DeletedUser
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Chercheur d’or, trouveur de trésor. Un écrivain qui cherche, un écrivain qui n’en est plus un. Les doigts qui défilaient sur le clavier au rythme de l’imagination, les yeux qui se déplaçaient de gauche à droite à une vitesse dépassant toute raison, tout cela n’est plus car il est en manque, en manque d’inspiration. Toi qui fait des merveilles quand tu te fais connaître, toi que j’admire, qui m’a fait naitre…
Ceci a été créé pour te retrouver : tu as disparu de mes pensées. Ecrivain qui cherche son chemin, qui cherche des conseils, qui la cherche, elle. Donnez-moi l’imagination, des sujets, des inventions, des commandes et des idées, qui sait, peut-être même, l’inspiration.
Bijour tout le monde ! Ecrivain à mes heures perdues, je viens ici pour que l’on me conseille un peu sur mes écrits, et aussi pour trouver un peu d’inspiration. En effet, je manque souvent d’inspiration ! C’est vrai qu’en ce moment j’ai quelques idées, quelques projets mais bon je n’en ai jamais assez alors si vous avez quelque chose à dire (ou à écrire) contactez-moi
J’attends avec impatience toutes les Battles et commandes que je peux réaliser et bien sur des critiques sur quelques œuvres que je vous montres ici (attention si je commente votre galerie, zêtes obligés de commenter la mienne).
Voilà merci et à bientôt, pour un nouveau jeu de mots
Neila, commandant de l’Armée et chef du Conseil, les regardait avec des yeux emplis de fierté et de crainte mélangées, alors qu’un vague sourire se dessinait sur son visage. Ils venaient, en tant que membres du Conseil, de mettre en action le plan d’une unité, ou plutôt d’un peuple entier.
Au-dessus de leurs têtes, le gros des vaisseaux survolaient la ville. Des vaisseaux étranges, conçus seulement pour remplir cette mission, tous identiques, tous démesurément grands - surtout l’immense arc de cercle à l’avant –. Des navires qui allaient, d’ici quelques instants, actionner leurs moteurs les plus puissants jamais créés pour atteindre la vitesse folle de Mach 440 000, ou autrement dit la moitié de la vitesse de la lumière. Cela aurait été impensable il y a plusieurs millénaires mais, après tout, leurs ingénieurs étaient les meilleurs. Ils avaient créé tout ce qu’il était possible d’imaginer. Ils avaient inventé des spationefs pouvant transporter des centaines de milliers d’entre eux alors que d’autres étaient longs de plusieurs kilomètres. Ils avaient conçus des armes si destructrices qu’elles n’étaient même pas destinées à servir – ou presque –. Ils avaient bâtis des métropoles gigantesques et pourtant autonomes, grâce au clonage pour la nourriture et à l’énergie infinie. L’énergie. Leur seul véritable problème. Ils en manquaient depuis des années, même en utilisant toutes les ressources à leur disposition : le vent, les étoiles, la pression, la chaleur… Mais il en fallait toujours plus, et cela ne suffisait plus.
Ils ne pouvaient pas vivre sans électricité. Les robots ne pourraient alors plus … Et tous savaient qu’ils n’auraient pu continuer sans ceux-ci. C’était leur dernière chance, un plan pour tous les sauver, et le prix n’était pas si élevé, après tout. Neila se dit dans un frisson que si cela ne réussissait pas, le monde qu’il connaissait cesserait d’exister. De toute manière, si quelque chose échouait dans cette campagne, ils mourraient tous… Et ils avaient besoin de cette puissance, coûte que coûte.
Neila regarda à travers la vitre du quartier général et sentit la tension qui envahissait la ville et ses habitants. Pourtant, aucun d’eux ne connaissait la mission qu’allaient remplir ces navires des airs. La plupart avaient pourtant remarqué l’arrêt progressif de l’industrie, le manque de nourriture, les pannes de plus en plus nombreuses… Et même s’ils ne se doutaient pas du considérable manque d’électricité, les plus perspicaces devinaient que cette expédition déciderait de leur survie. Tous fixaient donc l’horizon, en direction du lieu où avait disparu cette étrange flotte, dans l’attente et l’incompréhension.
La ville paraissait anormalement calme, pas de cris d’enfants, pas de voix mécaniques vantant les mérites de tel ou tel produit. Même le sous-sol de la ville devait être déserté, plongé dans un silence de mort – car c’était bien de cela qu’il était question -. Cela aurait pourtant dû être l’heure de pointe dans les voies de transport souterrain et aérien : la bousculade sur les quais, les vendeurs de journaux, le cliquetis continus des mécanismes, les nacelles en forme d’œufs se déplaçant à toute vitesse sous la ville... Et juste à côté, les usines. Longs alignements d’engins robotisés. Ils auraient dû tourner à plein régime : mettant en connexion tous les réseaux de la ville, gérant la circulation des embarcations, les apports en électricité, la communication et les échanges entre les cités, le clonage pour répondre aux besoins journaliers d’une population grandissante et, surtout, construisant de nouveaux automates pour en gérer à leur tour de nouveaux… Les androïdes en fabriquaient d’autres, et les géraient. C’était un cycle sans fin, nécessaire, mais qui pourrait les détruire s’ils n’obtenaient pas ce dont ils avaient besoin. Ils en étaient devenus trop dépendants.
A cette heure-ci, à l’autre bout de la galaxie, l’escadre devait être en train de se mettre en place, créant un large cercle fermé autour de l’équateur d’une planète si éloignée. C’était si simple à imaginer. Deux bombes, construites uniquement pour cette expédition, s’enfonçant profondément dans le sol au niveau de chaque pôle de ce globe, pour finalement exploser. Explosions qui créeraient ensuite une vague d’énergie incommensurable se propageant le long du manteau de l’astre, alors soumis à une tension interne gigantesque. Puis, deux vagues qui se dirigent l’une vers l’autre, qui se croisent et doublent la tension, pour finalement scinder un corps en deux, le long de l’équateur... Ainsi se créerait l’explosion tant attendue, et une chaleur impensable, qui aurait dû se diriger de tous côtés sur 360°, droit vers l’au-delà.
Cependant, c’était là que son peuple intervenait vraiment. Ils avaient besoin de cette énergie. La ceinture devrait alors en récupérer suffisamment. Il fallait pour cela en stocker une partie par antimatière mais aussi et surtout, alimenter de gigantesques turbines en circuit fermé qui pourraient eux-mêmes créer plus d’électricité qu’ils n’en consomment. Les circuits fermés. Il n’y avait tout d’abord pas cru, mais leur nécessité l’avait finalement convaincu. Même si pour cela il fallait générer une immense force initiale, et donc faire quelques sacrifices. Cela avait tout d’abord paru fou mais là était la solution, et ils n’avaient plus le choix… De toute façon, si cela échouait maintenant, si les bombes explosaient mais que le rayonnement émis était trop important, il désintègrerait la flotte, puis les atteindrait, et annihilerait toute trace de leur passage dans cet univers. C’était quitte ou double.
