DeletedUser
Guest
Voila mon texte je l'ai débuter quand j'ai fais un tour a l'hosto pour passer le temp et je me suis rendu compte que je pouvais réelement tirer quelque chose de cela alors je me lançe pour écrire la suite du texte des aujourd'hui.
Caché derrière un talus, retenant sa respiration afin de ne pas effrayer sa proie, Lukör dégaina sa dague, et, d'une manoeuvre experte, bondit sur le monstre et l'abattu sans aucune difficulté. Il contempla l'animale, et, soigneusement, se mis à le dépecer. La bête, d'un gabarit impressionnant, était ornée d'une paire de défenses usées, et son pelage, long et drue, était maculé de sang, signe que l'animale n'en était pas à son premier combat. Mais celui si fût le dernier pour la pauvre carcasse. Lukör, le meilleur chasseur du village, avait réussis, après une semaine de traque sans relache, a tuer le terrible Kuzor. Son village allait enfin connaitre la paix. Chaque soir, ce géant des fôrets partait dans les villages environnants (y compris le sien) et ravageait les recoltes amassées tout au long de l'année. Il était de son propre intérêt et ceux des autres villageois de se debarasser de ce fléau. Il charga donc la viande dans son sac et retourna sur les traces de son village, Rabaykora...
Lukör pénétra dans le village ou était stationné un chariot remplie de denrées et d'objets en tout genre. C'était Rygaro, un marchand ambulant qui avais pris pour habitude de passer par Rabaykora avant de descendre dans les grandes villes comme Lok Masséna ou Youro Es Baen. Depuis son plus jeune age, Lukör rêvait de devenir marchand ambullant. A part la fôret ou il chassait et les montagnes glaciales des Féoress ou il conduisait régulierement son troupeau, il n'avait jamais quitter son village natale. Mais aujourd'hui, a quatorze ans, Lukör fais partit des meilleurs chasseurs de sa contrée. Il est né dans une famille de paysans, non pas dans une riche famille de commerçants...
Peu à peu, il s'éloigna de toute cette agitation et s'engaga sur un chemin pentu qui le mena vers une maison quelque peu inquietante. Il poussa qui se mit à grinçer et entra dans la deumeure. Il pose son sac sur la table, fait quelques pas vers sa chambre quand une voix famillière l'interpelle...
_Combien ?
Lukör se retourne et, d'une voix mal assuré, il répond :
_Un seul, père, mais il est de bonne taille, nous devrions en avoir pour un mois et...
_Un seuls ? Un seuls ?! Tu te pretend être le meilleurs chasseur de la région, et toi, après plusieurs jours d'abscence, tu nous ramene qu'un seul monstre ?
Même ce crétin de Vynès, qui n'a jamais manipulé une arme, aurai pu faire mieux ! Et toi, tu ose rentrer ici apres plusieurs jours d'abscenses, et me repondre que tu n'a pu tuer qu'un seul monstre ?!
Il s'avenca et le gifla, mais Lukör ne retorqua pas...
Il savait qu'apres la mort de sa mère, son père rongé par la solitude et le désespoire, était devenu un être violent, sous l'emprise de l'alcool.
Titubant sous la force du coup, Lukör ne dédaigna même pas un regard à son père. Certe, ils comprenait que la mort d'un être qui lui était cher le rende exécrable, mais jamais il n'aurait imaginé qu'il en viendrait un jours a frapper d'une telle violence son propre fils. Au bord des larmes, Lukör se rua vers la sortie, et et il couru, sans vraiment savoir ou il allait. Et il courru, encore et encore, sans jamais s'arretter, il était désormais en bordure de fôret . Les branches lui fouettait le visage. Et il hurla, non pas de douleur mais de colère. Il jura, il pesta... Son père, le village, ses habitants... Il les détestait tous. Et il s'éffondra, en larme, au millieu d'un bois qu'il connaissait bien...
Lukör pénétra dans le village ou était stationné un chariot remplie de denrées et d'objets en tout genre. C'était Rygaro, un marchand ambulant qui avais pris pour habitude de passer par Rabaykora avant de descendre dans les grandes villes comme Lok Masséna ou Youro Es Baen. Depuis son plus jeune age, Lukör rêvait de devenir marchand ambullant. A part la fôret ou il chassait et les montagnes glaciales des Féoress ou il conduisait régulierement son troupeau, il n'avait jamais quitter son village natale. Mais aujourd'hui, a quatorze ans, Lukör fais partit des meilleurs chasseurs de sa contrée. Il est né dans une famille de paysans, non pas dans une riche famille de commerçants...
Peu à peu, il s'éloigna de toute cette agitation et s'engaga sur un chemin pentu qui le mena vers une maison quelque peu inquietante. Il poussa qui se mit à grinçer et entra dans la deumeure. Il pose son sac sur la table, fait quelques pas vers sa chambre quand une voix famillière l'interpelle...
_Combien ?
Lukör se retourne et, d'une voix mal assuré, il répond :
_Un seul, père, mais il est de bonne taille, nous devrions en avoir pour un mois et...
_Un seuls ? Un seuls ?! Tu te pretend être le meilleurs chasseur de la région, et toi, après plusieurs jours d'abscence, tu nous ramene qu'un seul monstre ?
Même ce crétin de Vynès, qui n'a jamais manipulé une arme, aurai pu faire mieux ! Et toi, tu ose rentrer ici apres plusieurs jours d'abscenses, et me repondre que tu n'a pu tuer qu'un seul monstre ?!
Il s'avenca et le gifla, mais Lukör ne retorqua pas...
Il savait qu'apres la mort de sa mère, son père rongé par la solitude et le désespoire, était devenu un être violent, sous l'emprise de l'alcool.
Titubant sous la force du coup, Lukör ne dédaigna même pas un regard à son père. Certe, ils comprenait que la mort d'un être qui lui était cher le rende exécrable, mais jamais il n'aurait imaginé qu'il en viendrait un jours a frapper d'une telle violence son propre fils. Au bord des larmes, Lukör se rua vers la sortie, et et il couru, sans vraiment savoir ou il allait. Et il courru, encore et encore, sans jamais s'arretter, il était désormais en bordure de fôret . Les branches lui fouettait le visage. Et il hurla, non pas de douleur mais de colère. Il jura, il pesta... Son père, le village, ses habitants... Il les détestait tous. Et il s'éffondra, en larme, au millieu d'un bois qu'il connaissait bien...
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