DeletedUser21981
Guest
Messieurs Dames, Damoiseaux Damoiselles, mécréants et autres charlatans, et même vous autres les chats errants, je vous souhaite la Bienvenue !
Voici pour vous, ici même, eh oui vous en avez de la chance, le recueil de certains de mes textes, poésies, nouvelles, et autres !
En espérant ici attirer les critiques les plus constructives, les âmes les plus riches, et les écrivains amateurs qui tel que moi s'échinent à tenter d'étendre leurs idées sur papier.
Il y aura ici en grande majorité d'anciens textes que j'ai écrit au cours des cinq ou six années précédentes, mais également mes créations les plus récentes, et mes publications sur le forum.
"L'écriture ou cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète."
Poésies :
Textes et Nouvelles :
Voici pour vous, ici même, eh oui vous en avez de la chance, le recueil de certains de mes textes, poésies, nouvelles, et autres !
En espérant ici attirer les critiques les plus constructives, les âmes les plus riches, et les écrivains amateurs qui tel que moi s'échinent à tenter d'étendre leurs idées sur papier.
Il y aura ici en grande majorité d'anciens textes que j'ai écrit au cours des cinq ou six années précédentes, mais également mes créations les plus récentes, et mes publications sur le forum.
"L'écriture ou cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète."
Mesdames et Messieurs, sans plus attendre, je vous souhaite la bienvenue dans les méandres de mon esprit !
Poésies :
Pour toi...
Je perds. Je perds tout.
Je m’en vais. Mais je ne sais où.
Mon esprit n’est plus mien.
Je ne comprends plus rien.
Une pensée, un éclair de lucidité.
Un songe, un rêve éveillé.
Une révélation, un chant de vie.
Une déclaration, d’un coup je souris.
Pensée fugace,
Lointaine menace,
Songe faisant taire le glas,
Révélation de ma Voie.
Sentiments contradictoires,
Je tâtonne dans le noir,
Avis contredit,
Je ne sais plus où j’en suis.
Une seule chose est claire,
Cette envie qui m’éclaire,
Ce besoin irrésistible
De vivre ce sentiment indescriptible
Âmes mêlées
Par cette chose improbable,
Âmes liées
Par ce sentiment incontrôlable…
Je te serrerai contre moi,
Je te dirai que j’aime ça,
Je t’ouvrirai mon cœur,
Sans peine et sans peur.
Pour toi je m’arracherai les bras,
Pour rien je ne renoncerai à toi,
Tu as mon cœur, mon âme, mon corps…
Fais en ce que tu veux, choisis mon sort.
Garde-moi près de toi si tel est ton choix,
Sinon ces songes éveillés s’en iront là-bas,
Et j’entendrais de nouveau le glas
Qui m’enverra au trépas…
Joue toi de moi, détruis mon esprit,
Quelques mots de toi peuvent faire ceci.
Mais avant que tu fasses ton choix,
S’il te plait laisse-moi…
Laisse-moi te dire que pour moi,
Ce n’est pas possible de vivre sans toi.
Laisse-moi t’avouer sans gêne
Que, bien plus que tout, je t’aime.
Je perds. Je perds tout.
Je m’en vais. Mais je ne sais où.
Mon esprit n’est plus mien.
Je ne comprends plus rien.
Une pensée, un éclair de lucidité.
Un songe, un rêve éveillé.
Une révélation, un chant de vie.
Une déclaration, d’un coup je souris.
Pensée fugace,
Lointaine menace,
Songe faisant taire le glas,
Révélation de ma Voie.
Sentiments contradictoires,
Je tâtonne dans le noir,
Avis contredit,
Je ne sais plus où j’en suis.
Une seule chose est claire,
Cette envie qui m’éclaire,
Ce besoin irrésistible
De vivre ce sentiment indescriptible
Âmes mêlées
Par cette chose improbable,
Âmes liées
Par ce sentiment incontrôlable…
Je te serrerai contre moi,
Je te dirai que j’aime ça,
Je t’ouvrirai mon cœur,
Sans peine et sans peur.
Pour toi je m’arracherai les bras,
Pour rien je ne renoncerai à toi,
Tu as mon cœur, mon âme, mon corps…
Fais en ce que tu veux, choisis mon sort.
Garde-moi près de toi si tel est ton choix,
Sinon ces songes éveillés s’en iront là-bas,
Et j’entendrais de nouveau le glas
Qui m’enverra au trépas…
Joue toi de moi, détruis mon esprit,
Quelques mots de toi peuvent faire ceci.
