DeletedUser
Guest
Vu que atchoum ne veut pas me réouvrir ma bibliothèque car il n'y à rien de publier dessus j'en ouvre une nouvelle avec un texte dessus:
Je l'ai écrit pendant mon cour de français c'était un concours mais écrire le texte était obligatoire mais je pouvait décidé de participer au concours quand même c'est ce que j'ai fait et je n'ai pas gagner j'ai dépassé la limite de mots donc pour ne pas trop la dépasser j'avais coupé ce qui est souligné mais j'en avait encore trop mais je ne sais pas pourquoi je n'ai pas gagné
La quête du kayak
Entre deux coups de pagaie, mon kayak heurte un rocher noir sur lequel est inscrit : Déclenchement : Fleuve Saint-Laurent, 7 novembre 2010. « Mais
c’est aujourd’hui! »
Quelques minutes plus tard, j’entends le bruit d’un bateau à moteur : c’est celui des garde-côtes. Ils avancent vers moi et me disent : « Monsieur, embarquez avec nous. L’accès au fleuve est interdit aujourd’hui car de gros vents violents arrivent du Nord. Nous allons vous ramener au quai. » J’accepte d’embarquer avec eux et de faire remorquer mon kayak par une équipe de remorqueurs marins. À peine ont-ils démarré le moteur que nous voyons de grosses vagues arriver. Alors ils décident de passer en mode turbo pour ne pas chavirer. Aussitôt arrivé au quai, je m’empresse de débarquer du bateau pour attendre les remorqueurs marins, pendant que les garde-côtes retournent vérifier s’il n’y a pas d’autres personnes sur le fleuve.
Quatre heures plus tard. Les garde-côtes reviennent et je leur demande s’ils ont croisé les remorqueurs et ils m’affirment que non. Je décide de rester attendre encore une heure. Cinq heures ont passé et les remorqueurs marins n’arrivent toujours pas. Alors je demande aux garde-côtes de m’emmener à la recherche des remorqueurs marins et, surtout, de mon kayak! Quand même, un kayak de 14 600$ importé de Russie! J’ai économisé 10$ chaque jour pendant 4 ans pour l’acheter! Ils acceptent, mais ils veulent que je fasse tout ce qu’ils me demanderont.
Rendus dans le bateau, ils avancent vers le milieu du fleuve. Arrivés au milieu du fleuve, nous apercevons de grosses vagues en provenance du Nord, mais aucune trace des remorqueurs ni de mon kayak. Quelques minutes plus tard, nous voyons quelque chose, mais nous sommes trop loin pour voir ce que c’est. Alors les garde-côtes décident d’avancer encore un peu. Ça y est, je le vois : « C’est mon kayak! » Ils le remonte à bord et envoient des plongeurs vérifier où sont les remorqueurs marins. Ils remontent avec les remorqueurs marins et disent aux garde-côtes qu’il faut retourner au quai le plus vite possible car il y a un volcan dans le fleuve, mais à peine ont-ils terminé de l’expliquer qu’une vague fait chavirer le bateau. « Adieu monde cruel! » Mais soudain j'entend mon réveil matin sonner «Ouf ce n'était qu'un rêve!» Me dis-je en me réveillant le front en sueur.
Entre deux coups de pagaie, mon kayak heurte un rocher noir sur lequel est inscrit : Déclenchement : Fleuve Saint-Laurent, 7 novembre 2010. « Mais
c’est aujourd’hui! »
Quelques minutes plus tard, j’entends le bruit d’un bateau à moteur : c’est celui des garde-côtes. Ils avancent vers moi et me disent : « Monsieur, embarquez avec nous. L’accès au fleuve est interdit aujourd’hui car de gros vents violents arrivent du Nord. Nous allons vous ramener au quai. » J’accepte d’embarquer avec eux et de faire remorquer mon kayak par une équipe de remorqueurs marins. À peine ont-ils démarré le moteur que nous voyons de grosses vagues arriver. Alors ils décident de passer en mode turbo pour ne pas chavirer. Aussitôt arrivé au quai, je m’empresse de débarquer du bateau pour attendre les remorqueurs marins, pendant que les garde-côtes retournent vérifier s’il n’y a pas d’autres personnes sur le fleuve.
