DeletedUser381
Guest
La Naissance d'une Légende
Une nuit comme toutes les autres, ou presque, commença à tomber.
Une nuit aussi noir que de l'encre, où seul le vent sifflait, laissant les animaux et les insectes dans un silence de mort.
Lorsque soudain, un coursier apparut sur son cheval, la tête recouverte par la capuche de sa grande cape brune, dévorée par les mites.
Il s'approcha d'un garde et lui chuchota quelques paroles inaudibles à l'oreille. Le garde se retourna sans un mot, et entra dans le palais, le messager sur ces talons.
Il traversa un hall énorme, marcha pendant un labs de temps indéterminé qui sembla une éternité pour le messager.
Ils arrivèrent devant une immense porte en chêne, ornée de magnifiques bijoux et d'or pur, où le garde s'immobilisa. Il ouvrit lentement la porte, resta sur le côté, le messager passant devant lui, et lâcha ces deux seuls mots, plus effrayant qu'encourageant :
-Bonne chance.
Le messager rentra, les portes se refermant derrière lui dans un bruit sourd. Il retira sa capuche, et on put découvrir son visage. Il était froid, d'un blanc immaculé, des mèches noirs lui tombant sur le front et les yeux, contrastaient parfaitement avec sa pâleur. Se yeux aussi noirs que ses cheveux ne laissaient paraître aucune émotion, et pourtant, il dégageait de lui une peur terrible, à vous en faire faire des cauchemars.
Il garda la tête baissait tout en avançant, n'osant lever le menton, de peur de s'enfuir en courant dès qu'il apercevrait celui qu'il était venu voir. Sachant être arrivé à destination, il s'agenouilla à quelques mètres du trône, et ne pouvant plus reculer, il leva la tête et regarda le roi dans les yeux. Dès qu'il l'aperçut, son charisme lui coupa le souffle, et lui fit par réflexe ouvrir la bouche de stupeur, comme s'il avait reçu un coup violent dans le ventre.
Ce roi, pourtant bien jeune, donnait une impression de grandeur et de puissance qui vous laissait sans voix, comme si toute l'expérience de ses ancêtres avait pris place dans son corps et son esprit, comme si ce jeune homme avait déjà tout vu et tout vécu, comme si n'importe lequel de ses actes ou de ses paroles était décidé et contrôler par tous les Dieux connus et inconnus des Hommes.
Son physique était celui d'un prince, un visage pâle, des cheveux bruns lui tombant sur les épaules, des yeux gris et plein de sagesse, un nez si doit et si parfait qu'on aurait pu croire qu'il avait été taillé dans la pierre à l'aide d'instruments de géométrie.
Le roi s'impatientant, et commençant à tâter du pied ses armes laissées par terre devant lui, le messager repris ses esprits et pris la parole d'une voix tremblante :
-R...roi Guenzer ?
-Oui messager ?
-J...j'ai des mauvaises nouvelles à vous annoncer...
-Je t'écoute.
-Une activité étrange se trame autour de vos villages, plusieurs de nos hommes ont même vus des soldats inconnus s'agiter dans la région. Mais depuis quelques jours, plus rien.
-Le calme avant la tempête... pensa le roi à voix haute.
-Nous le pensons aussi, mon roi. répondit le messager. Surtout que des paysans sont venus se protéger dans les villages, d'après eux, des milliers d'Hommes sont en route vers nous !
-Soit, nous allons les attendre et nous défendre avec l'honneur dont nous ont pourvus les Dieux ! Nous ne laisserons aucune place à l'ennemie sans nous battre ! Mais où attaquent-ils ?
-Dans le continent 64, mon roi.
-Hum... La bataille sera rude, car une faible garnison protège la région. Mais ce sont de braves guerriers qui se battront jusqu'à la mort, les soldats ennemies mourront par milliers ! Donne l'ordre à nos cavaliers lourds de se mettre en route pour aider nos frères !