Soudain, tout se passa très vite. Un conseiller pointa du doigt l’horizon, où les vaisseaux s’en étaient allés. Un mince rayonnement fonçait droit sur la ville. Neila eu le réflexe de fermer les yeux pour ne pas être ébloui, ses sens alertes et ultradéveloppés. Mais il se rendit vite compte que la vague de chaleur était minime : le plan avait fonctionné. L’assemblée eut un soupir de soulagement, évacuant la tension qui raidissait les muscles : ils étaient en vie.
Neila se retourna alors vers le Conseil et ordonna de prévenir les populations qu’ils n’avaient plus à s’inquiéter, qu’ils n’avaient plus à craindre une vie laborieuse et douloureuse, qu’ils n’avaient plus à craindre de manquer d’électricité, tout simplement. Puis, il s’avança vers la carte interactive au centre de l’assemblée. Par la pensée, il trouva l’emplacement de la planète juste détruite et fit théâtralement une croix dessus, de sa main griffue. Pour la bonne cause, la Terre et son peuple n’étaient plus.
Bon je l'admets, c'est un peu nul mais comprenez-moi... C'était pour le lycée
En ce moment je suis sur un magnifique projet, amorcé par Père Treunsty donc dédicace au génie <3
Merci et en espérant vous avoir fait rêver (c'est un bien grand mot^^) avec mes écrits, en espérant vous avoir surpris et fait aimé la lecture ! Oui rien que ça !
Réceptif à tous les commentaires !
Ecrivains, commentez-mes textes et soyez-surs que je commenterai les votres du mieux que possible Et vice-versa bien sur
Tous droits Réservés. Oeuvres sous Licence de Paternité. Merci de me demander l'autorisation par MP pour utiliser ces textes
Ceci a été créé pour te retrouver : tu as disparu de mes pensées. Ecrivain qui cherche son chemin, qui cherche des conseils, qui la cherche, elle. Donnez-moi l’imagination, des sujets, des inventions, des commandes et des idées, qui sait, peut-être même, l’inspiration.
Bijour tout le monde ! Ecrivain à mes heures perdues, je viens ici pour que l’on me conseille un peu sur mes écrits, et aussi pour trouver un peu d’inspiration. En effet, je manque souvent d’inspiration ! C’est vrai qu’en ce moment j’ai quelques idées, quelques projets mais bon je n’en ai jamais assez alors si vous avez quelque chose à dire (ou à écrire) contactez-moi
J’attends avec impatience toutes les Battles et commandes que je peux réaliser et bien sur des critiques sur quelques œuvres que je vous montres ici (attention si je commente votre galerie, zêtes obligés de commenter la mienne).
Voilà merci et à bientôt, pour un nouveau jeu de mots
Elle était un monstre. Tout le monde le pensait, tout le monde le savait. Elle était laide, maudite. Son visage était crispé, ses yeux vides, ses cheveux avaient perdu de leur éclat d’antan… Qu’elle était fière auparavant de sa chevelure, de sa beauté tant enviée. Qu’elle était heureuse quand on la regardait, quand on la dévorait du regard ! Elle se souvenait encore de l’époque où elle se baladait dans les rues de Lybie, avec ses deux sœurs, quand elle était encore jeune et pure… Quand dans sa folie elle se laissait aborder par des hommes nettement plus vieux et leur faisait espérer des instants de passion qui n’arriveraient jamais. C’était le bon temps ! Et ce temps n’était plus le sien.
Elle se souvint dans un frisson du seul homme avec qui elle s’était « unie ». C’était un jeune homme magnifique qui l’avait charmé par son regard et son discours. Ils avaient discuté longuement et elle avait failli l’aimer. Puis, il lui proposa d’aller dans un temple, voulant lui montrer le lieu où il disait se recueillir. Elle accepta avec joie cette demande, n’étant même pas surprise. Après tout, de son temps, qui ne vénérait pas les Dieux ? Ils se mirent alors en marche, tandis qu’elle se demandait quel Dieu pouvait bien adorer ce genre d’homme. Apollon ? Peut-être même Zeus ? Elle se disait dans un sourire qu’il ressemblait aux statues de Poséidon… Mais quelle ne fut pas sa surprise quand ils allèrent au temple d’Athéna. Déesse impérieuse, Déesse victorieuse. On disait aussi que c’était une Déesse vierge… Et c’est ici qu’il l’avait violé.
Ses cheveux se hérissèrent, comme possédés. Ils avaient profané le temple de la plus pure des Déesses. Il avait commis le crime le plus odieux qu’il est possible de faire à une femme. Et la Déesse n’avait rien compris. On ne sait comment, elle avait simplement senti la présence de deux êtres qui s’unissent et avait détourné le regard de cet affront. Malgré son innocence, malgré ses peurs et ses louanges, malgré ses tourments. La Déesse n’avait rien compris, et elle l’avait maudit.
Depuis elle vivait seule, exclue, bannie. Maudite, elle ne pouvait rien faire d’autre qu’attendre la mort. Elle avait tenté d’expliquer son innocence, de convaincre qu’elle n’était qu’une victime, qu’ils n’avaient pas à avoir peur d’elle… Elle avait tenté de leur montrer, de leur prouver. Mais que pouvait-elle dire d’autre que la vérité. Et la vérité n’avait convaincue personne. Elle avait tenté d’expliquer cela à certains sages de la ville. Elle voulait capter leur regard pour qu’ils voient la tristesse dans ses yeux. Elle avait tenté de les regarder les yeux dans les yeux pour leur dire cette simple phrase : « Je suis innocente ». Elle était allée les voir, les uns après les autres, eux aussi étaient seuls, dans leur infinie sagesse, et auraient pu comprendre. Mais à chaque fois, ils ne voyaient en elle qu’un monstre, ils restaient pétrifiés par ce qu’ils voyaient et, ils ne parlaient plus jamais.
