Honsou ou le sang impure.

  • Auteur de la discussion Honsou
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Il fut des années, peut être même des siècles qu'un homme transforma la république de Sarlat en la principauté de Scoraille. A cette époque le monde connu était en constant changement. Les envahisseurs de l'Ouest se heurtaient au peuple de la Lune d'Erfurt (continent du Vieux monde) dans le but de piller les richesses et de mettre fin a l'hégémonie de cette race orgueilleuse.
Le premier de Scoraille, Waïffre, était un bâtard, mi Erfurt, mi barbare. Ayant l'esprit profond, il renforça l'influence de sa principauté sur la Lune d'Erfurt. Etant la région le plus a l'Ouest, elle était la plus menacé. Durant tout son règne, Waïfre apporta la paix et l'évolution a sa principauté.
A la mort de Waïfre, la région sombra comme s'il n'avait pas existé. Les génération de prince de Scoraille se suivirent mais ne changea rien au destin de la principauté.
Il y a près de vingt ans qu'un nouveau Scoraille fut né. Le peuple ne célébra même pas cette évènement dégouté qu'ils étaient de la lignée des Scorailles. Et ce dégout fut le sentiment que ressenti Strike toute au long de sa jeunesse. Il vit ces parents, sa famille et leur proche plonger dans des orgies sans fin.

A l'age de 18ans, Strike renversa son père jugeant que celui ci n'était prince que de droit et non de fait. A l'aide du peuple il fit vidé le château de ses occupants et choisi ce qui devait mourir. Eliminant ceux qui pourraient être un danger pour ses projet. Il força son père a l'exil qui parait il partit se refugié dans les contrées a l'Ouest.
Une fois son pouvoir instauré Strike promit à la principauté et ses habitants qu'ils seraient le peuple le plus prospère.
Un mois après son ascension, il lança la création d'école, et d'université à ses frais. il disait haut et fort "Comment mon peuple pourrait il être le plus important s'il ne sait écrire le nom de sa principauté?".
Possédant plusieur ville côtière comme Anclôme, Strike de Scoraille décida de modernisé les ports afin d'ouvrir un nouveau secteur pour l'économie. Cela eu pour effet de faire baisser considérablement le chômage qui était un fléau pour la petite principauté.
Petite? Oui, les Scorailles avaient perdu génération sur génération énormement de ville a l'Ouest. Les ports du Sud n'étant pas suffisant pour l'ambition du jeune prince, il lança la création d'une armée professionnelle.
Le peuple, voyant les efforts considérable du prince pour rendre la vie meilleur, s'engagea massivement dans l'armée afin de faire partie de "l'armée de libération de l'Ouest". Strike utilisa les recettes créer par l'ouverture des ports et les bonne fiscalisation de ces dernier, pour équiper plus de 5.000 hommes.
Le prince de Scoraille prit le temps d'élaborer un plan de campagne durant le temps de formation de ses recrues. Les troupes, dirigeaient par leur prince lui même, marcherons sur Steplon qui se trouve a seulement 6 jours de Glasgow, la capitale. Le plan était simple, traverser avec rapidité le fleuve Kya, qui faisait office de frontière. Il faudra déloger les troupes adverses du port fluviale de Steplon dans un premier lieu, créer une tête de pont et ouvrir une voie de ravitaillement vers la ville ou l'on mettra le siège...

Le jeune prince jouait sa place et celle de la principauté de Scoraille dans cette campagne. Et pourtant il était confiant, sur de lui, et s'entraîner même avec ses recrues, anonymement bien sur.
Quelques mois plus tard, la campagne fut lancé, et "l'armée de libération" commença sa marche vers la rivière Kya et le port de Steplon, aussi appeler le "nid de guêpe" avec a sa tête le jeune prince, Strike de Scoraille...




Voila dite moi si vous voulez une suite ou si cela ne vous interesse pas le moin du monde. J'entend n'importe quelle remarque.
Honsou.
 

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Guest
Personnellement, je risque de devenir plutôt fan.

