il s'agissait d'une vieille bâtisse leur servant occasionnellement de repère, qui était assez lugubre. Elle s'avança et constata que la porte d'entrée était fermée.

-« Qu'est-ce que c'est encore que ce délire ? »

Elle décida donc de passer par la porte de derrière, qui était relativement bien cachée. Après quelques minutes de marche, elle arriva dans la salle principale, qui se situait juste devant l'entrée principale. Sur une table, elle distingua deux feuilles blanches. Surement des messages… Agathe s'en approcha et les lut à haute voix :

-« Le coupable est humain. » Et la sec onde : « Qui est qui ? » Qu'est-ce que c'est encore que ces conneries ?

Elle pesta une énième fois contre son frère, et ses crétins d'amis, avant de distinguer une lettre, scellée avec un cachet dont un motif ressemblant à une aile d'aigle. Elle l'ouvrit. Et trouva une clé. Une clé qui ouvrait une des portes possédant une serrure. Pour autant qu'elle se souvenait, il y en avait six…

Elle monta au premier étage pour voir laquelle des chambres cette clé ouvrait.



-Mais c'est pas vrai, pourquoi cette %*x< de porte ne s'ouvre pas ?

Elle en essaya plusieurs de cette façon, et arriva finalement devant la dernière, celle qu'elle n'avait pas encore essayée, essoufflée.

-Ils sont chiants …

Elle passa la clé dans la serrure et tourna le tout.

Elle rentra dans la pièce, et vit le drap noir qui recouvrait Nathan. Curieusement, il y avait une drôle de bosse au niveau de son ventre…

Elle arriva près de lui, et constata qu'un truc n'allait pas. Nathan ne savait pas se tenir en place, chose franchement bizarre. Elle attrapa le drap et le tira d'un coup sec. Et poussa un énorme hurlement. Nathan était parfaitement normal, assis comme n'importe qui, sauf qu'il tenait sa tête entre ses mains, son visage reflétant l'expression d'un abruti fini. Et une clé, rattachée à une de ses dents, pendait. S'efforçant, en déglutissant, de ne pas hurler davantage, Agathe récupéra la clé et sortit à toute vitesse de la pièce, le cœur battant à 100km/h.



Puis elle regarda la clé qu'elle avait entre ses mains : elle ouvrait une autre pièce. Elle avait peur de commencer à comprendre ce que cela impliquait.

[…]

Après maints moments d'hésitation, elle tourna la clé dans la serrure. Et une fois de plus, elle hurla en constatant la scène : Guillaume, était pendu par les pieds, et avait un collier en argent, qui était rattaché à un boulet, lui aussi en argent. Le boulet n'avait pas arraché sa tête, mais avait largement suffi à l'étrangler. C'est sur sa fausse queue que la clé se trouvait.

-C'est… c'est… c'est horrible…

Elle renifla, ressentant soudain une indignation couplée à un sentiment de haine grandissant.

-Fils de pute… Je sais pas qui t'es, mais tu vas le sentir passer…

Elle saisit la clé, et d'un air déterminé, marcha vers la pièce suivante. Tout dans ce manoir lui semblait déjà horrible, maintenant, elle ne ressentait vis-à-vis de cet endroit qu'un profond dégout. Quand elle eu trouvé la pièce suivante, elle l'ouvrit d'un coup extrêmement sec. Et elle vit Côme, assit lui aussi nonchalamment sur une chaise.

-Hé ! Côme ! Il s'est passé quoi ici ? dit elle en se rapprochant à grands pas.

Ce calme… Elle avait peu que… en le voyant, elle fronça les sourcils et soupira. Lui, Côme, ce goinfre, avait l'estomac rempli de bonbons… Sauf que les bonbons étaient emballés, et visible, puisque son ventre avait été ouvert. Et on pouvait plus précisément dire que ses organes internes avaient étés remplacés par des bonbons.

-Quel monstre… Où est la clé suivante ?

Elle chercha la clé suivante en vain, avant de percuter, en voyant un objet légèrement brillant, où il était.

-Cet enfoiré a foutu la clé dans son ventre…

Elle prit une grande inspiration, et dit :

-Désolé, Côme, je prends juste un truc…

Après avoir farfouillé dans son ventre, non sans un profond dégout, elle récupéra la clé, puis ressortit.

Il ne restait actuellement que trois pièces. Son frère, Alex, et Adrien. Qui serait le suivant ? D'un coup, elle se mit à envisager que l'un des trois restants puisse être le coupable. Puis elle se gifla, c'était purement impossible…

Arrivée à la porte suivante, elle l'ouvrit avec appréhension. Sauf qu'elle ne trouva qu'un cercueil. Elle l'ouvrit, et marmonna :

-Là, au moins, c'est plus soft qu'avant… Ah non.

