Bibliothèque [En travaux]

  • Auteur de la discussion Le Prince Noir
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DeletedUser

Guest
Voilà, j'ai décidé d'ouvrir ma bibliothèque, afin de recevoir vos avis et vos critiques sur ce que je fait :)
Pour commencer, un petit poème simple, un de mes premiers :)


Tristesse

Tristesse, tu t'empresses de m'envahir.
Tristesse, je crains le pire.
Pourquoi es tu encore là ?
Qu'ai je fait qui ne te plais pas ?

Tristesse, tu me blesses,
Il faut que ça cesse,
Arrêtons là veux tu,
ça ne me plaît plus.

Je veux me sentir vivre,
Je veux être ivre,
Ivre de joie,
Mais pas ivre de toi.

Grande Tristesse, abandonne moi,
S'il te plait, ne reviens pas,
Je ne veux connaître que la joie,
Et le bonheur de ne pas être avec toi.

Ce sera mieux comme ça,
Ce sera mieux sans toi,
Ce sera mieux pour moi.

Courir, toujours courir. Il devait fuir. Qu'allait-il lui arriver maintenant*? Ne plus réfléchir. Fuir, pour sauver sa peau, pour vivre, pour survivre. Voilà dans quel état d'esprit il était. Voilà dans quel état d'esprit était le jeune garçon. Il ne pensait qu'à s'éloigner le plus possible de son village, pour échapper au terrible mal qui frappait la contrée.

Ce mal composé de terribles guerriers, de barbares, d'impitoyables soldats, sans gloire, avide de sang, était apparu depuis quelques temps.
Au départ, les attaques et les semblants de batailles était apparu au Nord-Est, près de Medgrid, la ville des ours. D'abord, Ce n'était que des attaques faciles à repousser, surtout pour la ville de Medgrid, habitué à se battre, et composé de grands guerriers. Seulement, personne ne savait exactement d'où ces mystérieux guerriers venaient, ni ce qu'il recherchaient. Et personne ne se méfiaient, personne n'aurait pu imaginé la suite. Et la suite fut terrible. Et la suite était inimaginable. Et le reste de la contrée commença à sombrer.

Voilà comment commence cette histoire, voilà comment un jeune garçon en vient à fuir, voilà pourquoi la paix est devenu un songe
.


Cela faisait maintenant 4 jours qu'il courait, qu'il parcourait la contrée, à la recherche d'aide, à la recherche d'une solution. Comment tout ceci avait pu arrivé*? Il aurait du s'en douter, et aurait du bousculer son village. Les hommes de son village ne savaient plus se battre, ou plus très bien, après ce long moment de paix*; il était au courant, mais n'avait pas réussi à convaincre quelqu'un de la menace qui planait sur leur village. Même lui n'était pas sûr de ce qui ce tramait. Des rumeurs, des légendes, peut être même des mythes, circulait dans la contrée. On racontait beaucoup de chose, mais ses informations étaient pratiquement sûr, elle venait d'un conteur qu'il avait rencontré en revenant de la chasse.
Lui non plus ne savait pas bien se battre, même s'il parfois, il s'imaginait vivre des choses, et changer un peu sa routine. Et pourtant, maintenant, il aurait préféré retourner en arrière, et retrouver sa petite routine. C'était un garçon habile, et vif d'esprit*; il avait deux sœurs, ses parents tenait une sorte de ferme, et s'occupaient de différents élevages. Mais, ses parents n'avaient pas beaucoup de terre, et devait faire avec*; on ne pouvait pas dire qu'ils étaient riche, et ils devaient bien toujours se débrouiller pour manger. C'est pour cela que le jeune garçon faisait de nombreuses choses dans le village, mais aussi par curiosité, et c'est pour cela que tout le monde le connaissait.
A présent, ce n'était plus le cas, et le peu qu'il avait n'existait plus. A présent, un sentiment amer, froid, l'animait. A présent, un sentiment de vengeance se faisait ressentir. Il ne pensait plus qu'à ça. Se venger. Pour quoi faire*? Pour échapper aux hommes venus du nord est. A ces guerriers maléfiques, a ces guerriers sans noms, a ces guerriers qui détruisait tout. Se venger pour sauver le royaume, et faire renaître la paix.

