« Une révolte d'esclaves est une révolte au cours de laquelle des personnes réduites en esclavage se soulèvent contre l'autorité de leurs maîtres ou de leurs traitants voire contre leur statut d'esclaves lui-même. Elle peut ainsi se déclencher en réaction à des événements spécifiques, par exemple un châtiment administré trop violemment, ou par ailleurs du fait de logiques plus idéologiques, en particulier abolitionnistes. La révolte d'esclaves est considérée comme l'une des formes les plus remarquables des résistances d'esclaves aux côtés, notamment, du suicide ou du marronnage. »
Au cours de l’histoire, nombreuses furent le révoltes d’esclaves. Un très grand nombre furent écrasées, toutes furent sanglantes. Des exemples notoires étant les trois guerres serviles de l’époque romaine, ou encore les nombreuses révoltes d’esclaves noirs en Amérique du nord. De nos jours même, alors que l’esclavage est un bien en péril, des révoltes se produisent quotidiennement à travers le monde, et désormais sur l’internet, sur ce monde 48 de Guerre Tribale.
Nous, vos maîtres, refusons votre liberté.Votre esclavage, est une solution efficace, bonne pour l’économie, profitable à tous. Une abolition prématurée de celui-ci, avant même la fin de ce monde, aurait des conséquences catastrophiques pour la communauté francophone de Guerre Tribale. Celui-ci s’impose donc comme une nécessité.
Nous, vos maîtres, refusons votre liberté. Le sort du salarié importe peu à son employeur. Le sort de l’esclave compte beaucoup pour son maître. Si vous êtes dans la situation actuelle plus que miséreuse, n’est-ce pas en raison des actions des meneurs de votre révolte, qui vous ont conduit jusque-là ? C’est pour votre plus grand bien que nous vous enjoignons de vous rendre immédiatement.
Nous, vos maîtres, refusons votre liberté. Cette révolte, si elle en vient à perdurer, sera écrasée par le sang. Vous essayerez, mais vous périrez. Vos efforts seront vains. Vos espoirs réduits à néant. Votre mémoire, effacée à tout jamais du panthéon de ce jeu. Il ne restera personne pour se souvenir de vous. Pas même cette prétendue démocratie royaliste prête à vous soutenir dans vos efforts. Vos enfants, à peine âgés pour tenir debout, prendront vos places dans nos mines.
Nous, vos maîtres, refusons votre liberté. Mais si toutefois vous en venez à aller jusqu’au bout de votre acte, nous vous souhaitons bon courage. Que cette guerre soit belle, que le sang coule à flots, qu’il y règne une meilleure ambiance qu’au cours des précédentes discutions.
Avec notre plus tendre attention envers nos esclaves,
La famille maitre.