Cela faisait si longtemps que tout cela avait commencé. Et rien n’avait changé. Bannie de son village, bannie par ses proches, bannie de son peuple et méprisée de tous. Elle était maintenant exilée. Désormais elle vivait dans un palais qui avait été autrefois abandonné. Elle s’y était réfugiée, seule et avec pour seul compagnon, sa passion : la sculpture. Elle n’était pas très douée pour les Arts mais un certain talent était né après sa malédiction, ce qui était en même temps un don. Elle savait comme personne créer des expressions de terreur sur ses statues, retransmettre en pierre les sentiments, les émotions des personnes qui l’avaient visité… Et qui n’étaient jamais reparties. Elle était en quelque sorte devenue une artiste, une artiste unique.
Elle fut soudain interrompue dans ses réflexions par un mouvement sur sa gauche. Il y avait quelqu’un, caché dans la pénombre. Il était entré dans son palais. Il la cherchait. Elle savait qu’il voulait la tuer, comme tous ceux qui étaient venus avant lui… Mais elle fit semblant de ne pas l’avoir remarqué. Quelques minutes s’écoulèrent, puis il attaqua. Alors elle se leva d’un bond et le regarda, ce héros qui voulait tuer l’innocente qu’elle était. Une innocente qui ne demandait qu’à être pardonnée, comprise. Elle voulut lui montrer son tourment mais il leva son épée et s’approcha encore un peu plus. Elle le regarda alors, les yeux dans les yeux. Alors, elle le mit au défi, même après avoir lu l’innocence de son regard, de lui ôter la vie. Mais il fut pétrifié par ce qu’il vit, devenant une œuvre parmi tant d’autres…
Elle se souvint dans un frisson du seul homme avec qui elle s’était « unie ». C’était un jeune homme magnifique qui l’avait charmé par son regard et son discours. Ils avaient discuté longuement et elle avait failli l’aimer. Puis, il lui proposa d’aller dans un temple, voulant lui montrer le lieu où il disait se recueillir. Elle accepta avec joie cette demande, n’étant même pas surprise. Après tout, de son temps, qui ne vénérait pas les Dieux ? Ils se mirent alors en marche, tandis qu’elle se demandait quel Dieu pouvait bien adorer ce genre d’homme. Apollon ? Peut-être même Zeus ? Elle se disait dans un sourire qu’il ressemblait aux statues de Poséidon… Mais quelle ne fut pas sa surprise quand ils allèrent au temple d’Athéna. Déesse impérieuse, Déesse victorieuse. On disait aussi que c’était une Déesse vierge… Et c’est ici qu’il l’avait violé.
Ses cheveux se hérissèrent, comme possédés. Ils avaient profané le temple de la plus pure des Déesses. Il avait commis le crime le plus odieux qu’il est possible de faire à une femme. Et la Déesse n’avait rien compris. On ne sait comment, elle avait simplement senti la présence de deux êtres qui s’unissent et avait détourné le regard de cet affront. Malgré son innocence, malgré ses peurs et ses louanges, malgré ses tourments. La Déesse n’avait rien compris, et elle l’avait maudit.
Depuis elle vivait seule, exclue, bannie. Maudite, elle ne pouvait rien faire d’autre qu’attendre la mort. Elle avait tenté d’expliquer son innocence, de convaincre qu’elle n’était qu’une victime, qu’ils n’avaient pas à avoir peur d’elle… Elle avait tenté de leur montrer, de leur prouver. Mais que pouvait-elle dire d’autre que la vérité. Et la vérité n’avait convaincue personne. Elle avait tenté d’expliquer cela à certains sages de la ville. Elle voulait capter leur regard pour qu’ils voient la tristesse dans ses yeux. Elle avait tenté de les regarder les yeux dans les yeux pour leur dire cette simple phrase : « Je suis innocente ». Elle était allée les voir, les uns après les autres, eux aussi étaient seuls, dans leur infinie sagesse, et auraient pu comprendre. Mais à chaque fois, ils ne voyaient en elle qu’un monstre, ils restaient pétrifiés par ce qu’ils voyaient et, ils ne parlaient plus jamais.
Cela faisait si longtemps que tout cela avait commencé. Et rien n’avait changé. Bannie de son village, bannie par ses proches, bannie de son peuple et méprisée de tous. Elle était maintenant exilée. Désormais elle vivait dans un palais qui avait été autrefois abandonné. Elle s’y était réfugiée, seule et avec pour seul compagnon, sa passion : la sculpture. Elle n’était pas très douée pour les Arts mais un certain talent était né après sa malédiction, ce qui était en même temps un don. Elle savait comme personne créer des expressions de terreur sur ses statues, retransmettre en pierre les sentiments, les émotions des personnes qui l’avaient visité… Et qui n’étaient jamais reparties. Elle était en quelque sorte devenue une artiste, une artiste unique.
Elle fut soudain interrompue dans ses réflexions par un mouvement sur sa gauche. Il y avait quelqu’un, caché dans la pénombre. Il était entré dans son palais. Il la cherchait. Elle savait qu’il voulait la tuer, comme tous ceux qui étaient venus avant lui… Mais elle fit semblant de ne pas l’avoir remarqué. Quelques minutes s’écoulèrent, puis il attaqua. Alors elle se leva d’un bond et le regarda, ce héros qui voulait tuer l’innocente qu’elle était. Une innocente qui ne demandait qu’à être pardonnée, comprise. Elle voulut lui montrer son tourment mais il leva son épée et s’approcha encore un peu plus. Elle le regarda alors, les yeux dans les yeux. Alors, elle le mit au défi, même après avoir lu l’innocence de son regard, de lui ôter la vie. Mais il fut pétrifié par ce qu’il vit, devenant une œuvre parmi tant d’autres…
L’énergie du désespoir
Neila, commandant de l’Armée et chef du Conseil, les regardait avec des yeux emplis de fierté et de crainte mélangées, alors qu’un vague sourire se dessinait sur son visage. Ils venaient, en tant que membres du Conseil, de mettre en action le plan d’une unité, ou plutôt d’un peuple entier.
Au-dessus de leurs têtes, le gros des vaisseaux survolaient la ville. Des vaisseaux étranges, conçus seulement pour remplir cette mission, tous identiques, tous démesurément grands - surtout l’immense arc de cercle à l’avant –. Des navires qui allaient, d’ici quelques instants, actionner leurs moteurs les plus puissants jamais créés pour atteindre la vitesse folle de Mach 440 000, ou autrement dit la moitié de la vitesse de la lumière. Cela aurait été impensable il y a plusieurs millénaires mais, après tout, leurs ingénieurs étaient les meilleurs. Ils avaient créé tout ce qu’il était possible d’imaginer. Ils avaient inventé des spationefs pouvant transporter des centaines de milliers d’entre eux alors que d’autres étaient longs de plusieurs kilomètres. Ils avaient conçus des armes si destructrices qu’elles n’étaient même pas destinées à servir – ou presque –. Ils avaient bâtis des métropoles gigantesques et pourtant autonomes, grâce au clonage pour la nourriture et à l’énergie infinie. L’énergie. Leur seul véritable problème. Ils en manquaient depuis des années, même en utilisant toutes les ressources à leur disposition : le vent, les étoiles, la pression, la chaleur… Mais il en fallait toujours plus, et cela ne suffisait plus.