Mais avant que tu fasses ton choix,
S’il te plait laisse-moi…
Laisse-moi te dire que pour moi,
Ce n’est pas possible de vivre sans toi.
Laisse-moi t’avouer sans gêne
Que, bien plus que tout, je t’aime.
Sept jours
Si dans sept jours je dois te quitter,
S’il ne me reste que six nuits à respirer,
Dois-je te révéler toutes mes pensées...
Ou seulement te laisser m’oublier ?
Et si avant sept jours je te l’avouai,
Si durant six nuits tu devais y penser
Pourrais-tu te résoudre à me pardonner
De tout le mal que je me suis infligé ?
Ou même seulement pourrais-tu songer
Avant sept jours à me reparler
Que je ne parte pas détesté
D’une âme que depuis toujours j’ai aimé…
Si dans sept jours je dois te quitter,
S’il ne me reste que six nuits à respirer,
Dois-je te révéler toutes mes pensées...
Ou seulement te laisser m’oublier ?
Et si avant sept jours je te l’avouai,
Si durant six nuits tu devais y penser
Pourrais-tu te résoudre à me pardonner
De tout le mal que je me suis infligé ?
Ou même seulement pourrais-tu songer
Avant sept jours à me reparler
Que je ne parte pas détesté
D’une âme que depuis toujours j’ai aimé…
Ô toi...
Pourquoi refermes-tu tes bras
Comme ça, autour de moi ?
Tu emprisonnes mon âme
Et dans mon esprit tout haut tu clames
Tu hurles mes malheurs
D’une voix pleine de rancœur
Je ne peux te faire taire
Car sans toi je ne peux rien faire.
Tu me rappelles mes mauvais jours
Face auxquels je ne peux être sourd
Alors je me renferme sur moi-même,
Ma peau en devient blême.
Et du fond de ma litanie
Autour de moi tout resurgit.
Je suis perdu dans ce tourbillon
Qui m’emmène au loin, au-delà des monts
Alors en réponse à ton cri
Je hurle tout ce que j’ai subi,
Je me lève vers le ciel
En bravant cette grêle…
Grêle de souffrance
Qui me transperce comme une lance
Tu détruis mon esprit
M’empêche de penser à mes amis.
Mais même si tu te jettes sur moi,
Quand je suis seul, sans toi,
Je peux creuser dans ta substance
En passant outre ce qui est rance,
Et de moi-même dénicher
Ce que je ne dois pas oublier
Tous mes beaux jours
Et tout cet amour.
Tu as cru me détruire
Laisse-moi rire
Tu n’es pas composée que de noir
Ô toi ma Mémoire…
Pourquoi refermes-tu tes bras
Comme ça, autour de moi ?
Tu emprisonnes mon âme
Et dans mon esprit tout haut tu clames
Tu hurles mes malheurs
D’une voix pleine de rancœur
Je ne peux te faire taire
Car sans toi je ne peux rien faire.
Tu me rappelles mes mauvais jours
Face auxquels je ne peux être sourd
Alors je me renferme sur moi-même,
Ma peau en devient blême.
Et du fond de ma litanie
Autour de moi tout resurgit.
Je suis perdu dans ce tourbillon
Qui m’emmène au loin, au-delà des monts
Alors en réponse à ton cri
Je hurle tout ce que j’ai subi,
Je me lève vers le ciel
En bravant cette grêle…
Grêle de souffrance
Qui me transperce comme une lance
Tu détruis mon esprit
M’empêche de penser à mes amis.
Mais même si tu te jettes sur moi,
Quand je suis seul, sans toi,
Je peux creuser dans ta substance
En passant outre ce qui est rance,
Et de moi-même dénicher
Ce que je ne dois pas oublier
Tous mes beaux jours
Et tout cet amour.
Tu as cru me détruire
Laisse-moi rire
Tu n’es pas composée que de noir
Ô toi ma Mémoire…
Musique
Dans un lit de rêve je laisse mon esprit s’égarer
Mélodie du bonheur et du rêve je t’adule
Prend mon âme je te l’offre pour t’écouter
Musique tu m’enfermes dans une bulle.
Une bulle de plaisir qui ne saurait disparaître
Tant que les violons jouent de tout leur être
Et que le beau piano lentement résonne
Ô douce mélodie je t’affectionne.
