DeletedUser15555
Guest
Bonsoir,
Comme certains ont pu le lire ici, une nouvelle battle a été organisée. Au départ, il y avait 2 parcipitants provenant de notre forum, je suis allé en dégoter 3 autres sur le forum de FoE.
Je rappele le thème : faire un poème a partir d'un ou plusieurs des thémes suivant :
-La mort.
-Guerre tribale.
-Le coup de foudre amoureux.
Merci à nos deux participants tribaliens, Riririri et Nazith, et aux 3 Forgiens, Lady Dark, Loup Tenace et Meracle !
Voici les 5 textes :
Texte n°1 :
Texte n°2 :
Texte n°3 :
Texte n°4 :
Texte n°5 :
Et voici ce qu'il vous faut pour voter :
Encore un énorme merci à tout les participants ! Et merci aux futurs votant !
Résultats :
Premier texte, de Loup Tenace : 12.88
Deuxième texte, de Nazith : 10.22
Troisième texte, de Meracle : 12.77
Quatrième texte, de riririri : 14.22
Cinquième texte, de Lady Dark : 15.88
Comme certains ont pu le lire ici, une nouvelle battle a été organisée. Au départ, il y avait 2 parcipitants provenant de notre forum, je suis allé en dégoter 3 autres sur le forum de FoE.
Je rappele le thème : faire un poème a partir d'un ou plusieurs des thémes suivant :
-La mort.
-Guerre tribale.
-Le coup de foudre amoureux.
Merci à nos deux participants tribaliens, Riririri et Nazith, et aux 3 Forgiens, Lady Dark, Loup Tenace et Meracle !
Voici les 5 textes :
Texte n°1 :
Fin du cormoran
Sur une plage abandonnée,
d'un triste jour d'été,
un très vieux cormoran
contemple l'océan.
Sur ce sable fin,
le bel oiseau marin
semble être un corps mourant
près du vaste océan.
En ce lieu paisible,
immobile tel une cible,
le vieux cormoran
observe une dernière fois l'océan.
Seul sur cette plage,
ce prince des nuées et des rivages
est maintenant qu'un corps mourant
près de son royaume : l'océan.
Sur une plage abandonnée,
d'un triste jour d'été,
un très vieux cormoran
contemple l'océan.
Sur ce sable fin,
le bel oiseau marin
semble être un corps mourant
près du vaste océan.
En ce lieu paisible,
immobile tel une cible,
le vieux cormoran
observe une dernière fois l'océan.
Seul sur cette plage,
ce prince des nuées et des rivages
est maintenant qu'un corps mourant
près de son royaume : l'océan.
Texte n°2 :
Un chat pas ordinaire...
Je fus pris d’un frisson d’effroi,
Tel un courant froid,
Telle une crainte figée en moi…
Une créature monstrueuse était juste là!
Mais que dis-je! Ce n’était qu’un chat,
Le genre de chat qui miaule très fort,
Mais qui ne connaisse pas l’effort!
En m’approchant, je fus surpris de l’entendre parler,
Il m’a alors dit,
Je m’appelle cat, abruti!
Comme s’était mignon,
J’aurais aimé l’entendre plus parler, mais il était trop grognon!
Dire qu’on le surnommait le modérachieur.. ce pauvre chat de gouttière..
Surement était-il tout le temps à la litière!
Je fus pris d’un frisson d’effroi,
Tel un courant froid,
Telle une crainte figée en moi…
Une créature monstrueuse était juste là!
Mais que dis-je! Ce n’était qu’un chat,
Le genre de chat qui miaule très fort,
Mais qui ne connaisse pas l’effort!
En m’approchant, je fus surpris de l’entendre parler,
Il m’a alors dit,
Je m’appelle cat, abruti!
Comme s’était mignon,
J’aurais aimé l’entendre plus parler, mais il était trop grognon!
Dire qu’on le surnommait le modérachieur.. ce pauvre chat de gouttière..
Surement était-il tout le temps à la litière!
Texte n°3 :
La fin D'aspio.