Ils ne pouvaient pas vivre sans électricité. Les robots ne pourraient alors plus … Et tous savaient qu’ils n’auraient pu continuer sans ceux-ci. C’était leur dernière chance, un plan pour tous les sauver, et le prix n’était pas si élevé, après tout. Neila se dit dans un frisson que si cela ne réussissait pas, le monde qu’il connaissait cesserait d’exister. De toute manière, si quelque chose échouait dans cette campagne, ils mourraient tous… Et ils avaient besoin de cette puissance, coûte que coûte.
Neila regarda à travers la vitre du quartier général et sentit la tension qui envahissait la ville et ses habitants. Pourtant, aucun d’eux ne connaissait la mission qu’allaient remplir ces navires des airs. La plupart avaient pourtant remarqué l’arrêt progressif de l’industrie, le manque de nourriture, les pannes de plus en plus nombreuses… Et même s’ils ne se doutaient pas du considérable manque d’électricité, les plus perspicaces devinaient que cette expédition déciderait de leur survie. Tous fixaient donc l’horizon, en direction du lieu où avait disparu cette étrange flotte, dans l’attente et l’incompréhension.
La ville paraissait anormalement calme, pas de cris d’enfants, pas de voix mécaniques vantant les mérites de tel ou tel produit. Même le sous-sol de la ville devait être déserté, plongé dans un silence de mort – car c’était bien de cela qu’il était question -. Cela aurait pourtant dû être l’heure de pointe dans les voies de transport souterrain et aérien : la bousculade sur les quais, les vendeurs de journaux, le cliquetis continus des mécanismes, les nacelles en forme d’œufs se déplaçant à toute vitesse sous la ville... Et juste à côté, les usines. Longs alignements d’engins robotisés. Ils auraient dû tourner à plein régime : mettant en connexion tous les réseaux de la ville, gérant la circulation des embarcations, les apports en électricité, la communication et les échanges entre les cités, le clonage pour répondre aux besoins journaliers d’une population grandissante et, surtout, construisant de nouveaux automates pour en gérer à leur tour de nouveaux… Les androïdes en fabriquaient d’autres, et les géraient. C’était un cycle sans fin, nécessaire, mais qui pourrait les détruire s’ils n’obtenaient pas ce dont ils avaient besoin. Ils en étaient devenus trop dépendants.
A cette heure-ci, à l’autre bout de la galaxie, l’escadre devait être en train de se mettre en place, créant un large cercle fermé autour de l’équateur d’une planète si éloignée. C’était si simple à imaginer. Deux bombes, construites uniquement pour cette expédition, s’enfonçant profondément dans le sol au niveau de chaque pôle de ce globe, pour finalement exploser. Explosions qui créeraient ensuite une vague d’énergie incommensurable se propageant le long du manteau de l’astre, alors soumis à une tension interne gigantesque. Puis, deux vagues qui se dirigent l’une vers l’autre, qui se croisent et doublent la tension, pour finalement scinder un corps en deux, le long de l’équateur... Ainsi se créerait l’explosion tant attendue, et une chaleur impensable, qui aurait dû se diriger de tous côtés sur 360°, droit vers l’au-delà.
Cependant, c’était là que son peuple intervenait vraiment. Ils avaient besoin de cette énergie. La ceinture devrait alors en récupérer suffisamment. Il fallait pour cela en stocker une partie par antimatière mais aussi et surtout, alimenter de gigantesques turbines en circuit fermé qui pourraient eux-mêmes créer plus d’électricité qu’ils n’en consomment. Les circuits fermés. Il n’y avait tout d’abord pas cru, mais leur nécessité l’avait finalement convaincu. Même si pour cela il fallait générer une immense force initiale, et donc faire quelques sacrifices. Cela avait tout d’abord paru fou mais là était la solution, et ils n’avaient plus le choix… De toute façon, si cela échouait maintenant, si les bombes explosaient mais que le rayonnement émis était trop important, il désintègrerait la flotte, puis les atteindrait, et annihilerait toute trace de leur passage dans cet univers. C’était quitte ou double.
Soudain, tout se passa très vite. Un conseiller pointa du doigt l’horizon, où les vaisseaux s’en étaient allés. Un mince rayonnement fonçait droit sur la ville. Neila eu le réflexe de fermer les yeux pour ne pas être ébloui, ses sens alertes et ultradéveloppés. Mais il se rendit vite compte que la vague de chaleur était minime : le plan avait fonctionné. L’assemblée eut un soupir de soulagement, évacuant la tension qui raidissait les muscles : ils étaient en vie.
Neila se retourna alors vers le Conseil et ordonna de prévenir les populations qu’ils n’avaient plus à s’inquiéter, qu’ils n’avaient plus à craindre une vie laborieuse et douloureuse, qu’ils n’avaient plus à craindre de manquer d’électricité, tout simplement. Puis, il s’avança vers la carte interactive au centre de l’assemblée. Par la pensée, il trouva l’emplacement de la planète juste détruite et fit théâtralement une croix dessus, de sa main griffue. Pour la bonne cause, la Terre et son peuple n’étaient plus.
En sept jours, Dieu créa la Terre, l’Eau, le Feu, la Vie… En un jour, NameriF écrivit cette histoire. En quatre ans, les Etats-Unis se sont désunis pour finalement abolir l’esclavage et devenir plus forts que jamais. En dix ans, la planète Elcyc effectue huit révolutions autour de l'étoile Eyol. Dix petites années, c'est le temps qui passe entre un alignement et l'autre. L'alignement entre les 2 planètes autour d'Eyol et de leurs lunes respectives. Un alignement sacré, extraordinaire, magnifique et époustouflant, comme diraient les témoins de cet évènement. Mais il n'y en avait plus un...
Trois ans après leurs pontes, les œufs ont enfin éclos. Ils étaient des milliers, des dizaines de milliers. Tous synchronisés, tous justes nés, tous connectés. Ils étaient liés par le destin, liés par la naissance. Ils faisaient partie de la race élue : les Sinnab. Un peuple fier, assoiffé de connaissance, un grand peuple. Le savoir était tellement important pour eux qu’ils le transmettaient à l’ADN des œufs, juste après leur ponte. Pour qu’il ne soit jamais perdu. Ils n’avaient pourtant pas l’air malins, avec leurs huit tentacules qui permettaient de se déplacer partout, même dans les petites fougères. Ces fougères qui paraissaient être aussi jeunes qu'eux.