-Bien maître, mais j'ai d'abord des rapports à vous montrer...
corriger par Skinte
(X4 bien jouer GG a lui)
-les pertes sont belle et bien là et il y en as beaucoup de village qui sont tombé
-je sais maitres
-pourquoi n'ai je pas ete avertit plus tôt?
-nous avions peur[/i]
le roi s'approche de son messager et lui caresse les cheveux délicatement et d'un coups sec il fermes la main dans ces cheveux, sort sa dague et lui coupe l'oreille gauche.
le messager se tord de douleurs en appuyant sa main sur ce qui lui reste de l'oreille gauche
- que cela te servent de leçons, on ne doit jamais rien ne me caché!!
Garde!!
deux garde arrive prés du roi qui les a convoqué
-oui mon roi disent les garde en coeur
-emmenez le voir le médecin qui évitent que la blessure s'infecte j'ai encore besoin de lui, et dite lui de ne plus rien me caché a l'avenir!
-bien, roi Guenzer les garde prennent par les bras le messager et le sortent de la pièce
une fois la portes fermées un des deux garde demande a l'autre:
-pourquoi il ne lui a pas coupé un bras comme a l'ancien messager?
-car l'ancien messager était vieux
-je vois pas le rapports
-si il lui avais coupé un bras ou une jambe il ne serai plus utile au combats si besoin
- pas bête mais c'est tout de même cruel, de faire sa a ces messager
-si les messager serai plus rapide, les pertes dans nos rang serai moindre
***
deux jours plus tard dans une matinées ensoleiller, les messager fais son apparitions sont oreille coupé auparavant fut caché par un bandage lui cachant entièrement ce qui lui reste de l'oreille.
le messager s'approcha du garde qui le laisse passez en chuchotant
-sa va aller tu vas voir
le messager le regardas curieux
et avança, arriver prés de la portes il vu que elle es grande ouverte
il avança jusqu'au trône puis s'agenouille devant le roi
-ôh grand roi j'ai fais au plus vite, pour vous apportez des nouvelles.
-je te crois et je t'écoute
-voici des nouveau rapports :
X2
Une nuit comme toutes les autres, ou presque, commença à tomber.
Une nuit aussi noir que de l'encre, où seul le vent sifflait, laissant les animaux et les insectes dans un silence de mort.
Lorsque soudain, un coursier apparut sur son cheval, la tête recouverte par la capuche de sa grande cape brune, dévorée par les mites.
Il s'approcha d'un garde et lui chuchota quelques paroles inaudibles à l'oreille. Le garde se retourna sans un mot, et entra dans le palais, le messager sur ces talons.
Il traversa un hall énorme, marcha pendant un labs de temps indéterminé qui sembla une éternité pour le messager.
Ils arrivèrent devant une immense porte en chêne, ornée de magnifiques bijoux et d'or pur, où le garde s'immobilisa. Il ouvrit lentement la porte, resta sur le côté, le messager passant devant lui, et lâcha ces deux seuls mots, plus effrayant qu'encourageant :
-Bonne chance.
Le messager rentra, les portes se refermant derrière lui dans un bruit sourd. Il retira sa capuche, et on put découvrir son visage. Il était froid, d'un blanc immaculé, des mèches noirs lui tombant sur le front et les yeux, contrastaient parfaitement avec sa pâleur. Se yeux aussi noirs que ses cheveux ne laissaient paraître aucune émotion, et pourtant, il dégageait de lui une peur terrible, à vous en faire faire des cauchemars.
Il garda la tête baissait tout en avançant, n'osant lever le menton, de peur de s'enfuir en courant dès qu'il apercevrait celui qu'il était venu voir. Sachant être arrivé à destination, il s'agenouilla à quelques mètres du trône, et ne pouvant plus reculer, il leva la tête et regarda le roi dans les yeux. Dès qu'il l'aperçut, son charisme lui coupa le souffle, et lui fit par réflexe ouvrir la bouche de stupeur, comme s'il avait reçu un coup violent dans le ventre.