Si j'avais une critique à faire, c'est :
1°) l'histoire paraît, pour un début déja bien alambiquée au niveau politique, donc je te suggererais de faire une annexe à ton récit, dans laquelle tu écriras ton propre background, et tes propres arbres généalogiques ( histoire que ton histoire ait un gout original de Tolstoï [Guerre et Paix] sans que pour autant on tombe dans l'analyse historique ). Au prix de s'emmerder un peu à poser un cadre concret, tu réussiras, j'en suis sûr, à écrire une très belle histoire ( qui aura le mérite de pouvoir en créer d'autres, sur la même historique ... Ce au gré de ton envie d'écrire ) .

2°) Un peu de description, peut être ?

Mis à part, ça, continues avec tout mon, (j'espère) notre soutien.
 

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Merci du conseil. Bon j'avoue c'est pas encore ça et c'est un peu vague, mais je porte peu d'intérêt sur les erreurs et la corruption des ancêtres du héros.
Et je vous le dis j'étais bourré quand j'ai écris ça.
Je vais essayé d'arranger tout ça. Donc en gros vous voudriez plus de détails sur les passées de cette principautés... Genre une chronologie?
Et pour les détails dans l'histoire elle même, c'était plutôt un genre d'introduction, donc je vais pas détaillé pendant des heures sur la façon qu'il a eu de relancer l'activité portuaire. Mais les détails viendront avec l'entrée dans l'histoire même.
 

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Belle introduction à ton histoire. Il reste quelques fautes à corriger, cependant.

Comme le dit Dark Nihilus, tu mets en place un monde avec ne nombreux lieux et personnages. L'idéal aurait même été de faire un schéma de ce monde que tu incorporerais au début de ton récit et auquel le lecteur pourrait se référer.
Pour les personnages, un petit lexique avec leur grades, les relations les uns par rapport au autres... permettrait une visualisation plus facile.

Dans l'attente de lire la suite... : )
 

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Lexique

Personnage clefs:

Waïffre de Scoraille: fils d'un Erfurt et d'une barbare de l'Ouest. Il est le fondateur de la dynastie Scoraille. Après avoir destitué la république de Sarlat, il créa la principauté de Scoraille. Il commença les travaux du palais des Scorailles, institua les titres de noblesses et fit de la principauté de Scoraille un régime féodale.
Grand diplomate et gardien de la paix, il fut tué a la première bataille de Steplon. Il n'était pas un bon stratège et encore moins un militaire.

Strike de Scoraille: 11e du nom, il est né de l'union de Alaric de Scoraille et de Saline de Redon. Fils de parent écœurants, corrompus, et détestés, il grandit dans la haine, et se forgea seul par la lecture. Il grandit au côté de Frederic, un ami qui lui sera fidèle jusqu'à la mort. L'histoire de Strike de Scoraille, 11e prince, reste a écrire.

Frederic de Lakster: fils des comtes de Lakster. Orphelin il vit a Glasgow et grandit avec le prince. Celui ci fit de Frederic le plus grand comte de la principauté, apportant deux comté a celui de Lakster. Frederic devient donc le plus important des Lakster. Il sera un ami fidèle, un très bon combattant mais de pas très bon conseils stratégique.

Villes

Glasgow: Capitale de la principauté, population pour la plupart analphabète comme le reste du pays, aimant la boisson autant que les rixes. Malgrès cela c'est un peuple brave et fier, ne se laissant pas faire avec une forte identité. Elle sera le centre de commandement de Strike, et connaitra beaucoup de changement.

Anclôme: Ville côtière du sud, bordé par la mer dite "intérieur". Elle sera une des villes les plus importantes économiquement et militairement. Même population qu'a Glasgow a la quelle on peut ajouter quelques marins, et prostitués. Les réformes économiques touchèrent beaucoup cette ville, qui s'agrandit et connu une forte régression du chômage et de la délinquance.

Steplon: Ville fluviale situé a 6 jours a l'Ouest de Glasgow. Elle fut le lieu de la bataille qui annonça la chute de la principauté. Waïffre y trouva la mort, et perdu la ville dans le même temps. Aujourd'hui cette ville appartient au Grand Duché de Mirala.