C'était simplement Alex, qui, les mains posés sur le cœur, reposait. Sauf que ses mains et son cœur étaient transpercés d'un crucifix. Et pour couronner le tout, deux aiguilles étaient plantées dans ses yeux.

Elle récupéra la clé, sur le crucifix, puis repartit en refermant le cercueil.

Il ne restait plus que deux pièces. Avec toujours autant de tension et d'appréhension, elle l'ouvrit d'un mouvement sec. La première chose qu'elle vit, ce fut en lettres capitales rouge sang écrit sur le mur :

« Tu ne m'as jamais aimé, grande sœur. »

Tout simplement horrifiée, elle se mit à hurler, et elle vit finalement le cadavre de son frère. Une entaille avait été faite au niveau de son cou, par laquelle on avait vidé tout son sang. Et on voyait à l'étrange manière dont il était disposé que tous ses os avaient été brisés. La clé était sur son cou.

Il ne restait au final qu'une pièce, avec une issue possible.

-Adrien…

Elle se rappela :

« -Tu devrais faire attention à Halloween… Certaines farces sont moins agréables que d'autres… »

-Adrien… Espèce de connaaaaard !!!!!!!!

Elle laissa son frère, et récupéra rageusement la clé, puis marcha rapidement vers la dernière pièce, et sans la moindre hésitation, l'ouvrit dans le plus grand fracas. Et elle croisa le regard de ce dernier. Sauf qu'il y avait, comme à chaque fois, un détail.



Son corps était entièrement recouvert de clous, fixé à deux mètres au dessus d'elle, profondément enfoncés sous la peau. Il y en avait cinq à chaque doigt, cinq à chaque poignet, et un sur chaque point vital. Sa capuche ne laissa voir que son œil droit, qui, quand bien même son propriétaire fut mort, la regardait de haut.

-Même mort, tu te fous encore de ma gueule, hein…

Puis elle nota quelque chose. Une clé. Elle ouvrit grand les yeux. Il n'était pas sensé avoir de double.



-Plus un geste !

Agathe se tourna brusquement, sur la défensive, puis se détendit en voyant un policier.

-Ah, vous tombez bien..

Il sortit un pistolet, et le pointa sur elle :

-Mains en l'air !

-Hein ?

-Mains en l'air, j'ai dis !

Elle s'exécuta, n'ayant pas d'autre choix…





Plusieurs heures plus tard…



-Pourquoi avoir tué ces gamins ? demanda le commissaire.

-Je ne les ai pas tués, je suis arrivée, et tout était comme ça !

-Va dire ça aux vidéos…

Et il montra, sur un poste vidéo, diverses vidéos, où elle effectuait les meurtres, méticuleusement, semblant par ailleurs prendre beaucoup de plaisir à sa tache…

-Hein ?

Le téléphone sonna, le commissaire décrocha :

-Hein ? Quoi ? oui… oui…

Puis il raccrocha. Et se tourna avec un grand sourire vers Agathe :

-D'après l'autopsie, ces gamins sont morts il y a plus de 48h. Donc tu ne peux pas dire que tu étais avec eux. Echec et mat.

-Mais… Mais ce sont des conneries ! Quelqu'un a inventé tout ça ! Ce sont des conneries !

Fin (ou pas)


Récit #2

la station
C'était une nuit sombre et brumeuse. Denise avait de la difficulté à rester éveillé et la route était trempé. Son niveau d'anxiété n'était pas pour aider car le niveau de la jauge d'essence commençait à être dangereusement bas et elle n'avait aucune idée d'où se trouvait la prochaine ville.

Finalement juste au moment ou elle allait arrêter la voiture pour la nuit et dormir sur le bord de la route, elle aperçut une petite station d'essence décrépie sur le bord de la route. Elle s'arrête à la station. Le commis fait le tour de la voiture et semble être très distrait pendant qu'elle lui demande de faire le plein, il continue à lui faire de drôle de grimaces et semble très bizarre. Il s'exécute enfin, mais lui demande d'ouvrir le capot, parce qu'il flaire quelques choses de suspect. Son anxiété recommence à grimper car elle se rend compte qu'elle est seule dans une petite station service crasseuse au milieu de nul part et que le commis trouve toutes sorte de bonne raison pour la garder ici...
Il lui demande de venir voir le moteur, il veut lui montrer quelques choses. Ne sachant pas trop quoi faire d'autre, elle fait ce qu'il lui dit, tout en se demandant pourquoi elle ne se met pas à crier. Aussitôt arrivée devant la voiture, il lui attrape le bras et lui dit :" Cette voiture a besoin d'une remorqueuse, vous devez venir avec moi dans le bureau !" Puis il lui met la main sur la bouche et l'entraîne de force a l'intérieur du bureau.