C'était un habitat qui leur convenait parfaitement. Ils n'avaient pas de prédateurs, il n'y en avait aucun sur Elcyc. Et puis, qui aurait osé s'attaquer aux Sinnab ? Cet étrange peuple d’immenses araignées. Et puis ils possédaient le meilleur moyen de défense, ou d’attaque, possible. Ils étaient liés télépathiquement, dès leur naissance, à un réseau dont chaque membre faisait partie. Un réseau qui leur aurait permis de créer, de se défendre, de comprendre. Comprendre. Tel était leur but. Dès leur arrivée en ce monde, ils ont regardé le ciel et la terre. Ils ont tout d'abord levé les yeux vers l'étoile qui les éclaire, vers les lunes qui apparaissent quotidiennement, vers les autres planètes... Ils ont alors compris que l’infini les attendait.
Ils ont ensuite baissé les yeux vers le monde qui les entourait. Ils ont remarqué les bâtiments où ils étaient nés, la terre où ils avaient vécus. C'était étrange, fascinant, mais incompréhensible. La terre paraissait jeune, trop jeune, presque labourée. La végétation était juste levée, peu évoluée. Et les bâtiments, ces bâtiments fantastiques qui les avaient vus grandir étaient en ruine. Et c'était incompréhensible. Une attaque? Pourquoi eux seraient-ils encore là, dans ce cas. Un cataclysme ? Peu probable. Un suicide collectif de ses aïeux? Possible. Après tout, peut-être avaient-ils atteint la connaissance ultime, un savoir infini. Ils avaient alors compris qu'il fallait donner la chance à leurs enfants de connaitre ce même moment. Et il n’y avait pour cela qu’une seule solution. Sinon, qu'auraient pu faire leurs enfants, si tout avait déjà été compris ? Rien. Là était le but de leurs vies. Rien ne comptait plus au monde.
Alors ils se mirent à rénover ces constructions, à apprendre à en bâtir de nouvelles, et ils vécurent ainsi pendant sept ans, avançant très lentement. Assoiffés de savoir, et de pouvoir…
Puis, un jour, ce qui devait arriver arriva. Ils avaient atteint des progrès inouïs, ils avaient réussi à comprendre leur planète, leur galaxie... Ils avaient même pondu, depuis quelques jours, dans les mêmes bâtiments où ils étaient nés. Ils avaient regardé le ciel, attendant que les œufs éclosent pour faire autre chose, aller plus loin. Mais il manquait quelque chose. Alors ils commencèrent à transmettre leur savoir aux œufs, cela prendrait des années, peut-être même jusqu’à l’éclosion !
Mais, concentrés qu’ils étaient, ils ne virent pas le danger arriver. Un jour, cependant, il y eut du vent, beaucoup de vent. Des vents infernaux. Des tornades tourbillonnèrent, des cyclones se formèrent. Ils remontèrent alors à toute vitesse des souterrains et virent un spectacle qui leur en boucha les tentacules !
Captant chaque moment de cet évènement. L'analysant, le comprenant, l'admirant. Connectant entre eux un immense réseau télépathique. Ils entrèrent en transe et oublièrent les dangers qui les entouraient, bouche bée devant l’alignement auquel ils assistaient.
Mais les Lunes avaient changé quelque chose. Quelque chose de… Physique. Et ce fut un massacre. Tour à tour, ils furent emportés par les vents, aplatis par des arbres, écrasés par des rochers... Et il n'y eut aucun survivant.
Au fin fond d'un bâtiment sous-terrain, pourtant, il y avait quelque chose, une lueur d'espoir. Des œufs, par milliers, couvaient et patientaient... Cependant, aucun savoir n’avait pu être transmis, « les données n’avaient pas été sauvegardées. La donne restait inchangée. Le cycle d'Elcyc recommençait.
Trois ans après leurs pontes, les œufs ont enfin éclos. Ils étaient des milliers, des dizaines de milliers. Tous synchronisés, tous justes nés, tous connectés. Ils étaient liés par le destin, liés par la naissance. Ils faisaient partie de la race élue : les Sinnab. Un peuple fier, assoiffé de connaissance, un grand peuple. Le savoir était tellement important pour eux qu’ils le transmettaient à l’ADN des œufs, juste après leur ponte. Pour qu’il ne soit jamais perdu. Ils n’avaient pourtant pas l’air malins, avec leurs huit tentacules qui permettaient de se déplacer partout, même dans les petites fougères. Ces fougères qui paraissaient être aussi jeunes qu'eux.
C'était un habitat qui leur convenait parfaitement. Ils n'avaient pas de prédateurs, il n'y en avait aucun sur Elcyc. Et puis, qui aurait osé s'attaquer aux Sinnab ? Cet étrange peuple d’immenses araignées. Et puis ils possédaient le meilleur moyen de défense, ou d’attaque, possible. Ils étaient liés télépathiquement, dès leur naissance, à un réseau dont chaque membre faisait partie. Un réseau qui leur aurait permis de créer, de se défendre, de comprendre. Comprendre. Tel était leur but. Dès leur arrivée en ce monde, ils ont regardé le ciel et la terre. Ils ont tout d'abord levé les yeux vers l'étoile qui les éclaire, vers les lunes qui apparaissent quotidiennement, vers les autres planètes... Ils ont alors compris que l’infini les attendait.
Ils ont ensuite baissé les yeux vers le monde qui les entourait. Ils ont remarqué les bâtiments où ils étaient nés, la terre où ils avaient vécus. C'était étrange, fascinant, mais incompréhensible. La terre paraissait jeune, trop jeune, presque labourée. La végétation était juste levée, peu évoluée. Et les bâtiments, ces bâtiments fantastiques qui les avaient vus grandir étaient en ruine. Et c'était incompréhensible. Une attaque? Pourquoi eux seraient-ils encore là, dans ce cas. Un cataclysme ? Peu probable. Un suicide collectif de ses aïeux? Possible. Après tout, peut-être avaient-ils atteint la connaissance ultime, un savoir infini. Ils avaient alors compris qu'il fallait donner la chance à leurs enfants de connaitre ce même moment. Et il n’y avait pour cela qu’une seule solution. Sinon, qu'auraient pu faire leurs enfants, si tout avait déjà été compris ? Rien. Là était le but de leurs vies. Rien ne comptait plus au monde.