Quatre heures plus tard. Les garde-côtes reviennent et je leur demande s’ils ont croisé les remorqueurs et ils m’affirment que non. Je décide de rester attendre encore une heure. Cinq heures ont passé et les remorqueurs marins n’arrivent toujours pas. Alors je demande aux garde-côtes de m’emmener à la recherche des remorqueurs marins et, surtout, de mon kayak! Quand même, un kayak de 14 600$ importé de Russie! J’ai économisé 10$ chaque jour pendant 4 ans pour l’acheter! Ils acceptent, mais ils veulent que je fasse tout ce qu’ils me demanderont.
Rendus dans le bateau, ils avancent vers le milieu du fleuve. Arrivés au milieu du fleuve, nous apercevons de grosses vagues en provenance du Nord, mais aucune trace des remorqueurs ni de mon kayak. Quelques minutes plus tard, nous voyons quelque chose, mais nous sommes trop loin pour voir ce que c’est. Alors les garde-côtes décident d’avancer encore un peu. Ça y est, je le vois : « C’est mon kayak! » Ils le remonte à bord et envoient des plongeurs vérifier où sont les remorqueurs marins. Ils remontent avec les remorqueurs marins et disent aux garde-côtes qu’il faut retourner au quai le plus vite possible car il y a un volcan dans le fleuve, mais à peine ont-ils terminé de l’expliquer qu’une vague fait chavirer le bateau. « Adieu monde cruel! » Mais soudain j'entend mon réveil matin sonner «Ouf ce n'était qu'un rêve!» Me dis-je en me réveillant le front en sueur.
En -490 à Sparte un jeune athénien décide de s’engager comme hoplite spartiate et puisqu’il n’a jamais appris l’art de la guerre alors le roi Léonidas 1er décide de le lui enseigner.
-En premier, il ne faut pas que tu aies peur de mourir au combat.
-Ok.
-ET aussi, il ne faut pas que tu te sauve au combat. Sinon tu risque la peine de mort. Tu dois aussi revenir sur ton bouclier si tu meurs ou avec si tu survie.
-Ok, j’ai compris.
-Ok, tu me dis que tu as compris.
-Oui c’est ça.
-Bon puisque tu as compris la première étape passons à la deuxième.
-Ok.
-Tu dois te réjouir si tu as un ami qui meurt au combat.
-D’accord.
-Tu dois aussi obéir au doigt et à l’œil au roi.
-Ok, vous me dites que je dois obéir au doigt et à l’œil au roi.
-C’est ça tu apprends vite.
-Merci.
-Ok bon, je t’ai dit que tu dois obéir au doigt et à l’œil au roi, c’est ça ?
-Oui
-Mais, tu ne dois pas le faire s’il te demande de fuir le combat. Ce qui ne risque pas d’arriver puisque c’est moi le roi.
-En premier, il ne faut pas que tu aies peur de mourir au combat.
-Ok.
-ET aussi, il ne faut pas que tu te sauve au combat. Sinon tu risque la peine de mort. Tu dois aussi revenir sur ton bouclier si tu meurs ou avec si tu survie.
-Ok, j’ai compris.
-Ok, tu me dis que tu as compris.
-Oui c’est ça.
-Bon puisque tu as compris la première étape passons à la deuxième.
-Ok.
-Tu dois te réjouir si tu as un ami qui meurt au combat.
-D’accord.
-Tu dois aussi obéir au doigt et à l’œil au roi.
-Ok, vous me dites que je dois obéir au doigt et à l’œil au roi.
-C’est ça tu apprends vite.
-Merci.
-Ok bon, je t’ai dit que tu dois obéir au doigt et à l’œil au roi, c’est ça ?
-Oui
-Mais, tu ne dois pas le faire s’il te demande de fuir le combat. Ce qui ne risque pas d’arriver puisque c’est moi le roi.
Rome vs Germanie
Un Légionnaire du nom de Marcus Couragus, un Centurion du nom de Julius Severus, un Légat du nom de Caius Conqueratus Rusus et un Vélite du nom de Claudius Gladius en -17 av. J-C (l’année des dix ans de règne d’Auguste) en campagne dans le nord de la Gaule.
-Centurion ça fait 6 semaines qu’on est en campagne dans le nord de la Gaule. Quand allons-nous quitter la Gaule, demanda le Légionnaire Marcus Couragus.
-Je n’en ai aucune idée Légionnaire Marcus Couragus, il faudrait demander au Légat Caius Conqueratus Rusus mains je ne sais pas ou il est, il faudrait demander au Vélite Claudius Gladius qui est dans sa tente, répondit le Centurion Julius Severus.