Faction en présence:

Principauté de Scoraille: Elle fut fondé en des temps anciens, sur les restes de la république de Sarlat. Dynastie qui a traversé les ages on ne sait comment, puisqu'aucune conquête ou reforme importante ne fut faite. Les princes se sont toujours contenté de leur luxe et leur besoin. Avec l'arrivée de Strike, le peuple a de grand espoir de voir sa situation amélioré.
Elle s'étend aujourd'hui du fleuve Samarcande a l'Est avec la ville frontière du même nom, et a l'Ouest par le fleuve Kya. Au nord les monts rocheux, et au sud la mer "interieur".
Elle a pour voisin direct, a l'Ouest, le Grand Duché de Mirala, hostile au nouveau prince car trop actif. A l'Est par le royaume de Siona, région riche et bien gouverner, en mal d'heritier, les rois de Siona s'éteindront si leur fille unique, Laura, 20ans, refuse de sortir de sa tour. Au nord, derrière les monts Rocheux, s'étend les steppes glaciales ou se déplace des tribus de toute origine.

Le Grand Duché de Mirala: Issue d'un peuple de nomade, qui s'est sédentarisé après la bataille de Steplon, le 1er Grand du Duc de Mirala était Oton. Oton façonna un régime autoritaire, ou la peur était son meilleur allié. Aujourd'hui Haldic, 8e Grand Duc, s'impose comme le digne rejeton de la lignée. Mais ce régime porte ses fruits, le pays est en développement, possède une armée discipliné, et aucune révolte n'est possible.
Le Grand Duché n'a jamais osé passé le Kya, de plus les relations se sont détendus avec les princes corrompus qui couvraient les Grand Duc de cadeaux. Aujourd'hui le Grand Duché arme contre la principauté de Scoraille et se prépare a passé le Kya, pour porter la guerre sur ces terres et non les siennes.

Le Royaume de Siona: pays dirigé d'une poigne de fer par des rois très puissant. Leur visée ne se sont jamais porté sur la principauté de Scoraille qui sert de zone tampon avec l'Ouest. Une armée bien organisée, des ancêtres honorables et un fort sentiment d'indépendance. Le royaume est divisé en plusieurs comté. Seul 3 comtés sont en contacte avec la principauté. Ces comtés sont la possession de Laura, fille unique des rois, ne voulant se marier.


Voila j'ai essayé de décrire la situation, quant a faire un schéma je pense pas. J'espère que l'univers vous plaits. Je pense qu'il y a matière a faire.
J'écrirais le 1er chapitre dans les jours qui viennent ou peut être ce soir si je trouve pas le sommeille.
J'essaierais de compléter a mesure qu'apparait des personnages et des lieux.
 

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En effet chapeau pour le lexique. C'est de la description pointue! Tu as du te creuser pour faire çà! Je reconnais que c'est pas mal du tout!
 

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Chapitre I

Cela faisait quelques heures maintenant que "L'armée de libération Ouest" était parti. Elle traversait la plaine immense qui l'a séparé des marais de Soly, qui était l'étape la plus dangereuse du trajet jusqu'à Steplon.
Strike avait pris la précaution d'envoyer des groupes d'éclaireurs au cas où le Grand Duc aurait eu vent de l'invasion.
Son armée se composait d'un gros corps d'infanterie, 4.000 hommes, tout fraichement recruté, et d'un corps de mercenaire recruté au nord dans les steppes glaciales. C'est eux qui causé le plus de souci au prince. Autant ses hommes se battront sans posé de question, autant eux rechigneront à se battre si les conditions ne sont pas bonnes... Il faudra donc les contraindre à se battre!


Soudain, alors que l'armée avançait sous un temps menaçant, des cavaliers furent aperçus a la lisière d'un bosquet. Puis plus rien. Strike envoya Frederic, son fidèle compagnon, a la tête d'une vingtaine de cavalier mercenaire pour voir ce qu'il s'était passer.
Strike anxieux, réfléchis, et pensa au éclaireur qu'il avait envoyé, c'était surement eux. Mais pourquoi ne viennent ils pas directement?

Frederic ramena 5hommes épuisés, les éclaireurs. D'après eux, le Grand Duc a passé le Kya et marche actuellement en direction de l'armée du Prince. Ils seraient deux, voir trois fois supérieur en nombre. Des mercenaires de tout l'Ouest. 3.000 cavaliers, c'est une estimations certes, mais c'est inquiétant.

Il fallait prendre une décision. Strike envoya son meilleur ami avec une escorte de trentes cavaliers vers le sud, Anclôme, il fallait lever le plus de fantassins possible pour prendre de flanc le Grand Duc.

