Ca représente un peu le complexe d’Œdipe de la vie intellectuelle aussi connu sous le nom de complexe de Prométhée qui pousse à rêver d'avoir les pouvoirs d'un être supérieur et potentiellement divin dans une vie antérieure aussi bien qu'actuelle et même parfois future.
Il y a pas à dire, autant l'art est poussé, autant la philosophie derrière pourrait révéler à chacun d'entre nous nos fantasmes enfouis dans nôtre inconscient profondément animal mais néanmoins potentiellement non primitif.
De plus la cohérence de l'ordre de parution des Oeuvres de ce sublime auteur est parfaite, il passe en effet par une phase de déprime digne d'une sardine qui ne serait pas accompagnée d'huile dans sa boite pour remonter là pente à la vitesse d'un coureur du tour de France légèrement malade et bénéficiant donc d'un traitement légal en retrouvant sa paire de pied. L'extase de ces retrouvailles, certainement plus agréable pour lui que pour la paire de pied "suce citée" puisque vous devez bien vous immaginer que retrouver son champignon pour une paire de pied n'est pas chose appréciée, l'a donc transporté au septième ciel. (nldr : je passerais les métaphores que j'ai en tête sur l'atteinte du septième ciel par azote, sur un forum accessible au grand public bien évidement).
En effet, nous avons ici une parfaite démonstration de la transcendance de l'art sur les chagrins, si bien que nous pouvons constater avec justesse toute l'imperméabilité de ces sentiments purs, exprimés ici, sans pour autant qu'Azote se retrouve trahi dans sa démarche. Je pense qu'il n'est pas incorrect de penser que son humeur va selon un chemin sinusoïdal, de sorte que l'art le redresse toujours.
Mais à la fois, je n'arrive pas à comprendre l'essence même du travail, tant les travaux se bornent à un esthétique d'une grande prouesse. Cette apparence très perfectionnée me laisse admiratif et pourtant m'empêche d'apercevoir en son intégralité le mystère de l'artiste, et c'est là, que l'art joue parfaitement son rôle et nous enveloppe comme une mère le ferait.
Nan, franchement, il n'y a pas à dire, mais je viens de faire caca.