DeletedUser331
Guest
Battle de la compétition, plus de détails ici et là
Thème : Entrer dans les pensées d'un personnage et nous faire suivre le cours de ses pensées, de ses émotions
N° de rencontre : 10
Participants : Remleroi VS Treunsty
Arbitre : Gandalflerouge
Taille : Maximum de 15 000 caractères
Contrainte respectée.
Thème : Entrer dans les pensées d'un personnage et nous faire suivre le cours de ses pensées, de ses émotions
N° de rencontre : 10
Participants : Remleroi VS Treunsty
Arbitre : Gandalflerouge
Taille : Maximum de 15 000 caractères
Contrainte respectée.
Personne ne savait ce qu'il c'était passé, mais surtout pourquoi ça c'était passé. Peu de gens avaient vraiment vu la scène, beaucoup plus l'avait entendu. La police était déjà sur place, interrogeant les personnes qui n'avaient pas eu la force de quitter la scène d'horreur, qui hurlaient ou pleuraient, toutes dans les bras les unes des autres.
Maxime fut réveillé par le bruit des oiseaux qui chantonnait pour célébrer l'arrivée du soleil. Il tourna doucement la tête vers le réveil, vit qu'il était seulement cinq heures du matin, soupira longuement et essaya de se rendormir. Après avoir maudit les oiseaux et leur chants, il se leva et se rendit compte qu'il était habillé.
Il se rappela qu'il avait été à une soirée, chez Julien et il avait bu, il en était sur, le seul souvenir de la soirée étant les toilettes. Vodka, Whisky, Bière, Picon, Ricard, seul dieu s'en souvenait. Il fît le tour de la maison, cherchant désespérément quel que chose, s'en se souvenir de ce que c'était. Il bu de l'eau, 5 fois, dans 5 verres différents ne sachant même pas où ils les posaient. Sa capacité de réflexion s'éclaircit, il alla vers la Salle de Bains où il se met la tête sous le robinet durant 10 bonnes minutes.
Il décida ensuite de prendre une douche, parce qu'il n'était pas encore dans un état propice à aller en cours mais aussi pour enlever l'odeur de l'alcool qui lui donner encore envie de vomir, en parlant de vomit, es-ce bien une odeur d'alcool*? Maxime ne voulut pas le savoir, mit ses fringues dans le lavabo et prit sa douche ou du moins rentra dans la douche, avant de s'endormir. Il se réveilla 5 minutes plus tard, alluma l'eau à tâtons, en gémissant de la couleur qui amplifier son corps. L'eau lui fît du bien, la chaleur calmant son mal de crâne, typique des soirées à son âge, mais elle réveilla aussi ses muscles engourdis et fatigués de la vielle. Il se rappela maintenant d'avoir danser cette nuit, avec une fille, ou plutôt des filles. Leurs prénoms étaient perdus dans sa mémoire, en tout cas plus que leurs poitrines...
Il sortit de la douche, s'habilla avec une caleçon rouge enfila un jean avec sa ceinture blanche et une chemise bleu océan, dont il laissa ouvert les 2 premiers boutons. Il regarda de ses yeux bleu dans la glace pour apercevoir la ceinture de son père, noir, tachée de sang, plus ou moins frais.
Maxime était un jeune lycéen de 17 ans, qui vivait chez ses parents pour une durée indéterminée, plus pour maintenir sa mère en vie qui par envie personnel. Il était le fils unique d'un père alcoolique vendeur de drogue qui battait sa femme et d'une pauvre fille qui n'avait pas fait le bon choix, c'était même plutôt loin du prince charmant.
Il se regarda dans le miroir, les yeux cernés par ses pires cauchemars, il se sentit mal, sa tête tourna, il eu envie de vomir et un grand vertige. Il vomit finalement dans le lavabo en dessous du miroir, réprimant un dégoût. Il nettoya le lavabo et ses mains, avant de prendre 2 cachets contre les vomissements qui n'eurent pas le temps de faire effet, car il retourna vomir en se voyant dans le mirroir. Il resta dans la salle de bains pour se coiffer, faisant des pics avec ses courts cheveux blonds. C'était ça une partie de sa vie, lutter pour ne pas quitter la maison, pour la vie de sa mère, vomissement et vertiges réguliers, prise de cachets. Tout ça ne pourrai pas durer encore longtemps.