Frederic parti a vive allure, il serait a Anclôme avant l'aube prochain. Pendant ce temps, Strike décida que l'armée de Libération se fixerait à la limite des marais. La bataille se déroulerait dans ceux-ci afin de contraindre les cavaliers adverses à descendre de cheval. En revanche il fallait enfermés les éclaireurs pour qu'ils n'affolent pas l'armée.
Le triple? Près d'une quinzaine de millier d'hommes.

Selon les éclaireurs, le Grand Duc mettra deux jours pour atteindre et traverser les marais. La principauté de Scoraille elle, arriverait avant la tombée de la nuit. Il faudra donc piéger les marais. Et pourquoi pas provoquer la monter des eaux?

Strike empoigna la carte de la région. Le marais était irrigué par une petite rivière. Celle-ci est une ramification d'un petit fleuve appelé Semina. Si l'on bloque les deux autre ramification, le marais sera inondé, mais il s'agit de la faire au bon moment...

Le prince ordonna alors qu'on installe le camps et qu'on allume des feux, plus de feu que l'on en a besoin pour troubler les éclaireurs adverses. Une centaine d'hommes étaient parti avant la construction du camps, remontant la petite rivière jusqu'au fleuve. Ils avaient leur ordre. Dans deux jours, il faudra bloquer le cours d'eau avec des tronc d'arbres.

Durant le temps qui leur resta Strike envoya les troupes originaires des campagnes pour posés des pièges a travers le marais. Ses hommes ne possédaient pas l'expérience des adversaires mais avaient tous une famille qu'ils défendraient a cette bataille.
De plus il forma des groupes de tirailleurs légers qui harcèleront l'ennemi afin de saper son moral.

Après plusieurs nuit sans dormir, Strike s'accorda le sommeille. A son réveille il entendit du grabuge. Il sorti de sa tente, et demanda a son aide de camps ce qu'il se passait.
Selon les éclaireurs, l'armée du Grand Duc venaient d'entrer dans les marais, ils mettraient près de de 3h à le traverser. Il était 6h du matin, et il n'y avait pas une seconde a perdre.
Il envoya les tirailleurs se dissimuler dans les marécages, et un messager donné l'ordre de faire tomber les arbres.

Quelque temps après l'on commença à entendre les cries des hommes piégés, le reste de l'armée tenter de rester discrète. Bientôt ce fut de plus en plus de cries que l'on entendit. Les tirailleurs commencer à harceler les troupes adversaire. Les fantassins tenter de riposter en chargeant, mais en vain, leur lourde armure les empêcher de poursuivre.
Pendant ce temps Strike disposa ses hommes en ligne. Il ne risquait pas d'être déborder car le marais était très profond sur sa droite, ce fut l'un des poseur de piège qui en fit la tragique découverte.
Les tirailleurs revinrent au furent et a mesures, le regard affoler. Le prince s'approcha pour avoir des nouvelles. Ils lui répondirent que l'ennemi était en surnombre, non pas trois, mais plutôt quatre fois plus grand.

Soudain, sortant d'un bosquet, un homme apparut, puis deux. Et bientôt toute l'armée du Duc s'aligna face a l'armée princière. Il faudra tenir jusqu'à la monter des eaux.
Strike dégaina son épée, la leva bien haut et traversa les rangs suivit de son état major.
La bataille était sur le point de débuter. Pas de négociation, ni de grand discours. Le prince sentait son coeur battre a en rompre ses côtes.
Un coup de cor fut donné et l'ennemi commença a avancer...
 

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A pas cadencé l'ennemi avança sur les lignes de Strike. La peur était palpable dans l'armée princière. En effet, Strike était un jeune commandant, et c'était là sa première bataille. Le Grand Duc, lui, avait croisé le fer plus d'une fois avec les nomades de l'Ouest.

Les tirailleurs s'étaient replié derrière les lignes, et mis en position de tir. L'ordre fut donné d'ouvrir le feu en cadence. Quelques hommes de Mirala s'écroulèrent, mais l'armée continua son avance.
Puis le Grand Duc lança la charge. Les hommes s'élancèrent.
Strike attendit qu'il se rapproche, la fatigue était un facteur clef. Courir dans un marais est épuisant. Une trentaine de mètre seulement séparé les deux forces, quand le prince abaissa son épée et déclencha la charge.