-Parfait alors allons le chercher, dit Marcus.
-Vélite Claudius Gladius, sortez immédiatement de votre tente, cria le Centurion Julius Severus sur un ton autoritaire.
-À vos ordres Centurion Julius Severus, dit le Vélite Claudius Gladius en sortant de sa tente.
-Sais-tu où est le Légat Caius Conqueratus Rusus, lui demanda le Légionnaire Marcus Couragus.
-Oui, il rédige son journal dans sa tente, répondit le Vélite.
-Parfait allons le voir, dit le Centurion.
-Légat Caius Conqueratus Rusus, pouvons nous entrer, demanda le Légionnaire.
-Oui entrer Légionnaire, répondit le Légat.
-Quand allons-nous quitter la Gaule Légat, demanda le Légionnaire.
-Demain, lui répondit le Légat.
-Demain on va à Rome, dit le Légionnaire.
-NON! Demain on ne va pas à Rome, cria le Légat sur un ton sévère.
-Ah non, demain on va où d’abord, dit le Légionnaire sur un ton déçu.
-Demain on va en Germanie, dit le Légat.
-On, on, on, on, on va en Germama en Germama, en Germanie, dit le Légionnaire en Bégayant.
-Oui en Germanie, dit le Légat.
-Mais, mais, mais, mais, mais on, mais on, mais on n’a pas fini ici on n’a même pas conquit le nord de la Gaule, dit le Légionnaire.
-C’est vrai, alors je vais envoyer la légion à l’attaque.
- Juste une légion pourquoi ne pas envoyer toute l’armée, demanda le centurion Julius Severus.
- Vous avez raison Centurion, je vais envoyer toute l’armée qui est en Gaule, dit le légat.
_ Mais moi et le vélite on nous a donné la corvée de laver les latrines, dit le légionnaire.
- Alors vous ne laverez les latrines, en revenant du combat vous allez préparer vos affaires pour aller en Germanie, ordonna le légat.
_ Oui, s’écrièrent en cœur le légionnaire et le vélite.
_ Mais tous les autres devront faire leurs corvée, dit le légat.
_Non, s’écrièrent les autres légionnaires.
- Bon alors préparer vous à l’attaque, ordonna le légat.
- formation testudo, s’écrièrent en cœur tous les centurions des 18 légions de l’armée romaine.
-À l’attaque, cria le légat avec excitation.
-À l’attaque, répétèrent è L’unisson tous les légionnaires des 18 légions.
Ils remplacèrent la bataille et soumirent les Gaulois de nord.
_Et ensuite, ils retournèrent au camp pour aller se coucher er fêter leur victoire.
-De retour au camp.
-Envoyer un message à Rome pour annoncer notre victoire, ordonna le Légat.
- À vos ordres chers Légat, dit le centurion.
- Messager, cria le centurion.
- Oui mon centurion, répondit le messager.
- Aller à Rome annoncer notre victoire, ordonna le centurion.
- À vos ordres mon centurion, dit le messager.
-Maintenant mes amis fêtons notre victoire, dit le Légat.
Après une bonne nuit de sommeil.
-cocoricooooooooooooooo
Quelques minutes plus tard.
-Bon tout le monde est prêt à partir, demanda le Légat.
-Oui Légat, répondirent les Légionnaires.
-Parfait alors partons pour la Germanie, dit le Légat.
Arrivé en Germanie.
-Bon montez moi une palissade avec les pieux en bois et cette fois ci n’oubliez pas de laissez une entrée, ordonna le Légat.
Après avoir monté la palissade.
-Parfait vous n’avez pas oublié de laisser une entrée, dit le Légat.
-Maintenant allez monter vos tentes, ordonna le Légat.
Après avoir monté les tentes.
-Parfait maintenant je vais aller négocier avec le chef Germain Machen Guenberk, dit le Légat.
-Mais vous n’avez personne pour vous protêger, dit le Légionnaire Marcus Couragus.
Un Légionnaire du nom de Marcus Couragus, un Centurion du nom de Julius Severus, un Légat du nom de Caius Conqueratus Rusus et un Vélite du nom de Claudius Gladius en -17 av. J-C (l’année des dix ans de règne d’Auguste) en campagne dans le nord de la Gaule.