Alors ils se mirent à rénover ces constructions, à apprendre à en bâtir de nouvelles, et ils vécurent ainsi pendant sept ans, avançant très lentement. Assoiffés de savoir, et de pouvoir…
Puis, un jour, ce qui devait arriver arriva. Ils avaient atteint des progrès inouïs, ils avaient réussi à comprendre leur planète, leur galaxie... Ils avaient même pondu, depuis quelques jours, dans les mêmes bâtiments où ils étaient nés. Ils avaient regardé le ciel, attendant que les œufs éclosent pour faire autre chose, aller plus loin. Mais il manquait quelque chose. Alors ils commencèrent à transmettre leur savoir aux œufs, cela prendrait des années, peut-être même jusqu’à l’éclosion !
Mais, concentrés qu’ils étaient, ils ne virent pas le danger arriver. Un jour, cependant, il y eut du vent, beaucoup de vent. Des vents infernaux. Des tornades tourbillonnèrent, des cyclones se formèrent. Ils remontèrent alors à toute vitesse des souterrains et virent un spectacle qui leur en boucha les tentacules !
Captant chaque moment de cet évènement. L'analysant, le comprenant, l'admirant. Connectant entre eux un immense réseau télépathique. Ils entrèrent en transe et oublièrent les dangers qui les entouraient, bouche bée devant l’alignement auquel ils assistaient.
Mais les Lunes avaient changé quelque chose. Quelque chose de… Physique. Et ce fut un massacre. Tour à tour, ils furent emportés par les vents, aplatis par des arbres, écrasés par des rochers... Et il n'y eut aucun survivant.
Au fin fond d'un bâtiment sous-terrain, pourtant, il y avait quelque chose, une lueur d'espoir. Des œufs, par milliers, couvaient et patientaient... Cependant, aucun savoir n’avait pu être transmis, « les données n’avaient pas été sauvegardées. La donne restait inchangée. Le cycle d'Elcyc recommençait.
Une matinée de fin d’été comme il en existe peu, un moment unique où on se dit que tout peut changer, que tout peut basculer. Tout autour de moi, l’effervescence de la ville, les gens pressés par le temps, les vrombissements des voitures, les vendeurs de journaux, les mères qui trainent leurs enfants… Tout cela est bien différent du camp militaire où j’ai fait mon entraînement. Pour le pays, pour la patrie, je me dis dans un soupir que le vieil oncle a besoin de moi. C’est pour eux que je fais ça, que j’ai accepté cette mission contre l’ennemi honni, que je mourrai pour eux… Car c’est bien cela qui m’attend, je le sens. Bien sûr, les formateurs nous barbent de sermons, disant que Dieu est avec nous et que nous ne mourrons pas forcément. Pas forcément. Que pouvait-il y avoir d’autre que la mort au bout de cette mission. Nous allons droit dans la gueule du loup. Droit pour tuer des ennemis de la patrie. Le plus possible avant… Avant Dieu sait quoi ! De toute façon, je savais bien qu’aucun vol retour n’était prévu, on n’avait qu’une seule chance. On ne pourra faire demi-tour une fois dans l’avion. L’avion qui nous mènera sur le terrain, sur le champ de bataille pour mener une guerre qui est peut-être la mienne. Un frisson me parcourt le dos et je me dis que rien n’est plus terrible que la mort qui m’attend. Mais il faut montrer à ces terroristes qui nous sommes ! Il faut frapper fort, et bien. Et c’est ce à quoi l’équipe se prépare depuis des mois. Lever à l’aurore sous le clairon, regroupement de la petite unité - 19 hommes seulement, c’est la crème de la crème pourtant –, chants patriotiques, prières pour les adeptes et entrainement intensif tout au long de la journée. L’entrainement était digne des plus grandes unités d’intervention spéciales, ce que nous sommes. C’était une sorte de combat quotidien contre la nature. Plusieurs heures de musculation, de cours intensifs, d’entrainements au combat rapproché, d’intimidation, d’exécution…
Soudain me voici revenu à la réalité, bousculé par un passant bien trop pressé ! Le temps passe pourtant, mais bien trop lentement… Dehors, les drapeaux américains flottent dans le vent, calmement. Me voici fin prêt pour la mission qui sauvera mon pays, et ceci je le pense avec fierté. Soudain, l’appel de mon vol se fait entendre. Une voix presque mécanique qui me tire de mes pensées , me ramenant au monde réel.
« Ladies and Gentlemen, les passagers du vol 11AA en provenance de Boston et à destination de Los Angeles sont priés de se présenter au Terminal 3. »
Le Terminal, je m’étais toujours demandé pourquoi cela s’appelait comme ça et, maintenant, j’avais peut-être trouvé pourquoi…
Allah me guidera.
Soudain me voici revenu à la réalité, bousculé par un passant bien trop pressé ! Le temps passe pourtant, mais bien trop lentement… Dehors, les drapeaux américains flottent dans le vent, calmement. Me voici fin prêt pour la mission qui sauvera mon pays, et ceci je le pense avec fierté. Soudain, l’appel de mon vol se fait entendre. Une voix presque mécanique qui me tire de mes pensées , me ramenant au monde réel.
« Ladies and Gentlemen, les passagers du vol 11AA en provenance de Boston et à destination de Los Angeles sont priés de se présenter au Terminal 3. »
Le Terminal, je m’étais toujours demandé pourquoi cela s’appelait comme ça et, maintenant, j’avais peut-être trouvé pourquoi…
Allah me guidera.
Le vol 11 American Airlines, un Boeing 767 transportant quatre-vingt-un passagers et onze membres d'équipage, décolla à 7 h 59 de l'aéroport international Logan de Boston dans le Massachusetts. Il avait pour destination Los Angeles, en Californie25. Détourné par des terroristes d’Al-Qaïda, il s’écrasa sur l’une des tours du World Trade Center le 11 septembre 2001.
J’ai beaucoup de respect pour les personnes qui ont pu décéder durant ses attentats. Ayant adopté le point de vue de l’un de ces terroristes, je comprends qu’il puisse y avoir certaines critiques. Cependant, je n’ai fait que mon rôle d’écrivain, en adoptant un point de vue différent…
J’ai beaucoup de respect pour les personnes qui ont pu décéder durant ses attentats. Ayant adopté le point de vue de l’un de ces terroristes, je comprends qu’il puisse y avoir certaines critiques. Cependant, je n’ai fait que mon rôle d’écrivain, en adoptant un point de vue différent…
Pequeñitas colinas, un calor insoportable, un sol ardiente, una luz que quema los ojos y ningún lugar donde resguardarse a parte de las minas. Eso es Potosí, la ciudad donde nació, la ciudad donde mis padres vivieron y la ciudad donde murieron. Todo aquí me recuerdo su insurrección contra los criollos, me recuerdo que se rebelaban por la libertad de los indígenas, de los mestizos, de la gente como yo. Pero este combate fue en vano, espero siempre estos derechos y nada cambia, solo la muerte de inocentes y sobre todo de mis padres…
En Europa no es la misma cosa, toda la gente se rebelaba y hacía la revolución. El pueblo tomaba las armas y elegía, desde muchos combates, un nuevo gobierno y nuevas libertades. Eso es Francia, un país de libertad, un país de sueño, un país de revolución que precede todo el mundo y les muestro el camino de la verdad.
