DeletedUser19116
Guest
Il était une fois sept frères et sœurs que la vie n'avait guère gâté. Fils et filles d'un roi et d'une reine bienveillant, ils avaient vue leurs parents se faire assassiner sous leurs yeux par leur cruel oncle.
Celui-ci avait depuis longtemps comme sombre dessein de prendre la place de son frère sur le trône, mais jusqu'à ce qu'il se montre sous sa vrai nature, personne n'avait put ne serait-ce qu'imaginer qu'il puisse commettre pareil chose.
Ayant déjà commis un crime crapuleux, un régicide et un fratricide, il ne voulut pas plus entacher sa réputation déjà souillé en commettant nombre d'infanticides.
Il ordonna donc, étant le nouveau roi, à deux de ses soldats d'emmener les sept frères et sœurs dans un pays lointain et de les abandonner en plein forêt, là où ils seraient à la merci des bêtes sauvages.
Il n'eut bientôt plus d'inquiétude à se sujet, pensant ses nièces et neveux dévorés par des loups.
Or, lors de leur voyage funeste, une honnête fée apparut, métamorphosée en aigle royale. De ses sers, l'oiseau de proie les pris, puis les conduisit aux abords d'un village.
Puis la fée leur dit : « Mes petits, ici-bas, vous mènerez pendant longtemps une existence difficile, car je ne puis faire autrement pour l'instant, mais, dans trois années, je reviendrais vous chercher »
Sur ces mots, l'aigle prit son envol.
C'est ainsi qu'ils furent adoptés par un vieux couple de paysans qui les utilisa comme main d’œuvre pour leurs champs.
Dès qu'ils en avait l'occasion, les fermiers battaient les enfants, prétextant qu'ils ne travaillaient pas assez vite ou assidûment. Pourtant, jamais les sept frères et sœurs n'aurait eut la folie de paresser quelques instants durant leur labeur.
Sales, le visage tuméfié et le corps maigre, ils furent bientôt le souffre douleur du village tout entier.
Ils subirent ces trois ans de supplice, attendant avec confiance et espérance le retour de la nymphe bienfaitrice.
C'est ainsi que, un jour, au bout de deux ans le cadet des sept frères et sœurs fit un songe curieux, envoyé par la fée elle-même.
Il le conta à sa fratrie :
« J'ai rêvé que, dans la forêt, les animaux jouaient joyeusement entre eux à l'ombre des grands arbres, et que le soleil y était radieux. Même le grand méchant loup s'amusait avec les écureuils et lapins à saute-mouton et un-deux-trois soleil ! Puis après, j'ai vu notre village, gris et triste. Il pleuvait et les gens se regardaient tous d'un air cruel tandis que d'autres se frappaient et s'insultaient. »
Bien que ce ne fut qu'un rêve, il n'en fallut pas plus pour que les sept frères et sœurs fassent leurs maigres bagages. Ils mirent leurs quelques affaires dans des tissus qu'ils découpèrent que leurs draps, puis la nuit tombée, ils s'enfuirent discrètement de la maison.
Le lendemain et même par la suite, on ne s'inquiéta nullement de leur disparition. Les paysans eurent tôt fait de renouveler leurs jeune main d’œuvre en utilisant d'autres orphelins.
Arrivés dans la forêt, les sept frères et sœurs se firent une promesse, celle que jamais ils ne se sépareraient.
Ils vécurent durant un an dans la forêt, se construisant un abris de feuilles et de branches, se nourrissant de plante et de fruits, n'étant pas habiles à la chasse, se fabriquant des armes en silex pour se défendre des loups et autres bêtes sauvages dangereuses. Nombre de fois ils tombèrent malade, soit à cause du froid, soit à cause des insectes colportant maintes maladies, soit de malnutrition...
Souvent ils allaient au bord de leur ancien village commettre quelques larcins, les jours de marché. Ils avaient conscience que voler était mal mais ils n'avaient guère le choix.
