Les beaux jours arrivent, les campagnes sanglantes se suivent et ne se ressemblent plus. En préparant ton cheval pour la prochaine bataille, Adrien, un enfant de ton village te regarde avec admiration. En regardant ce petit bout de chou haut comme trois pommes, tu décides de prendre un peu de temps pour l'écouter. Après tout, les batailles peuvent attendre, aujourd'hui c'est férié!
Le petit bonhomme se rapproche de toi, et te demande "Toi qui as vécu au cœur du Royaume, peux-tu me raconter son histoire?". C'est alors que tu te demandes pourquoi tu n'as pas chevauché ton cheval plutôt que de perdre ta journée pour ce sale gosse qui va te faire ressasser ces mois, que dire... ces années de guerre sans merci, sans compter les chamboulements diplomatiques qui ont fait que ce monde est tel qu'il est aujourd'hui.
Après une profonde inspiration, tu commences à raconter la folle histoire de ton Royaume, pour les beaux yeux du petit sauvageon...
Nous étions le lundi 13 janvier 1214, c'était une journée ordinaire, je donnais à manger à mes chevaux, donner à boire à mes moutons et redonner des graines à mes poules. Après une journée de dure labeur, je rentrais chez moi pour y retrouver ma petite femme et mon fils qui atteignait bientôt l'âge des hommes. Ah, que j'étais fier de lui en le voyant gambader dans les prairies et les landes proches de notre foyer équipé de son armure de chevalier digne des plus grandset d'aller à la guerre. Mais que suis-je un idiot, j'ai oublier de te dire que ma femme s'appeler Sonia et qu'elle était de haut-rang comme moi,après tout, au début c'était un de ces fameux mariages arrangés que font les nobles entre eux pour gagner soit des terres ou soit avoir des moutons ou des poules en plus ... Mais avec le temps nous avons appris à nous aimer mais que ce fut dure. Mon héritier quand à lui s'appeler Arthur, le même prénom que l'illustre grand guerrier qui fut une légende.
Je disais donc quand rentrant chez moi j'ai eu l'agréable surprise de voir Sire Gregor, c'était un soldat honnête et j'ai aimer guerroyer avec lui dans le passée.Quand je le vis en compagnie de Sonia, je sus que l'heure était grave en voyant son expression sérieuse et inquiète sur son visage, elle me fessait cette tête que lorsque j'étais prier de rejoindre l'armée pour partir à la conquête de mondes inconnus et je redouta le pire ...
Nous nous sommes salué puis il m'annonça que l'heure était grave, comme je le prévoyais ... En effet, le roi Christian découvrit par le biais de ses explorateurs et de ses érudits, une terre inconnue qui portait le nom de "Monde 26" qui pouvait être apprivoiser par nos soins mais que nous devrions mener de très rudes combats car des dizaines de milliers de seigneurs partiraient aussi à la conquête de ces territoires si riche en ressources, en or mais surtout en gloire. Mais il me prévint d'une chose et pas des moindres, ce combat aller durer des hivers entiers, les conditions de vies seraient déplorables et beaucoup de mes amis et frères mourraient sur le champs d'honneur.Je redoutais le faîtes de n'avoir aucunes nouvelles de ma compagne comme ce fut le cas lors des campagnes précédentes, mais Sire Gregor, qui me semblait t-il lisait mes pensées et les deviner me rassura en me disant que les ménestrels et les nobles avaient inventer une façon de se donner des nouvelles, en effet on prenait un morceau de parchemin ou l'on écrivait ce que l'on voudrait dessus puis des coursiers qui nous accompagnerait à la guerre les prendrait et les enverraient à leurs destinataires. On appeler cela des "messages privés", c'était ingénieux et cela me rassura beaucoup. Je me retira et pris le temps de réflexion nécessaire puis je me viens à la conclusion qu'une seule chose à mes yeux étaient primordiales : donner encore plus de gloire et de richesse à ma famille qui en avait grandement besoin car les temps sont malheureusement dures avec les taxes et les bêtises d'Arthur que je devais systématiquement réparer et dédommager.