Le choc fut brutale. L'eau stagnante se rougit, les corps se chevauchaient. Strike frappait frénétiquement, le sang brouillait sa vision.
Soudain des cris se firent entendre. La cavalerie ennemi avait contournée le marais et chargé maintenant sur la droite de la ligne. Strike jeta un coup d'oeil mais ne vit rien. Puis les cris disparurent. Les sauvages étaient tombé dans le piège. La profondeur avait engloutit la majorité de la cavalerie adverse.
Cette perte fut un bouleversement pour le plan du Duc. L'ennemi fut perturbé et l'armée de libération commença à percer les lignes ennemis. Le rapport de force était tombé d'un coup. De 1 contre 4, on passait a 1 contre 3. Et les pertes ennemi devenaient lourdes.
Les lignes s'éloignèrent quelque temps. Les deux armées se réorganisée. Strike avait perdu près de 600 hommes en moin de deux heures. L'ennemi en avait perdu le triple, mais resté bien plus nombreux. A la longue il aurait la victoire si la donne ne change pas.
Les combats reprirent sur les coups de 14h. Avec autant de violence et de sang. Puis un cor se fit entendre. S'était celui de Frederic. Celui-ci était sur le point d'enfoncer le flanc gauche avec près de 1500 hommes. Le choc fut encore plus brutale. Les hommes d'Anclôme avaient écrasé les premiers rangs et ne semblaient pas pouvoir être arrêté.
La bataille tourné en la faveur de la principauté. Strike observa soudain que l'eau commençait a monter. Le sourire au lèvre il ordonna que les lignes reculent doucement sur la terre ferme et qu'elles condamnent l'adversaire à se noyer.
En ordre parfait, ils reculerent et se stabiliserent a 100 mètre de leur camps. L'ennemi croyant la bataille renverser poursuivi. Mais l'eau monté rapidement du a des pluies en amonts. En un rien de temps les hommes en armures furent paralyser. Cela tournait au desastre pour le Grand Duc qui avait pris la fuite avec le peu de troupe qui lui restait.
La bataille était gagnée. Mais Strike insista pour que l'on sorti les adversaires encore vivant de l'eau. On les libérera en temps voulu. Les hommes ne comprenaient pas pourquoi faire cela, mais s'exécutaient quand même. Après tout le prince venait de remporter une victoire sur un ennemi largement supérieur.

L'ordre fut donné de retourner au camps avec les prisonniers, de les nourrirent et de les faires dormir sur de la paille, mais surveillé bien sur.
Les hommes savaient que la guerre n'était pas fini, il allait maintenant falloir passé le Kya et prendre le port de Steplon.
Selon son décompte, Strike avait perdu près 1500 hommes dans la bataille. Mais en avait reçu autant en renfort. Son armée était donc au même effectif qu'a son départ, mais plus aguerrie.

Un messager était parti vers Glasgow pour annoncer la victoire de la principauté. Il avait bien sur minimisé ses pertes et augmenter celle de l'ennemi. Le peuple a besoin de croire en l'invincibilité de son armée.

Le soleil se leva sur le camps, et tout s'ébranla. L'armée de libération reprenait sa marche en prenant soin de contourné le marais d'ou se dégager une odeur fétide. Dans 2 jours ils seraient au passage du Kya...
 

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Guest
Bon j'espère que tu acceptes les critiques, les bonnes comme les mauvaises. Ceci est bien sûr le lot de ceux qui postent ici (j'en fais parti) donc ne prends pas ombrage de mon commentaire, au contraire.

Je te conseille essentiellement de passer ton texte dans un correcteur d'orthographe. Enormément de fautes "d'accord" et autres, ce qui nuit à la lecture et surtout la compréhension.
ex:
L'ordre fut donné de retourner au camps avec les prisonniers, de les nourrirent et de les faires dormir sur de la paille, mais surveillé bien sur.

Sinon dans ce passage par exemple, tu énonces "mais surveillé bien sur" comme si tu anticipais la réaction du lecteur. C'est toi qui mène ta barque, donc inutile d'enfoncer le clou avec le "bien sur". En ne précisant pas ce détail, tu aurais pu imaginer une fuite des prisonniers plus loin, justement par manque de surveillance. Donc je te proposerais plutôt la tournure suivante: "L'ordre fut donné de retourner au camp avec les prisonniers,encadrés de gardes vigilants, de les nourrir et de les faire dormir ....