Les paysans ne toléraient pas que les enfants leur volent leurs ventes. Ils furent donc frappés et insultés. C'est ainsi qu'ils durent se réfugier au cœur de la forêt car les villageois, commençant à fouiller les abords de la forêt à la recherche de leur campement, détruisirent finalement avec cruauté la cabane des sept frères et sœurs, touts leurs affaires et leurs outils.
Ils n'avaient plus la force de construire d'autre endroit pour dormir et, comme l'hiver faisait rage dans la forêt, ils ne purent se nourrir. De plus, les bêtes devenaient affamées, c'est donc avoir effroi que les sept frères et sœurs passaient leurs nuits blanches. Cela fit bientôt un an que les enfants avaient quitté le village.
Ils furent bientôt à l'agonie et ne durent la vie qu'à la nymphe qui avait respecté sa promesse.
Elle les emmena dans la grotte de l'animal qu'on appelait Mère Ourse, qui hibernait, car c'était là la seule demeure de libre pour eux.
Elle réveilla ensuite les écureuils pour qu'ils partagent leur récoltes de glands avec les sept frères et sœurs. Se fut de mauvais cœur qu'ils obtempèrent, les yeux lourd de sommeil. C'est en bougonnant qu'ils ramenèrent une partie de leur récolte aux enfants, qui mourraient de faim.
En les voyant de cet état, les rongeurs furent pourtant pris d'une compassion soudaine.
Ils proposèrent à la nymphe de les héberger dans leurs arbres, mais bien sur c'était impossible!
Ils retournèrent alors avec dépit dans leur lit, tandis que le bruit de la venu des enfants dans la forêt commençaient à circuler dans la forêt, parmi les animaux qui ne dormaient pas.
Ils décidèrent de fêter cette venue à leur façon.
Les cerfs cassèrent des branches que les renards utilisèrent habilement pour ériger une balançoire, en utilisant des cordes qu'ils prirent aux villageois.
Utilisant le même matériaux, les hiboux l'accrochèrent à de hautes branches pour que les petits puissent s'amuser à escalader les arbres.
Celui-ci avait depuis longtemps comme sombre dessein de prendre la place de son frère sur le trône, mais jusqu'à ce qu'il se montre sous sa vrai nature, personne n'avait put ne serait-ce qu'imaginer qu'il puisse commettre pareil chose.
Ayant déjà commis un crime crapuleux, un régicide et un fratricide, il ne voulut pas plus entacher sa réputation déjà souillé en commettant nombre d'infanticides.
Il ordonna donc, étant le nouveau roi, à deux de ses soldats d'emmener les sept frères et sœurs dans un pays lointain et de les abandonner en plein forêt, là où ils seraient à la merci des bêtes sauvages.
Il n'eut bientôt plus d'inquiétude à se sujet, pensant ses nièces et neveux dévorés par des loups.
Or, lors de leur voyage funeste, une honnête fée apparut, métamorphosée en aigle royale. De ses sers, l'oiseau de proie les pris, puis les conduisit aux abords d'un village.
Puis la fée leur dit : « Mes petits, ici-bas, vous mènerez pendant longtemps une existence difficile, car je ne puis faire autrement pour l'instant, mais, dans trois années, je reviendrais vous chercher »
Sur ces mots, l'aigle prit son envol.
C'est ainsi qu'ils furent adoptés par un vieux couple de paysans qui les utilisa comme main d’œuvre pour leurs champs.
Dès qu'ils en avait l'occasion, les fermiers battaient les enfants, prétextant qu'ils ne travaillaient pas assez vite ou assidûment. Pourtant, jamais les sept frères et sœurs n'aurait eut la folie de paresser quelques instants durant leur labeur.
Sales, le visage tuméfié et le corps maigre, ils furent bientôt le souffre douleur du village tout entier.
Ils subirent ces trois ans de supplice, attendant avec confiance et espérance le retour de la nymphe bienfaitrice.