Je te laisse m’emporter dans ta barque
Dans un océan de rythmes et de couleurs
Je ne peux chavirer sous tant de fleurs
Mon cœur est à toi tant que je ne débarque.
Quand la mélodie doucement s’élève
Elle emporte avec elle des milliers de rêves
Je ne serais être triste avec toi
Tu as nourris tant de vie en moi.
Dans un lit de rêve je laisse mon esprit s’égarer
Mélodie du bonheur et du rêve je t’adule
Prend mon âme je te l’offre pour t’écouter
Musique tu m’enfermes dans une bulle.
Une bulle de plaisir qui ne saurait disparaître
Tant que les violons jouent de tout leur être
Et que le beau piano lentement résonne
Ô douce mélodie je t’affectionne.
Je te laisse m’emporter dans ta barque
Dans un océan de rythmes et de couleurs
Je ne peux chavirer sous tant de fleurs
Mon cœur est à toi tant que je ne débarque.
Quand la mélodie doucement s’élève
Elle emporte avec elle des milliers de rêves
Je ne serais être triste avec toi
Tu as nourris tant de vie en moi.
Textes et Nouvelles :
Toi
Assis sur mon fauteuil face à la cheminée, les yeux dans les vagues je pensais à tout cela. A ma femme si merveilleuse, et à ces mots qui me berçaient à chaque instant me poussant à défier la vie et faisant bondir mon cœur quand ils passaient ses lèvres en un murmure. Ces trois mots étaient la porte d’un lieu bien plus vaste où siégeaient les véritables pensées, si belles et qui pourtant semblaient si irréelles. Je pouvais rester des heures à l’observer quand elle dormait, blottie dans mes bras, près de mon cœur… Chaque matin la quitter était une torture, chaque soir la retrouver était une bénédiction, elle berçait ma vie, belle comme la pleine lune dans un ciel étoilé, noble comme le soleil au levant, solide comme la plus haute des montagnes, souple et fragile comme un chaude brise d’été… Mais, comment vivre avec tant de bonheur dans une vie ? Chaque homme a le droit à sa part de malheur…
Moi, je connu la pire chose qui aurais pu m’arriver, un soir en rentrant du bureau une petite heure en avance, je vis une deuxième voiture garée dans l’allée, surpris, je rentrai dans la maison et monta a l’étage. A travers l’embrasure de la porte de notre chambre à coucher j’aperçus la forme de deux silhouettes enlacées sur les couvertures, je poussais doucement la porte et saisis mon pistolet dans ma table de chevet, sans qu’aucune des deux silhouette ne m’ai aperçu. Mon cœur semblait fendu. Ma vie brisée. Comment me résoudre à laisser cela impuni ? Comment me résoudre à vivre comme cela ? Je ne le pouvais pas. Simplement au moment où je levais mon arme, ma femme leva les yeux, une lueur terrifiée s’y installa, et avant qu’elle n’ait pu réagir, je tirais. Un bref silence après le coup de feu, puis, je tombais à genoux sur la moquette en face de ma femme qui me regardait toujours avec ces yeux, si beau, si tristes, ce regard terrorisé me fit oublier tout le reste. Et d’un souffle, je lui dis les mots qui m’avaient bercés durant toutes ces années : « Je t’aime... » Puis, sans un râle, sans un bruit, elle tendit la main vers moi. Trop tard. Je m’écroulai sur le tapis blanc cassé du sol de la chambre, et fermais les yeux doucement, un trou rouge dans la poitrine je prononçais encore une dernière fois dans mon dernier soupir de vie ces mots, si beaux, si forts, si tristes… « Je t’aime »…
Assis sur mon fauteuil face à la cheminée, les yeux dans les vagues je pensais à tout cela. A ma femme si merveilleuse, et à ces mots qui me berçaient à chaque instant me poussant à défier la vie et faisant bondir mon cœur quand ils passaient ses lèvres en un murmure. Ces trois mots étaient la porte d’un lieu bien plus vaste où siégeaient les véritables pensées, si belles et qui pourtant semblaient si irréelles. Je pouvais rester des heures à l’observer quand elle dormait, blottie dans mes bras, près de mon cœur… Chaque matin la quitter était une torture, chaque soir la retrouver était une bénédiction, elle berçait ma vie, belle comme la pleine lune dans un ciel étoilé, noble comme le soleil au levant, solide comme la plus haute des montagnes, souple et fragile comme un chaude brise d’été… Mais, comment vivre avec tant de bonheur dans une vie ? Chaque homme a le droit à sa part de malheur…