Vi eso en un libro. Mi tía me da muchos libros y me gusta leer, me permite de evadirme y de pensar que un día, podría también hacer como mis padres y ayudar el pueblo a la revolución… Un día, “Miguel de POTOSÍ” va a ser el jefe de la revolución ! Pienso a eso desde mucho tiempo, desde que aprendió el resultado en Francia en realidad…
Ir en Europa para ayudar los revolucionarios, comprender y vivir la revolución o simplemente quedar aquí para ayudar mi pueblo, la gente que conozco… Eso es probablemente el elección más importante de mi vida y usted ¿ qué opina usted ?
En Europa no es la misma cosa, toda la gente se rebelaba y hacía la revolución. El pueblo tomaba las armas y elegía, desde muchos combates, un nuevo gobierno y nuevas libertades. Eso es Francia, un país de libertad, un país de sueño, un país de revolución que precede todo el mundo y les muestro el camino de la verdad.
Vi eso en un libro. Mi tía me da muchos libros y me gusta leer, me permite de evadirme y de pensar que un día, podría también hacer como mis padres y ayudar el pueblo a la revolución… Un día, “Miguel de POTOSÍ” va a ser el jefe de la revolución ! Pienso a eso desde mucho tiempo, desde que aprendió el resultado en Francia en realidad…
Ir en Europa para ayudar los revolucionarios, comprender y vivir la revolución o simplemente quedar aquí para ayudar mi pueblo, la gente que conozco… Eso es probablemente el elección más importante de mi vida y usted ¿ qué opina usted ?
De petites collines, une chaleur insoutenable, un soleil ardent, une lumière qui brûle les yeux et nulle part où se réfugier, hormis les mines. Ceci est Potosi, la ville où je suis né, la ville où mes parents ont vécu, et où ils sont morts. Tout ici me rappelle leur insurrection contre les occupants, tout ici me rappelle qu’ils se sont rebellés pour la liberté. Pour la liberté des indigènes, des métisses, des gens comme moi. Mais ce combat fut en vain. J’attends toujours ces droits et rien n’a changé, seule la mort d’innocents et, surtout, de mes parents.
En Europe ce n’est pas la même chose, tout le monde s’est rebellé et a participé à la révolution. Le peuple a pris les armes et a pu choisir, après de nombreuses batailles, un nouveau gouvernement et de nouvelles libertés. « Eso es Francia », un pays de liberté, un pays d’espérance, un pays de révolte qui précède tout le monde et leur montre le chemin de la vérité.
J’ai lu cela dans un livre. Ma tante m’a donné beaucoup de livres et j’aime lire, cela me permet de m’évader et de penser, qu’un jour, je pourrai continuer l’œuvre de mes parents et aider le peuple à la rébellion… Un jour, « Miguel de POTOSI » sera le chef de la révolution ! Je pense à cela depuis beaucoup de temps, depuis que j’ai appris ce qui s’est passé en France, en vérité.
Maintenant, un choix s’offre à moi : aller en Europe pour aider les révolutionnaires, comprendre et vivre ces changements, ou simplement rester ici pour aider mon peuple, les gens qui je connais… Ceci est probablement le choix le plus important de ma vie. Et vous, que feriez-vous ?
En Europe ce n’est pas la même chose, tout le monde s’est rebellé et a participé à la révolution. Le peuple a pris les armes et a pu choisir, après de nombreuses batailles, un nouveau gouvernement et de nouvelles libertés. « Eso es Francia », un pays de liberté, un pays d’espérance, un pays de révolte qui précède tout le monde et leur montre le chemin de la vérité.
J’ai lu cela dans un livre. Ma tante m’a donné beaucoup de livres et j’aime lire, cela me permet de m’évader et de penser, qu’un jour, je pourrai continuer l’œuvre de mes parents et aider le peuple à la rébellion… Un jour, « Miguel de POTOSI » sera le chef de la révolution ! Je pense à cela depuis beaucoup de temps, depuis que j’ai appris ce qui s’est passé en France, en vérité.
Maintenant, un choix s’offre à moi : aller en Europe pour aider les révolutionnaires, comprendre et vivre ces changements, ou simplement rester ici pour aider mon peuple, les gens qui je connais… Ceci est probablement le choix le plus important de ma vie. Et vous, que feriez-vous ?
Bon je l'admets, c'est un peu nul mais comprenez-moi... C'était pour le lycée
Finis les jeux avec la pelote de laine, quand on jongle sur le dos. Finis les poses devant la télé, sur les genoux... Les genoux d'un maître qui me prend pour un chien ! Finies les caresses. Finis les ronronnements. Les miaulements inutiles pour implorer un maître qui n'en a rien à cirer. Fini le cloisonnement. La vision d'une cage à oiseaux qu'on ne peut pas toucher. La chatière qui nous revient dans la tête quand on l'emprunte. La litière au milieu de la pièce. La pause toilettes quand on nous regarde. La nourriture dégueulasse, ou tombée par terre, dont plus personne ne veut. Fini de lécher le sol. Boire du lait entier alors que je n'aime que le demi-ecrémé ! La patée pour chien. Les croquettes sans goût et périmées...
Tout cela est fini. Aujourd'hui on passe à autre chose. Avec ma bande d'aristochats, on va se battre comme de vrais félins, parce qu'on en a marre. La traque commence, bande de petits humains
Tout cela est fini. Aujourd'hui on passe à autre chose. Avec ma bande d'aristochats, on va se battre comme de vrais félins, parce qu'on en a marre. La traque commence, bande de petits humains
En 7 jours, Dieu créa la Terre, l'eau, le feu, l'air... Blablabla et blablabla! Tout ça pour dire qu'un peu plus tard, ce fut le temps glorieux du Moyen-Age : châteaux forts, conquêtes, batailles épiques -Fail-...