Il soupira longuement, puis alla mettre ses chaussures, dans un état semi endormit pour ce rendre au lycée. Aujourd'hui il avait une journée plutôt tranquille, qui devrait normalement ce déroulé sans accroc. Il sortit de la maison, il faisait frais, même voir froid, il eu un frisson à cause du vent glacial qui lui traversa les os. Il ne voulu pas chercher une veste ou même un pull, il marcha donc jusqu'à la station de bus, traînant les pieds, soupirant de sa vie de misère...
Le bus s'arrêta à la station 10 minutes en retard, n'ouvrit que les portes arrière, laissant le jeune homme sur le bas-coté. Maxime se mit donc à marcher jusqu'au lycée, en maudissant autant que possible le chauffeur de bus, priant même pour qu'il est un accident.
Il arriva en cours de sport avec 1 heure de retard, rentra dans les vestiaires, se changea, répondit aux 50 personnes qui lui demander la raison de son retard. Il leur expliqua l'histoire du bus, à regret, 2 heures plus tard, tout le lycée ce moquer de lui. Il ne pouvait pas tourner la tête sans entendre quel qu'un raconter son aventure du matin. De dos, il vit son pote Pierre, entrain d'embrasser une fille. Il s'approcha pour vers qui était donc la donzelle.
Il ne fit pas 2 pas sans que précipitamment plus de 10 personnes lui demandèrent de raconter a nouveau l'histoire du bus. Il regretta le fait de les envoyer balader, car il vit, sa petite amie, dans les bras de son meilleur pote. Son meilleur pote, une bonne couverture pour s'approcher d’Éva. Il fut pris de fureur, il emmena Pierre au milieu d'un couloir vide, pendant que celui ci bafouiller des explications débiles.
Il sortit le revolver qui était dans son sac, le pointa sur Pierre, droit entre les 2 yeux. La voix lointaine d’Éva lui demanda de poser l'arme, de ne pas faire une bêtise qu'il regretterai... Après avoir pensé durant 5 minutes à sa journée et à sa vie, il détourna le revolver, le mit dans sa bouche et ce fit sauter la cervelle, sans aucune hésitation.
Maxime fut réveillé par le bruit des oiseaux qui chantonnait pour célébrer l'arrivée du soleil. Il tourna doucement la tête vers le réveil, vit qu'il était seulement cinq heures du matin, soupira longuement et essaya de se rendormir. Après avoir maudit les oiseaux et leur chants, il se leva et se rendit compte qu'il était habillé.
Il se rappela qu'il avait été à une soirée, chez Julien et il avait bu, il en était sur, le seul souvenir de la soirée étant les toilettes. Vodka, Whisky, Bière, Picon, Ricard, seul dieu s'en souvenait. Il fît le tour de la maison, cherchant désespérément quel que chose, s'en se souvenir de ce que c'était. Il bu de l'eau, 5 fois, dans 5 verres différents ne sachant même pas où ils les posaient. Sa capacité de réflexion s'éclaircit, il alla vers la Salle de Bains où il se met la tête sous le robinet durant 10 bonnes minutes.
Il décida ensuite de prendre une douche, parce qu'il n'était pas encore dans un état propice à aller en cours mais aussi pour enlever l'odeur de l'alcool qui lui donner encore envie de vomir, en parlant de vomit, es-ce bien une odeur d'alcool*? Maxime ne voulut pas le savoir, mit ses fringues dans le lavabo et prit sa douche ou du moins rentra dans la douche, avant de s'endormir. Il se réveilla 5 minutes plus tard, alluma l'eau à tâtons, en gémissant de la couleur qui amplifier son corps. L'eau lui fît du bien, la chaleur calmant son mal de crâne, typique des soirées à son âge, mais elle réveilla aussi ses muscles engourdis et fatigués de la vielle. Il se rappela maintenant d'avoir danser cette nuit, avec une fille, ou plutôt des filles. Leurs prénoms étaient perdus dans sa mémoire, en tout cas plus que leurs poitrines...
Il sortit de la douche, s'habilla avec une caleçon rouge enfila un jean avec sa ceinture blanche et une chemise bleu océan, dont il laissa ouvert les 2 premiers boutons. Il regarda de ses yeux bleu dans la glace pour apercevoir la ceinture de son père, noir, tachée de sang, plus ou moins frais.