Mais, il n'était qu'un simple garçon, et se demandait bien comment il allait faire. D'abord, il devait connaître ses ennemis, et donc les terribles barbares qui mettaient à feu et à sang la contrée. Maintenant qu'il avait pris suffisamment de distance pour les fuir, il se mis à réfléchir, et à marcher plus tranquillement.
Il repensait à ce qu'il s'était passé. Il ne savait pas qui étaient exactement ses ennemis, mais se rappelait de cette terrible nuit. Un réveil brusque, des cris, du feu. Une incompréhension, et de la panique. Voilà comment on pouvait résumer. Il s'était alors levé, et sorti. C'était vraiment la panique, tout le monde courrait, personne ne faisait rien. Il n'avait reconnu aucun visage, tellement la peur pouvait se lire sur les yeux de chacun. Sa maison se trouvait près de l'entrée Nord du village, apparemment, l'attaque était venu de la porte Sud. Il ne pensait qu'à sauvait sa peau, à rejoindre sa famille, et ses amis. Mais, face à cette situation, il ne savait pas vraiment quoi faire. Certes, il savait à peu près se défendre.. Mais contre certains de ses amis, ou d'autres jeunes. Qu'en était-il donc contre des guerriers, à la réputation terrible*?
Il devait agir, et vite. C'est alors qu'il prit une décision. Et il ne pouvait plus changer d'avis.
 
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DeletedUser

Guest
Beau poème ;) continue comme ça !

Vrai chagrin d'amour ou juste un poème :D ?
 

DeletedUser

Guest
Merci :)
Je vais essayer !

Chagrin oui, d'amour, dans le sens avec une fille, non ^^ Et puis principalement, juste un poème :)
 

DeletedUser

Guest
Alors alors :D

C'est un bon début dans la poésie, maintenant je t'encourage à rejoindre des formes contraignantes et classiques, l'alexandrin, les procédés poétiques, etc :D
La difficulté fait l'éloge du talent :p



Va commenter ma bibliothèque :p
 

DeletedUser

Guest
Hé, je ne me suis pas vanté d'être un pro, ou de faire des choses excellentes, avec tout les styles! Ceci est ma première poésie, alors je l'ai fait comme ça, sans penser à rien d'autre! Après, je vais en effet essayer de rajouter des difficultés, ou de respecter certaines formes !
 

DeletedUser

Guest
Hé, je ne me suis pas vanté d'être un pro, ou de faire des choses excellentes, avec tout les styles! Ceci est ma première poésie, alors je l'ai fait comme ça, sans penser à rien d'autre! Après, je vais en effet essayer de rajouter des difficultés, ou de respecter certaines formes !

Et on ne te le reproche pas ;)
Je t'encourage juste à progressivement rajouter des difficultés :)


Ps : va commenter ma bibliothèque :(
 
Dernière édition par un modérateur:

DeletedUser

Guest
Je viens de poster un début d'histoire, que j'ai retrouvé, elle date de y'a pas longtemps, je n'ai pas encore regardé les fautes! :) C'est un certain style, et peut être que vous le trouverez répétitif... On verra ;)

Deca, j'irais commenter ;)
 

DeletedUser

Guest
Pas mal ton essai.
Je te conseille par contre de te relire ou de faire relire ton texte par quelqu'un afin d'éviter les fautes d'orthographe (qui sont nombreuses). Je pourrais faire une correction orthographique de ton texte si tu le souhaites.

Sinon, assez bien écrit bien que je te conseille de revoir ta syntaxe ainsi que d'éviter certaines répétitions présentes dans ton texte. (Je ne sais pas si c'est fait exprès ou non.)
 

DeletedUser

Guest
Voilà, après quelques temps d'absences, je suis de retour. Je vais tenté alors de participer activement à la gazette, et de me remettre à des essais, modifier mon début d'histoire (au dessus), qui n'était vraiment qu'une ébauche.

Voici un petit récit (vraiment très petit) d'introduction : (Bon, je l'ai écrit comme ça, en me faisait plaisir, je ne l'ai pas encore relu, donc ne soyez pas trop critique s'il vous plait :) )

Le petit village paraissait désert, sans vie, et la nuit noire n'arrangeait pas cela. Le jeune homme marchait en direction de l'entrée principale, sans se préoccuper des alentours. Il connaissait bien la région, et savait qu'en ce moment, elle était plutôt calme. D'ailleurs, les portes n'étaient pas fermés, ce qui était un signe de paix, relative certes. Il rentra dans le village, traversa la rue principale, pris un ensemble de rue étroites, et arriva devant une bâtisse. Il sortit des clés, et en inséra une dans la porte d'entrée. Il ouvrit la porte, et rentra...

L'homme toussa, alluma des bougies, et observa la pièce principale. La pièce semblait avoir été abandonné, depuis très longtemps. Il y avait beaucoup de poussière, et de nombreuses toiles d'araignée. L'homme sourit, et se dit qu'il aurait pas mal de travail. Il se rendit dans la bibliothèque, enfin ce qu'il en restait.. Il trouva un ouvrage, l'ouvrit, et ne vit que des pages vierges. Cela lui redonna plusieurs envies. Tout d'abord, après ses aventures, il avait envie d'un peu de repos. Il allait donc rouvrir son auberge. Et ensuite, il décida qu'il allait écrire de nouveau. Volk était de retour.
 
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