DeletedUser
Guest
Bonjour à tous et toutes.
Dans GT, on doit gérer au mieux chaque village que nous possédons, mais également l'ensemble comme une entité propre. GT prend également pour base de gameplay le monde médiéval. Or, à cette époque, il s'avère que les moments de retraite et de politique de terres brulées étaient assez fréquents.
Ma suggestion est simple: pouvoir abandonner certains villages.
On peut se rendre compte que la possession de certains villages peut poser des problème de territorialité tant entre joueurs qu'entre tribus, on pourrait ainsi abandonner des villages litigieux...
Un joueur novice, une fois son troisième village noblé, ne pourra plus faire appel à la milice. S'il abandonne son village le moins défendable, il pourra de nouveau faire appel à sa force plébéienne et disposer au maximum de 600 hommes de plus.
Par erreur, on peut avoir noblé un village qui demanderait trop de temps pour etre monté correctement. Plutot que de s'en occuper, et de potentiellement devoir le défendre, on pourrait l'abandonner.
Bien à vous,
Audivimus.
Dans GT, on doit gérer au mieux chaque village que nous possédons, mais également l'ensemble comme une entité propre. GT prend également pour base de gameplay le monde médiéval. Or, à cette époque, il s'avère que les moments de retraite et de politique de terres brulées étaient assez fréquents.
Ma suggestion est simple: pouvoir abandonner certains villages.
On peut se rendre compte que la possession de certains villages peut poser des problème de territorialité tant entre joueurs qu'entre tribus, on pourrait ainsi abandonner des villages litigieux...
Un joueur novice, une fois son troisième village noblé, ne pourra plus faire appel à la milice. S'il abandonne son village le moins défendable, il pourra de nouveau faire appel à sa force plébéienne et disposer au maximum de 600 hommes de plus.
Par erreur, on peut avoir noblé un village qui demanderait trop de temps pour etre monté correctement. Plutot que de s'en occuper, et de potentiellement devoir le défendre, on pourrait l'abandonner.
Bien à vous,
Audivimus.