Elle commence à lui mordre la main. Une fois à l'intérieur, il la laisse partir et lui dit : "Il y a un homme couché sur le siège arrière de votre voiture !!!"
Mais la femme apeurée par en courant vers sa voiture et s'en vas a toute vitesse. Au bout de quelques minutes, regardent dans son rétroviseur, elle vit un homme avec un blouson à capuche et une hache dans la main sur la banquette arrière.

Et l'homme d'un mouvement de bras décapita Denise avec sa hache. Le cadavre de Denise fut retrouvé peut de jour après. La police arrêta le tueur en série des années plus tard.

Alors as - tu regardé sur la banquette arrière ?...


Récit #3

L'Auto-Stoppeuse

C'est l'histoire d'un gars qui vient de ramener sa copine à la maison... il est en moto et passe sur une route sinueuse près de St-Jérôme... dans un virage, il aperçoit une jeune femme en train de faire de l'auto-stop... il s'arrête et demande s'il peut la ramener chez elle... mais qu'elle va certainement avoir froid sur la moto. Le gars est galant et lui prête sa veste (c'est la fin de l'été et les nuit commence a devenir froide). Elle dit oui. il lui donne sa veste et le casque puis s'en va avec la jeune femme derrière lui bien accrochée. Le femme habite au début de St-Jérôme près de cette route... ils roulent environ 10 minutes.

Une fois arrivé chez elle (un petite maison au bord de la route)... elle lui rend le casque, le remercie et s'en va en courant. Mais elle oublie de lui rendre sa veste, lorsqu'il y pense, elle est déjà rentrée chez elle. Il est tard (3h du matin)... il décide de rentrer chez lui et il reviendra demain pour chercher sa veste chez la femme.

Le lendemain matin... il retourne chez la femme... il sonne à la porte et c'est un homme d'environ 50 ans qui répond, le gars lui raconte l'histoire et tout et tout... Et l'homme parait très très intrigué... elle fait un pas en arrière (il est presque affolé)... il répond au gars que c'est impossible ce qu'il dit, car sa fille est morte depuis trois ans, jour pour jour... elle est morte dans un effroyable

accident de moto sur la route au sud de St-Jérôme. Le gars n'en croit pas ses yeux et repart bouche bée sans rien dire...

Il avait pris en stop la fille au lieu même de l'accident qui l'avait tuée il y a trois ans...Pour en avoir le cœur net... il va au cimetière du village... en regardant le nom de famille sur la boîte au lettre... il espère retrouver plus facilement la pierre tombale de la fille...

Arrivé au cimetière, il regarde... un peu autour de lui... Il n'en croit pas ses yeux, il voit sa veste sur une pierre tombale... c'est bien sa veste... et elle est sur la pierre tombale de la fille qu'il avait pris en auto-stop !!!


Récit #4

Bienvenue au fast-food.


Dans une petite ville, il y avait un petit fast-food bien connu des
jeunes. Le propriétaire, qui avait un fils, lui avait offert le job
pendant l'été, même si son fils, Dereck, était paresseux. Dereck prit
le job avec plaisir.
Un bon samedi soir, étant donné la clientèle, le fast-food devait
rester ouvert plus longtemps que prévu. Le père de Dereck, puisqu'il
avait rendez-vous, ne peu continuer à superviser son fils, donc Dereck
avait la charge du resto a lui tout seul. Son père lui avait laissé
des frites dans la friteuse pour les gens qui lui en avait commandé.
Mais ce samedi il y avait une partie de hockey très captivante qui
passait à la télé du resto, et Dereck avait oublié de vérifier les
frites. Le téléphone sonne;

"Que puis-je faire pour vous?" répond Dereck.

"Surveillez vos frites!" dit une voix étrange.

puis 15 minutes plus tard Dereck n'avait toujours pas surveillé les
frites et quand Dereck ouvrit le levier pour surveiller ses frites il
aperçus LA TETE DE SON PERE !

et la voix étrange dit alors " Je vous avait bien dit de surveiller les frites "
Récit #5



Mon récit est sur histoire vraie, attention à vous cher lecteurs. Et désolé pour les fautes.