Maxime était un jeune lycéen de 17 ans, qui vivait chez ses parents pour une durée indéterminée, plus pour maintenir sa mère en vie qui par envie personnel. Il était le fils unique d'un père alcoolique vendeur de drogue qui battait sa femme et d'une pauvre fille qui n'avait pas fait le bon choix, c'était même plutôt loin du prince charmant.
Il se regarda dans le miroir, les yeux cernés par ses pires cauchemars, il se sentit mal, sa tête tourna, il eu envie de vomir et un grand vertige. Il vomit finalement dans le lavabo en dessous du miroir, réprimant un dégoût. Il nettoya le lavabo et ses mains, avant de prendre 2 cachets contre les vomissements qui n'eurent pas le temps de faire effet, car il retourna vomir en se voyant dans le mirroir. Il resta dans la salle de bains pour se coiffer, faisant des pics avec ses courts cheveux blonds. C'était ça une partie de sa vie, lutter pour ne pas quitter la maison, pour la vie de sa mère, vomissement et vertiges réguliers, prise de cachets. Tout ça ne pourrai pas durer encore longtemps.
Il soupira longuement, puis alla mettre ses chaussures, dans un état semi endormit pour ce rendre au lycée. Aujourd'hui il avait une journée plutôt tranquille, qui devrait normalement ce déroulé sans accroc. Il sortit de la maison, il faisait frais, même voir froid, il eu un frisson à cause du vent glacial qui lui traversa les os. Il ne voulu pas chercher une veste ou même un pull, il marcha donc jusqu'à la station de bus, traînant les pieds, soupirant de sa vie de misère...
Le bus s'arrêta à la station 10 minutes en retard, n'ouvrit que les portes arrière, laissant le jeune homme sur le bas-coté. Maxime se mit donc à marcher jusqu'au lycée, en maudissant autant que possible le chauffeur de bus, priant même pour qu'il est un accident.
Il arriva en cours de sport avec 1 heure de retard, rentra dans les vestiaires, se changea, répondit aux 50 personnes qui lui demander la raison de son retard. Il leur expliqua l'histoire du bus, à regret, 2 heures plus tard, tout le lycée ce moquer de lui. Il ne pouvait pas tourner la tête sans entendre quel qu'un raconter son aventure du matin. De dos, il vit son pote Pierre, entrain d'embrasser une fille. Il s'approcha pour vers qui était donc la donzelle.
Il ne fit pas 2 pas sans que précipitamment plus de 10 personnes lui demandèrent de raconter a nouveau l'histoire du bus. Il regretta le fait de les envoyer balader, car il vit, sa petite amie, dans les bras de son meilleur pote. Son meilleur pote, une bonne couverture pour s'approcher d’Éva. Il fut pris de fureur, il emmena Pierre au milieu d'un couloir vide, pendant que celui ci bafouiller des explications débiles.
Il sortit le revolver qui était dans son sac, le pointa sur Pierre, droit entre les 2 yeux. La voix lointaine d’Éva lui demanda de poser l'arme, de ne pas faire une bêtise qu'il regretterai... Après avoir pensé durant 5 minutes à sa journée et à sa vie, il détourna le revolver, le mit dans sa bouche et ce fit sauter la cervelle, sans aucune hésitation.
Ce matin je suis serein, au calme, la douce mélodie de la nature m'encadre, sans être préoccupé, quel délice… Ne se soucier de rien, je compte bien le savourer ce petit instant de plaisir.
Je me suis rendormi, sans m'en apercevoir, je jette un coup d’œil à ma montre, 11h… J'ai l'impression d'avoir dormi une éternité c'est bien moi ça.
Je me lève et, tout à coup, la chaleur et des battements rapides, oui, un frisson d'amour parcourt mon corps... Cette rencontre hier, c'était fabuleux. Je me souviens lentement de cette soirée qui m'avait tant marquée… Au code pour mon permis, dans la salle, une fille m'est apparue. J'étais sur mon petit nuage dans mon canapé à regarder one pièce, c'était une belle soirée qui m'avait remonté le moral, alors que de jour en jour je sombrais dans l'obscurité et la dépression, mais hier, cette lumière est passée nette dans mon cœur et l'a ravivé…
Le sourire s'affiche sur mon visage, oui, aujourd'hui je suis motivé : je vais bien me laver, me raser, me coiffer, choisir une belle tenue convenable et je vais aller au code. A la séance de 18h-20h ce soir, elle sera sans doute là, je l’espère. Mais avant ceci, j'ai mon jogging journalier à effectuer.
Me revisionner sont regard, son étreinte charnelle. Quelle majestueuse idée que la beauté d'une femme... La sienne était plus exquise que la moyenne. Son regard félin me faisait pâlir, quand elle avait rattaché ses cheveux, sa poitrine dessinée était aussi saisissante. Oui, sa beauté était plus que mirobolante...
Ma dépression au placard, aujourd'hui je compte bien être joyeux, afficher un sourire à ma vie! Je saisis mon xperia et j'appelle ma meilleure amie, lui raconter ce qui m'est arrivé, elle risque d'être contente pour moi car je sais que pour elle, me voir sombrer la rendait triste, c'est pour cela que je comptais l'appeler pour lui donner de bonnes nouvelles de ma part.
Voilà, appel terminé. Ma joie devient plus forte au fur et à mesure que les heures passent, je m'aperçois que l'heure propice arrive bientôt. Là je vais respirer un peu dehors, me défouler, je pars faire mon footing habituel, on dit qu'on court pour chasser toutes idées de sa tête, moi c'est l'alimentation de ces pensées qui me nourris de courage pour finir mon marathon jusqu'au bout. Son regard, on peut presque dire qu'il hante ma conscience, si fragile soit-elle..
Essoufflé, je m’arrête de courir volontairement, je marche pour récupérer un peu, je suis à dix, quinze mètres de chez moi, je franchis mon portail puis la porte d'entrée, je dépose mes clés et je monte me doucher, me préparer.
En réalité, je me voilais la face, pour ne pas désespérer… Je suis l'homme le plus timide du monde, par conséquent il m’était impossible de l'aborder, ce serait à elle de l'entreprendre, mais je n'étais pas confiant sur ce point... Je me pose sur le canapé et je réfléchis, comme toujours, je pense à tout… Toutes les alternatives, comment s’accaparer de cette chance, tel était le secret de ma réussite. Ma conscience avait peur de l'inconnu, et de la méchanceté humaine, cette banalité à refouler les gens, sans aucune compassion, devant toute une scène de spectateurs, cela fait peur, et mal… Je ne le supporterai probablement pas, non, en fait, je ne le supporterai pas, c'est une certitude.
Je recommence à m’immerger de pensées négatives, ce n'est pas vivable, pourrait-elle tout changer ? Est-ce qu'elle m'aime ? Ou éprouve-t-elle, ne serait-ce qu’une envie, une quelconque attirance pour moi... Pourrait-elle éclairer mon cœur ? Qui, durant tant d'années passées, avait sombré dans l'obscurité la plus ténébreuse qu'il soit, ce n'est pas de la méchanceté qui émanait de ma conscience, mais une sensation invivable… Pire que tout autre sentiment, la sensation de ne pouvoir rien réussir… Cela me fait tellement peur, que je fais parfois des insomnies…
Non, ça suffit, ne pense plus. Je regarde ma montre, je me repasse cette scène de l'autre jour, mon cœur qui palpitait comme jamais, son regard… Oui, cette flamme s'accroît en moi, je me dois de la revoir, je ne veux pas me séparer de sa beauté sans égale.
Penser à sa bouche… Mes doigts scrutant ses lèvres… Avec douceur et amour, l'amour que je t'apporterai, n'aurait de limite que dans la mort... Et même, là-bas je défierai Dante pour t'avoir à mes côtés, je ne te connais pas par cœur, mais je sais qui tu es. Je me souviens, on était dans le même collège. Aujourd'hui, le temps est passé, nous avons tous grandis, et tous vécu d’innombrables péripéties, mais je sais que tu n'es pas une fille mauvaise. Je sais que tu dois être quelqu'un de formidable, de charmante, la fille parfaite, celle qu'il me faut. Je réfléchis toujours, encore et encore, maintenant cela doit cesser, je pars à mon rendez-vous, le code, bien motivé, et impatient de redécouvrir cette lumière.
Sondant les environs, elle n'est pas encore arrivée, je stresse quelque peu. Assis dans la salle, j'attends, je m'impatiente de la voir, des gens défilent, mais pas elle. Les minutes passent, je scrute le cadran de ma montre, il reste seulement cinq petite minutes avant que la série ne commence. Puis, soudain, un moteur de scooter se fait retentir dehors, c'est elle, elle est venue !
Elle s’assied à deux sièges de moi, de façon à ce que l'on puisse se regarder, un petit sourire au coin de ses lèvres... Mon corps frissonne, elle m'a souri... Dans ma tête c'est l'orgie. Je suis tellement euphorique, la joie prend le contrôle de mon corps, je le lui rends de suite.
Le moteur en route, la série du code se met en marche, mais il m'est difficile de suivre... Durant toute la séance, nos regards langoureux se sont longuement croisés. Je m'extrais de cet espace-temps, je me fiche de ces gens qui m'entourent, mon seul désir est de l'aimer.
Arrive la fin de ces deux séances, je quitte le bâtiment… Je ne pourrai jamais l'aborder de toute façon, ma timidité m'en empêche… Je me prépare à rentrer chez moi, une boule à l'estomac, seulement, dans cette élan, j'entraperçois une voix, douce et mélodieuse qui m'appelle, mon corps se fige, terrorisé de peur, j'imagine tout un tas de scénario. Je me retourne, elle est là, sa silhouette dressée devant le soleil, tel un ange. Elle me sourit, me parle, s'intéresse à moi. Nous discutons de tout et de rien, de ce qu'elle devient, ce qu'elle veut réaliser, je bois ces paroles avec délectation, je me perds dans son regard, sa bouche, ses yeux fascinés. Tant de passion, je comprends à présent, ce qu'est le désir absolu…
Mais elle doit déjà s'en aller, elle démarre son scooter et me dit qu'elle doit partir, et là, mon cœur se met à battre plus fort. Je dois le lui demander. Aller parle ! J'ose lui demander son numéro de téléphone… Elle me sourit, ce qui me fait frissonner, et me le donne… Je suis conquis. J'espère qu'elle aussi. Cette histoire n'est pas encore finie...
Je me suis rendormi, sans m'en apercevoir, je jette un coup d’œil à ma montre, 11h… J'ai l'impression d'avoir dormi une éternité c'est bien moi ça.
Je me lève et, tout à coup, la chaleur et des battements rapides, oui, un frisson d'amour parcourt mon corps... Cette rencontre hier, c'était fabuleux. Je me souviens lentement de cette soirée qui m'avait tant marquée… Au code pour mon permis, dans la salle, une fille m'est apparue. J'étais sur mon petit nuage dans mon canapé à regarder one pièce, c'était une belle soirée qui m'avait remonté le moral, alors que de jour en jour je sombrais dans l'obscurité et la dépression, mais hier, cette lumière est passée nette dans mon cœur et l'a ravivé…
Le sourire s'affiche sur mon visage, oui, aujourd'hui je suis motivé : je vais bien me laver, me raser, me coiffer, choisir une belle tenue convenable et je vais aller au code. A la séance de 18h-20h ce soir, elle sera sans doute là, je l’espère. Mais avant ceci, j'ai mon jogging journalier à effectuer.
Me revisionner sont regard, son étreinte charnelle. Quelle majestueuse idée que la beauté d'une femme... La sienne était plus exquise que la moyenne. Son regard félin me faisait pâlir, quand elle avait rattaché ses cheveux, sa poitrine dessinée était aussi saisissante. Oui, sa beauté était plus que mirobolante...
Ma dépression au placard, aujourd'hui je compte bien être joyeux, afficher un sourire à ma vie! Je saisis mon xperia et j'appelle ma meilleure amie, lui raconter ce qui m'est arrivé, elle risque d'être contente pour moi car je sais que pour elle, me voir sombrer la rendait triste, c'est pour cela que je comptais l'appeler pour lui donner de bonnes nouvelles de ma part.
Voilà, appel terminé. Ma joie devient plus forte au fur et à mesure que les heures passent, je m'aperçois que l'heure propice arrive bientôt. Là je vais respirer un peu dehors, me défouler, je pars faire mon footing habituel, on dit qu'on court pour chasser toutes idées de sa tête, moi c'est l'alimentation de ces pensées qui me nourris de courage pour finir mon marathon jusqu'au bout. Son regard, on peut presque dire qu'il hante ma conscience, si fragile soit-elle..
Essoufflé, je m’arrête de courir volontairement, je marche pour récupérer un peu, je suis à dix, quinze mètres de chez moi, je franchis mon portail puis la porte d'entrée, je dépose mes clés et je monte me doucher, me préparer.