Mais ma critique est pour l'ensemble du récit de ta bataille.
On comprend les manoeuvres mais justement cela manque de détails dans les combats. C'est bien çà, on a l'impression d'une vue aérienne de la bataille et on aimerait un gros zoom sur les combattants.
Perso j'aurais aimé que tu racontes en détail le combat entre deux adversaires ou deux groupes d'adversaire. Que ça ferraille et que ça s'étripe bon sang! Où sont le fracas de l'épée, le halètement sauvage, le souffle rauque, la respiration oppressée, les cris de rage, de haine et de souffrance. Ou sont les les combats héroïques à 5 contre 1, les coups de lame en traître, le son mat du fer qui tranche dans la chair, le bruit sonore du bouclier qui pare un coup de hache?

bon, j'arrête là. Tu écris bien sinon, ca se tient. Peut etre trop de longueur dans une scène globale (la bataille) qui mériterait d'être raccourci au profit de ce que je dis plus haut.

Je poste aussi, tu l'as peut-être vu, donc si tu veux te défouler, je t'en prie^^
(ps: pour les fautes j'en fais aussi, mais profite des outils à ta dispo pour les corriger et prends ton temps avant de balancer un texte brut de fonderie)
Amicalement
SansTerre
 

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Guest
J'apprécie la pertinance du commentaire, c'est clair et net.
Pour l'orthographe, j'avoue c'est pas mon truc, mais j'essaye de donné une texte le plus propre et lisible possible.
Quand j'écrie ce texte, je raconte une histoire, donc oui j'anticipe la réaction du lecteur. J'agie comme s'il était en face et que je lui racontais une épopée.
Pour le combat. J'avoue qu'il y a un manque cruciale de zoom sur le combat lui même, mais je ne veux pas dénaturalisé le récit. 1 homme contre 5, dans un film il fait un massacre, en vérité il tien 1 minute. Si je zoom pas tellement sur le combat lui même, c'est pour montrer l'esprit stratégique. Et Strike n'est pas un héros qui fendra un ennemi en deux d'un coup de lame. quel est l'intérêt d'avoir un héros qui terrasse qui il veut? Strike aura ses combat héroique, mais pas dans un marais...

Voila j'éspere que le prochain opus te satisfera avec la prise de Steplon.

Sinon dans le fond, l'histoire tien debout?
 

DeletedUser

Guest
Bon j'espère que tu acceptes les critiques, les bonnes comme les mauvaises. Ceci est bien sûr le lot de ceux qui postent ici (j'en fais parti) donc ne prends pas ombrage de mon commentaire, au contraire.

Je te conseille essentiellement de passer ton texte dans un correcteur d'orthographe. Enormément de fautes "d'accord" et autres, ce qui nuit à la lecture et surtout la compréhension.
ex:
L'ordre fut donné de retourner au camps avec les prisonniers, de les nourrirent et de les faires dormir sur de la paille, mais surveillé bien sur.

Sinon dans ce passage par exemple, tu énonces "mais surveillé bien sur" comme si tu anticipais la réaction du lecteur. C'est toi qui mène ta barque, donc inutile d'enfoncer le clou avec le "bien sur". En ne précisant pas ce détail, tu aurais pu imaginer une fuite des prisonniers plus loin, justement par manque de surveillance. Donc je te proposerais plutôt la tournure suivante: "L'ordre fut donné de retourner au camp avec les prisonniers,encadrés de gardes vigilants, de les nourrir et de les faire dormir ....

Mais ma critique est pour l'ensemble du récit de ta bataille.
On comprend les manoeuvres mais justement cela manque de détails dans les combats. C'est bien çà, on a l'impression d'une vue aérienne de la bataille et on aimerait un gros zoom sur les combattants.
Perso j'aurais aimé que tu racontes en détail le combat entre deux adversaires ou deux groupes d'adversaire. Que ça ferraille et que ça s'étripe bon sang! Où sont le fracas de l'épée, le halètement sauvage, le souffle rauque, la respiration oppressée, les cris de rage, de haine et de souffrance. Ou sont les les combats héroïques à 5 contre 1, les coups de lame en traître, le son mat du fer qui tranche dans la chair, le bruit sonore du bouclier qui pare un coup de hache?

bon, j'arrête là. Tu écris bien sinon, ca se tient. Peut etre trop de longueur dans une scène globale (la bataille) qui mériterait d'être raccourci au profit de ce que je dis plus haut.