C'est ainsi que, un jour, au bout de deux ans le cadet des sept frères et sœurs fit un songe curieux, envoyé par la fée elle-même.
Il le conta à sa fratrie :
« J'ai rêvé que, dans la forêt, les animaux jouaient joyeusement entre eux à l'ombre des grands arbres, et que le soleil y était radieux. Même le grand méchant loup s'amusait avec les écureuils et lapins à saute-mouton et un-deux-trois soleil ! Puis après, j'ai vu notre village, gris et triste. Il pleuvait et les gens se regardaient tous d'un air cruel tandis que d'autres se frappaient et s'insultaient. »
Bien que ce ne fut qu'un rêve, il n'en fallut pas plus pour que les sept frères et sœurs fassent leurs maigres bagages. Ils mirent leurs quelques affaires dans des tissus qu'ils découpèrent que leurs draps, puis la nuit tombée, ils s'enfuirent discrètement de la maison.
Le lendemain et même par la suite, on ne s'inquiéta nullement de leur disparition. Les paysans eurent tôt fait de renouveler leurs jeune main d’œuvre en utilisant d'autres orphelins.
Arrivés dans la forêt, les sept frères et sœurs se firent une promesse, celle que jamais ils ne se sépareraient.
Ils vécurent durant un an dans la forêt, se construisant un abris de feuilles et de branches, se nourrissant de plante et de fruits, n'étant pas habiles à la chasse, se fabriquant des armes en silex pour se défendre des loups et autres bêtes sauvages dangereuses. Nombre de fois ils tombèrent malade, soit à cause du froid, soit à cause des insectes colportant maintes maladies, soit de malnutrition...
Souvent ils allaient au bord de leur ancien village commettre quelques larcins, les jours de marché. Ils avaient conscience que voler était mal mais ils n'avaient guère le choix.
Les paysans ne toléraient pas que les enfants leur volent leurs ventes. Ils furent donc frappés et insultés. C'est ainsi qu'ils durent se réfugier au cœur de la forêt car les villageois, commençant à fouiller les abords de la forêt à la recherche de leur campement, détruisirent finalement avec cruauté la cabane des sept frères et sœurs, touts leurs affaires et leurs outils.
Ils n'avaient plus la force de construire d'autre endroit pour dormir et, comme l'hiver faisait rage dans la forêt, ils ne purent se nourrir. De plus, les bêtes devenaient affamées, c'est donc avoir effroi que les sept frères et sœurs passaient leurs nuits blanches. Cela fit bientôt un an que les enfants avaient quitté le village.
Ils furent bientôt à l'agonie et ne durent la vie qu'à la nymphe qui avait respecté sa promesse.
Elle les emmena dans la grotte de l'animal qu'on appelait Mère Ourse, qui hibernait, car c'était là la seule demeure de libre pour eux.
Elle réveilla ensuite les écureuils pour qu'ils partagent leur récoltes de glands avec les sept frères et sœurs. Se fut de mauvais cœur qu'ils obtempèrent, les yeux lourd de sommeil. C'est en bougonnant qu'ils ramenèrent une partie de leur récolte aux enfants, qui mourraient de faim.
En les voyant de cet état, les rongeurs furent pourtant pris d'une compassion soudaine.
Ils proposèrent à la nymphe de les héberger dans leurs arbres, mais bien sur c'était impossible!
Ils retournèrent alors avec dépit dans leur lit, tandis que le bruit de la venu des enfants dans la forêt commençaient à circuler dans la forêt, parmi les animaux qui ne dormaient pas.
Ils décidèrent de fêter cette venue à leur façon.
Les cerfs cassèrent des branches que les renards utilisèrent habilement pour ériger une balançoire, en utilisant des cordes qu'ils prirent aux villageois.
Utilisant le même matériaux, les hiboux l'accrochèrent à de hautes branches pour que les petits puissent s'amuser à escalader les arbres.
Dernière édition par un modérateur: