DeletedUser
Guest
Bon MV (ou Earon, ron, ron, trois p’tits tours et puis s’en vont, puisque paraît que c’est son nouveau nom, moi je le trouve kitsch) (mais à bien y réfléchir ça doit être une résurgence de son subconscient d’émo trash) (me demandez pas ce que c’est un émo trash, j’ai oublié, malgré le fait que j’aime bien l’accoler à MV (ou Earon, ron, ron, trois p’tits tours et puis s’en vont, etc.) trouve que la section manque d’activité, et j’me suis gentiment proposé pour poster un message dans le coin.
Alors quitte à faire un message, autant faire quelque chose sublimant mon génial talent (qui surpasse même celui d’un Déca en rut (oui, un café chaud quoi)), parachevant d’une panacée chamarrée mon œuvre.
Mon géniteur à l’étage du dessous d’une belle voix de ténor m’invite à venir manger des pâtes bolognaises, parce que nous sommes mardi, et que ce n’est donc pas ravioli. Je dispose à compter de maintenant d’un délai de cinq minutes pour finir ce texte et atteindre, mettons, allez, les cinq cents mots. Je ne dis pas que je vais réussir à les atteindre bien évidemment, puisque il m’en reste un peu plus de trois cents à écrire, et que mine de rien, écrire un truc complètement con, c’est un exercice imaginatif de haut vol.
Oui je viens de l’avouer, si vous en êtes rendus là, vous avez déjà lu deux cents mots sans queue ni tête, et vous avez déjà bien perdu votre temps. Mais malgré cette révélation digne des prophéties mystiques de l’oracle de Delphes, vous continuer votre lecture, car je suis intéressant malgré tout. Parlons vite, et parlons bien. Est-ce que vous aimez la salade ?
Je dis ça, je dis rien. Mais dans la mesure où je traduis votre acharnement à poursuivre votre lecture comme le fait que je vous intéresse, bien que ma valeur marchande égale plus ou moins le PIB du Qatar, et je me sens donc obligé de m’intéresser à vous en retour. Oui car pour moi, l’écriture c’est un échange. Actuellement, certes, en fait d'échanges, ce sont des propos plutôt futiles, dignes d’une Zazie (spéciale cassdédi), mais imaginez, je sais bien que c’est dur, que l’on transforme tout d’un coup l’art d’écrire (mais l’art d’écrire quelque chose d’intéressant, pas de faire des e en dessinant un mouton) pour lui donner une dimension symbolique porteuse du flambeau doré de l’espoir des peuples.
Voilà, c’est tout, je vais manger.
Alors quitte à faire un message, autant faire quelque chose sublimant mon génial talent (qui surpasse même celui d’un Déca en rut (oui, un café chaud quoi)), parachevant d’une panacée chamarrée mon œuvre.
Mon géniteur à l’étage du dessous d’une belle voix de ténor m’invite à venir manger des pâtes bolognaises, parce que nous sommes mardi, et que ce n’est donc pas ravioli. Je dispose à compter de maintenant d’un délai de cinq minutes pour finir ce texte et atteindre, mettons, allez, les cinq cents mots. Je ne dis pas que je vais réussir à les atteindre bien évidemment, puisque il m’en reste un peu plus de trois cents à écrire, et que mine de rien, écrire un truc complètement con, c’est un exercice imaginatif de haut vol.
Oui je viens de l’avouer, si vous en êtes rendus là, vous avez déjà lu deux cents mots sans queue ni tête, et vous avez déjà bien perdu votre temps. Mais malgré cette révélation digne des prophéties mystiques de l’oracle de Delphes, vous continuer votre lecture, car je suis intéressant malgré tout. Parlons vite, et parlons bien. Est-ce que vous aimez la salade ?
Je dis ça, je dis rien. Mais dans la mesure où je traduis votre acharnement à poursuivre votre lecture comme le fait que je vous intéresse, bien que ma valeur marchande égale plus ou moins le PIB du Qatar, et je me sens donc obligé de m’intéresser à vous en retour. Oui car pour moi, l’écriture c’est un échange. Actuellement, certes, en fait d'échanges, ce sont des propos plutôt futiles, dignes d’une Zazie (spéciale cassdédi), mais imaginez, je sais bien que c’est dur, que l’on transforme tout d’un coup l’art d’écrire (mais l’art d’écrire quelque chose d’intéressant, pas de faire des e en dessinant un mouton) pour lui donner une dimension symbolique porteuse du flambeau doré de l’espoir des peuples.
Voilà, c’est tout, je vais manger.
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