Je poste aussi, tu l'as peut-être vu, donc si tu veux te défouler, je t'en prie^^
(ps: pour les fautes j'en fais aussi, mais profite des outils à ta dispo pour les corriger et prends ton temps avant de balancer un texte brut de fonderie)
Amicalement
SansTerre


En somme, outre les fautes, une description des batailles plus "homérique", sauce Illiade ?

Sinon, oui, l'histoire est intéréssante ^^. Il est juste certain que la post-production peut faire des miracles :)
 

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Strike avait vaincu a la bataille du marais, contre un ennemi supérieur en nombre. Le peuple était fou de joie. Pourtant, la guerre n'avait rien d'amusant. Les marais avait apporté beaucoup de maladie, et les hommes tombés comme des mouches, des convulsions et une forte fièvre étaient les symptômes que les médecin relevaient, mais ne pouvaient rien y faire.
Deux jours s'étaient passé depuis la victoire, et elle semblait être effacé des esprits des troupes. Strike décida de bivouaquer à quelques heures du fleuve. Les hommes avaient besoins de se reposer. L'on avait fait marche forcé et la fatigue se faisait sentir.



Le prince sorti de sa modeste tente, et se dirigea vers une compagnie de hallebardier de Glasgow. Le bivouac était organisé de manière a ce que chaque compagnie soit regroupé. Cette compagnie la c'était distingué lors de la bataille. Du bout de leur hallebardes ils repoussèrent les charges, et du tranchant ils taillaient l'ennemi. De plus ils avaient sauvé le prince d'une mauvaise passe...

La bataille était a son apogée, les hommes se battaient avec la rage des fauves. Strike faisait de son mieux pour survivre. C'est a dire, tué. Il donnait des coups de droite a gauche, le sang brouillait la vision. Il venait de reperer un chef adverse qui assenait un coup de hache a son porte-étendard.
Le prince se precipita pour que l'étendard ne touche pas le sol. Il le recupera et le redressa quand le chef barbare revint a la charge. Il le faisait deux fois en largeur autant qu'en hauteur. Sans réfléchir, Strike envoya un coup d'épée dans la clavicule du géant. Mais cela n'eus pas l'effet escompté. Le barbare enragea et contre attaqua. Le jeune prince para un premier coup, puis un deuxieme mais se retrouva au tapis. Tenant l'étendard le plus droit possible, il attendit que l'autre envoie son dernier coup. Soudain, une hallebarde perfora son foie, puis une autre lui fora la cage thoracique. Le géant s'écroula dans un bruit sourd. Les hallebardes de Glasgow avaient été les anges gardiens du prince.


Strike arriva dans la compagnie de hallebardier. Les hommes se levèrent et le regardèrent. Le jeune homme monta sur une tonneau et cria a l'attention de toute la compagnie:
"Soldat de la 1er compagnie de hallebarde de Glasgow. Vous m'avez montré combien vous étiez brave, et combien vous m'étiez fidèle. Aussi je vous nomme officiellement 1ere compagnie de la garde Princière. C'est un titre honorifique mais aussi des responsabilités en plus. Vous etes une compagnie d'élite. Et être ma garde n'est pas de tout repos.
Vous recevrez des traitements de faveur, mais il faudra le mériter tout les jours.
Demain nous chargerons en premier, alors reposez vous."

Des cries de joies sortirent du campement. Strike lui était content. Il disposé maintenant d'une compagnie d'élite ayant un impacte physique important dans les mêlées.
Il fallait maintenant s'occupé du principale. L'assaut sur Steplon. La ville était divisé par le fleuve, étendu sur les deux rives. Prendre les fortifications ne sera pas une partie de plaisir. Le Grand Duc a du mettre la défense en alerte.
Strike espéra secrètement, que son armée serait un peu comme sa Garde, héroïque et dévoué. Car prendre cette ville n'avait rien d'une partie de plaisir...
 

DeletedUser

Guest
Très intéressant, bravo.
Je suis d'accord certaines fautes m'ont faites tiqué quelque peu mais je n'écris pas non-plus impeccablement:D:D:D

J'attends la suite avec impatience:D:D
 
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