Sur la ville d'Aspio le soleil naquit
Sans pour autant ne laisser présager
Un drame qui après toute la nuit
A l'insu de tous se préparait
Alors que tout les honorables citoyens
Des bras de Morphée s'extirpaient
Et reprenant leurs activités du quotidien
Aucun d'entre eux le danger ne pu déceler.
Car dans l'ombre la pression augmentait
Tant et si bien qu'elle devint critique
Et que le volcan ne tarda à se réveiller
Annonçant à tous à une mort tragique
Il ne fallu que très peu de temps
Pour que toute la ville fut balayée
D'une lave ainsi condamnant
Tous les habitants à être calcinés
Sur la ville d'Aspio le soleil naquit
Sans pour autant ne laisser présager
Un drame qui après toute la nuit
A l'insu de tous se préparait
Alors que tout les honorables citoyens
Des bras de Morphée s'extirpaient
Et reprenant leurs activités du quotidien
Aucun d'entre eux le danger ne pu déceler.
Car dans l'ombre la pression augmentait
Tant et si bien qu'elle devint critique
Et que le volcan ne tarda à se réveiller
Annonçant à tous à une mort tragique
Il ne fallu que très peu de temps
Pour que toute la ville fut balayée
D'une lave ainsi condamnant
Tous les habitants à être calcinés
Texte n°4 :
C'était très court, cela ne dura qu'un instant,
Un instant, qui pourtant, me paru bien trop lent.
Le sang glacé, tombant, lentement, hésitant,
Mon propre sang, quittant mon corps impudemment.
Je m'étais pourtant entraîné,
Je savais ce qui m'attendait,
Cet ennemi, bien remonté,
Cible facile, je croyais.
Maintenant, patiemment, j'attends encor', la mort,
Cette abomination, cette libération,
Est-ce une sorcellerie, ou est-ce mon sort ?
Une abomination, ou ma libération ?
Et quand je me suis approché,
J'ai ressenti ce grand danger.
Pourtant, confiant, j'y suis allé.
Mais peu après, j'ai regretté.
J'entends ces petits sons, et ces bruits de tambours,
Mes gouttes de sang, l'arrosant, puis le frappant.
Ce sol rouge, qui semble me jouer des tours,
M'incapacitant intellectuellement.
Un simple geste, une épée dégainée,
Et me voilà, sur un coup effréné,
Déjà vaincu, et la gorge tranchée,
Mes efforts inutiles, envolés.
Une route apparaît, formée par tout ce sang,
Et petit à petit, le rouge devient blanc.
Mon corps est interdit, mon âme est entraînée,
Cette séparation, vient me bouleversé.
Un instant, qui pourtant, me paru bien trop lent.
Le sang glacé, tombant, lentement, hésitant,
Mon propre sang, quittant mon corps impudemment.
Je m'étais pourtant entraîné,
Je savais ce qui m'attendait,
Cet ennemi, bien remonté,
Cible facile, je croyais.
Maintenant, patiemment, j'attends encor', la mort,
Cette abomination, cette libération,
Est-ce une sorcellerie, ou est-ce mon sort ?
Une abomination, ou ma libération ?
Et quand je me suis approché,
J'ai ressenti ce grand danger.
Pourtant, confiant, j'y suis allé.
Mais peu après, j'ai regretté.
J'entends ces petits sons, et ces bruits de tambours,
Mes gouttes de sang, l'arrosant, puis le frappant.
Ce sol rouge, qui semble me jouer des tours,
M'incapacitant intellectuellement.
Un simple geste, une épée dégainée,
Et me voilà, sur un coup effréné,
Déjà vaincu, et la gorge tranchée,
Mes efforts inutiles, envolés.
Une route apparaît, formée par tout ce sang,
Et petit à petit, le rouge devient blanc.
Mon corps est interdit, mon âme est entraînée,
Cette séparation, vient me bouleversé.