De nombreux empires tribaux s'affrontaient à cette époque, dont celui du célèbre Ronald McDonald. Méprisé par certains à cause de sa proximité du peuple, admiré par d'autres, c'était une sorte de clown qui faisait le comique devant ces hommes. Mais cela ne l'empêchait pas d'être un bon chef, le meilleur en fait Il était aussi respecté par son peuple car, en 7 jours, il avait inventé de quoi leurs donner des forces et terrifier tous les autres royaumes : le MacVillage.
La recette était assez simple en fait et elle s'est perpétuée au sein de l'entreprise tribale McDo and Co depuis des générations :
- Choisir un bon village - ennemi de préférence, ça ajoute du piquant! (1)
- Assaisonner-le d'une bonne dose d'OFF.
- Ajouter 2 t*r*a*n*c*h*e*s*d*e*p*a*i*n*n*o*b*l*e CENSURÉ !!!
Veuillez-nous excuser mais la suite est secrète chers clients. Cependant si vous souhaitez voir de près la fabrication d'un MacVillage, il suffit de faire votre réservation en contactant un de nos membres qui se fera un plaisir de vous en faire un sur mesure!
Si vous souhaitez-faire une réservation de groupe, merci de contacter notre diplomate ou notre chef de guerre qui se fera un plaisir de vous préparer une table digne de ce nom.
(1) Le client doit apporter le Village, dans un souci de bonne conservation et de satisfaction du client.
(2) Prix d'un MacVillage : gratuit, hors taxe du Village-ingrédient.
(3) Offre non remboursée ni échangée mais qui peut être doublée.
(4) Tous droits réservés, toute utilisation frauduleuse du MacVillage peut amener à des poursuites et noblages en vigueur.
Vous l'aurez compris...
Le MacVillage c'est tout ce qu'on aime!!!
De nombreux empires tribaux s'affrontaient à cette époque, dont celui du célèbre Ronald McDonald. Méprisé par certains à cause de sa proximité du peuple, admiré par d'autres, c'était une sorte de clown qui faisait le comique devant ces hommes. Mais cela ne l'empêchait pas d'être un bon chef, le meilleur en fait Il était aussi respecté par son peuple car, en 7 jours, il avait inventé de quoi leurs donner des forces et terrifier tous les autres royaumes : le MacVillage.
La recette était assez simple en fait et elle s'est perpétuée au sein de l'entreprise tribale McDo and Co depuis des générations :
- Choisir un bon village - ennemi de préférence, ça ajoute du piquant! (1)
- Assaisonner-le d'une bonne dose d'OFF.
- Ajouter 2 t*r*a*n*c*h*e*s*d*e*p*a*i*n*n*o*b*l*e CENSURÉ !!!
Veuillez-nous excuser mais la suite est secrète chers clients. Cependant si vous souhaitez voir de près la fabrication d'un MacVillage, il suffit de faire votre réservation en contactant un de nos membres qui se fera un plaisir de vous en faire un sur mesure!
Si vous souhaitez-faire une réservation de groupe, merci de contacter notre diplomate ou notre chef de guerre qui se fera un plaisir de vous préparer une table digne de ce nom.
(1) Le client doit apporter le Village, dans un souci de bonne conservation et de satisfaction du client.
(2) Prix d'un MacVillage : gratuit, hors taxe du Village-ingrédient.
(3) Offre non remboursée ni échangée mais qui peut être doublée.
(4) Tous droits réservés, toute utilisation frauduleuse du MacVillage peut amener à des poursuites et noblages en vigueur.
Vous l'aurez compris...
Le MacVillage c'est tout ce qu'on aime!!!
Chers téléspectateurs !
Aujourd’hui devant vos yeux ébahis voici l’immense, le fameux, le magnifique, le seul, l’unique, souvent imité, jamais égalé : Jean-Pierre Foucault !!!
Après avoir été viré de TF1, il arrive sur le Monde 12 pour conquérir un nouveau public et vous vendre du rêve, à toutes et à tous très aimés spectateurs. Avec son ancienne équipe, il a donc troqué son million contre des vivis et a finalement créé un nouveau mythe, une nouvelle légende : « Qui Veut Gagner des Vivis ? ».
Et oui vous avez bien compris, ici pas de questions inutiles pour arriver au premier palier, d’ailleurs il n’y a même plus de paliers du tout ! En effet quand vous êtes sélectionnés par l’émission, ou vous faites une erreur et perdez tous vos vivis… Ou vous arrivez à la question finale, THE Top of the Top et vous répondez correctement ! Et là, un doute persiste, que gagnez-vous, à votre avis ? Et bien TOUS vos villages sont recrutés par notre équipe ! N’est-ce pas magnifique ?
Aller chers joueurs, nous savons que vous voulez jouer, vous ne pouvez y résister ! Nous vous attendons et attention, ce n’est pas pour un million…
A vous les studios, c’était notre dernier mot
Aujourd’hui devant vos yeux ébahis voici l’immense, le fameux, le magnifique, le seul, l’unique, souvent imité, jamais égalé : Jean-Pierre Foucault !!!
Après avoir été viré de TF1, il arrive sur le Monde 12 pour conquérir un nouveau public et vous vendre du rêve, à toutes et à tous très aimés spectateurs. Avec son ancienne équipe, il a donc troqué son million contre des vivis et a finalement créé un nouveau mythe, une nouvelle légende : « Qui Veut Gagner des Vivis ? ».
Et oui vous avez bien compris, ici pas de questions inutiles pour arriver au premier palier, d’ailleurs il n’y a même plus de paliers du tout ! En effet quand vous êtes sélectionnés par l’émission, ou vous faites une erreur et perdez tous vos vivis… Ou vous arrivez à la question finale, THE Top of the Top et vous répondez correctement ! Et là, un doute persiste, que gagnez-vous, à votre avis ? Et bien TOUS vos villages sont recrutés par notre équipe ! N’est-ce pas magnifique ?
Aller chers joueurs, nous savons que vous voulez jouer, vous ne pouvez y résister ! Nous vous attendons et attention, ce n’est pas pour un million…
A vous les studios, c’était notre dernier mot
En ce moment je suis sur un magnifique projet, amorcé par Père Treunsty donc dédicace au génie <3
Merci et en espérant vous avoir fait rêver (c'est un bien grand mot^^) avec mes écrits, en espérant vous avoir surpris et fait aimé la lecture ! Oui rien que ça !
Réceptif à tous les commentaires !
Ecrivains, commentez-mes textes et soyez-surs que je commenterai les votres du mieux que possible Et vice-versa bien sur
Tous droits Réservés. Oeuvres sous Licence de Paternité. Merci de me demander l'autorisation par MP pour utiliser ces textes
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