-Centurion ça fait 6 semaines qu’on est en campagne dans le nord de la Gaule. Quand allons-nous quitter la Gaule, demanda le Légionnaire Marcus Couragus.
-Je n’en ai aucune idée Légionnaire Marcus Couragus, il faudrait demander au Légat Caius Conqueratus Rusus mains je ne sais pas ou il est, il faudrait demander au Vélite Claudius Gladius qui est dans sa tente, répondit le Centurion Julius Severus.
-Parfait alors allons le chercher, dit Marcus.
-Vélite Claudius Gladius, sortez immédiatement de votre tente, cria le Centurion Julius Severus sur un ton autoritaire.
-À vos ordres Centurion Julius Severus, dit le Vélite Claudius Gladius en sortant de sa tente.
-Sais-tu où est le Légat Caius Conqueratus Rusus, lui demanda le Légionnaire Marcus Couragus.
-Oui, il rédige son journal dans sa tente, répondit le Vélite.
-Parfait allons le voir, dit le Centurion.
-Légat Caius Conqueratus Rusus, pouvons nous entrer, demanda le Légionnaire.
-Oui entrer Légionnaire, répondit le Légat.
-Quand allons-nous quitter la Gaule Légat, demanda le Légionnaire.
-Demain, lui répondit le Légat.
-Demain on va à Rome, dit le Légionnaire.
-NON! Demain on ne va pas à Rome, cria le Légat sur un ton sévère.
-Ah non, demain on va où d’abord, dit le Légionnaire sur un ton déçu.
-Demain on va en Germanie, dit le Légat.
-On, on, on, on, on va en Germama en Germama, en Germanie, dit le Légionnaire en Bégayant.
-Oui en Germanie, dit le Légat.
-Mais, mais, mais, mais, mais on, mais on, mais on n’a pas fini ici on n’a même pas conquit le nord de la Gaule, dit le Légionnaire.
-C’est vrai, alors je vais envoyer la légion à l’attaque.
- Juste une légion pourquoi ne pas envoyer toute l’armée, demanda le centurion Julius Severus.
- Vous avez raison Centurion, je vais envoyer toute l’armée qui est en Gaule, dit le légat.
_ Mais moi et le vélite on nous a donné la corvée de laver les latrines, dit le légionnaire.
- Alors vous ne laverez les latrines, en revenant du combat vous allez préparer vos affaires pour aller en Germanie, ordonna le légat.
_ Oui, s’écrièrent en cœur le légionnaire et le vélite.
_ Mais tous les autres devront faire leurs corvée, dit le légat.
_Non, s’écrièrent les autres légionnaires.
- Bon alors préparer vous à l’attaque, ordonna le légat.
- formation testudo, s’écrièrent en cœur tous les centurions des 18 légions de l’armée romaine.
-À l’attaque, cria le légat avec excitation.
-À l’attaque, répétèrent è L’unisson tous les légionnaires des 18 légions.
Ils remplacèrent la bataille et soumirent les Gaulois de nord.
_Et ensuite, ils retournèrent au camp pour aller se coucher er fêter leur victoire.
-De retour au camp.
-Envoyer un message à Rome pour annoncer notre victoire, ordonna le Légat.
- À vos ordres chers Légat, dit le centurion.
- Messager, cria le centurion.
- Oui mon centurion, répondit le messager.
- Aller à Rome annoncer notre victoire, ordonna le centurion.
- À vos ordres mon centurion, dit le messager.
-Maintenant mes amis fêtons notre victoire, dit le Légat.
Après une bonne nuit de sommeil.
-cocoricooooooooooooooo
Quelques minutes plus tard.
-Bon tout le monde est prêt à partir, demanda le Légat.
-Oui Légat, répondirent les Légionnaires.
-Parfait alors partons pour la Germanie, dit le Légat.
Arrivé en Germanie.
-Bon montez moi une palissade avec les pieux en bois et cette fois ci n’oubliez pas de laissez une entrée, ordonna le Légat.
Après avoir monté la palissade.
-Parfait vous n’avez pas oublié de laisser une entrée, dit le Légat.
-Maintenant allez monter vos tentes, ordonna le Légat.
Après avoir monté les tentes.
-Parfait maintenant je vais aller négocier avec le chef Germain Machen Guenberk, dit le Légat.
-Mais vous n’avez personne pour vous protêger, dit le Légionnaire Marcus Couragus.
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