Texte n°5 :
Tes yeux sont des milliers d’étoiles
Qui reflètent mon cœur, pigmentent mon soleil
Mais aucun amour ne me fait plus horreur
Que celui que je porte à ton corps couché sous les toiles
La mer douce et bleutée me fait penser à toi
Et mon âme troublée s’enflamme, envolée vers l’azur
Quand ton regard charmeur se dirige vers moi
Je tremble sous tes mains, tendres visions impures
Vibration sous tes doigts et l’on ne fait plus qu’un
Caresse intime et vengeresse, cette saveur vivace qu’est le goût de la mort
Je reste sans voix, haine obscure pour le flou de ton corps
Je ne suis qu’un fantôme, oubliée sous les glauques embruns
Ma faiblesse s’éveille, et respire l’infini
J’en hale les saveurs de l’aube, affreux délice
Qui tiraille mon corps, fait de ma vie, supplice
Mes pleurs en sont gâchés, mon cœur en est terni
Succomberais-je un jour, à la vie monotone,
Sans qu’aucun des plaisirs n’en soit jamais la cause
Sans savoir le pourquoi que la raison nous prône
Pour qu’enfin tout l’amour ne ressorte qu’en prose
Que mes joies, que mes peines ne soient jamais de haine
Qu’elles transpercent enfin une vie pâle et sereine
Et goûter sans dédain aux envies de ce monde, palabres immortelles
Sans jamais me tourner vers ces hommes infidèles
Parfum enivrant qu’est le sien, odorat subtil de la vie
Et son corps passionnant me donne envie de survie
Futiles besoins de toi, vigueur trépassée au son libre de ta main
Je réclame ces baisers mais cela reste en vain
Brûlure incandescente, mon corps ne désire plus que toi
Je pourchasse ta vie, inoculant mes lois
La rime est évidente mais elle ne vit qu’en moi
Et dans mon corps sans vie ne reste que ta voix
Qui reflètent mon cœur, pigmentent mon soleil
Mais aucun amour ne me fait plus horreur
Que celui que je porte à ton corps couché sous les toiles
La mer douce et bleutée me fait penser à toi
Et mon âme troublée s’enflamme, envolée vers l’azur
Quand ton regard charmeur se dirige vers moi
Je tremble sous tes mains, tendres visions impures
Vibration sous tes doigts et l’on ne fait plus qu’un
Caresse intime et vengeresse, cette saveur vivace qu’est le goût de la mort
Je reste sans voix, haine obscure pour le flou de ton corps
Je ne suis qu’un fantôme, oubliée sous les glauques embruns
Ma faiblesse s’éveille, et respire l’infini
J’en hale les saveurs de l’aube, affreux délice
Qui tiraille mon corps, fait de ma vie, supplice
Mes pleurs en sont gâchés, mon cœur en est terni
Succomberais-je un jour, à la vie monotone,
Sans qu’aucun des plaisirs n’en soit jamais la cause
Sans savoir le pourquoi que la raison nous prône
Pour qu’enfin tout l’amour ne ressorte qu’en prose
Que mes joies, que mes peines ne soient jamais de haine
Qu’elles transpercent enfin une vie pâle et sereine
Et goûter sans dédain aux envies de ce monde, palabres immortelles
Sans jamais me tourner vers ces hommes infidèles
Parfum enivrant qu’est le sien, odorat subtil de la vie
Et son corps passionnant me donne envie de survie
Futiles besoins de toi, vigueur trépassée au son libre de ta main
Je réclame ces baisers mais cela reste en vain
Brûlure incandescente, mon corps ne désire plus que toi
Je pourchasse ta vie, inoculant mes lois
La rime est évidente mais elle ne vit qu’en moi
Et dans mon corps sans vie ne reste que ta voix
Et voici ce qu'il vous faut pour voter :
HTML:
[B][U]Poème 1[/U][/B]
Note : ** / 20
Commentaire :
[B][U]Poème 2[/U][/B]
Note : ** / 20
Commentaire :
[B][U]Poème 3[/U][/B]
Note : ** / 20
Commentaire :
[B][U]Poème 4[/U][/B]
Note : ** / 20
Commentaire :
[B][U]Poème 5[/U][/B]
Note : ** / 20
Commentaire :
Encore un énorme merci à tout les participants ! Et merci aux futurs votant !
Résultats :
Premier texte, de Loup Tenace : 12.88
Deuxième texte, de Nazith : 10.22
Troisième texte, de Meracle : 12.77
Quatrième texte, de riririri : 14.22
Cinquième texte, de Lady Dark : 15.88
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