Je revins le voir une trentaine de minutes plus en lui annonçant avec plaisir que j'acceptais avec plaisir son offre en ne tenant pas compte de la mine déconfite et triste que pris ma femme. Nous étions heureux de chevaucher à nouveau côte à côte que Sir Gregor mangea chez nous le soir en attendant le départ qui devait se faire à l'aube le lendemain matin. Quelques heures après, Arthur vint me voir en me suppliant de m'accompagner mais je ne pouvais pas, il était encore trop jeune, il devait protéger la demeure et les bêtes et sa mère n'accepterait jamais qu'il quitte le cocon familial alors qu'il n'a pas encore de barbes. Il le prit étonnamment bien, il me promit de veiller du mieux qu'il en était capable ma mère et la demeure tout en continuant de s'entraîner pour devenir un jour le meilleur guerrier de tout les temps.
Je pris le temps de respirer un peu tout en buvant un peu d'eau de ma gourde, pendant ce temps-là, le bambin ne me quitta pas des yeux, buvant chaque syllabes, chaque paroles et chaque phrases qui sortait de ma bouche. J'étais à la fois embarrassé et flatter.
Je repris le fils de mon épopée en articulant du mieux que je pouvais, car parler de sujet aussi complexe avec un enfant atteignant à peine la puberté n'est pas chose aisée.
Le lendemain matin, après de déchirants adieux nous étions partis pour la côte sud-est,ou se trouvait Aberon, capitale du Wessex et lieu de vie du roi Christian. J'étais très content de voir autant de soldats amassés dans les campagnes environnantes et dans la ville, beaucoup de ses gars qui avaient entendus à maintes reprises les récits des bardes au sujet des conquêtes me reconnurent et beaucoup me firent signent, insistèrent pour me serrer la main ou me dire qu'ils étaient fières de combattre à mes côtés et de mourir pour moi et pour notre pays. Après une brève audience avec le Roi, celui-ci nous annonça qu'il était temps de prendre large avec nos bateaux en direction de ce fameux "Monde 26". J'étais à la fois inquiet de voir autant de soldats novices partir à la guerre en étant si heureux,il changerait vite d'avis en voyant les massacres qui se dessineront et satisfait de voir leur détermination. J'eus le privilège de monter dans le bateau en compagnie de tout les soldats de renoms, des nobles de la haute aristocratie et surtout du Roi et de la famille royale. Plusieurs diplomates nous accompagner car selon Christian, la diplomatie sera l'une des clés principales de la victoire.
Après pas moins de 1 semaine de traversée sur la mer Méditerranée, le mardi 21 janvier, nous arrivions à destination, les hommes étaient fatigués du voyage et certains d'entre nous étaient tomber malades, rien de grave heureusement. En débarquant sur les côtes, nous reprîmes tous des forces et nous étions revigorer par la vue du sable blanc et du vent doux qui planer sur nous. Nous nous sommes renommer les LPX de notre vrai nom les "Phalanx", en honneur aux 300 spartiates et à leur chef Léonidas.
Plusieurs semaines passèrent, nous avancions au fur et à mesure en décimant les armées indigènes sur notre passage tout en étendant notre territoire en conquérant plusieurs villes qui nous fournissaient des hommes et des vivres. Les semaines se déroulaient toujours pareils jusqu'au jour ou nous rencontrions enfin un grand seigneur avec une puissante armée, ils se prénommaient les "Black Horde", une tribu qui avait fait parler d'elle pour leur férocité et leur cruauté au combat. Nous nous fîmes la guerre, chaque jour, des centaines d'hommes mourraient dans les 2 camps, je perdis beaucoup d'amis, j'en vengea beaucoup et j'ai été moi même blesser en ayant reçu un coup de lance lorsque j'ai charger avec ma troupe qui étaient composer de cavalier légers, c'étaient et se sont toujours les meilleurs cavaliers du mondes. Puis un jour, Christian demanda à son plus fidèle diplomate d'aller requérir une audience auprès du chef des "~B.H~" car il avait eu vent d'une terrible menace qui avançait à la manière du vent tout au nord, une terrible alliance que former les "K-O" et les "OKLM". Après avoir écouter ce que le diplomate lui avait à lui dire, les 2 chefs se fixèrent une rencontre pour parler d'une trêve pour ainsi contrer cette invasion. Ils firent mieux que ce que j'espérer, ils fusionnèrent ensemble, nous portions à présent le nom des "Khans", beaucoup d'armées rejoignirent notre cause comme les "Curly" ou les "L-R" pour ainsi former une coalition énorme face à ces envahisseurs. Ainsi, tout le sud se réunit sous une même bannière et nous espérions tous vaincre l'envahisseur. Beaucoup étaient pessimistes face à nos chances de survies, mais moi je restais optimistes, j'avais connu des situations bien pire que celles ci.