Psycho

DeletedUser

Guest
Il était petit, il n'était pas grand. Il s'amusait souvent à en.... les passants. On le disait vilain, ou peut être fils du malin. On le moqua de son poids et de son énorme foie. On disait qu'il fut gros, ou peut être enveloppé. Il fut sans doute lourd sans pour autant s'y penser. Sa soeur d'une beauté, était une traînée. Des rumeurs passaient, elle se faisait fourrée. Le saint pieu des pieu sur lequel elle s'empallait, elle y tournoyait, elle s'y délectait, était racontée, ma foi gros ma foi grand, mais tout de même très élégant. Il faut dire que pour aimer, se faire en... il vaut mieux adorer, être dilaté.




/me reprend ses esprits.:confused:

Ah quand même!:D
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Ce n'est pas le genre de texte qui me passionne. Mais je l'ai lu, très fluide et dynamique. Bonne impression!
Par contre, je déteste absolument le dernier terme "dilaté" et ne le trouve pas à sa place ici!
 

DeletedUser

Guest
J'ai usé du terme "dilaté" afin que la phrase, particulièrement la fin, le bout du bout pénètre de façon sec dans l'intonation et casse le rythme avec le reste du texte.:D


Merci sinon des critiques, continuez n'hésitez pas à venir ici, continuez à poser vos critiques.:D
 

DeletedUser

Guest
OSEF des fautes, le talent c'est brut, futile les petites fofotes qui ne servent qu'à remarquer ceux qui ont le moins pour eux et qui déballent le peu de connaissances qu'ils ont pour essayer d'en tirer une gloire et de se faire remarquer comme le sage, l'intellectuel...un proverbe dit, "la culture c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale", mais cela signifie donc que plus l'intellect' est grand et les connaissances nombreuses, plus on doit se renfermer sur soi et se complaire dans le silence...Gandalf tu es une vrai mine de réflexions à toi seul.:D

A défaut d'être un gouffre d'intelligence, vide avec beaucoup d'écho...pas taper....:D
 
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DeletedUser331

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C'est surtout que les fautes empêchent une lecture fluide de ton texte ...
 

DeletedUser

Guest
C'est surtout que les fautes empêchent une lecture fluide de ton texte ...

Une lecture fluide? La fluidité de la lecture d'un texte de 4 lignes est obstruée par quelques fautes d'orthographes mineures?
Intéressant...donc pour toi la fluidité dépend de la perfection...tu es donc un perfectionniste?! Si perfection il y a fluidité il y a, mais dès lors qu'un évènement A vient rompre la perfection -on admet ici que cet évènement est le fait de faire la faute- alors cela annule le texte. Mais dans ce cas, le simple fait de me faire remarquer ma faute conduit au simple fait d'avouer la faute et ainsi valorisé l'erreur et donc ici la faille. Ce qui rend ta remarque imparfaite et de facto, il y a paradoxe. Si la lecture est fluide, alors qu'est ce qu'une lecture non fluide? Si la fluidité intervient dans la lecture, est ce par ce que les mots coulent dans ton esprit ou parce que la forme y est agréable. Si tu imagines que le texte ne comporte pas de fautes, alors du coup, la lecture devient fluide. Mais si la lecture devient fluide dans ton esprit en imaginant cela, le texte restera quand même non fluide car il conservera ces fautes, ce qui fera donc de toi le problème du texte et de sa lecture. Si le texte est non fluide, que tu y trouves une cause et que tu y fait abstraction, ta perception trouvera dans le texte la fluidité recherché mais elle n'y sera pas pour autant réelle...du coup, c'est ton esprit qui incapable de suivre la lecture, s'attarde à un détail et obstrue la fluidité. Mais un texte ne pouvant être fluide car n'étant pas un liquide, ton argument détruit, tu ne peux donc plus prêter à ce texte la qualification de lourd, à moins qu'en le qualificant ainsi cela permet de te détacher de ta responsabilité de lecteur et tu y trouveras ainsi le bouc émissaire tout trouvé du défaut de lecture qui t'amènes à poser la question futile de l'orthographe perfectionniste.






T'es une sacrée mine de réflexion gandalf...dommage que ton esprit simplet ne suive pas.:cool:
 

DeletedUser331

Guest
Les paragraphes aussi améliorent la fluidité de la lecture ...
Peut-être devrais-tu y penser.

Plus tu es perfectionniste, plus tu es talentueux.
 

DeletedUser

Guest
Mouais...c'est plus par une sorte de répulsions à aller dans le sens des commentaires et à écrire selon les exigences des autres que par réelle flemmardise que je fais pas de paragraphe...:D
J'y penserai pour mon prochain texte sadico-érotique.:D;)
 

DeletedUser9224

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Il était petit, il n'était pas grand. Il s'amusait souvent à en.... les passants. On le disait vilain, ou peut être fils du malin. On le moqua de son poids et de son énorme foie. On disait qu'il fut gros, ou peut être enveloppé. Il fut sans doute lourd sans pour autant s'y penser. Sa soeur d'une beauté, était une traînée. Des rumeurs passaient, elle se faisait fourrée. Le saint pieu des pieu sur lequel elle s'empallait, elle y tournoyait, elle s'y délectait, était racontée, ma foi gros ma foi grand, mais tout de même très élégant. Il faut dire que pour aimer, se faire en... il vaut mieux adorer, être dilaté.




/me reprend ses esprits.:confused:

Ah quand même!:D
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Sa c'est texte digne d'un PEDO x)
 

DeletedUser21753

Guest
J'ai adoré ton texte et je partage plus ou moins le même avis... bravo ;)
 

DeletedUser

Guest
Javou je me suis marré ! T'as le flow dans la peau ;)

Continu !!!!!

J'ai le flow dans la peau? Ah c'est quoi retirez le moi ah au secours...:eek:


...



Ma tentative d'humour vient d'échouer.:D


"Il était un curé, peu farouche qui portait des babouches. Ce curé, ma foi avait il une de ces foi, qu'il priait le seigneur, de lui accorder les fruits de son dur labeur. Le curé travaillait tellement tous les jours, qu'à peine le dimanche arrivait, il fut épuisé. Il alla donc au nef, non pas le nez mais bien le nef pour en dépuceler. La chorale terminait, les chansons de Jesus résonnait, et alors que les plus laids d'entre eux partaient, les plus beaux restaient, afin sans aucun doute, d'être abusés. Il faut croire que l'Eglise leur témoignait, un amour si profond qu'il fut violent. La violence chrétienne dans toute sa splendeur, de par les auspices d'une augure meilleure, il le prit par le coeur et le retourna par l'honneur. C'est que marcher éventré il faut être bien souple, le curé n'a pas lésiné, il l'a bien rentré. Ah ce curé, quelle fut démesuré, c'est que l'amour donné est assez bien membré."

Petit texte, l'Eglsie m'a bien inspiré.:D
 
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