En réalité, je me voilais la face, pour ne pas désespérer… Je suis l'homme le plus timide du monde, par conséquent il m’était impossible de l'aborder, ce serait à elle de l'entreprendre, mais je n'étais pas confiant sur ce point... Je me pose sur le canapé et je réfléchis, comme toujours, je pense à tout… Toutes les alternatives, comment s’accaparer de cette chance, tel était le secret de ma réussite. Ma conscience avait peur de l'inconnu, et de la méchanceté humaine, cette banalité à refouler les gens, sans aucune compassion, devant toute une scène de spectateurs, cela fait peur, et mal… Je ne le supporterai probablement pas, non, en fait, je ne le supporterai pas, c'est une certitude.
Je recommence à m’immerger de pensées négatives, ce n'est pas vivable, pourrait-elle tout changer ? Est-ce qu'elle m'aime ? Ou éprouve-t-elle, ne serait-ce qu’une envie, une quelconque attirance pour moi... Pourrait-elle éclairer mon cœur ? Qui, durant tant d'années passées, avait sombré dans l'obscurité la plus ténébreuse qu'il soit, ce n'est pas de la méchanceté qui émanait de ma conscience, mais une sensation invivable… Pire que tout autre sentiment, la sensation de ne pouvoir rien réussir… Cela me fait tellement peur, que je fais parfois des insomnies…
Non, ça suffit, ne pense plus. Je regarde ma montre, je me repasse cette scène de l'autre jour, mon cœur qui palpitait comme jamais, son regard… Oui, cette flamme s'accroît en moi, je me dois de la revoir, je ne veux pas me séparer de sa beauté sans égale.
Penser à sa bouche… Mes doigts scrutant ses lèvres… Avec douceur et amour, l'amour que je t'apporterai, n'aurait de limite que dans la mort... Et même, là-bas je défierai Dante pour t'avoir à mes côtés, je ne te connais pas par cœur, mais je sais qui tu es. Je me souviens, on était dans le même collège. Aujourd'hui, le temps est passé, nous avons tous grandis, et tous vécu d’innombrables péripéties, mais je sais que tu n'es pas une fille mauvaise. Je sais que tu dois être quelqu'un de formidable, de charmante, la fille parfaite, celle qu'il me faut. Je réfléchis toujours, encore et encore, maintenant cela doit cesser, je pars à mon rendez-vous, le code, bien motivé, et impatient de redécouvrir cette lumière.
Sondant les environs, elle n'est pas encore arrivée, je stresse quelque peu. Assis dans la salle, j'attends, je m'impatiente de la voir, des gens défilent, mais pas elle. Les minutes passent, je scrute le cadran de ma montre, il reste seulement cinq petite minutes avant que la série ne commence. Puis, soudain, un moteur de scooter se fait retentir dehors, c'est elle, elle est venue !
Elle s’assied à deux sièges de moi, de façon à ce que l'on puisse se regarder, un petit sourire au coin de ses lèvres... Mon corps frissonne, elle m'a souri... Dans ma tête c'est l'orgie. Je suis tellement euphorique, la joie prend le contrôle de mon corps, je le lui rends de suite.
Le moteur en route, la série du code se met en marche, mais il m'est difficile de suivre... Durant toute la séance, nos regards langoureux se sont longuement croisés. Je m'extrais de cet espace-temps, je me fiche de ces gens qui m'entourent, mon seul désir est de l'aimer.
Arrive la fin de ces deux séances, je quitte le bâtiment… Je ne pourrai jamais l'aborder de toute façon, ma timidité m'en empêche… Je me prépare à rentrer chez moi, une boule à l'estomac, seulement, dans cette élan, j'entraperçois une voix, douce et mélodieuse qui m'appelle, mon corps se fige, terrorisé de peur, j'imagine tout un tas de scénario. Je me retourne, elle est là, sa silhouette dressée devant le soleil, tel un ange. Elle me sourit, me parle, s'intéresse à moi. Nous discutons de tout et de rien, de ce qu'elle devient, ce qu'elle veut réaliser, je bois ces paroles avec délectation, je me perds dans son regard, sa bouche, ses yeux fascinés. Tant de passion, je comprends à présent, ce qu'est le désir absolu…
Mais elle doit déjà s'en aller, elle démarre son scooter et me dit qu'elle doit partir, et là, mon cœur se met à battre plus fort. Je dois le lui demander. Aller parle ! J'ose lui demander son numéro de téléphone… Elle me sourit, ce qui me fait frissonner, et me le donne… Je suis conquis. J'espère qu'elle aussi. Cette histoire n'est pas encore finie...
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