Moi, je connu la pire chose qui aurais pu m’arriver, un soir en rentrant du bureau une petite heure en avance, je vis une deuxième voiture garée dans l’allée, surpris, je rentrai dans la maison et monta a l’étage. A travers l’embrasure de la porte de notre chambre à coucher j’aperçus la forme de deux silhouettes enlacées sur les couvertures, je poussais doucement la porte et saisis mon pistolet dans ma table de chevet, sans qu’aucune des deux silhouette ne m’ai aperçu. Mon cœur semblait fendu. Ma vie brisée. Comment me résoudre à laisser cela impuni ? Comment me résoudre à vivre comme cela ? Je ne le pouvais pas. Simplement au moment où je levais mon arme, ma femme leva les yeux, une lueur terrifiée s’y installa, et avant qu’elle n’ait pu réagir, je tirais. Un bref silence après le coup de feu, puis, je tombais à genoux sur la moquette en face de ma femme qui me regardait toujours avec ces yeux, si beau, si tristes, ce regard terrorisé me fit oublier tout le reste. Et d’un souffle, je lui dis les mots qui m’avaient bercés durant toutes ces années : « Je t’aime... » Puis, sans un râle, sans un bruit, elle tendit la main vers moi. Trop tard. Je m’écroulai sur le tapis blanc cassé du sol de la chambre, et fermais les yeux doucement, un trou rouge dans la poitrine je prononçais encore une dernière fois dans mon dernier soupir de vie ces mots, si beaux, si forts, si tristes… « Je t’aime »…
Oops !
Je marche sur le ciel et j'éclaire le soleil. Les cochons veulent m'égorger. Les poulets veulent me vider. J'ai peur, je fuis. Je me cache mais l'ombre m'éclaire. Ils veulent tous me faire la peau ! Les livres me lisent et la musique m’écoute. La télé m'allume. Je cours, je fuis, je rie. Les ballons veulent tous me gonfler. Les chewing gum me mâchent. Puis me crachent. Je me retrouve dans les toilettes. Je crie. La porte se ferme. J'aurais dû m'en douter. Les chiottes prennent un malin plaisir à me pisser dessus. Je pique les abeilles, j’écrase les voitures, je mords les chiens... Je me révolte, je cris aux médicaments de m'avaler, je flingue tous les fusils que je peux trouver, je taillade chaque rasoir avec mes veines... Rien n'y fait. Je descends en haut des escaliers. J'ouvre les yeux je me retrouve dans ma chambre. La réalité n’en croit pas ses yeux. Pas le temps de faire un geste. Le lit me saute dessus. J'ai mal mais j'adore ça. La drogue me snif. J'adore. Elle hallucine. Tout se règle, tout s'équilibre, tout s'accorde. Les gazelles mangent les lions, les vaches tournent autour des mouches, les pelotes de laine se font les griffes sur les chats. Décadence. L'alcool veut me boire. Bon. J’arrête là, mon chien m’appelle.
Je marche sur le ciel et j'éclaire le soleil. Les cochons veulent m'égorger. Les poulets veulent me vider. J'ai peur, je fuis. Je me cache mais l'ombre m'éclaire. Ils veulent tous me faire la peau ! Les livres me lisent et la musique m’écoute. La télé m'allume. Je cours, je fuis, je rie. Les ballons veulent tous me gonfler. Les chewing gum me mâchent. Puis me crachent. Je me retrouve dans les toilettes. Je crie. La porte se ferme. J'aurais dû m'en douter. Les chiottes prennent un malin plaisir à me pisser dessus. Je pique les abeilles, j’écrase les voitures, je mords les chiens... Je me révolte, je cris aux médicaments de m'avaler, je flingue tous les fusils que je peux trouver, je taillade chaque rasoir avec mes veines... Rien n'y fait. Je descends en haut des escaliers. J'ouvre les yeux je me retrouve dans ma chambre. La réalité n’en croit pas ses yeux. Pas le temps de faire un geste. Le lit me saute dessus. J'ai mal mais j'adore ça. La drogue me snif. J'adore. Elle hallucine. Tout se règle, tout s'équilibre, tout s'accorde. Les gazelles mangent les lions, les vaches tournent autour des mouches, les pelotes de laine se font les griffes sur les chats. Décadence. L'alcool veut me boire. Bon. J’arrête là, mon chien m’appelle.
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