Je partais en soirée avec un amis, Axel , nous habitons tous les deux dans les montagnes qui entour Draguignan dans le sud de la France , un soir de 27 Juillet , nous sommes invités à participer à une soirée se déroulant plus bas chez Romain , qui avait la maison pour lui seul , je passe chercher Axel en voiture et nous descendons , lors de notre descente , sur le coté droit de la route ont aperçu une fille d’environ 27 ans qui faisait du stop avec une robe noir a point blanc , Axel me dit alors : « Arrête toi arrête toi ont va l’emmener ! » Alors je freinai brusquement et lui dit de monter, elle me remercia très poliment, je lui demande alors, « Bon alors, ou est ce que je te dépose ? » Elle me répondit : « Plus bas dans les montagnes j’ai une fête chez un amis ! » -« Ah bon ?! Ca tombe bien nous aussi ont part en soirée chez Romain ! » Elle réplica : « Que le monde est petit je me rends aussi chez lui pour ca petite soirée ! » Romain sympathisa avec elle durant la route, il apprit qu’elle s’appelait Romane et qu’elle avait 24 ans ! Arrivée chez Romain la soirée passe et Axel se rapproche de plus en plus de Romane ; ils devenaient très proche l’un de l’autre. Axel buvait du vin rouge tranquillement quand tout à coup il faisa tomber son verre sur la belle robe a point blanc de Romane, Romane en colère voulait rentrer chez elle tout de suite mais Axel lui proposa son manteau en cuire pour qu’elle est moins froid , fin de la soirée , il était environ 4 heures du mat je ramène Romane chez elle tranquillement , le lendemain , Axel qui dormait chez moi s’aperçu que Romane avait gardé ca veste en cuire avec toutes ces cartes et avec de l’argent , alors je lui ai dit qu’ont retournerais dans la journée la chercher chez Romane, nous prenons la voiture et commençons a sonner chez Romane quand une femme d’environ 50 ans sortie : « Qu’est ce que vous voulez ? » -« Bonjour Madame nous sommes des amis de Romane et nous venons chercher la veste en cuire que l’ont lui a prêté hier dans la soirée ! » -« Partez d’ici c’est impossible que ma fille est votre blouson ! » Moi et Axel croyaient que la vieille femme ne voulait pas nous rendre le manteau ! Alors Axel commença a hausser le ton ! « Madame faite descendre votre fille tout de suite ou j’appelle la police ! »
La femme d’un air asser triste disa : « Ma fille n’est plus la elle est décédée il y a un an tout juste plus bas dans la montagne ! » Axel et moi était très étonné et croyaient qu’elle nous mentais, alors l’ont lui demanda une preuve et elle nous dit : « Suivez-moi. » Elle nous emmena jusque la tombe de ca fille et la sur la tombe se trouvait.. Le blouson en cuire de Axel avec encore tout ses papiers dedans. Nous étions vraiment choqué de cela et nous demandâmes a la vieille femme comment ca fille était donc morte, elle nous disa qu’elle était morte dans un accident de voiture le 27 juillet 2011 au soir , nous demandâmes alors que portait elle , elle nous indiqua clairement que ca fille portait une robe noir a point blanc.
Je démissionna de mon travail car je devais passer par cette route donc je n’emprunta plus cette route jusque aujourd’hui.

D’après ce que je raconte la vous allez peut être rien ressentir ou peut être que je ne suis pas asser clair , mais vivez le et vous comprendrez.
Je ne sais pas si mon récite dépasse les 7000 ou les 15000 caractères et je m’en excuse , je tente quand même ma chance et vous l’envoie pour vous faire connaitre , mon histoire.


Récit #6


voici mon récit d'horreur,j'espère qu'il vous plaira:

par un matin humide et froid. Une jeune fille âgée d'une vingtaines d'années rentrait de chez sa mère. Il n'y avais juste qu'un pont a traversé et une petite route. Cette jeune fille se nommais Lady. Lady marchait pour rentrer chez son père. Il était environ 1h45 du matin, et il faisait noir et humide. l'air était frais, les nuages noir, et la lune toute petite. Lady était a présent sur le pont et marchait. En vérité, elle n'était pas seule...
Un homme l'observait d'une fenêtre qui était cassée et l'on n'y voyais que du noir. Lady avait passé le pont et était juste devant la maison de son père, prètte a prendre ses clés. Mais a un moment, elle entendit un bruit qui venait de derrière... Elle eu peur et n'osait pas se retourné, et pourtant elle se retournas, curieuse de savoir ce qui ce passait. Elle ne vu rien et se dit que c'était surement un chien qui passait par la. Mais elle aperçue soudain un grand homme vêtu de noir avec un couteau de cuisine a la main. Lady cria et tentait de se débattre
Mais l'homme était plus fort qu'elle et lui enfonça le couteau une cinquantaines de fois. Elle cria, hurla... et son père se leva, réveillé par un cri et descendit aussitôt. Il vu sa fille couchée par terre et pleura. Il appela la police, les pompiers et le samu. mais hélas quand le docteur était arrivé, il était trop tard. Lady était morte, poignardée d'une cinquantaines de coup de couteau...
 

DeletedUser25183

Guest
Ou-est ce qu'on peu lire le récits s'il vous plait? J'ai pas trouvé...
 

DeletedUser20600

Guest
ça doit vous être apparu, désolée de l'inconvénient!
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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