Ce roi, pourtant bien jeune, donnait une impression de grandeur et de puissance qui vous laissait sans voix, comme si toute l'expérience de ses ancêtres avait pris place dans son corps et son esprit, comme si ce jeune homme avait déjà tout vu et tout vécu, comme si n'importe lequel de ses actes ou de ses paroles était décidé et contrôler par tous les Dieux connus et inconnus des Hommes.
Son physique était celui d'un prince, un visage pâle, des cheveux bruns lui tombant sur les épaules, des yeux gris et plein de sagesse, un nez si doit et si parfait qu'on aurait pu croire qu'il avait été taillé dans la pierre à l'aide d'instruments de géométrie.
Le roi s'impatientant, et commençant à tâter du pied ses armes laissées par terre devant lui, le messager repris ses esprits et pris la parole d'une voix tremblante :
-R...roi Guenzer ?
-Oui messager ?
-J...j'ai des mauvaises nouvelles à vous annoncer...
-Je t'écoute.
-Une activité étrange se trame autour de vos villages, plusieurs de nos hommes ont même vus des soldats inconnus s'agiter dans la région. Mais depuis quelques jours, plus rien.
-Le calme avant la tempête... pensa le roi à voix haute.
-Nous le pensons aussi, mon roi. répondit le messager. Surtout que des paysans sont venus se protéger dans les villages, d'après eux, des milliers d'Hommes sont en route vers nous !
-Soit, nous allons les attendre et nous défendre avec l'honneur dont nous ont pourvus les Dieux ! Nous ne laisserons aucune place à l'ennemie sans nous battre ! Mais où attaquent-ils ?
-Dans le continent 64, mon roi.
-Hum... La bataille sera rude, car une faible garnison protège la région. Mais ce sont de braves guerriers qui se battront jusqu'à la mort, les soldats ennemies mourront par milliers ! Donne l'ordre à nos cavaliers lourds de se mettre en route pour aider nos frères !
-Bien maître, mais j'ai d'abord des rapports à vous montrer...
corriger par Skinte
-les pertes sont belle et bien là et il y en as beaucoup de village qui sont tombé
-je sais maitres
-pourquoi n'ai je pas ete avertit plus tôt?
-nous avions peur[/i]
le roi s'approche de son messager et lui caresse les cheveux délicatement et d'un coups sec il fermes la main dans ces cheveux, sort sa dague et lui coupe l'oreille gauche.
le messager se tord de douleurs en appuyant sa main sur ce qui lui reste de l'oreille gauche
- que cela te servent de leçons, on ne doit jamais rien ne me caché!!
Garde!!
deux garde arrive prés du roi qui les a convoqué
-oui mon roi disent les garde en coeur
-emmenez le voir le médecin qui évitent que la blessure s'infecte j'ai encore besoin de lui, et dite lui de ne plus rien me caché a l'avenir!
-bien, roi Guenzer les garde prennent par les bras le messager et le sortent de la pièce
une fois la portes fermées un des deux garde demande a l'autre:
-pourquoi il ne lui a pas coupé un bras comme a l'ancien messager?
-car l'ancien messager était vieux
-je vois pas le rapports
-si il lui avais coupé un bras ou une jambe il ne serai plus utile au combats si besoin
- pas bête mais c'est tout de même cruel, de faire sa a ces messager
-si les messager serai plus rapide, les pertes dans nos rang serai moindre
***
deux jours plus tard dans une matinées ensoleiller, les messager fais son apparitions sont oreille coupé auparavant fut caché par un bandage lui cachant entièrement ce qui lui reste de l'oreille.
le messager s'approcha du garde qui le laisse passez en chuchotant
-sa va aller tu vas voir
le messager le regardas curieux
et avança, arriver prés de la portes il vu que elle es grande ouverte
il avança jusqu'au trône puis s'agenouille devant le roi
-ôh grand roi j'ai fais au plus vite, pour vous apportez des nouvelles.
-je te crois et je t'écoute
-voici des nouveau rapports :
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