Poèmes, pensées et lettres

  • Auteur de la discussion Inadin
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la danse de la nature​

Je dansais sur la beauté immortelle de la vie au charme dorée. L'éclat de l'amour semblant éclaircir le ciel argenté me faisait dériver sur le bateau de l'avenir. Je dansais, chantais, et je profitais de ce moment sur lequel les sentiments se mélangeaient. A droite, à gauche, le vent de l'amour me balayait, parfois en bas, parfait en haut, au sommet de la montagne du merveilleux. Les arbres se penchaient, les montagnes dansaient la valse de l'été, et moi, je regardais ce spectacle, les yeux émerveillés. Une à gauche, une à droite, et c'est la joie tout entière qui envahit le paysage flamboyant de beauté.

inadin.

A écouter avec cette musique : la valse d'amélie

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Je le vois dans ses yeux miroiretant la beauté, par sa splendeur inagalée. Son magnifique visage argenté me fait signe de le rejoindre, mais il est tard. Les fleurs commencent à s'agiter, le froid me glace. Je le vois, au loin, partir, espérant le revoir. Le chemin de la paix s'empreinte par celui de la guerre, tant d'hommes ont souffert. Pourtant, je le sais pertinement, il reviendra... Il reviendra.

Je la vois, seule, inquiète pour moi. Son regard est tellement beau, que je ne veux pas partir, moi soldat au berret d'amour. Le bâteau nous emmène, emporté par la mer. Son visage me rend triste, ses larmes coulent à flot, la mer n'est plus aussi belle sans elle. J'aimerais tant la rejoindre, j'aimerais tant me joindre à sa bouche, pour ensemble, découvrir l'amour.

Je le vois, encore plus loin, seul, glacé par le vent. Il est mon amour, il est ma raison d'être. La mer n'est plus aussi belle sans lui. Le bâteau les pousse, encore plus loin, et je me cache, pour éviter qu'il voit mes larmes. J'aimerais tant lui dire au revoir, j'aimerais tant le revoir !

Je la vois, de plus en plus flou, mon regard commence à se perdre dans cette immensité, et pourtant, je ne fixe qu'elle.
Je le vois, de plus en plus loin, je l'aperçois, parmis les siens.
Je la vois, je la regarde.
Je le vois, lui dis "prends garde".
Mon amour, tu me manqueras, tu es ma vie, ma raison de vivre.
Mon amour, tu me manqueras, tu es ma vie, ma raison de souffrir, pour un jour enfin te revoir.

Inadin.

http://www.youtube.com/watch?v=-zjdnsp1qja

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Un... deux... Je comptais chaque jour, chaque heure, chaque minute sur lesquelles je dérivais, pensant que la vie n'était qu'un immense champ de bataille. Les mots ne peuvent décrire de tels phénomènes, car c'est le sentiment qui l'emporte. Les mots ne sont que les vagues de l'océan et ne sont que les branches des arbres. Si après tout nous devions choisir entre la paix et la guerre, si nous devions choisir entre la richesse et la pauvreté, si nous devions choisir entre l'honneur et le déshonneur à travers les choix antérieurs, alors beaucoup d'êtres seraient l'humiliation de leur propre décision. Mais serions-nous les héros du combat, ou les héros de la paix ? Parce que rêver est le seul moyen de vivre dans un monde parfait, le rêve se termine et laisse place à la réalité. Mais si la réalité était le rêve, serions-nous condamné, puisque l'imperfection ne serait plus présente, puisque l'homme n'aurait plus à tenir un rôle sur ce monde ? Mais si le rêve était la réalité ? Alors nous devons penser, car c'est le seul moyen de rêver, tout en étant dans la réalité.

http://www.youtube.com/watch?v=m2d8nel_5eo
 
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